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Par Lena Welter
C’est avec un sympathique «Miaou!» et beaucoup d’amour que les visiteurs sont accueillis par les pensionnaires duveteux de la maison des chats de l’asile pour animaux de Gasperich. Aujourd’hui, la structure cherche à se doter d’une nouvelle extension: la station pour chats. Ce nouveau projet a été présenté il y a quelques semaines. Destinée aux chattes et à leurs chatons ou aux bébés chats orphelins, cette station vise avant tout à résoudre le problème de manque de place qui touche le refuge.
C’est surtout entre le début du printemps et la fin de l’été que les chatons arrivent en masse à l’asile pour animaux. Mais cela n’a pas toujours été la période la plus chargée. «Avant, c’était uniquement au printemps et en automne», explique Liliane Ferron, responsable des relations publiques de l’asile. Alors que des chiens aboient en arrière-plan, elle poursuit: «Maintenant, la nature est sens dessus dessous. Jusqu’à la toute fin de l’été, des chattes pleines arrivent au refuge».
L’asile est ainsi surpeuplé. Une telle situation critique se présente chaque année, indépendamment de la surpopulation engendrée par la fin des restrictions sanitaires. L’asile pour animaux de Gasperich accueille jusqu’à 400 chats par an, dont la plupart pendant la période estivale. «Ces derniers étés, la misère était assez grande, car nous ne savions pas où mettre les animaux», décrit Andrea Riandey, qui s’occupe des chats au refuge. «Entre-temps, il est devenu normal d’avoir autant d’animaux à cette période de l’année. Il fallait absolument trouver une solution», poursuit la gardienne d’animaux.
Après son arrivée, une chatte est d’abord placée dans un box de quarantaine pendant un certain temps. Durant cette période, elle est pucée, vaccinée, vermifugée et stérilisée. Une fois en bonne santé et en forme, le nouveau pensionnaire peut rejoindre les autres animaux dans la maison des chats. Actuellement, l’asile pour animaux dispose de dix boxes de quarantaine. En été, c’est trop peu.
En effet, si une chatte enceinte arrive, elle doit rester avec son chaton dans l’espace de quarantaine pendant une période prolongée. Il se peut alors qu’un box soit occupé lors d’une durée pouvant aller jusqu’à trois mois. Les bébés ne peuvent en effet pas entrer dans la maison des chats avant huit semaines. C’est à cet âge qu’ils reçoivent leur premier vaccin et sont déjà pucés. S’ils sont en bonne santé, ils peuvent être adoptés peu de temps après. La mère est alors stérilisée à son tour. Si elle est en bonne santé, elle cherche également un nouveau foyer.
Mais lorsque les boxes sont tous occupés pendant trois mois, la place vient à manquer pour les nouveaux arrivants. Et cette surpopulation entraîne en outre un risque accru d’infection. «Surtout quand on a des chats aussi petits. Ils sont très fragiles, il faut faire très attention», prévient Andrea Riandey. Les chatons orphelins sont, pour leur part, deux fois plus vulnérables.
Dans la nouvelle station, ce risque doit être minimisé. «L’hygiène est ici la priorité», informe Liliane Ferron, tandis que les chats viennent chercher leurs caresses. Les box de quarantaine doivent être plus grands, afin qu’une mère avec cinq chatons y trouve le confort et la place nécessaire. En effet, à partir de cinq semaines, les chatons commencent à devenir agiles et ont alors besoin de plus d’espace pour gambader.
Les petits chats sont très sensibles, il faut donc faire très attention.
L’annexe sera en outre bien équipée. Une buanderie et une cuisine d’alimentation ainsi qu’une pièce avec des couvertures devront permettre de bien s’occuper des petits en toute situation. L’objectif est également que le centre pour chats fonctionne de manière isolée du reste de l’asile pour animaux, «pour que les petits soient hors de danger».
«Cela fait longtemps que nous espérons une telle station féline», confie la soignante tout en distribuant des friandises à quelques chats. Cependant, à l’heure actuelle, tout a pris du retard. Le début du chantier dépend notamment de la bonne livraison des matériaux nécessaires, qui peine à s’organiser. «Nous sommes heureux que toute la construction ait déjà été autorisée. Tout est déjà planifié», déclare Liliane Ferron, soulagée.
Le projet est financé par des dons. À partir de 500 euros, le donateur acquiert un parrainage partiel d’un box. Un don de 1.500 euros permet de s’acquitter d’un parrainage complet. Les donateurs reçoivent alors une plaque nominative qui sera apposée sur chaque box. Mais les petites sommes sont également les bienvenues pour que les chatons puissent gambader avec bonheur dans le nouveau refuge pour chats.
Cet article a été publié pour la première fois sur www.wort.lu/de
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