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Les policiers municipaux du Tarn parmi les plus armés de France – LaDepeche.fr

l’essentiel Depuis la vague d'attentats de 2015-2016, l'armement des policiers municipaux s'est généralisé, en parallèle à un élargissement de leurs prérogatives. Tour d'horizon dans le Tarn qui fait aujourd'hui partie des dix départements français où les policiers municipaux sont les plus armés. 
Il y a encore une dizaine d'années, le débat faisait rage entre partisans et opposants à l'armement des policiers municipaux. Mais depuis la vague d'attentats qu'a connue la France en 2015-2016, la question ne semble plus se poser : les policiers municipaux se retrouvent souvent en première ligne et demandent des moyens pour assurer leur propre sécurité.
Au niveau national, 37% des agents étaient armés en 2014. Ils sont désormais plus de 58%. Le Tarn n'a pas échappé à la règle et l'évolution y est même spectaculaire. Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur arrêtés à fin 2021 et relayés par la Gazette des Communes, 81% de nos policiers municipaux sont dotés d'armes de poing, ce qui place le Tarn dans le top 10 du classement, aux côtés des départements du pourtour méditerranéen (Alpes-Maritimes, Var, Vaucluse, Bouches-du-Rhône, Hérault, etc.).
Selon la Cour des comptes, qui a consacré en 2020 un rapport dédié à la police municipale, cette dernière "est surtout l'expression d'un choix politique, qui ne dépend pas nécessairement du niveau de délinquance constaté localement".
Auparavant opposée à l'armement de ses agents, la mairie d'Albi a changé de position à partir de 2018. Selon les données communiquées par la préfecture du Tarn, 28 de ses 31 policiers municipaux sont aujourd'hui dotés d'armes de catégorie B : armes de poing, tasers ou bombes lacrymogènes d'une contenance supérieure à 100 ml.
La convention de coordination signée en 2020 entre la mairie, la préfecture et le parquet d'Albi vient d'être amendée pour y inclure aussi des lanceurs de balles de défense (LBD). Une première dans le département. À quels besoins spécifiques répond ce nouvel équipement ? Contactée par La Dépêche du Midi, la municipalité n'a pas souhaité s'exprimer à ce stade. Selon nos informations, ses agents vont démarrer leur formation à l'usage des LBD dans les semaines à venir.
À Castres, 36 des 37 policiers municipaux sont eux aussi dotés d'armes de catégorie B, dont des armes de poing. Même chose à Gaillac (8 agents), Mazamet (7 agents) et Lavaur (5 agents). Les policiers municipaux de Lacaune, de Lisle-sur-Tarn et de Réalmont disposent eux aussi d'une arme de poing.
À Saint-Juéry, où un deuxième policier municipal a été recruté, la mairie a décidé de les équiper de tasers, matraque télescopique et bombe lacrymogène. Dans les autres communes disposant d'une police municipale, l'armement est plus léger (matraques et bombes lacrymogènes de catégorie B ou D) à Labruguière, Saïx, Saint-Sulpice et Rabastens.
L'utilisation de ces armes est strictement encadrée par le code de la sécurité intérieure. Les mairies qui décident d'armer leurs agents doivent conclure une convention avec la préfecture et le procureur de la république, qui détaille le type d'armes autorisées, la répartition des rôles et la coordination entre policiers municipaux et forces de sécurité de l'Etat (police ou gendarmerie). 
Chaque agent municipal doit être habilité par la préfecture et suivre les formations dispensées par le centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT). En tenue et en service, il ne peut faire usage de son arme qu'en cas de légitime défense. Ces dernières années, aucun policier municipal tarnais n'a heureusement eu à s'en servir.
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vive le tarn…….!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Faire circuler des armes c'est prendre les risques de vol , de mésusage, de détournement de destination ou d’erreur.

Les missions des polices municipales sont elles de nature à rendre possible la légitime défense ?

Les missions à risque sont plutôt de la compétence de la Gendarmerie Nationale au statu militaire qui assure un suivi de l'aptitude physique et mentale régulier. Un entraînement sportif et militaire encadré et une subordination juridique sans faille.

Ou de la police Nationale , qui travaille en civil est donc plus discrète.

De plus le statu militaire exclu le droit du travail et assure donc une plus grande réactivité et disponibilité, et par un départ plus précoce en retraite limite les risques de travailleur usés ou vieillissant.

Travailler plus et plus jeune pour partit plus jeune à la pêche.
C'est pour cela que nombre de Maire veulent garder leur brigade de Gendarmerie.
Le problème, derrière l'apparente bonne intention des municipalités, c'est qu'il s'agit en réalité d'un énième abandon par l'État de ses prérogatives, en l'occurrence la sécurité publique.

Petit à petit, on gomme les différences entre police nationale et police municipale, tant en termes de droits qu'en terme d'armement, afin de remplacer celle-là par celle-ci.

Ceux qui applaudissent l'armement de la police municipale aujourd'hui, au nom de la sécurité, seront les mêmes qui pleureront demain quand la sécurité du quotidien aura été laissé à la charge des municipalités, avec, comme toujours, des dotations de l'État se réduisant au fil du temps.

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