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Le Grand Conseil vaudois a donné mardi son feu vert unanime à un crédit de 21 millions de francs pour réhabiliter le tronçon En Favrins de la route cantonale qui mène aux Diablerets. Ces travaux conséquents dureront entre cinq et six ans.
“Ce tronçon de 1,2 km, très sinueux, est en bien mauvais état”, a expliqué le député Pierre-Alain Favrod (UDC). La route a été construite vers la fin des années 1950 et le début des années 1960.
Les travaux de rénovation se feront par étapes, sur cinq à six ans, entre fin avril et fin octobre. “C’est une intervention longue et assez lourde. Il est impossible de fermer la route, car il s’agit de l’accès principal aux Diablerets”, a rappelé le député.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Ferdinand et Valentine, le peintre et l’amante au Musée Jenisch
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Le Musée Jenisch à Vevey (VD) ouvre vendredi ses portes sur sa nouvelle exposition, “Ferdinand Hodler. Revoir Valentine”. Elle dévoile les oeuvres que le peintre a consacrées, jusque dans la mort, à celle qui fut son modèle, son amante et la mère de sa fille.
A voir jusqu’au 21 mai, l’exposition retrace leur histoire d’amour, depuis leur rencontre jusqu’à la maladie et la mort de Valentine, à Vevey en 1915. Près de 115 pièces ont été réunies pour cette exposition, dont 63 dessins et peintures. “Un ensemble exceptionnel réuni pour la première fois depuis plus de 45 ans”, indique le Musée Jenisch.
C’est en 1908 à Genève que Ferdinand Hodler, alors âgé de 55 ans, rencontre Valentine Godé-Darel, une Parisienne divorcée et de 20 ans sa cadette. La première partie de l’exposition s’attarde sur les débuts de leur relation, lorsque Valentine devient le modèle puis rapidement la maîtresse du peintre.
Leur idylle est tumultueuse, faite de ruptures et de retrouvailles, comme en témoignent les carnets de croquis de l’artiste. Dans cette première partie, les visiteurs découvrent les oeuvres allégoriques et les nombreux portraits où Valentine apparaît comme modèle, à l’instar de “Femme joyeuse” ou “Splendeur linéaire”.
L’accrochage présente également les autres projets artistiques qui occupent Hodler à cette époque, notamment la conception de ses toiles monumentales “L’Amour” et “Le Désir”.
La deuxième aile du musée retrace la fin de vie de Valentine Godé-Darel, qui apprend qu’elle est atteinte d’un cancer en 1913, en même temps que sa grossesse. Dès qu’il la sait condamnée, Hodler va documenter “en direct” la lente et douloureuse évolution de la maladie de celle qui fut “la passion la plus intense de sa vie”, souligne le dossier le presse.
Cette série se compose de quelque 200 oeuvres – dessins, peintures et pages de carnets – qui traduisent “sans ménagement” l’agonie de Valentine. Ferdinand Hodler viendra même la peindre encore une fois, au lendemain de sa mort, le 25 janvier 1915.
“Compte tenu de sa qualité graphique, de l’ampleur de la série et de son caractère unique, le cycle de Valentine est sans aucun doutel’une des contributions majeures à l’histoire de la peinture moderne”, écrit le Musée Jenisch.
Décédé trois ans après sa bien-aimée, Hodler était conscient de la portée de son oeuvre, lui qui aurait confié à une amie et collectionneuse: “Personne n’a encore jamais fait cela.”
Ce cycle de Valentine mourante n’avait plus donné lieu à une présentation publique d’importance depuis 1976 et une exposition au Kunsthaus de Zurich, selon l’établissement veveysan.
L’exposition s’intéresse aux nombreux carnets tenus par Hodler tout au long de sa vie, sur ses réflexions, croquis, observations, adresses, listes de courses, calculs de proportions et autres comptes qu’il tenait dans des petits carnets de laitier à couverture bleue. Pour la première fois, et grâce aux moyens numériques, le public pourra feuilleter lui-même les carnets dédiés à Valentine.
De quoi éprouver plus intensément encore, “l’émotion singulière qui se dégage du cycle de Valentine”.
En plus des oeuvres du Musée Jenisch, issues de la donation et du legs Rudolf Schindler en 2014 et 2015, l’exposition a été rendue possible grâce à de nombreux prêteurs privés ou institutionnels, de Suisse comme de l’étranger,
Pour cette exposition, le musée s’est associé à l’Institut Ferdinand Hodler à Genève, le centre de recherche dédié au peintre berno-genevois.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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La municipale lausannoise Natacha Litzistorf a été hospitalisée suite à une péritonite, a annoncé mardi la Ville. Son collègue Pierre-Antoine Hildbrand assure son remplacement.
D’ici au retour “prochain” de l’élue Verte, responsable du Logement, de l’Environnement et de l’Architecture, “la Municipalité, et plus particulièrement son suppléant, ainsi que tous les services de l’administration concernés assurent la continuité des dossiers en cours”, précise le communiqué. Les membres de l’Exécutif souhaitent “un prompt rétablissement” à Natacha Litzistorf.
Une péritonite est une inflammation du péritoine, l’enveloppe qui entoure les viscères contenus dans l’abdomen, selon le guide suisse de santé en ligne Santeweb. La durée de la période de reconvalescence dépend de la maladie sous-jacente et de l’état général du patient, indique le site.
Ce n’est pas la première fois, depuis qu’elle a été élue en 2016, que la municipale écologiste a des ennuis de santé. En septembre 2021, elle s’était cassé un bras et une jambe après avoir chuté dans des escaliers. Elle avait été absente de la vie publique pendant plusieurs semaines, mais avait pu assurer l’essentiel de ses fonctions depuis son domicile.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Quelque 250 employés du CHUV à Lausanne ont participé mardi midi à un rassemblement syndical devant le bâtiment principal. Dans le cadre d’une nouvelle journée de grève et de manifestation de la fonction publique, ils ont demandé une indexation entière des salaires.
“CHUV en lutte”, “CHUV en colère” ou encore “On vous sauve, on nous coule”, pouvait-on lire sur des banderoles et pancartes au milieu du personnel du CHUV réuni devant l’entrée principale. Sous le slogan “Applaudir c’est bien, indexer c’est mieux”, le rassemblement a duré environ 45 minutes, rythmé de discours, de chants et de huées.
“Les travailleurs exigent la pleine indexation des moyens et des effectifs pour tous les corps de métiers afin de garantir des soins de qualité, en quantité et en toute sécurité, des salaires décents, des conditions de travail humaines”, écrit le syndicat Sud dans un communiqué.
Syndicats et employés ont estimé que le Conseil d’Etat se moquait du personnel du CHUV. Ils ont appelé à “plus de respect, de reconnaissance et de valorisation de leur salaire”. “Une solution, indexation”, ont-ils scandé plusieurs fois. Le personnel du plus grand employeur du Canton de Vaud a été invité à participer en nombre à la manifestation prévue en fin de journée.
Le défilé de la fonction publique et du secteur parapublic partira dès 17h30 depuis la place du Château, à la Cité à Lausanne, en direction du Département des finances à la rue de la Paix. Les manifestants se posteront avant, vers 16h30, devant la salle du Grand Conseil pour protester.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Une nouvelle journée de grève et de manifestation a lieu mardi dans la fonction publique vaudoise, avec une hausse de la participation des enseignants. La demande est toujours la même: une indexation entière des salaires. Des négociations avec l’Etat sont exigées.
C’est le troisième jour de grève depuis six semaines, ponctué en fin de journée par un défilé qui partira dès 17h30 depuis la place du Château, à la Cité à Lausanne, en direction du Département des finances à la rue de la Paix. Les manifestants se posteront avant, vers 16h30, devant la salle du Grand Conseil pour protester. Le 23 janvier, entre 3000 (selon les syndicats) et 4000 (selon la police) personnes avaient défilé dans les rues de la capitale vaudoise.
Selon les chiffres relevés à la mi-journée par le Département vaudois de l’enseignement et de la formation professionnelle (DEF), près de 2100 enseignants de l’école obligatoire et du postobligatoire, contre 1500 la semaine dernière, ont participé à la grève.
Une quarantaine d’établissements de l’école obligatoire ont été touchés (sur 93). Six d’entre eux ont annoncé une fermeture complète pour la journée et 22 une fermeture partielle et/ou uniquement l’après-midi, a précisé le DEF à Keystone-ATS. La mobilisation s’est faite de diverses manières: vote d’une résolution en faveur des revendications, quinze minutes de débrayage, grève partielle ou complète ou encore participation au cortège.
Dans les écoles, des établissements du primaire ont apparemment rejoint le mouvement, surtout suivi jusqu’ici par le secondaire et le post-obligatoire, selon David Jeanquartier de la Fédération des sociétés de fonctionnaires (FSF Vaud). Au postobligatoire, le DEF note que les grèves ont “duré sensiblement plus longtemps” que le 23 janvier.
Le personnel du CHUV à Lausanne s’est également mobilisé. Environ 250 employés ont participé à la mi-journée à un rassemblement syndical devant le bâtiment principal durant 45 minutes environ. Une participation relativement faible au sein du plus grand employeur de l’Etat de Vaud, avec ces plus de 9000 collaborateurs.
“Applaudir c’est bien, indexer c’est mieux!”, “CHUV en lutte”, “CHUV en colère” ou encore “On vous sauve, on nous coule”, pouvait-on lire sur des banderoles et pancartes. “Une solution, indexation”, ont-ils aussi scandé.
La revendication est toujours la même: une indexation entière des salaires de la fonction publique et du secteur parapublic vaudois au renchérissement du coût de la vie. “Le Conseil d’Etat doit arrêter le mépris, faire de nouvelles propositions et négocier”, écrivent les trois syndicats à l’origine du mouvement, le Syndicat des services publics (SSP Vaud), la fédération syndicale SUD et FSF Vaud.
Les trois organisations jugent que le taux d’indexation des salaires de 1,4% dès le 1er janvier 2023 annoncé le 8 décembre dernier par le Conseil d’Etat vaudois pour la fonction publique et le secteur parapublic est insuffisant au regard de l’inflation.
Une indexation correspondant au moins à la hausse de l’indice suisse des prix à la consommation entre octobre 2021 et octobre 2022 (+3%) est réclamée. La prime unique de 0,8% du salaire octroyée par l’Etat de Vaud aux salariés de classes 1 à 10 en janvier 2023 ne satisfait pas non plus.
De son côté, le gouvernement vaudois reste ferme. Dans une réponse aux syndicats qui redemandaient vendredi une “ouverture rapide” de négociations, le Conseil d’Etat a indiqué lundi soir ne pas entendre revenir sur le dispositif global octroyant 182 millions de francs pour l’indexation des salaires, la lutte contre la vie chère et l’amélioration des régimes sociaux. Il “réexaminera la situation en cours d’année sur la base des indicateurs usuels”, ajoute le Canton.
Il compte aussi ouvrir des discussions et négociations sur “plusieurs autres dossiers d’importance pour les collaborateurs de l’Etat de Vaud, notamment la lutte contre le harcèlement, l’égalité salariale, le travail de nuit, la protection des lanceurs d’alerte, ainsi que la prévention des risques psychosociaux”. Il donne rendez-vous le 23 février pour un premier échange.
Dans un entretien accordé au Temps, la présidente du gouvernement Christelle Luisier a réaffirmé mardi que l’adaptation des salaires des fonctionnaires était juste et ne changera pas. Tout au plus envisage-t-elle la possibilité d’indexer les salaires des apprentis de l’administration cantonale. Le sujet doit être rapidement discuté, selon la libérale-radicale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Plusieurs textes ciblant la rue Centrale au coeur de Lausanne sont sur la table des débats du Conseil communal. Gauche et droite veulent donner plus de place aux piétons sur ce tronçon.
La rue Centrale à Lausanne a connu plusieurs dispositions ces dernières années. Fermée à la circulation deux semaines durant pour les activités en marge des Jeux Olympiques de la Jeunesse en 2020, elle est désormais close aux véhicules tous les samedis matins lors du marché.
Plusieurs textes déposés aux Conseil communal de Lausanne par des élus, de gauche comme de droite, espèrent pouvoir pérenniser cette accessibilité grandissante aux piétons sur ce tronçon du centre-ville. Parmi eux, deux postulats : un socialiste de Louis Dana, conseiller communal, et un autre PLR, du désormais député au Grand Conseil Xavier de Haller. Il était encore à l’échelon communal lors du dépôt de son texte.
Louis Dana a déposé son postulat après les JOJ. Durant cette manifestation, la rue centrale avait été fermée deux semaines. Une bonne expérience selon le socialiste lausannois.
Xavier de Haller souligne lui aussi un consensus politique sur le thème général de l’évolution de la ville. Il y a cependant, selon lui, un désaccord sur les véhicules individuels motorisés :
Si les conseillers communaux lausannois débattront ce mardi de plusieurs textes, on rappelle déjà que l’idée de fermer un tronçon aux véhicules individuels motorisés a déjà été discutée, pour le Grand Pont, il y a quelques semaines. Des commerçants de la zone avaient haussé la voix pour éviter que les voitures ne puisse plus franchir le pont. Ils arguaient le risque d’une perte d’activité économique.
La Ville a déjà pris une décision : celle de rendre la place Centrale, au pied du Grand-Pont, piétonne et donc de faire disparaître une quarantaine de places de parking voitures et une trentaine pour les motos. Un changement qui interviendra à l’horion du printemps prochain.
Un premier pas qui ravit le socialiste Louis Dana :
Xavier de Haller regrette lui la suppression des places de parcs au centre-ville :
Les postulats de Louis Dana et de Xavier de Haller ont été traités en commission en décembre 2020. Les deux textes ont été acceptés, avec 8 voix pour, 2 contre et 2 abstentions pour le texte du socialiste ; 10 voix pour, un contre et une abstention pour celui du député PLR.
Contactée, la municipale en charge de la mobilité, Florence Germond, n’a pas souhaité prendre la parole sur le dossier avant les débats du Conseil communal, expliquant notamment que la Municipalité ne s’est pas encore prononcée.
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