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Facture électronique
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AccueilRéglementationFiscalité
Cdiscount a dû modifier en profondeur ses process, fiscaux notamment, pour se mettre en conformité avec le nouveau paquet TVA e-commerce, entré en vigueur le 1er juillet dernier. Un travail de longue haleine qui a mobilisé plusieurs dizaines de personnes.
Elle était annoncée depuis quatre ans mais ses contours n’ont commencé à être véritablement tracés qu’il y a deux ans. Et encore…, à son entrée en vigueur le 1er juillet dernier, certains points du nouveau paquet TVA e-commerce n’avaient pas encore été complètement éclaircis. C’est dans ce contexte que Cdiscount a dû opérer les transformations nécessaires à sa mise en conformité avec cette nouvelle réglementation. Un projet mené par Maxime Dubarry, actuel directeur financier de Cdiscount. Il avait auparavant occupé le poste de directeur financier adjoint, pendant un an, après avoir assuré pendant trois an la fonction de directeur comptable et consolidation. “Je m’occupais notamment des sujets fiscaux et je travaillais déjà sur ce sujet de paquet TVA e-commerce”, se souvient-il.
Cette réglementation introduit plusieurs nouveautés pour les e-commerçants, avec un enjeu majeur : la résorption de la distorsion de concurrence entre vendeurs européens et vendeurs non-européens, la diminution de la fraude à la TVA etc… Pour Cdiscount, comme pour les autres marketplaces concurrentes, le changement principal concerne la TVA. Depuis le 1er juillet dernier, la plateforme est en effet désormais en charge de la collecte de la TVA sur les ventes réalisées par ses vendeurs indépendants. Jusqu’ici, ces devaient s’affranchir eux-mêmes des formalités fiscales.
Lire aussi : Le régime optionnel du groupe TVA
Une évolution de taille qui a nécessité deux années de travail opérationnel sur le sujet et de lourds investissements, een temps et en euros. Plusieurs dizaines de personnes ont participé à l’opération : une vingtaine des 100 personnes de l’équipe finance, le service marketplace, le service juridique, la communication etc.
” Sur le papier, cette évolution pouvait sembler facile mais en réalité, elle a été assez complexe à mettre en oeuvre avec beaucoup de développements nécessaires, même si nous étions déjà bien outillés puisque nous sommes passés récemment sur la nouvelle version SAP. Au-delà du paramétrage, il a fallu par exemple mettre en oeuvre de nouveaux flux d’information avec nos vendeurs car nous avions besoin de nouvelles informations : notamment, le point de départ de chacune des marchandises”. Des déclarations fiscales additionnelles devront par ailleurs être réalisées et des états détaillés des prélèvements de TVA présentés aux vendeurs. “Tout est hautement automatisé, nous pensons que cette surcharge sera absorbable par nos équipes actuelles, mais nous verrons à l’usage… “
Lire aussi : Optimisation de la récupération de la TVA : une autre voie pour améliorer sa trésorerie ?
Cdiscount a également entrepris de communiquer largement avec ses quelque 14.000 vendeurs (un tiers français, un tiers européen, un tiers hors UE). “Nous avons commencé les échanges avec eux début 2021, il était inutile de communiquer trop tôt. Nous avons d’abord fait un e-mailing général puis nous avons organisé quatre webinars où nous invitons l’ensemble de nos vendeurs. L’objectif était d’expliquer les changements concernant la TVA, mais pas seulement. D’autres points de la directive les concernaient, sans impacter forcément Cdiscount : les formalités douanières par exemple. Nous avons souhaité les accompagner sur l’ensemble des points”, détaille Maxime Dubarry.
Avant le grand bain du 1er juillet, Cdiscount a fait de multiples tests opérationnels afin de tester la fiabilité des flux.
Raison sociale : Cdiscount (Groupe Casino)
Daf : Maxime Dubarry
Secteur d’activité : e-commerce
Forme Juridique : SA
Siège social : Bordeaux
Dirigeant : Emmanuel Grenier
Effectif : 2.000 personnes
Chiffre d’affaires 2020 : 2,2 milliards d’euros
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