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Mondialisation et culture locale chez les jeunes – Thot

Publié le 24 janvier 2023 Mis à jour le 24 janvier 2023

Si on considère la culture comme une émanation de flux d’influences locales et globales, alors il faut s’attendre à ce que tout ce qui nous entoure soit teinté de la couleur de ce même flux. 
“Selon Csíkszentmihályi, le flow (flux) est un état totalement centré sur la motivation. C’est une immersion totale, qui représente peut-être l’expérience suprême, employant les émotions au service de la performance et de l’apprentissage. Dans le flow, les émotions ne sont pas seulement contenues et canalisées, mais en pleine coordination avec la tâche s’accomplissant. Le trait distinctif du flow est un sentiment de joie spontané, voire d’extase pendant une activité.”
Source : Wikipédia Flow (psychologie) –  https://fr.wikipedia.org/wiki/Flow_%28psychologie%29

“Le bonheur ne doit pas être confondu avec la sensation passagère de plaisir, issue principalement de la production de dopamine et non de sérotonine, mais représente au contraire un état d’équilibre, agréable, qui dure dans le temps.
Le bonheur a été étudié en biologie, en psychologie, en sociologie ainsi qu’en philosophie. La plupart des courants philosophiques occidentaux succédant à Socrate sont eudémonistes, des doctrines visant à atteindre et à maintenir l’état de bonheur”.
Source : Wikipedia : Le Bonheur – https://fr.wikipedia.org/wiki/Bonheur
Le contraire du bonheur se compose d’un ensemble de situations vécues comme désagréables, douloureuses, dramatiques, voire tragiques.

Une des pistes parmi d’autres, qui est atypique car presque un phénomène unique dans la vie d’une personne, est le choc post-traumatique qui a été créé par la crise du coronavirus. Je la prends à titre d’exemple pour faire comprendre la typologie du phénomène auquel nous devons faire face.

Le fait d’avoir beaucoup de personnes affectées psychologiquement, en même temps a modifié le flux social et le flux culturel. La nature de notre flux en particulier résulte de la moyenne entre le bonheur et le malheur des personnes d’une même communauté localisées ensembles géographiquement.

Résultat, si l’écosystème dans lequel nous vivons génère un flux négatif, dépressif, de mal-être, alors celui-ci aura un effet sur la moyenne de la perception de l’ensemble de la communauté. On peut simplifier en un seule phrase : 
Si vous êtes entouré de bonheur, vous avez plus de chances d‘être heureux que si vous êtes entouré de malheur. Si vous regardez que le journal télévisé avec tous ses malheurs, et que vous vous êtes focalisé sur les malheurs induits du Coronavirus, alors vous allez finir par voir tout en noir.

Si vous êtes entouré de beauté (équivalent d’un encéphalogramme plat chez l’humain), alors vous deviendrez beau et tranquille de l’intérieur…

“En neuroscience, la beauté correspond à un état végétatif du cerveau. Quand tout est consensuel, qu’aucune question ou grain de sel ou de sable ne s’y mêle, en conséquence que le cerveau critique est au repos le plus complet, tel est le paradoxe de la beauté, qui d’un côté gouverne une partie de notre monde et de l’autre n’est qu’un état cognitif d’une neutralité extra plate”. 
https://cursus.edu/fr/12192/copier-la-beaute-peut-on-transmettre-la-beaute-comme-modele

Générer un esprit social négatif qui va affecter la jeunesse est un mélange de plusieurs phénomènes, comme celui du flux. Et, le flux est un phénomène qui peut se modifier, voire s’inverser. Ce qui n’est pas le cas pour les gens qui ont eu des séquelles physiques post covid et autres.

“ La théorie du miroir de Jacques Lacan nous aide à comprendre ce processus. Selon l’auteur, la construction de notre identité personnelle se produit à travers la captation de soi dans d’autres personnes. De cette façon, les relations que nous maintenons avec les autres sont des reflets ou des projections d’aspects de notre personnalité que nous aimons ou non”.
Source : La théorie du miroir : des blessures qui forment et brisent des relations –
https://nospensees.fr/theorie-miroir-blessures-forment-brisent-relations/

Si vous avez développé en vous une graine négative qui est souvent transmise par votre famille : “ Tu ne feras rien de bon dans la vie” ou “Tu es trop grosse”.  Ce sont des phrases répétées à plusieurs reprises, tels des mantras négatifs  et qui entrent profondément dans la construction d’un enfant qui plus tard fondera une famille et ainsi de suite. 
Cette graine nourrie par le «mantra» négatif va faire écho à toutes les situations, à tous les êtres humains qui vont la conforter. Mais, si cette graine est nourrie par un matra positif, alors le phénomène sera inversé.

“Tout comme il y a des parties de notre corps et de notre image qui ne nous plaisent pas quand nous nous regardons dans un miroir, il y a des aspects de notre personnalité que nous n’acceptons pas. Nous trouvons chez les autres des reflets que nous n’acceptons pas, toute cette matière étant réprimée par notre inconscient. En d’autres termes, nous identifions en nous certains des traits que nous aimons le moins chez les autres, même si ce n’est que de façon symbolique. Ainsi, en partie, ce qui nous déplaît chez les autres nous déplaît aussi chez nous.
Nous sommes constamment en train de projeter une partie de notre être. Ainsi, la théorie du miroir est une vision qui propose un changement de point de vue: au lieu de penser que nous devons nous protéger de l’autre pour qu’il ne nous fasse pas de mal, nous avons cette vision qui fait naître une question “Pourquoi suis-je en train de vivre cette situation avec cette personne et quelle partie d’elle que je ne supporte pas se retrouve en moi ?”. Étant donné qu’en général, nous ne sommes pas capables de voir nos propres ombres ou vertus, la vie nous offre le cadeau des relations que nous vivons pour nous montrer directement ce qui se cache en nous. L’autre nous sert tout simplement de miroir: il nous reflète et nous donne l’opportunité de nous trouver.”
Source : La théorie du miroir : des blessures qui forment et brisent des relations –
https://nospensees.fr/theorie-miroir-blessures-forment-brisent-relations/

“Anxiété, dépression, troubles bipolaires, troubles obsessionnels compulsifs… les jeunes de 15 à 30 ans sont particulièrement touchés, et plus encore depuis la pandémie de la Covid. C’est pourquoi la prévention, le repérage et l’intervention précoce sont si importants pour éviter l’entrée dans les rechutes et la déscolarisation…
Un programme de sensibilisation 
“Levez la main si vous vous êtes déjà sentis insensibles ou déconnectés. Si vous avez pleuré dans les transports. Si vous faites croire à votre famille et vos amis que tout va bien. S’il y a des moments où vous vous sentez tout seuls…” Ce sont les questions posées à des jeunes dans une vidéo de présentation du programme de sensibilisation Brave Together. “Vous n’êtes pas seuls, vous n’êtes jamais seuls” insiste l’animatrice quand tous lèvent la main à la dernière question.
Un constat préoccupant
L’adolescence et l’entrée dans l’âge adulte sont des périodes de changements importants sur le plan physique, de la construction de l’identité, de l’acquisition de l’autonomie… “C’est durant cette période de la vie (particulièrement les 15-25 ans) qu’existe un pic d’apparition des troubles psychiatriques” constate le Conseil économique social et environnemental (Améliorer le parcours de soins en psychiatrie, 2021). Une période de grande fragilité, le suicide est la deuxième cause de mortalité entre 10 et 25 ans.
Et la situation se dégrade depuis quelques années et a été aggravée par la crise sanitaire. D’après les résultats d’une enquête réalisée par Ipsos pour la Fondation FondaMental en décembre 2020, 32 % des 18-24 ans ont un trouble de santé mentale, 40 % des moins de 25 ans déclarent un trouble anxieux généralisé, 21 % des moins de 25 ans rapportent des symptômes de troubles dépressifs modérément sévères ou sévères (24 % des 22-24 ans), près d’un jeune sur 2 ne sait pas qui consulter et 2 jeunes sur 3 estiment que la crise liée à la Covid va avoir un impact négatif sur leur santé.”
Source : MAL ÊTRE DES JEUNES : AGIR LE PLUS TÔT POSSIBLE – Publication –  13 janvier 2022
https://www.onisep.fr/formation-et-handicap/mieux-vivre-sa-scolarite/
En reprenant une partie de ce phénomène complexe des interactions entre  flux et  graines intérieures de chaque individu, regardons ce qui se passe chez les jeunes quand on leur parle de leur avenir ?

“Alors que trois quarts des jeunes Français estiment qu’ils auront de moins bonnes perspectives professionnelles que leurs parents, plus de la moitié des jeunes des pays en développement sont persuadés du contraire ! Face à leur avenir, ils se montrent bien plus optimistes que les jeunes des États-Unis, de l’Australie et du Vieux-Continent.”
Source : Comment les jeunes du monde voient leur avenir – 18.01.2016
https://start.lesechos.fr/societe/engagement-societal/comment-les-jeunes-du-monde-voient-leur-avenir-1178261
« Vous n’êtes pas sans savoir qu’on fait face à de multiples crises. Climatique, démocratique et économique. Et dans le cadre de cette dernière, on remarque que les prix ne font qu’augmenter, que c’est de plus en plus difficile voire impossible pour certaines personnes, de se nourrir, de se loger dignement, de faire le plein, etc. Et puis on constate que les jeunes sont forcément victimes de cette situation, et que la précarité explose. C’est une situation intenable, et en tant que jeunes militants, on a décidé de réaliser cette collecte » explique Hélène Magnin-Feysot, coresponsable du groupe des Jeunes Insoumis de Besançon”.
Source  : Besançon : Les Jeunes Insoumis organisent une collecte de denrées alimentaires- Janv 2023
https://pleinair.net/actualites/item/6952

Le constat est que la situation n’était déjà pas très optimiste en 2016 professionnellement, mais que la situation des jeunes s’est empirée de précarité avec les crises ambiantes. Les pensées locales sont encore plus négatives dans un écosystème qui se dégrade. 

Ils se tournent vers le rêve, vers l’ailleurs. Alors que les jeunes africains par exemple tournent leurs regards vers l’Occident comme paradis à atteindre pour les plus courageux et pour ceux qui restent c’est plutôt le désespoir, la drogue, l’alcool et la délinquance. 
Les jeunes occidentaux pour leur part n’ont pas encore une nouvelle planète à atteindre, alors ils rêvent de succès dans le rêve avec les challenges musicaux, de danse…avec le rêve pour les jeunes entrepreneurs de devenir des licornes et donc ils s’engouffrent avec joie dans le rêve des startups financées à coup de millions pour au final qu’il n’en reste qu’une sur 10 qui survit et une survivante pour 1000 qui devient ce fameux rêve. 
Le phénomène est le même dans tous ces cas :  le rejet de l’écosystème, de la culture, des racines locales au profit d’un flux basé sur le rêve. Ils ne construisent plus étape après étape, ils essaient de sauter le plus loin possible, comme ils le feraient en sautant d’un toit d’immeuble à l’autre en espérant être de ceux qui ne vont pas s’écraser au sol.

L’effacement des racines locales au profit d’un seul et même modèle culturel déconnecté des environnements locaux. Le grand changement s’appelle mondialisation.

“Uniformisation et occidentalisation du monde
La mondialisation se traduit par une uniformisation des loisirs ainsi que des modes de vie et de consommation.
On assiste donc à la naissance d’une culture mondialisée, que l’on peut définir comme un ensemble de pratiques ou de manifestations culturelles communes à l’ensemble des peuples de la planète. Et, comme c’est sous l’influence des États-Unis, et dans une moindre mesure de l’Europe, que s’uniformise la culture, on parle d’une occidentalisation du monde.
Comment cette culture mondialisée se diffuse-t-elle ?
La multiplication des échanges, le développement des nouvelles technologies ainsi que la diffusion de produits standardisés (identiques) par les FTN (firmes transnationales) ont favorisé la mondialisation de la culture. Ainsi, le nombre d’abonnés à la téléphonie mobile est passé de 91 millions en 1995 à près de 5 milliards aujourd’hui !…
Une diversité linguistique protégée
5 langues sont parlées par 50 % de la population mondiale. Les 2 langues les plus répandues sont le chinois (le mandarin), à cause du poids démographique de la Chine, et l’espagnol. L’anglais arrive en 3e place du classement. C’est la langue la plus utilisée dans les échanges économique mondiaux, en raison de la place des États-Unis dans l’économie mondiale.
La mondialisation favorise donc la prédominance de l’anglais qui est parlé par 17 % de la population mais qui correspond à 36 % des échanges mondiaux.
Parallèlement, 2 500 langues sont en voie de disparition et 25 langues disparaissent en moyenne par an.
La langue étant un élément de l’identité qui permet à une personne, de savoir à quelle culture elle appartient, les langues nationales ou régionales résistent à la l’uniformisation linguistique. Par exemple, il existe 1 650 langues en Inde, dont 22 sont parlées par 75 % des Indiens alors que les 2 langues officielles, reconnues par l’État, l’hindi et l’anglais, ne sont parlées que par 40 % de la population.”
Source :  La mondialisation et la diversité culturelle
https://www.maxicours.com/se/cours/la-mondialisation-et-la-diversite-culturelle/

Les jeunes vivent dans leur environnement local qu’ils n’apprécient plus. La langue est le symbole de leurs écosystèmes. S’ils n’aiment plus leur écosystème peuvent-ils encore en apprécier la langue, d’autant que celle-ci est le ciment d’une fondation où ils ne souhaitent plus planter leurs racines ?
C’est valable pour les langues locales, c’est valable pour les religions qui, avant, aidaient à surmonter les épreuves et l’adversité par la croyance en un plus haut plus juste et meilleur. Maintenant, ces jeunes se développent hors sol avec toutes les fragilités que cette situation peut générer.

La dichotomie entre culture locale et culture mondiale peut aller jusqu’au rejet de la culture locale et de la culture familiale. La super valorisation de la culture globale et de ses paillettes crée une sous valorisation de la culture locale et des racines locales.
L’effet de ce phénomène est que les jeunes se projettent eux et leur avenir hors de leur territoire. Ils se projettent à l’extérieur de leur temporalité et de leurs réelles possibilités.
Cela peut générer du désespoir et un rejet des normes sociales locales. Et donc ce phénomène se retrouve aussi à l’école.
“Tout au Nord, au Groenland, les jeunes inuits sont aussi désespérés, l’alcool fait des ravages dans ces communautés, elles aussi sans travail. On y trouve un taux de suicide des jeunes 8 fois plus élevé qu’en France. Les raisons en sont les maltraitances parentales, dont les abus sexuels, exacerbés par le désespoir permanent. Comme en Afrique, pas ou peu de ressources de soutien, avec Internet comme seule fenêtre sur le monde.
Si en Afrique les jeunes ont l’espoir de l’Europe ou du Canada comme terres nouvelles et prennent des risques, même mortels pour suivre l’espoir, qu’en est-il des jeunes occidentaux ?
Pour les jeunes occidentaux, à part les sujets sur les suicides, donc l’hyper-désespoir, il n’y a pas de sujet sur le désespoir des jeunes qui se réfugient dans les jeux vidéo, où alors ils sont mis dans la catégorie des drogués des jeux. Il semble y avoir une non-conscience ou un tabou sur le sujet. Pourtant chacun d’entre-nous connaissons un ou plusieurs jeunes qui ont baissé les bras face à leur avenir. Et, si il n’y en a pas, c’est peut-être parce qu’on ne les voit pas où qu’on ne veut pas les voir.
La négation du passé, l’absence de racines est une des premières causes, elles sont flagrantes dans des contextes post-colonialistes où seules les valeurs, les savoirs, l’école (et le management) des occidentaux avaient leur place, au détriment de cultures millénaires. Les racines permettent d’avoir des points de repères entre le bien et le mal, entre ce qui se fait et ce qui ne se fait pas. Ce sont nos fils conducteurs en cas de violences, de crises. Sans ses racines, il n’y a plus de repères, juste le désespoir d’être encore plus perdu.
La globalisation a eu un effet accélérateur sur le processus, en balayant les bribes de cultures survivantes. Une culture unique à tous, calquée sur des valeurs unilatérales. Voilà ce que l’on a proposé aux jeunes depuis les 20 dernières années. Et, tout ceci en balayant d’un tour de main toutes les cultures locales qui n’ont plus eu de valeur, celles qui nous relient à nos ancêtres et à notre famille. Tout cela disparu, laissant des jeunes perdus dans l’univers avec un seul objectif : devenir la star d’un soir.
L’hyper-communication où plus personne ne peut échapper aux malheurs des autres avec pour résultat d’engourdir les empathies et de favoriser les indifférences à toutes les échelles. Cela crée aussi des monstres d’indifférence ou des agresseurs qui transmettent les violences qu’ils subissent en nouvelles violences plus cruelles encore. Il n’y a plus d’espace privé, plus de coupure avec ses semblables aux grand plaisir des extravertis, mais au grand drame des introvertis qui sont en permanence dans le mal-être social.
Incertitude de l’avenir, dans laquelle aucun jeune ne peut se projeter sereinement, dans une planète en perdition et des pays en crise. Le cadre s’est envolé, la stabilité est un mot perdu dans la complexité de notre monde que certains peuvent comprendre mais pas forcément accepter. Et, il y a ceux qui ont décroché de tout. Ceux-là vivront des aides sociales ou finiront à la rue sans plus aucune perspective de vie meilleure”.
Source : Que faire face à la désespérence des jeunes ? – 16 juin 2019 – Virginie Guignard Legros –
https://cursus.edu/fr/12974/que-faire-face-a-la-desesperence-des-jeunes
Pour ma part je pense que cette solution n’est plus valable car il y a trop de métissages pour revenir en arrière. Et, il y a cet espoir d’un ailleurs qui remplace les religions quand tout est désespéré comme chez les jeunes Inuits cités ci-dessus. Il faut rebondir sur cette vague. C’est une mutation et la situation actuelle est un entre-deux. 
Si les jeunes aujourd’hui se construisent hors sol et ne plantent plus leur racines dans le terreau de leurs ancêtres qui leur paraît pauvre de tous leurs espoirs, c’est parce que le flux les poussent vers autre chose. C’est la période du vertige avant de sauter dans autre chose, un autre monde qui se réalise au jour le jours depuis quelques années, un monde numérique qui doit planter ses racines dans le réel.
…de valorisation des racines, des ancêtres, des patrimoines mixés avec tous les potentiels philosophiques et technologiques qui s’ouvrent devant nous. 
Source image : Pixabay : White Daemon

Auteur Virginie Guignard Legros Contacter l’auteur

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