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Réactions des lecteurs de Web-agri à la baisse du prix du lait bio – Web-agri

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Pour les lecteurs de Web-agri, la baisse du prix du lait bio était « écrite d'avance », voire « voulue » par les laiteries, les transformateurs et les distributeurs, qui « vont s'en mettre plein les poches », comme d'habitude ! « Faut produire bio, mais au moment de passer à la caisse », y a plus personne !, déplorent-ils. Surtout, ils reprochent à la filière de « ne pas avoir géré les débouchés ».

« (…) Tout le monde nous dit de produire bio et, au moment de passer à la caisse, ça coince… », déplore Thierry Weiss.
Anne-Marie Terrand est du même avis et trouve « honteux d’avoir incité les jeunes à se lancer dans l’agriculture biologique et maintenant de payer le lait bio moins cher que le conventionnel alors qu’ils ont des charges supplémentaires ».
Selon Frédéric Guérin, la baisse du prix du lait bio payé aux producteurs est « voulue ». « Comme ça, tous les producteurs crèveront de faim et les distributeurs, en particulier les grandes surfaces, s’en mettront plein les poches comme en conventionnel ! (…) », détaille-t-il.

Tout bénef pour les coopératives, les industriels privés
et les distributeurs !

Et « les coopératives également ! », ajoute Damien Jaffré.
Les laiteries « ont augmenté un peu le lait conventionnel et baissent le bio pour compenser… C’est tout bénef, pour les industriels aussi ! », insiste Frossard Marianne.
Hatik Rework acquiesce : « Rien de surprenant en effet. C’était écrit d’avance, il y a 10 ans de cela ! (…) »
La situation est « la même en viande », fait remarquer Christophe Durand.

Avoir surfé sur la vague, sans gérer les débouchés.

Damone Pierre confirme « avoir vendu, il y a trois semaines, deux vaches Simmental  4,60 €/kg pour un prix en bio de 4,20 € ».
« Du jamais vu ? Réellement ?, s’étonne Goueltas Le Berrigaud, faisant référence au surtitre de l’article. 
Pour Olivier Élodie Barré, ce n’est pas nouveau : « On voit ça tous les 10 ans », une histoire de « cycles ».
did craint que cette situation « ne soit pas passagère » vu que « le bio est juste une lubie de bobos (…) »
« Oui mais les charges en bio et en conventionnel, elles, ne se rejoignent pas ! », constate Valérie Heudier.
Elles sont même supérieures en AB, appuie Anne-Marie Terrand, en termes de « d’alimentation, de main-d’œuvre, d’investissements, etc. (…) »
Ludovic Duhain n’est pas entièrement convaincu : en général, « les élevages laitiers biologiques n’emploient pas plus de personnes que les exploitations conventionnelles » parce qu’il y a presque « exclusivement des prairies ».

Ce qui compte en bio : maîtriser le coût alimentaire
et être autonome.

« Ce qui compte pour gagner sa vie en bio : maîtriser le coût alimentaire et être autonome », avance de son côté Erwan Le Rolland. Et on travaille moins : pas de maïs à semer, ni de betteraves… juste de l’herbe et des vaches qui pâturent. Et plus on simplifie le système, plus l’EBE monte ! » Un cercle vertueux, semble-t-il penser.
« (…) Ce qui compte, c’est la marge ! », renchérit Massol.
MesAmours Aei « reproche » surtout à la filière laitière biologique « d’avoir voulu surfer sur la vague sans gérer les débouchés ». Pas étonnant, estime-t-il, « qu’aujourd’hui, le marché se tende (…) » !
« C’est expliqué clairement dans l’article », indique Gérald Mestre, c’est lié à la diminution de la demande de lait biologique ». Comme « il y a surproduction de lait bio, les cours baissent, poursuit-il. Pour tenter de minorer cet effet, les industriels ont déclassé du lait bio en conventionnel, mais ça n’a pas suffi. »
« Quand les conditions de vie se tendent, les sous sont comptés et le bio redevient ce qu’il est, un produit de niche qui ne peut aucunement, par ses volumes de production et ses coûts de revient, être une solution pérenne à l’alimentation de tous ! On peut, au choix, le déplorer ou s’en réjouir, mais le devoir est de bâtir une agriculture sur du solide et non sur des niches ! », analyse Jean-Denis Menard.
« Les “bioportunistes” à gros volumes et dépendants d’achats extérieurs vont vite revenir en conventionnel et les prix bio vont remonter, juge pour sa part Lau21. La situation décrite dans l’article risque d’être temporaire. »
Face à cette crise du lait bio, Moty prône « (…) la régulation de la production ». « La surproduction provient surtout de gros élevages passés récemment en bio et qui gèrent comme en conventionnel, c’est-à-dire le pied au plancher, estime ce lecteur. En bio, il faut accepter de produire moins, en étant 100 % autonome sur sa ferme, ça permet de gagner plus !! »
« La meilleure des solutions en ce moment est le repli : ne rien acheter et récolter des fourrages de qualité, préconise Damien Dvd. Dommage que l’article ne développe pas plus ce point. »
« Bio ou pas, les systèmes herbagers pâturants permettent de ne pas être dépendants de nombreux aléas. En plus, ça permet de se passer de toutes les vermines qui veulent se gaver sur le dos des éleveurs !! », pointe Nn.

La meilleure piste : être 100 % autonome.

tintin rappelle qu’il « ne sert à rien d’opposer les producteurs de lait bio et conventionnel ». « On est déjà pas nombreux ! », soupire-t-il.  
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