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Le Burencirque s'installe sur le parvis de l'IMA – Arabnews fr

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PARIS: Dans la lumière rouge du chapiteau, la danseuse s’élève dans de gracieux mouvements sur le tissu blanc, une musique arabo-andalouse emplissant l’espace. Il reste trois jours avant la première du spectacle baptisé «Rotation», nouvelle création du Burencirque, sur le parvis de l’Institut du monde arabe (IMA), et Silvana Sanchirico répète son numéro. Mais elle se pose encore de nombreuses questions. «Je me suspends dans un tissu, alors que des femmes dans le monde arabe sont cachées dans un tissu. Qu’est-ce que c’est qu’un tissu?», se demande ainsi l’artiste chilienne de 31 ans, seule femme du Burencirque, et qui cherche sa place en tant que telle dans le programme. «J’essaie de représenter les femmes, dans ce lieu particulier. Il y a plus de profondeur que dans une simple performance telle que je fais d’habitude», confie la jeune femme, qui n’a comme lien avec le monde arabe qu’un grand-père italien d’Égypte.
«Pour moi, c’est un bonheur, ce soir.» La ministre de la Culture est venue assister à la première représentation du spectacle baptisé «Rotation» du Burencirque. Assise au premier rang aux côtés de Jack Lang, le président de l’Institut du monde arabe (IMA), elle n’a pas caché son enthousiasme à la vue des numéros de cirque, applaudissant même en rythme dans la salle comble du chapiteau abritant les musiciens.
«Ça m’a touchée, parce que ce sont des musiques qui ont bercé ma vie et que je continue à écouter», déclare la ministre franco-libanaise à Arab News en français, au sortir de la représentation. «Ce sont des monuments de la culture, du patrimoine musical du monde arabe.»
Rima Abdul-Malak se dit également impressionnée par les performances des artistes de cirque, elle qui a travaillé comme directrice des programmes de Clowns sans Frontières. «Ça m’a touchée de découvrir des artistes de cirque qui réinventent le cirque, qui inventent des nouveaux agrès, des nouvelles écritures, des nouvelles formes», confie-elle encore.
 
 
Le Burencirque est un spectacle imaginé par l’artiste Daniel Buren et conçu par les pionniers du cirque contemporain, Dan et Fabien Demuynck. Mêlant artistes de cirque, originaires pour beaucoup du Maroc et de l’Algérie, musiciens et vidéos, c’est la première fois qu’il est joué au cœur de Paris, et pas n’importe où. La boucle est bouclée: Jack Lang, président de l’IMA, accueille en effet dès ce jeudi soir et pour une dizaine de dates le cirque de Daniel Buren, l’artiste qui, en 1986, avait investi la cour d’honneur du Palais-Royal avec ses colonnes, à l’initiative du même Jack Lang, alors ministre de la Culture.

Ce lundi, Jack Lang assiste d’ailleurs aux répétitions, passant d’un chapiteau à l’autre. Dans le chapiteau orange, Youcef Mecheri, alias «Bboy Haiper», a succédé à Silvana Sanchirico. Né en 1991 à Tizi Ouzou, en Algérie, l’acrobate et danseur a su tracer son chemin à bout de bras, malgré son handicap. Le voilà qui tourne et tourne sur ses mains au tempo de la derbouka et de la voix envoûtante de Fouad Didi.

Le virtuose de la musique arabo-andalouse est en effet venu de Marseille pour accompagner les artistes de cirque. Billehi ya hamani, Lamouni ligharou Meni, Sama’i Bayati, Fi layali… le violoniste et chanteur a puisé dans le riche patrimoine arabe pour offrir un répertoire diversifié, des chants arabo-andalous aux mouachachats orientaux, en passant par la musique chaabi berbère.
Image retirée.Embedded Video (Adaptatif).
Il a ensuite envoyé des enregistrements aux artistes pour que ceux-ci s’imprègnent de la musique et se l’approprient. Cette collaboration avec des artistes de cirque «est une première» pour lui.

Les numéros d’artistes épousent ainsi le rythme de la musique. Et le spectateur peut déambuler à sa guise entre les trois «cabanons», ces petits chapiteaux intimistes conçus par Daniel Buren. Celui-ci assure d’ailleurs pour la première fois la régie des images filmées et diffusées en direct dans les cabanons.

Ainsi, trois spectacles se déroulent simultanément dans les trois cabanons, des structures inspirées de l’architecture foraine.
Le cabanon orange et le cabanon jaune abritent les numéros de trois artistes de cirque, alors que le cabanon rouge est celui des musiciens: Fouad Didi au violon et chant, Nidhal Jawa au qanun et Yousri Ghiat aux percussions; leur musique est diffusée dans l’ensemble des cabanons.

Alors que les premières notes s’échappent du qanun dans le cabanon rouge, Youssef Salmane entre sur scène dans le cabanon jaune, qui abrite aussi la régie vidéo de Daniel Buren.
Concentré, l’équilibriste sur les mains, originaire de Salé au Maroc, s’apprête à effectuer son numéro. Au même moment, dans le cabanon orange, son collègue Youness Sajid, qui a fait la même École nationale de cirque contemporain Shems’y au Maroc, pénètre sur la scène, poussant sa roue Cyr tel un Sisyphe. Lui qui a délaissé l’école à l’âge de 13 ans pour travailler dans un garage, maîtrise désormais ce grand cerceau métallique, mais aussi la danse et l’art du funambule.
Image retirée.Embedded Video (Adaptatif).
Installé en région parisienne depuis six ans, il est serein quant au spectacle, heureux de partager son art avec le public.
 
Le calendrier :
Les 22, 23 et 24 septembre à 20 h 30 et le 25 septembre à 16 h.
Les 30 septembre et 1er octobre à 20 h 30, et le 2 octobre à 16 h.
Les 7 et 8 octobre à 20 h 30, et le 9 octobre à 16 h.
Tarifs:
Tarif plein: 20 €
Tarif réduit: 16 €
Tarifs – de 26 ans: 12 €
https://arab.news/rmt5z
RABAT: À l’occasion de la Fashion Week de Milan, 700 danseurs, 200 musiciens, 100 choristes et 952 mannequins ont été mobilisés samedi soir pour mettre en scène le 70e anniversaire de la marque de luxe Moncler, devant plus de 18 000 spectateurs. Ces commémorations qui dureront 70 jours ont été inaugurées à la célèbre cathédrale milanaise Piazza del Duomo.
Une performance grandiose, minutieusement chorégraphiée par le franco-algérien Sadeck Berrrabah (alias Sadeck Waff) dont les mouvements géométriques et angulaires constituent une signature de plus en plus prisée.
La ballerine Virna Toppi de la Scala de Milan ouvre le spectacle, avant que le reste des danseurs – portant des doudounes de la marque – n’occupent la place de la cathédrale. Plusieurs mois ont été nécessaires pour préparer le spectacle.
Un parcours inhabituel
De maçon à danseur professionnel, l’artiste gardois a su se faire une place à l’international. En 2015, il co-fonde le groupe Géométrie Variable avec Ammar Benbouzid, dont la première vidéo sort en mars 2017.
Peu à peu, la signature du chorégraphe attire l’attention et en 2021, il est propulsé en finale de l’émission à succès de M6 «La France a un incroyable talent» sans passer par les phases intermédiaires.
Cette ascension fulgurante le met sous le feu des projecteurs et lui permet de collaborer avec les plus grands noms de la musique, de Chris Brown à Shakira, en passant par les Black Eyed Peas.
Mais sa réussite ne se limite pas au monde de la musique, puisqu’il est sélectionné pour chorégraphier la cérémonie de passation des Jeux Paralympiques entre Tokyo et Paris au Trocadéro, le 5 septembre 2021. 

«Pour toujours extraordinaire»
De par le monde, sous le slogan «Extraordinary Forever Campaign», Moncler entend marquer son anniversaire pendant 70 jours.
À Séoul, Londres ou encore New York, la marque présentera son histoire à travers des photographies et vidéos d’archives. Des expériences immersives alliant technologie à la mode.
Par ailleurs, la marque annonce la création de 7 NFT (jetons non fongibles) dans le but de s’introduire au métavers.
https://arab.news/2b4jj
LONDRES: Filmée et photographiée sous tous les angles pendant ses 70 ans sur le trône britannique, la reine Elisabeth II a aussi souvent pris la pose devant des artistes de renom: une exposition à Londres rassemble les oeuvres de trois d’entre eux.
À l’entrée de la galerie Quantus, plus habituée à montrer les oeuvres de street artistes comme Bansky ou Stony, un buste sombre en bronze de la défunte reine accueille les visiteurs. C’est une des pièces maîtresses de la douzaine d’oeuvres rassemblées jusqu’au 12 octobre en hommage à Elizabeth II, décédée le 8 septembre dernier.
Pour la sculpter, Frances Segelman a réalisé trois séances de poses avec Elizabeth II en 2007.
“Je ne voulais pas faire son portrait, comme d’autres ont pu le faire, en déformant la réalité, pour faire sensation”, raconte l’artiste à l’AFP, pour justifier sa fidélité totale aux traits de la souveraine, point commun de toutes les oeuvres présentées ici.
Son buste témoigne aussi du “fort et solide roc” qu’elle était pour le peuple britannique, et quinze ans après, elle se souvient avec nostalgie de sa rencontre avec Elizabeth II. “C’était une personne lumineuse, et très facile à approcher”.
L’exposition présente également trois portraits de la reine, une peinture plutôt classique, commandée par le Palais, et deux immenses toiles présentant chacune une photographie de la reine tout sourire saturée de rose et incrustée de poussière de diamants.
Ils sont signés de l’artiste Christian Furr. “Je voulais capturer sa personnalité, sa vitalité, son humour, mais aussi son humanité, parce qu’elle paraissait d’une certaine manière ordinaire même si elle était aussi majestueuse”, explique-t-il.
Quand il peint le portrait de la reine en 1995, il n’a que 28 ans, et se souvient du sentiment “d’anachronisme” qu’il a ressenti alors que le mouvement novateur des British Young artists, connu pour son usage des nouvelles matières et procédés créatifs, bouillonnait autour de lui.
Effet 3D
Ses portraits tranchent avec ceux, dans un solennel et lumineux noir et blanc, réalisés par Rob Munday, spécialiste des hologrammes qui donnent un effet 3D en associant plusieurs images d’un même sujet.
Baptisée “Equanimity”, sa principale oeuvre, réalisée avec Chris Levine en 2004, est devenue l’une des images iconiques de la reine, reprise sur des timbres ou des billets de banques, ou encore à la Une de Time magazine en 2012 à l’occasion de ses 60 ans de règne.
De face le regard droit vers l’objectif, la reine y apparait vêtue de noir avec une couronne, un manteau de fourrure blanc et son inamovible collier de perles. En se déplaçant autour d’elle, le spectateur peut voir des images différentes de la monarque.
Au début des années 2000, “c’était encore une technologie très nouvelle”, raconte Rob Munday, qui nécessite l’immobilité parfaite du modèle. Mais la reine “a été merveilleuse, fantastique” et “très accommodante”, ajoute-t-il se souvenant de son inquiétude quant à sa réaction face à une oeuvre au rendu si “réaliste”.
“Les membres de la famille royale ont cette faculté incroyable de savoir rester immobile…. Ils sont très disciplinés, mais la reine parlait constamment et je ne pouvais pas me concentrer”, se souvient aussi parfaitement Frances Segelman.
“Normalement, je dis à mon modèle, ‘ne bougez pas s’il vous plait’, mais je ne me voyais pas dire cela à la reine”, alors au début de sa deuxième séance “je lui ai dit ‘Ma’am, vous n’êtes pas obligée de parler, vous pouvez juste vous détendre si vous voulez’. Mais elle a juste continué de parler”, rigole-t-elle.
https://arab.news/g4czc
PARIS: Un film sorti il y a treize ans, en tête du box-office français: Disney réussit son pari avec la ressortie d'”Avatar”, trois mois avant de livrer la suite très attendue du blockbuster en 3D de James Cameron.
Au total, 335.000 spectateurs ont choisi de retourner sur Pandora, pour découvrir ou redécouvrir le premier volet d'”Avatar”, selon les chiffres publiés mercredi par Cbo-Box Office.
Lors de sa sortie en 2009, le film avait attiré 14 millions de spectateurs dans les salles françaises. Sa ressortie est une façon pour Disney de faire monter les attentes avant la sortie du nouveau volet, “La voie de l’eau”, le 14 décembre.
Dans la suite du box-office, trois nouveautés, dont “Une belle course”, le voyage en taxi de Line Renaud et Dany Boon, deux figures populaires qui attirent 180.000 spectateurs.
L’effet Harry Styles, idole des adolescents et star de la chanson, a probablement joué dans le succès du thriller dystopique “Don’t Worry Darling”, d’Olivia Wilde, vu par 151.000 spectateurs.
“Les enfants des autres”, un drame de Rebecca Zlotowski avec Viriginie Efira, qui incarne une femme tentant de trouver sa place dans une famille recomposée, s’en tire honorablement, avec 142.000 spectateurs.
1. “Avatar”: 335.359 entrées, 344 copies (première semaine de ressortie)
2. “Une belle course”: 180.034 entrées, 531 copies (nouveauté)
3. “Don’t Worry Darling”: 151.272 entrées, 356 copies (nouveauté)
4. “Les Enfants des autres” : 142.402 entrées, 330 copies (nouveauté)
5. “Kompromat”: 126.665 entrées, 743 copies (468.529 entrées en 3 semaines)

source
http://fragua.org/comment-acheter-ou-vendre-une-piece-de-2-euros

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