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Roman Abramovitch disposait de 700 millions chez UBS avant la … – Le Temps

Une fuite de données a révélé que l’oligarque russe détenait une fortune colossale en Suisse. De son côté, le chancelier allemand a affirmé que son pays n’enverra pas d’avions de combat en Ukraine. Notre suivi
Le ton monte entre la présidence ukrainienne et le Comité international olympique, qui examine la possibilité d’autoriser la participation d’athlètes russes sous bannière neutre aux JO-2024.
#IOC is a promoter of war, murder & destruction. The IOC watches with pleasure RF destroying 🇺🇦 & then offers 🇷🇺 a platform to promote genocide & encourages their further killings.
Obviously ru-money that buys Olympic hypocrisy doesn’t have a smell of 🇺🇦 blood. Right, Mr. #Bach?
«Le CIO est un promoteur de la guerre, du meurtre et de la destruction. Le CIO regarde avec plaisir la Russie détruire l’Ukraine et offre ensuite à la Russie une plateforme pour promouvoir le génocide» des Ukrainiens, a lancé ce lundi matin le conseiller de la présidence Mykhaïlo Podoliak, visant personnellement Thomas Bach, le patron allemand du Comité.
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Il existe en Suisse une base juridique permettant d’utiliser les fonds russes pour l’Ukraine, affirme l’expert bâlois Mark Pieth. Mais il faut pour cela, que le président Vladimir Poutine et les oligarques soient considérés comme des organisations criminelles.
Selon l’article 72 du code pénal, les valeurs patrimoniales «qui sont soumises au pouvoir de disposition d’une organisation criminelle ou terroriste» peuvent être confisquées, déclare le professeur de droit pénal et expert en corruption Mark Pieth dans un entretien diffusé lundi par les journaux alémaniques du groupe de presse Tamedia.
«Les oligarques, qui remplissent le trésor de guerre de M. Poutine, seraient des complices de la même manière que les sbires de la mafia», explique le pénaliste. La Suisse devrait en outre vérifier pour chaque oligarque si et dans quelle mesure il est encore considéré comme un soutien du Kremlin, ajoute-t-il.
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L’oligarque russe Roman Abramovitch disposait de fonds en Suisse, selon des documents provenant d’une fuite de documents au sein d’une société chypriote de conseil en patrimoine, qui ont pu être consultés par les journaux du groupe Tamedia, en collaboration avec les médias britannique The Guardian et allemand Paper Trail Media. Parmi ces documents figurait une lettre datée du 24 février 2022, le jour de l’invasion russe en Ukraine, contenant «des listes de comptes UBS en Suisse» appartenant à Roman Abramovitch: parmi ceux-ci, un compte avec «plus de 290 millions de dollars fin septembre 2021», un autre avec «plus de 420 millions» le 21 janvier 2022.
La cellule d’enquêtes de Tamedia note, qu’«UBS a pris des risques considérables pendant des années» en continuant d’héberger les fonds du milliardaire russe alors que les tensions internationales et risques de sanctions se faisaient de plus en plus précis. Les journaux notent que ses conseillers financiers de Roman Abramovitch avaient «désigné sept enfants de l’oligarque comme bénéficiaires de divers trusts» dès le début du mois de février pour éviter les sanctions européennes. Il n’est toutefois pas clair si les avoirs de celui-ci chez UBS étaient concernés, ou s’ils font partie des montants bloqués par la Suisse. Roman Abramovitch a finalement été placé sur la liste des personnes sanctionnées par la Suisse le 16 mars 2022.
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Le chancelier allemand Olaf Scholz a réaffirmé que son pays ne permettra pas que la guerre en Ukraine se transforme en conflit entre la Russie et l’OTAN. «Nous avons contribué à ce qu’il n’y ait pas d’escalade du conflit, car cela aurait de graves conséquences pour le monde entier. Cela conduirait, par exemple, à une guerre entre la Russie et les pays de l’OTAN, cela n’arrivera pas, nous l’empêcherons par tous nos efforts, nous avons réussi jusqu’à présent et nous continuerons à le faire», a déclaré le chef du gouvernement allemand. Olaf Scholz, en déplacement à Santiago du Chili, a ajouté que lui et son homologue américain Joe Biden refusraient «d’envoyer des troupes en Ukraine».
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Dans un documentaire en trois parties, dont le premier épisode est diffusé lundi soir sur BBC Two, l’ancien chef du gouvernement britannique Boris Johnson raconte son «très long» et «extraordinaire» appel avec le président russe après sa visite à Kiev début février dernier. A cette époque, Vladimir Poutine continuait à soutenir qu’il n’avait aucune intention d’envahir son voisin ukrainien, malgré l’afflux massif de militaires russes dans les régions frontalières. Boris Johnson, lui, raconte qu’il avait averti le président russe des dures sanctions que prendraient les Occidentaux s’il s’engageait dans cette voie.
«Il a dit: «Boris, vous dites que l’Ukraine ne va pas rejoindre l’OTAN de sitôt. (…) Qu’est-ce que vous entendez par «pas de sitôt»?», raconte Boris Johnson. «Eh bien elle ne va pas rejoindre l’OTAN dans un avenir proche, vous le savez parfaitement», poursuit l’ex-dirigeant britannique, soutien de la première heure des Ukrainiens.
«A un moment donné, il m’a en quelque sorte menacé et a dit: «Boris, je ne veux pas vous faire de mal, mais avec un missile, ça prendrait une minute +ou quelque chose comme ça», poursuit Boris Johnson. «Je pense que d’après le ton très détendu qu’il prenait, le détachement qu’il semblait avoir, il se jouait de mes tentatives de l’amener à négocier», ajoute l’ex-dirigeant britannique, qui a quitté Downing Street début septembre après une succession de scandales.
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Le président turc Recep Tayyip Erdogan a laissé entendre que la Turquie pourrait approuver la candidature de la Finlande à l’OTAN, sans faire de même pour la Suède. «Si nécessaire, nous pouvons donner un message différent concernant la Finlande. La Suède sera choquée lorsque nous donnerons un message différent sur la Finlande», a affirmé le chef de l’Etat turc en réponse à une question sur la candidature des deux pays nordiques à l’OTAN lors d’une rencontre télévisée avec des jeunes.
Ankara laisse ainsi pour la première fois entendre être prêt à traiter la candidature de la Finlande séparément de celle de la Suède. La Turquie a donné un coup d’arrêt mardi à l’adhésion des deux pays, après qu’un militant d’extrême droite a brûlé un exemplaire du Coran à Stockholm.
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Petr Pavel, qui a remporté samedi l’élection présidentielle en République tchèque, s’est entretenu dès avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Petr Pavel, un ancien général et ancien chef du comité militaire de l’OTAN, partisan de l’aide militaire à l’Ukraine, doit prêter serment le 9 mars. Il est un fervent partisan de l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne.
«Je l’ai remercié, ainsi que le peuple tchèque, pour leur soutien indéfectible. Je l’ai invité à se rendre en Ukraine», a indiqué le Volodymyr Zelensky sur Twitter.
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Le chancelier allemand Olaf Scholz a assuré que son pays n’enverra pas d’avions de combat en Ukraine, dans un entretien dimanche avec le Tagesspiegel. «La question des avions de combat ne se pose même pas. Je ne peux que déconseiller d’entrer dans une guerre d’enchères constante quand il s’agit de systèmes d’armes», a-t-il déclaré.
Après plusieurs semaines d’hésitation, Berlin a décidé mercredi d’envoyer en Ukraine 14 chars Leopard 2 de fabrication allemande et de permettre à d’autres pays européens de fournir des blindés similaires. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait aussitôt réclamé davantage, notamment des avions de combat et des missiles à longue portée. «Si dès qu’une décision (sur les chars) est prise, un nouveau débat débute en Allemagne» sur autre chose, «cela n’est pas sérieux et sape la confiance des citoyens dans les décisions du gouvernement», a-t-il ajouté.
Dans son entretien, Olaf Scholz a à nouveau mis en garde contre le «risque d’escalade» avec Moscou. «Il n’y a pas de guerre entre l’Otan et la Russie. Nous ne permettrons pas une telle escalade», a-t-il dit. Selon lui, il est «nécessaire» de continuer à parler avec Vladimir Poutine.
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Image de couverture: L’oligarque russe Roman Abramovitch détenait une fortune colossale en Suisse avant la guerre. © Jean-Christophe Bott/Keystone
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