Le ghosting est une méthode de rupture qui consiste, pour le ghosteur, à disparaître. L’expression vient du mot anglais « ghost » qui signifie fantôme.
Le ghosteur interrompt la relation, ou le début d’une relation, sans explication, en ignorant toutes tentatives de reprise de contact entrepris par le ghosté (le largué).
En 2018, une étude américaine s’est penchée sur le ghosting. Selon les chiffres, 20 % des personnes interrogées auraient été les victimes d’un ghosteur. 25 %, des mêmes personnes sondées, avouent avoir déjà eu recours à cette technique peu courtoise…
Les pratiques d’un ghosteur sont tout de même brutales. Ce dernier a la capacité de s’évaporer de votre vie, du jour au lendemain.
Le ghosting, contrairement aux raccourcis trop hâtifs, ne touche pas seulement les relations amoureuses. Il peut aussi être vécu au sein des relations amicales.
Cécile Guéret, psychopraticienne, qualifie le ghosting comme : « C’est le fait de ne pas considérer l’autre dans sa différence, son altérité, son humanité nécessairement singulière ; mais comme un objet dont le seul but est notre contentement, notre satisfaction, la réponse à nos attentes, quitte à lui mettre une pression inouïe pour qu’il ne nous déçoive pas. » (auteure de “Aimer, c’est prendre le risque de la surprise”)
De manière générale, les ghosteurs ont le syndrome de la lâcheté… Ils préfèrent fuir sans explications, plutôt que d’être confrontés aux tiraillements, parfois sans fin, de la rupture.
Il est difficile de connaître les raisons exactes qui poussent chaque ghosteur à prendre la poudre d’escampette. Cela dit, il est possible de discerner trois profils récurrents chez les ghosteurs.
Le ghosteur peureux est le premier. Celui-ci ne trouve pas le courage de dire qu’il ne souhaite pas poursuivre la relation. Souvent, il est envahi par la peur de blesser l’autre.
Incapable de gérer ses émotions et celles de la personne en face, il ne parvient pas à communiquer et préfère la fuite à la confrontation.
Le ghosteur compulsif. Ce deuxième profil a pour volonté d’enrichir son tableau de chasse. En tant qu’adepte de petits cœurs fragiles, il a tendance à ne pas être intéressé par la personne.
Repartant comme il est venu, son intérêt se limite à la simple intention de passer un bon moment. Fougueux et plein d’intensité, il sait vendre du rêve et la chute, pour la personne qui en paie les frais, est douloureuse.
Le ghosteur forcé. Ce dernier profil est particulier. Le ghosteur forcé est celui qui essaie, tant bien que mal, de mettre fin à la relation.
Cela fait plusieurs jours, voire plusieurs semaines, que vous attendez une réponse de votre crush après lui avoir proposé un rancard ? Vous vous êtes sûrement fait ghoster… Niveau amour-propre, ça met un petit coup. Mais avant de dramatiser ce ghosting et de vous remettre totalement en question, découvrez les trois profils les plus récurrents des ghosteurs.
Le ghosting est une méthode de rupture qui consiste, pour le ghosteur, à disparaître. L’expression vient du mot anglais « ghost » qui signifie fantôme. Apparemment, notre ami Casper ne faisait pas l’affaire pour prêter son nom à cette méthode…
Le ghosteur interrompt la relation, ou le début de la relation, sans explication, en ignorant toutes tentatives de reprise de contact entrepris par le « ghosté ».
En 2018, une étude américaine s’est penchée sur le ghosting. Selon les chiffres, 20 % des personnes interrogées auraient été les victimes d’un ghosteur. 25 %, des mêmes personnes sondées, avouent avoir déjà eu recours à cette technique peu courtoise…
Les pratiques d’un ghosteur sont tout de même brutales. Ce dernier a la capacité de s’évaporer de votre vie, du jour au lendemain. Le ghosting, contrairement aux raccourcis trop hâtifs, ne touche pas seulement les relations amoureuses. Il peut aussi être vécu au sein des relations amicales.
Cécile Guéret, psychopraticienne, qualifie le ghosting comme : « C’est le fait de ne pas considérer l’autre dans sa différence, son altérité, son humanité nécessairement singulière ; mais comme un objet dont le seul but est notre contentement, notre satisfaction, la réponse à nos attentes, quitte à lui mettre une pression inouïe pour qu’il ne nous déçoive pas. »
De manière générale, les ghosteurs ont le syndrome de la lâcheté… Ils préfèrent fuir sans explications, plutôt que d’être confrontés aux tiraillements, parfois sans fin, de la rupture.
Il est difficile de connaître les raisons exactes qui poussent chaque ghosteur à prendre la poudre d’escampette. Cela dit, il est possible de discerner trois profils récurrents chez les ghosteurs.
Le ghosteur peureux est le premier : Celui-ci ne trouve pas le courage de dire qu’il ne souhaite pas poursuivre la relation. Souvent, il est envahi par la peur de blesser l’autre. Incapable de gérer ses émotions et celles de la personne en face, il ne parvient pas à communiquer et préfère la fuite à la confrontation.
Le ghosteur compulsif : Ce deuxième profil a pour volonté d’enrichir son tableau de chasse. En tant qu’adepte de petits cœurs fragiles, il a tendance à ne pas être intéressé par la personne.
Repartant comme il est venu, son intérêt se limite à la simple intention de passer un bon moment. Fougueux et plein d’intensité, il sait vendre du rêve et la chute, pour la personne qui en paie les frais, est douloureuse.
Le ghosteur forcé : Ce dernier profil est particulier. Le ghosteur contraint est celui qui essaie, tant bien que mal, de mettre fin à la relation. En étant face à une personne qui ne veut pas entendre, ni comprendre, ses limites, il se voit obligé de mettre les voiles…
À lire également…
Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.
https://seo-consult.fr/page/communiquer-en-exprimant-ses-besoins-et-en-controlant-ses-emotions
