Pièces complète 2 euro commémorative et accessoires protection pièces

Italie: la production industrielle repart à la baisse en mai – lfm.ch

Publié
le
De
Après trois mois de hausse, la production industrielle en Italie est repartie à la baisse en mai, cédant 1,1% par rapport à avril, a annoncé vendredi l’Institut national des statistiques (Istat).
Sur la période mars-mai, la production industrielle est cependant en hausse de 2,3% en moyenne, comparé aux trois mois précédents.
Les principaux secteurs industriels ont connu une baisse de leur production sur un mois, dont l’énergie (-3,9%), les biens de consommation (-0,7%) et les biens intermédiaires (-0,6%). Seuls les biens d’équipement ont progressé, de 0,4%.
L’indice s’est établi à 106,7 en mai, un niveau qui reste supérieur à celui enregistré avant le début de la pandémie de Covid-19 en février 2020.
En avril, la production industrielle avait gagné 1,4% sur un mois, après avoir augmenté de 0,2% en mars et de 4% en février.
Comparé à mai 2021, la production industrielle a augmenté de 3,4%, en données corrigées des effets de calendrier.
Face à l’envolée des prix de l’énergie et l’impact de la guerre en Ukraine, Rome avait revu à la baisse en février sa prévision de croissance pour 2022, tablant désormais sur une hausse du PIB de 3,1%, contre 4,7% auparavant.
Après une croissance limitée à 0,1% au premier trimestre, le ministère de l’Économie prévoit pour le deuxième trimestre une “croissance robuste du PIB” qui devrait permettre, selon lui, d'”atteindre, voire de dépasser” l’objectif de 3,1% fixé pour l’année.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Les banques doivent mieux se préparer aux risques climatiques
L’ONU met la pression sur les talibans et maintient celle en Libye
Italie : la production industrielle en légère baisse en août
Italie: la production industrielle progresse de 1,6% en avril
La production industrielle américaine a chuté en septembre
Allemagne: sérieux revers pour la production industrielle en août
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *






Publié
le
De
La gauche se réjouit de l’échec de la suppression partielle de l’impôt anticipé dans les urnes, une réforme qui n’aurait selon elle profité qu’aux riches et aux multinationales. Pour la droite et les milieux économiques, la complexité du sujet a notamment pesé.
Le refus par le peuple de ce projet est un “non” pour remettre en Suisse la culture de travailler ensemble, a estimé le conseiller national Samuel Bendahan (PS/VD) sur la RTS. La réforme a été faite de manière beaucoup trop unilatérale, selon lui.
Pour le Vaudois, il serait temps de faire des réformes “où tout le monde peut gagner, pas seulement les personnes les plus riches ou les grosses multinationales”. Selon lui, l’argument selon lequel les réformes profitent toujours aux mêmes et que rien n’est fait pour les classes populaires et moyennes, a porté dans la campagne.
Pour le coprésident du PS, Cédric Wermuth, les Suisses ont compris qu’il ne s’agissait que d’une subvention pour quelques-uns. “Cela divise le pays. Nous devrions vraiment arrêter avec cette politique, a déclaré le conseiller national argovien à la radio alémanique SRF.
Les citoyens ont montré pour la deuxième fois cette année qu’ils en ont assez de la politique fiscale d’Ueli Maurer et des partis bourgeois, qui ne profite ni à la population, ni aux PME, se réjouissent les Vert-e-s.
La modification de la loi sur l’impôt anticipé est un projet complexe, a relevé le conseiller national Thomas Matter (UDC/ZH) sur les ondes de la radio SRF. Cela a joué un rôle décisif dans son rejet par le peuple.
L’issue serrée de la votation constitue toutefois un signe positif à ses yeux. “Personnellement, je suis presque encore positivement surpris”. Ces dernières années, plusieurs projets fiscaux allégeant la charge fiscale de l’économie ont été rejetés. “Mais ce dernier résultat montre que l’on prend de plus en plus conscience du fait que l’on affaiblit ainsi notre prospérité”, relève M. Matter.
De leur côté, les Vert’libéraux regrettent une “occasion manquée”. Le parti continuera de s’engager pour un renforcement de la place économique du pays dans le domaine du marché des capitaux étrangers.
Pour le Centre, la réforme aurait aussi profité à la population. “Rien que les économies sur les coûts d’intérêts, jusqu’à 200 millions de francs par an, auraient pu alléger les budgets de la Confédération, des cantons et des communes”, relève le conseiller national Philipp Kutter (ZH).
Les adversaires de la suppression de l’impôt anticipé sur les obligations “ont réussi à faire peur avec des arguments démagogiques”, déplore le conseiller national Olivier Feller (PLR/VD). Il cite notamment des pertes de recettes fiscales fortement grossies ou une réforme qui favoriserait soi-disant la fraude fiscale.
Le Vaudois, interrogé par Keystone-ATS, remarque tout de même un rejet moins net que pour la votation sur la suppression du droit de timbre d’émission. Mais une partie de la classe moyenne votant habituellement au centre-droit a sans doute estimé que l’on a déjà fait beaucoup pour l’économie et la place économique et qu’il est temps de faire quelque chose pour les personnes, analyse M. Feller.
Pour la droite, le centre et les milieux économiques, il s’agit de réussir à nouveau à montrer qu’une économie prospère est favorable au bien commun. Le prochain enjeu est maintenant celui de la mise en oeuvre de la réforme fiscale de l’OCDE, fondamentale pour l’économie suisse. “Nous n’avons pas le droit d’échouer”, alerte M. Feller.
Un point de vue partagé par l’Union suisse des arts et métiers (usam). La faîtière des PME regrette une occasion manquée dimanche de rapatrier des recettes fiscales en Suisse et de remédier à un désavantage lié au lieu d’implantation dans la concurrence fiscale internationale, dans la perspective de l’introduction du taux d’imposition minimal exigé par l’OCDE.
Avec ce “non”, la Suisse a manqué l’opportunité de rapatrier des recettes fiscales et des activités commerciales, abonde economiesuisse. La suppression partielle de l’impôt anticipé aurait été un pas important pour maintenir l’attractivité de la place économique suisse.
L’association SwissHoldings, qui réunit les 61 plus grandes entreprises de l’industrie et des services cotées en bourse, prend acte du rejet d’un projet “qui aurait profité à toute la Suisse”. Elle regrette une occasion manquée de renforcer le marché des capitaux étrangers et de simplifier le financement de ses membres.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Publié
le
De
Un juge fédéral de New York a fixé au 5 juin 2023 le début d’un procès en recours collectif contre la banque Goldman Sachs. Cette dernière est accusée par plus de 1400 employées et ex-employées de discrimination sexiste et harcèlement.
Les avocats des plaignantes, qui ont occupé des postes d’associées ou de vice-présidentes, ont déposé jeudi des documents judiciaires contenant des témoignages accablants pour la banque américaine d’investissement, notamment l’évocation de sept agressions sexuelles à caractère criminel (viol et tentative de viol).
Les accusations comprennent également au moins 75 cas de comportements inappropriés sur le lieu de travail (attouchements, commentaires déplacés, demande de relation sexuelle) ainsi que des discriminations salariales ou des refus de promotion à des employées au motif de leur sexe.
Les avocats des plaignantes dénoncent une culture d’entreprise propice aux comportements sexistes et misogynes. “Goldman est au courant de ces problèmes et tolère les responsables qui se livrent à des stéréotypes de genre, du harcèlement sexuel et/ou du favoritisme de genre”, écrivent-ils.
Les faits qui seront jugés remontent à juillet 2002 et s’étalent sur près d’une décennie. Le recours collectif a lui été enclenché à partir de 2010.
“J’espère que ce procès va enfin aider à briser le plafond de verre pour les femmes à Wall Steet et établir un précédent pour d’autres secteurs où la discrimination de genre est généralisée”, a déclaré Cristina Chen-Oster, l’une des plaignantes principales de l’action collective, citée dans un communiqué.
“Nous devons rendre transparentes des pratiques qui paraissaient jusqu’à présent intouchables”, a-t-elle ajouté.
“La présentation des accusations par les plaignantes ne reflète pas la réalité de Goldman Sachs”, a soutenu un porte-parole de la banque. “Beaucoup de ces accusations ont plus de 20 ans et ont été présentées de manière sélective, imprécise et sont incomplètes”, a-t-il poursuivi.
“La discrimination, le harcèlement et la maltraitance sont inacceptables pour Goldman Sachs et donnent lieu à des sanctions lorsque nous les identifions, y compris le licenciement”, a ajouté le représentant.
La banque n’a pas souhaité faire de commentaires sur les cas particuliers “par respect pour les personnes concernées”.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
Publié
le
De
Une partie de l’autoroute A9 qui permettra de contourner Viège est terminée: le tube nord dans lequel circuleront les véhicules en direction du Valais romand a été ouvert vendredi. Tout comme le tunnel de chevauchement en provenance des vallées de Saas et de Zermatt.
Les premiers véhicules ont emprunté le tube nord du tunnel de Viège de l’autoroute A9 en début d’après-midi. Ils ont pu se rendre de Brigue à Viège-Ouest sans passer par la route cantonale.
“Pour les automobilistes, c’est un gain de temps d’environ cinq minutes; ce n’est pas beaucoup, mais c’est un pas dans la bonne direction”, a indiqué à Keystone-ATS Franz Ruppen, chef du département de la mobilité, du territoire et de l’environnement (DMTE). L’ouverture du tube nord permettra surtout de délester la ville haut-valaisanne du trafic de transit, “un gain de qualité de vie pour les habitants”.
Les travaux du tube long de 2,69 kilomètres et du tunnel de chevauchement ont débuté en 2014. Ils ont nécessité un investissement de 350 millions de francs environ, y compris pour les équipements d’exploitation et de sécurité.
L’un des défis majeurs du chantier a été la structure “très variée de la roche”, a expliqué Martin Hutter. Le chef du service valaisan de la construction des routes nationales évoque aussi le travail pénible des mineurs qui durant tout l’hiver n’ont vu le jour ni le matin à leur arrivée ni le soir à leur sortie du chantier.
Le tunnel de chevauchement reliant les vallées de Saas et Zermatt à la plaine du Rhône a aussi été mis en service vendredi. L’entier du contournement “constitue une étape importante de la construction de l’autoroute A9 dans le Haut-Valais”, estime le canton.
L’actuel tunnel du Vispertal (2,4 kilomètres) est, lui, en transformation et servira de tube sud du tunnel de Viège. Les travaux de rénovation ont débuté en 2019 et l’inauguration du tube est espérée pour fin 2024/début 2025.
Au total, le contournement de Viège devrait coûter un peu plus de un milliard de francs. Un coût supporté à 96% par la Confédération et à 4% par le canton du Valais.
L’autoroute A9 dans le Haut-Valais devrait être terminée en 2026, la traversée du bois de Finges exceptée. Pour ce dernier tronçon de 8,5 kilomètres entre la jonction de Sierre-Est et La Souste, aucune date n’est avancée pour l’heure.
Le coût de la traversée de Finges répertorié à l’inventaire fédéral des paysages d’importance nationale est estimé à 1 milliard de francs. Un montant qui s’explique notamment par le fait que 75% du tronçon sera en tranchée couverte et tunnel.
Au total, l’A9 dans le Haut-Valais s’étendra sur 35,3 kilomètres et son coût total est estimé à 4 milliards de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Publié
le
De
Gel des factures énergétiques, baisses d’impôts, durcissement de minima sociaux et dérégulation : Londres dévoile vendredi un cocktail de mesures pour relancer une croissance au tapis et tenter d’atténuer l’inflation.
Ces mesures pourraient avoir des effets secondaires potentiels sévères pour les finances publiques, avertissent des analystes.
Avec une inflation à quasi 10%, une économie en récession selon la Banque d’Angleterre, une confiance aux tréfonds et une livre déprimée, le nouveau chancelier de l’Échiquier Kwasi Kwarteng espère administrer une potion revivifiante aux ménages et aux entreprises.
“Pendant la pire crise énergétique depuis des générations, ce gouvernement est aux côtés des gens”, a clamé M. Kwarteng au Parlement, ajoutant qu’il voulait “réformer le versant de l’offre dans l’économie” en “baissant les impôts pour doper la croissance”.
“C’est comme ça que nous inverserons le cercle vicieux de la stagnation” économique, a-t-il insisté.
La mesure phare du “mini-budget”, tel qu’il est surnommé, sera le gel des factures d’énergie pour deux ans, à 2.500 livres pour un ménage moyen, une ristourne d’au moins 1.000 livres financée par le gouvernement.
Les entreprises ne sont pas en reste et voient leurs factures prises en charge pour moitié environ pour six mois.
Les prix du gaz et de l’électricité ont flambé depuis le début de la guerre en Ukraine, à cause des limitations sur l’approvisionnement en hydrocarbures venus de Russie, et le Royaume-Uni est particulièrement dépendant du gaz.
Ce soutien massif aux factures énergétiques devrait coûter 60 milliards de livres pour les six premiers mois, a chiffré Kwasi Kwarteng, dont le cocktail de mesures comprend aussi une bonne dose de recettes prisées des Conservateurs, notamment des baisses d’impôts.
L’abaissement des contributions sociales est confirmé pour les entreprises (“social levy”) comme pour les ménages ainsi que la suspension de certains prélèvements écologiques.
Le ministre des Finances a également confirmé une baisse de la taxe sur les transactions immobilières et annoncé un abaissement du taux maximal d’impôt sur le revenu, de 45% à 40%.
La première ministre Liz Truss a reconnu elle-même que la politique de son gouvernement favorisera surtout les plus aisés.
“Au lieu de défendre les gens qui travaillent, les Conservateurs protègent les profits des géants de l’énergie”, qui ont bénéficié de la flambée des prix des hydrocarbures depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine, a accusé la responsable travailliste pour les finances, Rachel Reeves.
Elle note que le plafond des prix de l’énergie mis en place par Liz Truss et Kwasi Kwarteng va coûter des dizaines de milliards de livres qui seront financés par l’emprunt, avec une addition qui devrait retomber sur le contribuable.
L’association de lutte contre la pauvreté Oxfam parle de son côté d’une politique “gagnant gagnant pour les plus riches”.
Les économistes s’inquiètent que le mélange de baisses d’impôts et d’aides massives, financé par l’emprunt, s’annonce toxique pour les finances publiques.
L’Institut des études budgétaires (IFS) a averti que le plan Truss risquait de mettre la dette sur une “trajectoire insoutenable”.
Autre mantra conservateur martelé par le nouveau chancelier de l’Échiquier : “remettre la Grande-Bretagne au travail”.
Alors que le marché de l’emploi britannique souffre d’un grave manque de travailleurs, l’accès au revenu minimal (“universal credit”) va être assorti d’obligations pour certaines personnes qui travaillent moins de 15 heures par semaine.
Cela pourrait inclure le fait de “postuler à un emploi, participer à des entretiens d’embauche”, ajoute le Trésor, qui veut aussi inciter les plus de 50 ans à revenir sur le marché du travail, dont ils sont sortis en grandes proportions depuis la pandémie, notamment pour cause de maladies longues.
Afin d’attirer des investissements au Royaume-Uni et notamment dans le secteur financier de la City, Kwasi Kwarteng et Liz Truss veulent aussi s’afficher comme des hérauts de la dérégulation post-Brexit.
Kwasi Kwarteng a notamment annoncé vendredi une suppression des limites héritées de l’UE sur les bonus de la City.
Enfin, le Trésor ambitionne de créer 38 zones “d’investissement” dérégulées, ressemblant au projet de ports francs du gouvernement conservateur précédent.
Kwasi Kwarteng a aussi prévenu que le droit de grève allait être plus encadré et limité aux cas où les négociations salariales ont échoué, après que le gouvernement précédent a déjà autorisé le recours aux intérimaires pour atténuer l’impact des mouvements sociaux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Publié
le
De
Le recul de l’activité économique en zone euro s’est accéléré en septembre dans le secteur privé, accentuant la crainte d’une récession alimentée par la flambée des prix, selon l’indice PMI Flash publié vendredi par S&P Global.
L’indice, calculé sur la base de sondages d’entreprises, est tombé à 48,2, son plus bas niveau depuis 20 mois, contre 48,9 en août. Il baisse pour le troisième mois consécutif. Un chiffre inférieur à 50 signale une contraction de l’activité.
“Une récession économique se dessine dans la zone euro, les entreprises de la région ayant signalé une dégradation de la conjoncture ainsi qu’une accentuation des tensions inflationnistes, liée à une flambée du coût de l’énergie”, a commenté Chris Williamson, économiste de S&P, cité dans un communiqué.
L’indice de septembre correspond, selon lui, à une baisse du produit intérieur brut (PIB) de 0,1% au troisième trimestre.
Les 19 pays partageant la monnaie unique enregistrent leurs “plus faibles performances économiques depuis 2013”, si l’on met à part la période des confinements durant la pandémie de Covid en 2020, a expliqué M. Williamson.
“C’est en Allemagne que la conjoncture s’est le plus fortement détériorée”, a-t-il souligné. La première économie de la zone euro subit la plus forte dégradation de sa conjoncture depuis 2009 quand l’activité mondiale avait été laminée par la grande crise financière.
Les indicateurs avancés européens n’annoncent rien de bon pour les prochains mois. Ils laissent au contraire “présager une accélération de la contraction au quatrième trimestre”, a averti cet expert.
D’après S&P, les difficultés d’approvisionnement se sont “quelque peu atténuées”. Mais désormais “les questions énergétiques et la hausse du coût de la vie s’inscrivent au coeur des préoccupations des entreprises”.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Derniers titres
L’info en continu
Les Cubains ont voté dimanche par référendum sur un nouveau code de la famille, qui inclut notamment le mariage pour…
Les conséquences pour la Russie seraient “catastrophiques” si le président russe Vladimir Poutine mettait à…
Quatre suspects ont été arrêtés ce week-end aux Pays-Bas dans le cadre d’une enquête sur…
Votre Horoscope
Vous êtes impatient de connaître la suite ! Mais rien ne sert de courir, la sagesse l’emportera sur l’action.
Voir tous les signes
Plus de 50’000 visiteurs pour Images Vevey
Fête des vendanges: début de la 95e édition à Neuchâtel
La Russie fait voter des annexions, Kiev revendique des avancées
Le festival Day4life débute ce vendredi à Rolle
Votations du 25 septembre 2022: suivi en continu (Live-Blog)
Gagnez vos places pour l’avant-première de « Désordres » !
La Suisse doit détruire 10 millions de doses de vaccin Moderna
Slowflow – Meet me
Radio LFM – Avenue de la Gare 4 – CH-1003 Lausanne
Standard : 021 341 11 11 – Antenne : 0842 00 10 33 – WhatsApp : 079 842 10 33 – Contactez-nous: sav@lfm.ch

© Copyright 2021 – Media One Group

source
https://netsolution.fr/gestion-de-la-production/

A propos de l'auteur

Avatar de Backlink pro
Backlink pro

Ajouter un commentaire

Backlink pro

Avatar de Backlink pro

Prenez contact avec nous

Les backlinks sont des liens d'autres sites web vers votre site web. Ils aident les internautes à trouver votre site et leur permettent de trouver plus facilement les informations qu'ils recherchent. Plus votre site Web possède de liens retour, plus les internautes sont susceptibles de le visiter.

Contact

Map for 12 rue lakanal 75015 PARIS FRANCE