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Libéré, William Noun assure qu'il continuera de lutter ''tant que l … – L'Orient-Le Jour

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Arrêté vendredi par la Sécurité de l’Etat, le jeune homme, dont le frère est mort dans la tragédie du 4 août 2020, a été libéré sous caution d’élection de domicile.

OLJ / le 13 janvier 2023 à 21h13, mis à jour à 14 janvier 2023 à 17h24
William Noun lors d’une manifestation le 12 janvier 2023 devant le Palais de Justice de Beyrouth. Photo Joao Sousa
William Noun, porte-parole de l’un des groupes représentant les proches des victimes de l’explosion au port de Beyrouth, a été libéré samedi après-midi par la Sécurité de l’Etat, à la demande de l’avocat général près la cour d’appel de Beyrouth Zaher Hamadé, a indiqué l’agence nationale d’information (ANI, officielle). Il était détenu depuis vendredi dans le cadre d’une enquête sur des propos qu’il avait tenus jeudi soir lors d’un programme télévisé. M. Noun aurait été libéré sous caution d’élection de domicile.
S’exprimant un peu plus tard,depuis la caserne des pompiers de Beyrouth, à la Quarantaine, William Noun a assuré qu’il continuera de lutter “tant que l’enquête est la cible d’obstructions”. Il a également appelé “le pouvoir judiciaire à assumer ses responsabilités”. M. Noun a par ailleurs indiqué avoir été traité avec respect lors de son arrestation, et remercié les personnes qui sont intervenues pour faciliter sa libération, notamment le chef de l’Eglise maronite Béchara Raï.

اطلاق سراح المعتقل من قبل #سلطة_الموت_والنيترات البطل #وليم_نون #انفجار_مرفأ_بيروت#٤_آب #دولتي_فعلت_هذا #نسياننا_جريمة #سلطة_الموت #beirutexplosion #beirutblast #beirut pic.twitter.com/SBmGCLPbQ7
Peu après l’annonce de la libération de M. Noun, des échauffourées ont éclaté dans la foule rassemblée à Ramlet el-Baïda, entre des agents de la force anti-émeute et des personnes présentes, notamment le député Kataëb Elias Hankache. Après ces violences, rapidement contenues, les forces de sécurité ont arrêté au moins un protestataire, rapporte notre journaliste sur place.
La détention de l’activiste, dont le frère Joe Noun avait été tué dans la déflagration du 4 août, avait déjà provoqué colère et mobilisation de la rue dans la nuit de vendredi et jusqu’à samedi après-midi. Dès sa libération, M. Noun a quitté la caserne de Ramlet el-Baïda en voiture, sans s’exprimer devant la presse, a confirmé un agent des forces de l’ordre à notre journaliste sur place Lyana Alameddine.
Dans la matinée, la direction générale de la Sécurité de l’Etat avait annoncé avoir “arrêté l’activiste William Noun, à la demande de l’avocat général près la cour d’appel de Beyrouth Zaher Hamadé, suite à une expression utilisée lors de l’émission “Sar el-waet” (Il est temps) du journaliste Marcel Ghanem”, a annoncé l’Agence nationale d’Information (Ani, officielle), samedi matin. D’après la chaîne MTV, sur laquelle est diffusée l’émission, M. Noun a menacé jeudi soir de “faire exploser le Palais de Justice” si justice n’est pas rendue dans l’affaire de la double explosion du 4 août, dans laquelle il a perdu son frère, Joe Noun, un des pompiers qui avaient été déployés au port juste avant la déflagration.
Tony Saliba, le directeur général de la Sécurité de l’État, un proche de Michel Aoun, est soupçonné de manquements aux devoirs de sa fonction, et poursuivi dans le cadre de l’enquête sur le 4 août 2020. Il a été reconduit dans ses fonctions en mars dernier.
Communiqué du CSM
Réagissant à la fuite d’un communiqué attribué à l’instance qu’il dirige, le président du Conseil supérieur de magistrature (CSM) Souheil Abboud a affirmé en fin d’après-midi qu’il s’agissait d'”un texte qui était toujours en cours de discussion”. “Ce qui a fuité dans la presse était le projet d’un communiqué qui n’a pas obtenu l’approbation requise pour sa publication”, a-t-il précisé.
Le document partagé par les médias impliquait une défense implicite du juge Zaher Hamadé par le CSM, et “condamnait les ingérences et les attaques contre le travail des juges (…)”. Il pointait également du doigt l’attitude de William Noun, estimant que “la fin à laquelle aspire un citoyen, bien qu’elle soit noble, ne justifie pas les moyens illégaux et sanctionnés par la loi” auxquels il recourt.
Samedi matin, quelques dizaines de personnes s’étaient rassemblées dès 10h, selon notre journaliste sur place Lyana Alameddine, devant la caserne de Ramlet el-Baïda où était détenu William Noun. Interrogé, l’avocat de William Noun et Peter Bou Saab, Ralph Tannous, a précisé que les forces de sécurité ont perquisitionné l’appartement de M. Noun, sans trouver ce qu’ils cherchaient. A savoir, selon lui, de la dynamite. “Nous leur avons donné le téléphone de William mais ils n’y ont rien trouvé non plus” de compromettant, a-t-il ajouté. Me Tannous a encore appelé à ce que les déclarations de MM. Noun et Bou Saab soient complètement séparées et non liées, alors que selon le député et ancien bâtonnier de Beyrouth Melhem Khalaf, le juge Zaher Hamadé voulait lier les enquêtes sur les deux hommes.

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Dans ce qui semble une affaire séparée, William Noun et d’autres proches de victimes avaient été convoqués par la police judiciaire plus tôt dans la semaine pour répondre de faits d’émeute, vandalisme et dégradation de bureaux suite à une manifestation, organisée mardi, qui avait dégénéré en échauffourées avec les forces de sécurité. Des manifestants avaient jeté des pierres et d’autres objets sur le Palais de justice de Beyrouth et quelques fenêtres avaient été brisées. Les proches de victimes manifestaient contre la longue suspension de l’enquête sur l’explosion du 4 août 2020 menée par le juge Tarek Bitar. Le travail du juge est entravé par des manœuvres politiques depuis des mois.
“Arrestations arbitraires”
Vendredi soir , la colère avait déjà grondé suite à l’annonce de la détention de M. Noun.
A Jbeil, d’où il est originaire, une violente altercation a eu lieu dans la nuit entre des protestataires et l’armée. Un manifestant a été blessé à l’oeil selon l’Agence nationale d’information. Des altercations ont également eu lieu devant le siège de la Sécurité de l’État à Ramlet el-Baïda, où a eu lieu un rassemblement de soutien à M. Noun. Un rassemblement auquel ont participé la députée Paula Yacoubian ainsi que Paul Naggear, père de la petite Alexandra, également tuée lors de l’explosion du 4 août. Un peu plus tard, ils ont été rejoints par d’autres députés de l’opposition et de la contestation, notamment Melhem Khalaf, Marc Daou, et encore Salim Sayegh.

Protest outside Lebanon’s State Security HQ in Ramlet Bayda (Beirut) demanding release of William Noun, brother of firefighter Joe Noun who was killed in the Aug. 4 Beirut Blast. ? by Cherine Zantout pic.twitter.com/5GGfGn0Y0n
“Nous n’acceptons pas qu’il y ait des arrestations arbitraires”, avait lancé M. Khalaf depuis Ramlet el-Baida. “La malveillance n’est pas digne de la justice, ni de l’État ni des appareils de sécurité”, avait de son côté dénoncé Mme Yaacoubian appelant les “citoyens à descendre dans la rue”. Depuis Jbeil, le député Ziad Hawat qui avait appelé à “la fermeture de toutes les routes”. Il a également affirmé que “la justice est en panne et politisée”.
Sur Twitter, nombreux sont ceux qui avaient appelé à la libération de William Noun. “Lorsque les rôles sont inversés, ils essaient de transformer les familles des victimes en criminels, a écrit Samy Gemayel mettant en garde contre “la loi de la jungle”. “William Noun est détenu de force pour faire taire les voix libres et les empêcher de dire la vérité, a-t-il ajouté. L’affaire du port ne se terminera pas tant que (la vérité) ne sera révélée”. “L’arrestation de William Noun ne vous sauvera pas, criminels, quelle que soit l’ampleur de la répression que vous commettez. Nous maintiendrons la pression sur vous jusqu’à ce que la vérité soit révélée”, a twitté le député Fady Karam (FL). Ghada Ayoub, députée de la circonscription Liban-Sud I pour les FL, a également demandé la libération de William Noun. Pour sa part, le député Simon Abi Ramia (CPL) a indiqué avoir “contacté les autorités sécuritaires et judiciaires, dès l’arrivée de William Noun pour enquête, pour faire des suggestions sages et responsables afin d’éviter des développements négatifs”. “Les familles des victimes et des martyrs de l’explosion du port, et tous les Libanais, ont le droit de connaître toute la vérité”, a-t-il ajouté. Michel Helou, secrétaire général du Bloc national a, pour sa part, affirmé que l’arrestation de William Noun “n’est pas seulement contraire à la loi, mais aussi à toutes les normes humaines et morales”.
A la MTV, le député Marwan Hamadé avait affirmé que la “manière de se comporter avec William Noun est un nouvel assassinat contre tous les Libanais”. “Nous sommes au bord d’une révolution bien plus grande que celle de 2019”, avait-il ajouté.

Pour mémoire

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Plus tôt dans la journée de vendredi, un proche de William Noun avait déclaré à L’Orient Today sous couvert d’anonymat que M. Noun avait été convoqué pour un interrogatoire et qu’il s’était rendu de son plein gré dans les bureaux de la Sécurité de l’État à Dékouané, en banlieue nord de Beyrouth. Il a également précisé que la maison de William Noun a été perquisitionnée pour les besoins de l’enquête.

Hoteit condamne
Vendredi, un autre rassemblement rival de proches de victimes conduit par Ibrahim Hoteit a condamné les convocations par la police judiciaire de membres de l’autre groupe après le sit-in de mardi. Dans sa déclaration, le rassemblement a condamné ces convocations, les qualifiant d'”effronterie” de la part du pouvoir judiciaire. “Nous condamnons cette mesure arbitraire et mettons en garde contre toute arrestation, faute de quoi nous agirons comme un seul corps en dépit de nos désaccords sur le juge [Bitar]”, souligne le groupe d’Ibrahim Hoteit. Contacté par L’Orient Today, il a expliqué que, bien qu’il soit opposé à toute confrontation avec les forces de sécurité, “il est compréhensible que les familles aient réagi de cette manière, après que plusieurs années se soient écoulées sans que justice ne soit rendue”.

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Le Conseil supérieur de la magistrature devait se réunir jeudi pour nommer un juge suppléant à Tarek Bitar qui pourrait décider des demandes de libération des suspects toujours détenus, mais le quorum n’a pas été atteint.
Ibrahim Hoteit a affirmé que son groupe est contre la nomination d’un juge suppléant parce que le groupe rival “pourrait alors déposer une requête contre [le nouveau juge] et l’enquête serait à nouveau suspendue”. “La solution est de nommer un autre juge qui convoquerait chaque suspect ou que le juge actuel commence à le faire”, a-t-il ajouté.
M. Hoteit et d’autres proches de victimes accusent le juge Bitar d’être partial dans ses convocations et ses arrestations et critiquent notamment le fait que l’ancien commandant en chef de l’armée Jean Kahwaji, qui a été convoqué pour enquête, n’a pas été arrêté.
L’enquête sur le port est actuellement suspendue, en raison de nombreux recours en invalidation présentés contre le juge Bitar par des responsables politiques convoqués dans le cadre de l’enquête.
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Ils sont rapides à arrêter les innocents … cela montre combien ceux qui gouvernent ceux qui rendent l’injustice et ceux qui appliquent les lois sont des pourritures.
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Ils sont rapides à arrêter les innocents … cela montre combien ceux qui gouvernent ceux qui rendent l’injustice et ceux qui appliquent les lois sont des pourritures.
Si je comprends bien la logique du juge vereux Hamade et du chien de garde Antoine Saliba, William Noun a ete arrete par la SURETE de l’ETAT, rien moins que ca, pour bris de verre ?????
Haro sur une justice et des juges debiles et manipules. Haro sur les organes securitaires “chiens de garde” des mafieux. La canaille inutile et nefaste doit degager. Le plus tot sera le mieux.
Sinistere de l’injustice! Les voleurs, criminels et milices tuent et volent avec impunite et les victimes n’ont meme pas le droit de s’exprimer. Dieu et l’histoire jugera severement les traitres indignes!!! On accuse!!!!
C’est fou quand même, un jeune dont le frère est mort et à qui on refuse la justice exprime son désarroi et on le met direct en prison alors que d’autres pillent l’Etat et foulent la loi de leurs pieds sans être inquiétés ? Bravo les juges ! Je comprends, enfin, que le problème de notre nation ce ne sont pas les politiques, ni les corrompus, ni les gouvernants, ni même l’Etat défectueux. Non la plaie de notre pays, le mal absolu qui le ronge, ce sont les juges qui appliquent une justice sélective, donc le contraire de la justice. Sachez une chose, chers juges, nous, patriotes, ne lâcherons jamais notre pays. Et au jeu de celui qui survivra à l’autre, rira bien qui rira le dernier.
L’Etat libanais et sa justice sont forts uniquement lorsqu’il s’agit de combattre les plus faibles ! On ne devrait même pas appeler cela le ministère de la justice !
Cette affaire est à mes yeux, le plus gros scandale de ces dernières années, plus gros encore que la corruption étatique, du gouverneur de la BDL, du vol des déposants, de la détérioration de la livre, etc. Ce juge Bittar c’est David contre Goliath incarné. Il faut le soutenir sans conditions. le seul espoir de ce pays. Ils sont corrompus jusqu’aux dents et maintenant des dictateurs en bande organisée. A bas ce régime et ses milices.
Honte à eux et à tous ceux qui s’attaque aux victimes pour défendre cette bande d’assassin corrompus. Ce même argument etait utilisé il y a 2000 ans : « Nous l’avons entendu dire : “Je détruirai ce sanctuaire fait de main d’homme…” . La vérité finira par ressortir et vous vous en mordrez les mains!!! Nous sommes tous avec #Williamnoun
Qu’ils convoquent plutôt Jassan Nasrallah au palais de justice , et Ali Hasan Khalil , si justice il y a …
J’espère de tout cœur que ce sera le pas de trop, qui va tout chambouler. Sinon, plus rien à espérer de ce pays, devenu totalement infect.
Alors lorsque les vrais criminels refusent de répondre aux convocations du juge on change de juge et on se rabat sur les victimes pour les traduire n justice? Mais c’est quoi ce poulailler? Où va t-on comme ça? Les criminels jugent les victimes à leurs places.
Et puis le Palais de Justice, mais quelle justice, y en a-il une? Liban égal à république d’escrocs et royaume de l’impunité.
C’est le comble du crime! Qu’ils aillent s’en prendre aux vrais criminels, ceux qui ont planté le nitrate d’ammonium au port de Beyrouth et a tous ceux qui cachent la vérité plutôt qu’aux familles des victimes! Sommes-nous en passe de devenir Iran II? Il nous faut oser et faire une révolution comme en Iran, il est grand temps. Ils nous ont volé notre argent, tués et détruit la moitié de la ville et ils osent s’en prendre à nous si on manifeste!
Un « Deux poids, deux mesures » abject et criminel. Les bourreaux s’acharnent sur les victimes dans un pays qui pourrait donner des leçons de criminalité et d’injustice à Lucifer. Bravo les lâches, vous détenez le record mafieux mondial.
Merci les Sécurité d’état, merci la justice, continuez ainsi, c est justement ce qu il faut pour que ce peuple se soulève finalement et vous renvoie ces gestapo aux baleillettes de l’histoire
Où donc était cette « Sécurité de l’Etat » lorsque le nitrate a été stocké dans les hangars du port?
Khalass c’est fini une fois pour toutes. Ni coexistence, ni vue en commun, ni république dans son équation de 1920 ou de 1943 ou de Taef ou de Doha. On ne veut plus vivre en commun avec le Hezbollah. C’est clair net et précis. Une grande partie du Liban nous appartient qu’ils le veuillent ou non. Et tous les appareils sécuritaires ne seront jamais plus forts que la volonté d’un peuple. Voyez les exemples tels que le KGB ou la Stasi…
Quelle “Sécurité” et quel “Etat” ? Chez nous, les forts en corruption, nullité et injustice s’en prennent aux petits sans défense qui les gênent par leurs actions de désespoir. Par contre, les “forts” protégés par leurs “copains” ne sont toujours pas inquiétés, ni détenus…ou jugés pour leurs nombreux crimes commis ! – Irène Saïd
Maintenez le juge bitar et laissez l’enquête suivre son cours!
Quelle “Sécurité” et quel “Etat” ? Chez nous, les forts en corruption, nullité et injustice s’en prennent aux petit sans défense qui les gênent par leurs actions de désespoir. Par contre, les “forts” protégés par leurs “copains” ne sont toujours pas inquiétés, ni détenus…ou jugés pour leurs nomb
Il n’y a pour l’instant que quelques timides manifestations de soutien à William Noun dans les rues (espérons que cela s’amplifie aujourd’hui samedi sinon il faudra se demander s’il y a encore des citoyens libanais dans ce pays) que déjà les agents de l’entité néo-safavide que sont Mr Hoteit et son groupe s’activent pour empêcher le mouvement populaire prévu de se fixer l’objectif qu’il devrait se fixer: faire pression sur Youssef Khalil pour qu’il procède aux nominations au sein du CSM pour que cet organe statue sur les recours contre Tarek Bitar et que l’enquête puisse reprendre. De même que la cinquième colonne gaucho-anarchiste de l’entité néo-safavide a infiltré et manipulé le mouvement du 17 octobre 2019 pour le divertir de l’objectif qu’il aurait dû se fixer: des législatives anticipées qui nous auraient économisé deux années de misère. De même que les gaucho-anarchistes ont pullulé dans les rues dès le 17 octobre pour manifester pour tout et n’importe quoi sauf l’essentiel, de même il faut s’attendre à ce que Mr Hoteit et son groupe incitent à manifester pour tout et n’importe quoi, par exemple pour demander la nomination d’un remplaçant à Tarek Bitar, sauf pour l’essentiel: qu’il soit procédé aux nominations nécessaires pour que la justice suive son cours.
Qu’est-ce donc que cette “Sécurité de l’Etat”?. A quoi sert-elle? Quelles sont ses prérogatives? En quoi William Noun menace-t-il la sécurité de l’Etat?
Ben on est au Liran. C’est normal d’arrêter les victimes plutôt que les présumés coupables… Eh, William, tu n’as qu’a invoquer la … comment déjà …ah oui, “suspicion légitime”. LOL
Quelle Honte!!!!
À quoi s’attendre d’une justice pourris de la tête au pied! À quoi s’attendre d’un état dirigé par une milice iranienne, CPL et Amal. Ceci est une attaque des trois zombis islamistes iraniens contre les familles. Une révolution se prépare qui va être encore plus forte que celle de 2019. Cette “Justice” partisane a prostitué l’impartialité de la Justice. C’est le Chaos, comme en Iran, Syrie, Irak, Libye et Yémen. Une certaine milice quand elle met sa main sur un pays, tout se dégrade, tout se corrompt, tout le peuple se fait voler leur argent et la richesse de leur pays. Selon certains médias, Soleimani touché juste pour l’Irak 16 millions de dollars pour en disposer comme il le voulait. Vive la Justice et “Résistance”.
Ce meme Antoine Saliba, directeur de la milice dite ” surete de l’etat” , refuse de se rendre devant le juge Bitar qui souhaitait l’auditionner pour son incompetence (au moins ) dans le stockage du nitrate d’amonium au port.
Convoqués et arrêtés pour émeute, vandalisme et dégradation de bureaux. Et ceux que l’on a convoqué pour aneantisdement de milliers de vies et destruction de la moitié de Beyrouth , ceux la peuvent maltraiter les proches des victimes, refuser de comparaître sans être inquiétés. Jamais le « deux poids, deux mesures » n’aura été aussi abject et criminel.
Convoques et arrêtés pour émeute, vandalisme et dégradations de bureaux. Et ceux qui ont été convoqués pour destructions de vies et de la moitié de Beyrouth, qui bloquent la justice lorsqu’elle les convoque et maltraitent les proches des victimes d’une des plus grandes catastrophes non nucléaires que le monde ait connu, qui opposent à l’humanité leur vile et meurtrière arrogance, quand seront ils arrêtés ? Jamais le deux poids, deux mesures, n’a été aussi flagrant et criminel.
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