Pour soutenir votre journalisme local, abonnez-vous !
Pourquoi voyez-vous ce message ?
Vous avez choisi de refuser le dépôt de cookies, vous pouvez à tout moment modifier votre choix, ici.
Le contenu de ce site est le fruit du travail de journalistes qui vous apportent chaque jour une information locale de qualité, fiable, complète, et des services en ligne innovants. Ce travail s’appuie sur les revenus complémentaires de la publicité et de l’abonnement.
Déjà abonné ?
Pour pouvoir enregistrer un article, un compte est nécessaire.
Metz
sam. 28/01/2023
Si vous voyez ce champ, ne le remplissez pas
Le Républicain Lorrain, en tant que responsable de traitement, recueille dans ce formulaire des informations qui sont enregistrées dans un fichier informatisé par son Service Relations Clients, la finalité étant d’assurer la création et la gestion de votre compte, ainsi que des abonnements et autres services souscrits. Si vous y avez consenti, ces données peuvent également être utilisées pour l’envoi de newsletters et/ou d’offres promotionnelles par Le Républicain Lorrain, les sociétés qui lui sont affiliées et/ou ses partenaires commerciaux. Vous pouvez exercer en permanence vos droits d’accès, rectification, effacement, limitation, opposition, retirer votre consentement et/ou pour toute question relative au traitement de vos données à caractère personnel en contactant LRLCLIENTS@republicain-lorrain.fr ou consulter les liens suivants : Protection des données, CGU du site et Contact. Le Délégué à la Protection des Données personnelles (dpo@ebra.fr) est en copie de toute demande relative à vos informations personnelles.
L’édition du soir en numérique dès 21h30 Le journal en numérique dès 5h Accédez à tous les contenus en illimité
Metz
sam. 28/01/2023
Retrouvez tous nos contenus et notre journal en numérique
Téléchargez gratuitement l’app
"Choisir l’excellence" : notre supplément sur les filières post-bac en Lorraine
Post-bac : « Un bon choix d’orientation constitue le meilleur gage de réussite »
Léa a trouvé sa voie comme apprentie dans l’industrie
« Se dire un jour : j’ai fait quelque chose pour emmener l’homme plus loin », ambitionne Rémi, étudiant en classe préparatoire scientifique
Véronique Perdereau, rectrice déléguée à l’enseignement supérieur de la région académique Grand Est. Photo RL/René BYCH
L’académie de Nancy-Metz connaît peu de pression sur les formations disponibles en son sein. C’est-à-dire qu’il y avait plus de places de formations proposées l’an passé qu’il y a eu de confirmations enregistrées sur Parcoursup au cours de cette campagne. Et on pourrait presque le regretter puisque cela peut signifier qu’une part des néobacheliers de la région ne demeurent pas en Lorraine. De fait, les choses se sont déroulées de manière globalement fluides, en grande partie grâce aux équipes qui sont réellement dédiées à l’accompagnement des élèves au sein des lycées durant le processus.
Effectivement : je pense notamment au projet Ailes qui vise les lycéens, les néoétudiants, leurs familles, mais aussi l’ensemble des acteurs de l’éducation et de l’orientation. L’accent est notamment mis sur la formation des enseignants des lycées afin que ceux-ci soient parfaitement au fait des dernières évolutions en matière d’offre de formation afin d’armer au mieux les futurs bacheliers pour le choix de leur orientation.
Peu d’évolutions attendues sur la plateforme cette année mais un effort de transparence accrue, selon la volonté du ministère. Cela afin de sortir de l’idée reçue d’un algorithme qui déciderait de tout. S’il y a un aiguillage initial, ce sont bien des commissions, animées par des professionnels qui tranchent selon des critères établis et qui n’ont rien de secret. Un effort va être consenti également afin d’accroître la rapidité de traitement, pour minimiser l’attente et donc le stress.
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment en consultant notre politique de protection des données.
Gérer mes choix
En 2022, en gros, 44 % des bacheliers généraux sont allés vers une licence, c’est-à-dire à l’université, tandis que 20 % intégraient une filière sélective type classe préparatoire, école d’ingénieurs, etc. Pour les élèves de bac pro, c’est à 65 % une orientation vers un BTS qui a été choisie. Une orientation qui concerne également quelque 41,6 % des bacheliers technologiques. 17 % de ces derniers ont choisi un bachelor universitaire de technologie (BUT). Enfin, 19 % des lauréats d’un bac pro sont allés vers les instituts de formation en soins infirmiers.
Il est évidemment difficile de maturer un projet à un si jeune âge ! Pourtant, faire un bon choix est le meilleur gage de réussite. Je crois qu’il faut avant tout rassurer : tout le monde a le droit de se tromper. Et pour prendre en compte ce droit à l’erreur, de nombreux dispositifs de réorientation existent, des passerelles, des dispositifs de type Ricocher qui intègrent également du soutien pour les étudiants en difficulté. S’adapter à l’enseignement supérieur n’est pas évident pour tous : il faut un accompagnement. Ces dispositifs sont nombreux et mis en œuvre par chaque établissement selon des modalités propres tendues vers un même objectif : que chacun trouve sa voie. Car comme l’a souligné il y a peu la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Sylvie Retailleau : l’objectif est de donner à tous ces jeunes un métier, pas seulement un diplôme.
Au sommaire du dossier
