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Guerre en Ukraine, en direct : à Koupiansk, la contre-offensive ukrainienne bute sur une poche de résistance russe – Le Monde

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Dans cette ville importante de la région de Kharkiv, où l’eau et l’électricité manquent depuis une semaine selon des habitants, des civils fuient la rive est de la rivière Oskil, où sont retranchées les forces de Moscou.
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La « république populaire de Louhansk » a réclamé, lundi, un référendum « immédiat » en faveur d’un « rattachement » à la Russie, rapporte l’agence de presse d’Etat russe TASS.
« Nous estimons qu’il est plus opportun que jamais de prendre la décision d’organiser immédiatement un référendum sur le territoire de la “république populaire de Louhansk” », affirme un communiqué. Cette initiative « ouvrira de nouvelles opportunités sur la voie de la renaissance et de la restauration du pouvoir de notre région, son retour à une vie pacifique à part entière », est-il ajouté, alors que cet appel peut aussi refléter, comme l’analyse notre journaliste Emmanuel Grynszpan, la panique régnant parmi les dirigeants qui soutiennent Moscou devant la contre-attaque militaire ukrainienne.
Dans un message posté sur Telegram, Mykhaïlo Fedorov, ministre de la transformation numérique de l’Ukraine, a annoncé que le site Internet du groupe Wagner, une troupe de mercenaires sous contrôle russe, avait été piraté par « l’armée informatique d’Ukraine ».
Wagner aurait recruté des prisonniers russes pour combattre en Ukraine. « Nous avons toutes les données personnelles des mercenaires ! Chaque bourreau, meurtrier et violeur sera sévèrement puni », écrit M. Fedorov.
Serhi Bolvinov, le responsable de la police de Kharkiv, a dévoilé, sur Facebook, des images d’un poste de police d’Izioum, dans l’oblast de Kharkiv, qui aurait été utilisé comme prison et salle de torture par l’armée russe pendant la période d’occupation de la région.
M. Bolvinov déclare que les enquêteurs y ont découvert des registres avec une liste de détenus, ainsi que des instruments de torture, comme des câbles électriques. Il explique que chaque cellule sera analysée grâce à des prélèvements d’échantillons ADN et d’empreintes digitales, ce qui permettra d’établir une base de données qui servira de preuves dans un tribunal.
Selon lui, des « gens ont été gardés dans des cellules sombres au sous-sol pendant plusieurs semaines, voire des mois, sans comprendre toujours exactement ce que les occupants [russes] attendaient d’eux ».
La ville d’Izioum, passée sous occupation russe d’avril au début de septembre, a été récemment reprise par les forces ukrainiennes. Les autorités ont annoncé la découverte de plus de 440 tombes dans une forêt près de cette cité qui comptait quelque 50 000 habitants avant la guerre.
La quasi-totalité des corps retrouvés portaient des traces de mort violente et de torture, selon les autorités ukrainiennes. « C’est un mensonge. Nous allons, bien sûr, défendre la vérité dans cette affaire », a assuré lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Moscou avait déjà évoqué une « falsification » ukrainienne lorsque les forces russes avaient été accusées de nombreuses exactions à Boutcha, en périphérie de Kiev, où avaient été retrouvés après leur départ, à la fin de mars, des cadavres de civils exécutés dans les rues.
C’est une conséquence inattendue de la guerre en Ukraine. Dans quatre pays africains, à des milliers de kilomètres du théâtre des opérations, notamment au Soudan et au Burkina Faso, des agences ou des missions des Nations unies (ONU) mais aussi, par ricochet, des organisations humanitaires voient leurs déplacements entravés, depuis jeudi 15 septembre, faute d’avions et d’hélicoptères cloués au sol par l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) en raison de leur immatriculation russe.
Depuis minuit, dans la nuit de dimanche 18 à lundi 19 septembre, les touristes russes munis d’un visa Schengen, délivré par n’importe quel pays européen, n’ont plus le droit d’entrer en Estonie, en Lettonie, en Lituanie et en Pologne.
Pour entrer directement, et par voie terrestre, dans l’Union européenne (UE) – fermée aux avions russes –, ce sont autant de portes qui se ferment, ne laissant ouvert que le passage par la Finlande. Ce dernier pays n’a pas encore interdit l’entrée aux touristes, même si Helsinki a réduit de 90 % le nombre de visas qui leur sont accordés.
Dans la région de Kharkiv (nord-est) frontalière de la Russie, les forces ukrainiennes disent avoir repris ce mois-ci des milliers de kilomètres carrés. Mais dans la ville de Koupiansk, un nœud ferroviaire, leur ennemi s’accroche. Les Russes sont retranchés sur l’autre rive de la rivière Oskil qui traverse la ville.
Lundi, un flot de civils y cherchait à fuir la ville bombardée et où eau et électricité manquent depuis une semaine, selon des habitants. « C’est impossible de rester là où on habitait. Il y avait des tirs (…) toutes les heures », témoigne, auprès de l’Agence France-Presse, Lioudmila, 56 ans, qui a bravé les combats pour traverser la rivière, depuis la rive est vers la sécurité relative de la rive ouest. « C’est très dur là-bas », résume-t-elle.
La plupart des tirs audibles, lundi, provenaient des tanks et de l’artillerie ukrainienne, mais alors qu’une petite unité de soldats de Kiev avançait vers un pont peint aux couleurs rouge-blanc-bleu de la Russie, un échange violent de roquettes et d’obus a éclaté. Les soldats ukrainiens se sont mis à couvert sous un bâtiment en briques éventré, alors qu’un panache de fumée s’élevait dans le ciel au loin. A proximité, un panneau clame : « Nous sommes avec la Russie. Une nation ».
Des experts militaires estiment qu’une reconquête ukrainienne de Koupiansk, qui comptait quelque 58 000 habitants avant la guerre, rendrait plus difficile le ravitaillement des forces russes déployées plus au sud pour protéger leurs gains dans le bassin industriel du Donbass, objectif stratégique prioritaire du président russe, Vladimir Poutine.
Les troupes ukrainiennes sont désormais omniprésentes dans la ville, embarquées à toute vitesse dans des véhicules civils reconstruits ou marchant en ligne avec des sacs de ravitaillement. Quand Olena les a vus pour la première fois après six mois d’occupation russe, elle a été bouleversée. « J’avais envie de fondre en larmes et de rire en même temps », raconte-t-elle.
Isbank, le plus grand organisme de crédit turc, a cessé d’utiliser le système de paiement russe Mir, populaire parmi les touristes venus de Russie, selon l’agence Bloomberg. Cette décision fait suite à un avertissement adressé par le Trésor des Etats-Unis, qui, la semaine dernière, a dissuadé les institutions financières de sceller ou de développer des accords avec l’opérateur russe du système Mir.
La Turquie n’a pas adopté de sanctions contre les institutions russes en réponse à la guerre en Ukraine. Quatre autres banques turques utilisent le système Mir. Le 5 août, le président Recep Tayyip Erdogan avait dit, à la suite d’une rencontre avec Vladimir Poutine à Sotchi, que Mir facilitait le tourisme entre leurs deux pays.
A cette occasion, les deux dirigeants avaient cherché à afficher leur rapprochement, s’accordant notamment pour des paiements de fournitures d’énergie dans leurs monnaies respectives. Cette entente avait inquiété les partenaires occidentaux d’Ankara. Le Trésor américain avait réagi en prévenant les entreprises turques que se mettre en affaires avec certaines entités et personnes russes pouvait conduire à des sanctions.
Le président Erdogan navigue sur une ligne de crête depuis le début de l’invasion russe, en février. Il a présenté son pays en médiateur, et a aidé à la conclusion d’un accord pour la reprise des exportations de céréales depuis les ports des côtes ukrainiennes de la mer Noire.
Tout en participant à l’armement de l’Ukraine, il a défendu publiquement Vladimir Poutine contre les sanctions et a exhorté à ne pas « sous-estimer » la Russie. Ses relations avec Kiev, incluant la livraison d’armes telles que des drones, ont contrarié Moscou. Mais Ankara reste un partenaire-clé de la Russie depuis que les sanctions ont fermé à Moscou de nombreux débouchés pour le commerce et l’investissement.
Dans cette ville de l’Est ukrainien où ont été découvertes plusieurs centaines de sépultures après le retrait des troupes russes, Le Monde a recueilli le récit de Vitaliy, croque-mort, qui s’est occupé des enterrements. Selon lui, tous les morts seraient des civils, à de rares exceptions près.
Retrouvez ci-dessous le récit de notre envoyée spéciale Florence Aubenas.

Les échanges commerciaux entre la Russie et la Chine ont fortement progressé depuis le mois de janvier, notamment dans le domaine de l’énergie. C’est en mai que les échanges physiques et monétaires bilatéraux se sont accélérés, à une période où Pékin a par ailleurs radicalisé son discours contre les Etats-Unis.
La peur des sanctions contre Moscou a toutefois convaincu les principales banques chinoises de limiter leurs financements pour l’achat de biens russes. Vous pouvez lire l’analyse de notre journaliste Nathalie Guibert ci-dessous.
La Cour suprême de la région séparatiste prorusse de Louhansk, dans l’est de l’Ukraine, ont condamné lundi à treize ans de prison un employé de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), accusé de « haute trahison ».
Emprisonné depuis avril, Dmitri Chabanov est accusé par les autorités prorusses d’avoir fourni des « informations confidentielles » à des services de renseignement étrangers, dont la CIA. Selon les autorités séparatistes, M. Chabanov a commis ces actes de « haute trahison » entre août 2021 et avril 2022 lorsqu’il travaillait comme assistant à la sécurité de l’OSCE sur la base de patrouille avancée de Stakhanavoskaïa.
Le ministère de la sécurité d’Etat de Louhansk avait arrêté M. Chabanov et un autre employé de l’OSCE dans la région, Mikhaïl Petrov, en avril. La semaine dernière, l’OSCE a condamné « sans équivoque » les charges retenues à l’encontre de ses deux employés, dénonçant de « prétendues “poursuites judiciaires” totalement inacceptables ». « Ils sont détenus de manière injustifiée sur la base d’accusations montées de toutes pièces », avait dénoncé l’organisation dans un communiqué, appelant à leur libération immédiate.
La mission locale de l’OSCE, déployée dans la zone de conflit depuis 2014 pour tenter de réduire les tensions, avait quitté les deux régions séparatistes de Donetsk et de Louhansk dans la foulée du déclenchement de l’offensive russe en Ukraine en février dernier.
L’ombre de Vladimir Poutine devrait planer sur les débats de l’Assemblée générale des Nations unies, qui commencent lundi 19 septembre, à New York, dans le lourd contexte de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Ce temps fort de la diplomatie multilatérale, déjà mis à mal par la pandémie de Covid-19 en 2020 et en 2021, se tiendra jusqu’au 24 septembre sur fond de contre-offensive des forces ukrainiennes, après sept mois d’affrontements et d’impasse diplomatique entre Moscou et Kiev.
Jamais l’ordre international n’a paru aussi fracturé, le conflit révélant une nouvelle cartographie des rapports de force mondiaux. D’un côté, les Occidentaux et leurs alliés, emmenés par des Etats-Unis fatigués de jouer les gendarmes du monde, mais fers de lance du soutien à l’Ukraine dans une Europe traumatisée par le retour de la guerre. De l’autre, la Russie, membre du Conseil de sécurité, accusée de violer la charte des Nations unies en envahissant son voisin, et soutenue avec prudence et non sans arrière-pensées par la Chine.
Enfin, des pays d’Asie, d’Afrique – comme l’Afrique du Sud –, du Moyen-Orient et d’Amérique du Sud forment un groupe hétérogène, représenté par l’Inde, qui ne veut pas choisir son camp et s’inquiète des conséquences diplomatiques, alimentaires et énergétiques de cette guerre sur le continent européen.

Située au nord d’Odessa et de Mykolaïv, la centrale de Pivdennoukraïnsk (nom français : « d’Ukraine du Sud ») a été dans la nuit la cible d’une frappe russe qui a touché un bâtiment à 300 mètres d’un des trois réacteurs de la centrale.
« C’est un énième démenti par les faits du récit officiel russe selon lequel “seules des cibles militaires sont visées” et une confirmation que Moscou a décidé de plonger tous les Ukrainiens dans la misère et le froid », souligne le journaliste du Monde Emmanuel Grynszpan sur Twitter.
Il rappelle que cette centrale « devait selon le plan initial russe être capturée par des troupes d’élite fin février, pour être instrumentalisée comme celle de Zaporijia ».
Près de sept mois après le début de l’intervention russe en Ukraine, les bombardements se poursuivent à un rythme soutenu. Voici un résumé de la situation sur le terrain lundi :
La liste des sanctions contre Moscou s’est encore allongée ce lundi. Dès ce 19 septembre, la Pologne et les trois Etats baltes restreignent l’entrée sur leur sol de ressortissants russes porteurs de visas européens, « voyageant pour des raisons touristiques, culturelles, sportives ou professionnelles ».
Les premiers ministres de Pologne, Lituanie, Lettonie et Estonie avaient fait connaître cette décision le 8 septembre dans la logique d’ « approche régionale commune ». Dans une déclaration, ils signifiaient leur inquiétude « face à l’afflux important et croissant de ressortissants russes dans l’UE ». « Nous pensons que cela devient une menace grave pour notre sécurité publique et pour l’ensemble de la zone Schengen », ajoutaient-ils.
Des exceptions seront toutefois faites pour différentes catégories, notamment les « dissidents », les « cas humanitaires », les motifs familiaux et les titulaires de permis de résidence dans l’Union européenne. « Nous continuons d’affirmer la nécessité de soutenir les opposants au régime de Poutine et de leur offrir des possibilités de quitter la Russie », soulignaient les quatre Etats dans leur déclaration. Mais « il est inacceptable que les ressortissants d’un pays agresseur puissent voyager librement dans l’UE, quand dans le même temps des personnes en Ukraine sont torturées et assassinées ».
Une attaque menée par l’armée ukrainienne sur la ville de Donetsk, capitale de la zone séparatiste du même nom, a tué 13 civils, a affirmé le maire prorusse de la ville, Oleksi Koulemzine sur Telegram : « Selon des données préliminaires, 13 civils ont été tués à la suite d’un bombardement punitif sur la place des Commissaires-de-Bakou ».
Il précise que « le nombre de blessés » lors de cette frappe « est toujours en train d’être établi ». « Neuf obus de calibre 155 ont été tirés depuis le village de Netaïlove », a-t-il précisé, appelant la population à « ne sortir que si c’est absolument nécessaire ».
Avec la guerre, elles ont quitté l’Ukraine ou la Russie. Douze familles nous racontent leur quotidien au fil des mois. Cette semaine, parents et enfants évoquent la rentrée scolaire de septembre.
Installée à Cossé-le-Vivien (Mayenne) depuis juin, Veronika est désormais employée dans un abattoir. Un travail difficile, mais elle tient bon. Daria a fait sa rentrée en grande section et Anastasia en 4e. A Strasbourg, Maria aborde, elle, sa terminale en tentant de rester optimiste : elle vise « la moyenne » partout. Certes, elle ignore tout de ce qu’elle fera après le lycée, et même où elle sera, mais ça ne l’empêche pas de vouloir s’adapter à son nouvel environnement.

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