Pièces complète 2 euro commémorative et accessoires protection pièces

ENGIE remporte un contrat avec l'Université d'Etat de l'Ohio – Capital.fr

(AOF) – Engie (50 %) et Axium Infrastructure US (50 %) ont remporté une concession de 50 ans d’une valeur d’1,165 milliard de dollars américains (environ 1,1 milliard d’euros) pour assurer la gestion durable de l’énergie de l’Université d’Etat de l’Ohio, à Colombus, l’un des plus grands campus universitaires des États-Unis avec 485 bâtiments.

Isabelle Kocher, directeur général d’Engie, a déclaré : “Nous sommes très fiers à l’idée d’accompagner l’Etat de l’Ohio qui a pour ambition d’être à l’avant-garde en matière de gestion durable de l’énergie, tout en lui fournissant de nouvelles ressources pour renforcer sa mission académique. Ce partenariat public-privé sans précédent s’inscrit dans la stratégie d’Engie qui vise à adopter pour les territoires une approche spécifique centrée sur le client et ses propres besoins. Les réseaux d’énergie – qu’ils soient de chaleur ou de froid – font partie des moyens les plus efficaces et rentables pour réduire l’empreinte carbone. En ce sens, nous sommes convaincus chez Engie qu’ils constituent une solution clé pour des campus et villes plus durables.”
– Groupe visant à devenir leader mondial de la transition énergétique d’ici 2018, aujourd’hui premier producteur mondial d’électricité non nucléaire, premier fournisseur de services d’efficacité énergétique, deuxième fournisseur de services à l’environnement ;
– Activité répartie en 5 branches : énergie en Europe pour 47 % du chiffre d’affaires, énergie à l’international pour 19 %, services à l’énergie (21 %), GNL et Gaz pour 9,5 % et infrastructures ;
– Fortes positions en Europe d’où proviennent plus de la moitié des revenus ;

– Groupe réorganisé depuis 2016 en 24 entités opérationnelles, fondées essentiellement sur des zones géographiques et capables d’offrir plusieurs services à un même client ;
– Rapidité de l’avancée du plan stratégique à trois ans (au 30 septembre 2016, cessions réalisées à 41 % de l’objectifs, acquisition de Siradel, OpTerra dans l’innovation…
– Structure financière saine, avec une dette notée A, en fort recul en 2016 ;
– Visibilité sur le dividende de 1 € par titre au titre des exercices 2015-2016, 0,7 € pour 2017-2018.
– Pression fiscale et réglementaire accrue ;
– Conditions de marché très difficile en raison de la chute des cours du pétrole et du gaz ;

– Dans le nucléaire, gel de nombreux autres projets dans le monde et, en Belgique, risque de révision du taux d’actualisation des provisions nucléaires;
– Après la perte nette en 2015 du fait des dépréciations d’actifs, baisse de la rentabilité au premier semestre, du fait des baisses des prix de l’énergie ;

– Recul de la rentabilité dans les Amériques et en Asie-Afrique ;
– Expectatives sur la réalisation du plan stratégique d’où un cours proche de ses plus bas historiques.

– Secteur des « utilities », traditionnellement sensible à l’évolution des taux d’intérêt et aux décisions politiques ;
– Performances financières liées à l’évolution des prix du gaz, eux-mêmes dépendants du fioul domestique, du fioul lourd, du Brent et de la parité de change euro/dollar ;
– Exécution du plan stratégique à trois ans ayant les objectifs suivants : devenir leader mondial de la transition énergétique, en s’appuyant sur les positions actuelles de leader dans la production d’électricité, les infrastructures pour le gaz et les services à l’énergie; priorité donnée à l’électricité bas carbone, aux solutions intégrées et à la participation aux révolutions énergétiques, techno et digitales; baisse du profil de risque en portant à + 85 % la part des activités régulées et contractées; articulation entre les investissements de 22 Mds€ et la rotation du portefeuille pour 15 Mds d’euros; programme d’économies de coûts, pour 1 Md€, “Lean 2018” ;
– Evolution des partenariats de long terme avec les producteurs de gaz, tel Gazprom export (22 % de l’approvisionnement pour l’Europe) ;
– Attente du jugement définitif de la Cour de justice de l’Union européenne sur les tarifs réglementés du gaz ;

– Spéculations sur une ouverture du capital de la filiale belge Electrabel ;
– Valeur non opéable, car contrôlée à 34,2 % par l’Etat français, dont le capital évoluera : vers un désengagement total, en 2017, de GBL (groupe Albert Frère, actionnaire à 2,4 %) et vers un autre désengagement partiel de l’Etat français.
Les grands énergéticiens européens affrontent un environnement difficile, marqué par l’effondrement des prix sur les marchés de gros et une situation de surcapacité. Les utilities doivent également faire face à l’apparition de concurrents venus d’autres secteurs d’activité, tels que ceux issus du “smart building ” (gestion technique du bâtiment associée à un ensemble de services). En France, EDF affiche des difficultés financières, d’énormes besoins d’investissements pour entretenir son parc nucléaire et des tensions sur l’approvisionnement. En Allemagne, E.ON et RWE enregistrent de mauvais résultats financiers. Les fusions et acquisitions se multiplient dans le secteur de l’énergie. Au second trimestre 2016, leur valeur a progressé de 42% par rapport à 2015. Les sociétés opérant dans les énergies renouvelables restent très attractives. Les acquisitions, ciblées et de taille moyenne, de renforcement dans des activités spécifiques se poursuivent également. On note également un intérêt croissant des acheteurs asiatiques pour les actifs européens du secteur.
© Prisma Media – Groupe Vivendi 2023 Tous droits réservés

source

A propos de l'auteur

Backlink pro

Ajouter un commentaire

Backlink pro

Prenez contact avec nous

Les backlinks sont des liens d'autres sites web vers votre site web. Ils aident les internautes à trouver votre site et leur permettent de trouver plus facilement les informations qu'ils recherchent. Plus votre site Web possède de liens retour, plus les internautes sont susceptibles de le visiter.

Contact

Map for 12 rue lakanal 75015 PARIS FRANCE