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Comment choisir son téléviseur ? Notre guide sur les éléments à … – Clubic

Comment choisir son téléviseur ? Notre guide sur les éléments à ... - Clubic
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Entre les éléments marketing des fabricants et vendeurs, les technologies d’affichage et de traitements d’image, la taille, les connectiques et autres fonctionnalités, choisir un téléviseur est bien moins facile qu’il n’y paraît !

On vous donne un petit coup de pouce avec ce guide d’achat qui devrait vous aider à choisir plus sereinement, en ligne comme en magasin, histoire de ne pas être tributaire de fiches techniques confuses ou des conseils approximatifs d’un vendeur.
Découvrez notre comparatif des meilleurs téléviseurs : plus de 60 références en compétition. Lire la suite…
Nous cédons volontiers à la tentation sur pas mal de produits High-Tech sur lesquels, il faut le reconnaitre, il est facile de « craquer ». Nous pensons notamment aux smartphones et autres wearables comme les montres connectées, ou encore les accessoires gaming et autres périphériques.

S’il est bon en règle générale de faire mûrir la réflexion avant l’achat, certaines catégories de produits requièrent une analyse un peu plus poussée afin que votre choix corresponde au mieux à vos besoins et attentes. C’est le cas pour les PC et les composants informatiques par exemple, mais aussi pour les téléviseurs !

À première vue, on choisit un téléviseur en fonction de son prix et de sa taille, et parfois par rapport à la confiance que nous inspire la marque, le fabricant, ou encore une certaine gamme de produits au catalogue. Toutefois, bien d’autres paramètres sont à considérer pour coller à vos besoins actuels et futurs, pour la bonne raison qu’un téléviseur est un produit que vous conserverez (logiquement) au minimum cinq ans. Enfin, il serait dommage d’être déçu du modèle choisi ; vu l’investissement qu’un téléviseur représente, mieux vaut savoir à quoi s’attendre en fonction du prix.
Le budget reste le point crucial de tout investissement, peu importe le produit. La grande majorité des gens se voit contrainte par cette problématique et tout le monde ne peut pas investir 1 000 € et plus dans un téléviseur de nouvelle génération. Nous avons évidemment gardé ce fait en tête pour réaliser nos sélections de téléviseurs et vous trouverez ci-dessous nos différents comparatifs de téléviseurs en fonction de votre budget ainsi que quelques éléments pour savoir à quoi s’attendre entre telle et telle fourchette de prix.
Le budget est le point névralgique de votre choix. Il est préférable de définir un montant à ne pas dépasser, puis de regarder ensuite ce qu’il vous est permis avec cette somme. Si votre budget est modéré, le plus sage reste d’être patient et attentif afin de dégoter un véritable bon plan.
Pour ne rien vous cacher, le choix est relativement limité avec cet investissement minimum, il demande beaucoup de compromis et c’est sans surprise que l’on se trouvera très vite contraint tant sur la taille, le design, la marque et tous les autres critères de sélection. Notre sélection des meilleurs téléviseurs à moins de 300 € prouve tout de même que l’on peut trouver des références convenables et profiter de la 4K UHD sans se ruiner. Faute d’un budget plus conséquent, ces modèles devraient faire l’affaire. En outre, vu leur prix ils sont également pertinents comme modèle secondaire ou d’appoint, pour équiper une chambre par exemple.
Il ne faudra toutefois pas compter sur une diagonale supérieure à 43 pouces, voire 32 pouces si vous optez pour des marques de renom comme LG, Sony ou Samsung. L’ensemble des critères est vu au rabais sur des téléviseurs à ce tarif : design, audio, section Smart TV, rétroéclairage et traitements d’image, etc. Notre comparatif des meilleurs téléviseurs par marque vous aide à y voir plus clair.
Le CHiQ U43H7L est l'un des téléviseurs 4 UHD 43 parmi les plus complets sur cette gamme de prix, un réel « bon plan » vu ses caractéristiques. Il ne faut cependant pas s'attendre à des miracles, la qualité d'image est bonne, le design réussi, la prise en charge de l'HDR est un vrai avantage, mais le son et la section Smart TV de ce téléviseur laisse à désirer.
Le CHiQ U43H7L est l'un des téléviseurs 4 UHD 43 parmi les plus complets sur cette gamme de prix, un réel « bon plan » vu ses caractéristiques. Il ne faut cependant pas s'attendre à des miracles, la qualité d'image est bonne, le design réussi, la prise en charge de l'HDR est un vrai avantage, mais le son et la section Smart TV de ce téléviseur laisse à désirer.
On se retrouve finalement à choisir entre des modèles attractifs, simples et minimalistes, qui offrent une qualité d’image correcte pour regarder la télévision. La polyvalence ne fait effectivement pas partie des qualités de ces modèles ; leurs capacités seront souvent trop justes pour profiter d’une expérience qualitative avec une large diversité de contenus (HDR, cinéma, jeux vidéo, etc.).
À moins de 500 €, nous nous trouvons dans la fourchette de prix moyenne dans laquelle les Français investissent, les fabricants ont donc pas mal de fil à retordre pour proposer des modèles convaincants. Le choix devient également beaucoup plus large, ce qui n’est pas sans apporter un peu de confusion. Néanmoins, certains téléviseurs à ce tarif sont souvent mis en avant pour leur excellent rapport qualité / prix, des références que vous retrouvez au sein de notre comparatif des meilleurs téléviseurs à moins de 500 €.
Au quotidien, l’A7GQ se révèle être un assez bon compagnon pour regarder la télévision, des évènements sportifs, et ponctuellement pour s’adonner aux jeux vidéo. Pour les films, c’est autre chose. Ce téléviseur montre quelques lacunes pour rendre honneur et proposer une image cinéma digne de ce nom. Le manque de dynamisme et de détails, notamment dans les zones sombres, débouche sur une image sans réelle saveur, malgré le bon contraste de la dalle. Le rendu HDR est quant à lui futile, l’A7GQ ne dispose pas des capacités nécessaires en raison d’une luminosité bien trop faible et de l’absence de local dimming.
OK, et une fois replacé dans son contexte ? C’est-à-dire en prenant en compte qu’il s’agit d’un téléviseur QLED abordable qui, finalement, ne se destine pas aux passionnés et autres esthètes.
Il faut bien avouer que l’A7GQ propose une expérience solide compte tenu de son prix ; nous serions bien curieux de voir si les autres fabricants s’en sortent aussi bien sur cette fourchette de prix. Après tout, ce modèle se prête bien à un quotidien et familial avec une qualité d’image convenable lorsqu’il ne s’agit pas de visionner des films dans l’obscurité. Avec un système Vidaa amélioré, des traitements vidéo corrects pour un usage ordinaire, une fidélité imparfaite, mais suffisante dans ce cas de figure, ou encore une bonne expérience avec les jeux vidéo et le sport, difficile de demander la lune à un téléviseur qui a pour principale cible le rapport qualité/prix. Sur ce point, Hisense affine ses produits d’année en année, et ça se ressent avec l’A7GQ.
Au quotidien, l’A7GQ se révèle être un assez bon compagnon pour regarder la télévision, des évènements sportifs, et ponctuellement pour s’adonner aux jeux vidéo. Pour les films, c’est autre chose. Ce téléviseur montre quelques lacunes pour rendre honneur et proposer une image cinéma digne de ce nom. Le manque de dynamisme et de détails, notamment dans les zones sombres, débouche sur une image sans réelle saveur, malgré le bon contraste de la dalle. Le rendu HDR est quant à lui futile, l’A7GQ ne dispose pas des capacités nécessaires en raison d’une luminosité bien trop faible et de l’absence de local dimming.
OK, et une fois replacé dans son contexte ? C’est-à-dire en prenant en compte qu’il s’agit d’un téléviseur QLED abordable qui, finalement, ne se destine pas aux passionnés et autres esthètes.
Il faut bien avouer que l’A7GQ propose une expérience solide compte tenu de son prix ; nous serions bien curieux de voir si les autres fabricants s’en sortent aussi bien sur cette fourchette de prix. Après tout, ce modèle se prête bien à un quotidien et familial avec une qualité d’image convenable lorsqu’il ne s’agit pas de visionner des films dans l’obscurité. Avec un système Vidaa amélioré, des traitements vidéo corrects pour un usage ordinaire, une fidélité imparfaite, mais suffisante dans ce cas de figure, ou encore une bonne expérience avec les jeux vidéo et le sport, difficile de demander la lune à un téléviseur qui a pour principale cible le rapport qualité/prix. Sur ce point, Hisense affine ses produits d’année en année, et ça se ressent avec l’A7GQ.
À ce prix, on trouve en majorité des téléviseurs avec une diagonale de 43 pouces, mais il est possible de trouver plus grand, jusqu’à 50 pouces, voire 55 pouces pour certains modèles. Bien entendu, à ce tarif les téléviseurs LCD continuent de régner, tout comme le rétroéclairage Edge LED. On trouve cependant des modèles Full LED ou Direct LED, d’autres qui prennent en charge les contenus HDR avec plus ou moins d’efficacité et proposent différentes technologies pour améliorer l’image. Autant de choses que nous détaillons au sein de cet article.
En investissant au maximum 800 €, vous ouvrez les portes à des modèles beaucoup plus complets et polyvalents, LED ou QLED. Attention toutefois, car il existe une assez grande disparité sur cette tranche de prix, notre sélection des meilleurs téléviseurs à moins de 800 € devrait toutefois vous aider.
Ce téléviseur réunit tout le nécessaire pour se montrer polyvalent et même plus grâce à l’Ambilight. Philips parvient une nouvelle fois à séduire avec un modèle qui se montre aussi bien taillé pour le cinéma que pour la télévision et le jeu vidéo, une belle prouesse à un tarif qui reste abordable.
Ce téléviseur réunit tout le nécessaire pour se montrer polyvalent et même plus grâce à l’Ambilight. Philips parvient une nouvelle fois à séduire avec un modèle qui se montre aussi bien taillé pour le cinéma que pour la télévision et le jeu vidéo, une belle prouesse à un tarif qui reste abordable.
Concrètement, le choix en fonction de la taille est déjà bien plus confortable puisque vous serez en mesure de trouver des téléviseurs jusqu’à 65 pouces avec 800 € dans votre portefeuille. Hormis la diagonale, l’avantage à ce tarif est surtout de monter en gamme, notamment en profitant de TVs dites « Quantum Dot », à savoir des télés équipées d’un film QDEF, nous y reviendrons. On trouve ainsi les appellations QLED, ULED, Triluminos, NanoCell et ainsi de suite selon les fabricants.
À partir de 1 200 €, les téléviseurs OLED vous tendent les bras. Cette technologie est actuellement plus abordable que jamais, avec des tarifs qui ont bien baissé au fil des années. Cependant, l’OLED à moins de 1 500€, ce sera en 48 ou 55 pouces uniquement, comme vous pourrez le constater avec notre sélection des meilleurs téléviseurs à moins de 1 500 €.
Le Philips 48OLED806 est un téléviseur séduisant sous bien des coutures. Philips fait preuve de maîtrise en matière de qualité d’image et exploite parfaitement cette dalle OLED. Il y ajoute son expertise avec des traitements vidéo d’une rare qualité, pas si loin de ce que peut produire un téléviseur Panasonic.

L’Ambilight est un avantage évident sur ce téléviseur, il renforce l’immersion sans pour autant venir dénaturer l’atmosphère d’une œuvre. Tout le monde n’appréciera pas forcément, c’est vrai, les effets sont toutefois suffisamment bien gérés (et paramétrables) pour en faire une solution d’éclairage recommandable. Enfin, le système audio de ce téléviseur est très appréciable et permet de se passer d’une barre de son pour les moins exigeants. Sur un téléviseur de 48 pouces, c’est assez rare pour être souligné.

Il y a hélas quelques "couacs", avec une colorimétrie trop peu fidèle en sortie de carton et des réglages nécessaires pour profiter d’une image plus juste. L’inconvénient le plus impactant reste néanmoins tous ces problèmes qui gravitent autour de l’HDMI 2.1. Ce téléviseur ne tient pas toutes ses promesses sur ce point. Nous espérons que Philips communiquera à ce sujet et parviendra à corriger le tir.
Le Philips 48OLED806 est un téléviseur séduisant sous bien des coutures. Philips fait preuve de maîtrise en matière de qualité d’image et exploite parfaitement cette dalle OLED. Il y ajoute son expertise avec des traitements vidéo d’une rare qualité, pas si loin de ce que peut produire un téléviseur Panasonic.

L’Ambilight est un avantage évident sur ce téléviseur, il renforce l’immersion sans pour autant venir dénaturer l’atmosphère d’une œuvre. Tout le monde n’appréciera pas forcément, c’est vrai, les effets sont toutefois suffisamment bien gérés (et paramétrables) pour en faire une solution d’éclairage recommandable. Enfin, le système audio de ce téléviseur est très appréciable et permet de se passer d’une barre de son pour les moins exigeants. Sur un téléviseur de 48 pouces, c’est assez rare pour être souligné.

Il y a hélas quelques "couacs", avec une colorimétrie trop peu fidèle en sortie de carton et des réglages nécessaires pour profiter d’une image plus juste. L’inconvénient le plus impactant reste néanmoins tous ces problèmes qui gravitent autour de l’HDMI 2.1. Ce téléviseur ne tient pas toutes ses promesses sur ce point. Nous espérons que Philips communiquera à ce sujet et parviendra à corriger le tir.
Dans la famille LCD, les grandes tailles sont de sortie avec des modèles de 65 et même 75 pouces. On monte également en gamme au niveau du design, de l’ergonomie, et bien sûr de la qualité d’image grâce à différents traitements et technologies selon les marques. Idem concernant l’efficacité du processeur, ou encore les sections Smart TV et audio. Pour résumer, en franchissant le seuil de 1 000 € vous aurez un large choix de téléviseurs LCD haut de gamme, sans réelle concession. Nous vous conseillons cependant de consulter nos tests de téléviseurs pour savoir à quoi vous attendre face à telle ou telle référence.
Avec un budget de 1 500 € et plus, vous accédez tout simplement aux meilleurs et aux plus grands téléviseurs du marché. Si cette somme semble encore raisonnable, il faut toutefois aller bien au-delà sur certaines catégories de produits. On pense bien sûr aux grandes dalles OLED qui restent coûteuses avec un prix moyen situé entre 2 000 et 2 500€, ou encore aux téléviseurs 8K UHD. Notre sélection des meilleurs téléviseurs à plus de 1 500€ devrait combler celles et ceux qui recherchent un modèle sans failles, à la pointe de la technologie.
Panasonic a su peaufiner la recette de son téléviseur OLED haut de gamme pour proposer l’un des meilleurs modèles du moment. Le japonais met une nouvelle fois son savoir-faire à profit en matière de qualité d’image : le JZ2000 assure surtout un excellent rendu HDR sans pour autant recourir à une dalle « Evo ». Un petit tour de passe-passe dont seul Panasonic a le secret qui, conjugué à sa maîtrise de l’image et des traitements vidéo, lui confère une avance notoire sur ses concurrents.

Et il serait bien maladroit d’omettre ce que Panasonic propose en matière d’audio avec son JZ2000. Le système audio de ce téléviseur est simplement le plus convaincant du marché à l’heure actuelle ; l’effet Dolby Atmos est bien présent et parvient à créer un semblant de bulle autour du téléspectateur. En faisant appel à sa filiale Technics pour le son, Panasonic avance en terrain connu et ne déçoit pas. En revanche, il y a fort à parier que beaucoup d’acheteurs préfèreront se tourner vers un JZ1500 et investir dans un système audio dédié, d’autant que celui-ci se prête mieux à un montage mural puisqu’il conserve un châssis bien moins large et profond là où le JZ2000 accueille un grand nombre d’enceintes.

Pour résumer, Panasonic tient toutes ses promesses au niveau de l’image, de la colorimétrie, des traitements vidéo et du son. Reste la partie gaming que nous n’avons pas pu tester dans des conditions optimales. C’est dommage, car il s’agit là d’un point de bascule tout à fait important pour bon nombre d’acheteurs, et sans doute celui sur lequel le fabricant japonais a encore le plus de choses à démontrer. Nous espérons pouvoir constater ses éventuels progrès dans un futur proche.
Panasonic a su peaufiner la recette de son téléviseur OLED haut de gamme pour proposer l’un des meilleurs modèles du moment. Le japonais met une nouvelle fois son savoir-faire à profit en matière de qualité d’image : le JZ2000 assure surtout un excellent rendu HDR sans pour autant recourir à une dalle « Evo ». Un petit tour de passe-passe dont seul Panasonic a le secret qui, conjugué à sa maîtrise de l’image et des traitements vidéo, lui confère une avance notoire sur ses concurrents.

Et il serait bien maladroit d’omettre ce que Panasonic propose en matière d’audio avec son JZ2000. Le système audio de ce téléviseur est simplement le plus convaincant du marché à l’heure actuelle ; l’effet Dolby Atmos est bien présent et parvient à créer un semblant de bulle autour du téléspectateur. En faisant appel à sa filiale Technics pour le son, Panasonic avance en terrain connu et ne déçoit pas. En revanche, il y a fort à parier que beaucoup d’acheteurs préfèreront se tourner vers un JZ1500 et investir dans un système audio dédié, d’autant que celui-ci se prête mieux à un montage mural puisqu’il conserve un châssis bien moins large et profond là où le JZ2000 accueille un grand nombre d’enceintes.

Pour résumer, Panasonic tient toutes ses promesses au niveau de l’image, de la colorimétrie, des traitements vidéo et du son. Reste la partie gaming que nous n’avons pas pu tester dans des conditions optimales. C’est dommage, car il s’agit là d’un point de bascule tout à fait important pour bon nombre d’acheteurs, et sans doute celui sur lequel le fabricant japonais a encore le plus de choses à démontrer. Nous espérons pouvoir constater ses éventuels progrès dans un futur proche.
Comme indiqué en début d’article, il est important de faire mûrir votre achat. D’abord pour ne pas être déçu, mais aussi pour avoir la possibilité de monter en gamme sans payer le prix fort. Plusieurs solutions s’offrent à vous pour profiter du meilleur téléviseur sans pour autant dépasser votre budget.

On vous conseille notamment de vous orienter vers les gammes qui ont été lancées l’année précédente. Vous n’obtiendrez que très rarement de bons prix sur un téléviseur de nouvelle génération, mais la sortie des nouvelles gammes faisant baisser le prix des anciennes, les commerçants n’hésitent pas à brader certaines références afin d’écouler les stocks.

Scruter les bons plans peut à ce titre se révéler fructueux. L’équipe Clubic Bons Plans n’hésite pas à relayer les offres les plus alléchantes avec des téléviseurs qui s’affichent parfois à prix cassé.
Il arrive que des téléviseurs plus récents profitent d’une ODR (offre de réduction) directement proposée par le fabricant, mais cela reste moins fréquent que les bons plans et autres promotions. Les évènements comme le Black Friday, le Cyber Monday, ou encore les French Days, sont également susceptibles d’afficher des téléviseurs aux tarifs bien plus attractifs, à surveiller donc. Au final, vous gagnerez à faire preuve de patience.

Pour terminer, le marché des offres reconditionnées ou celui de l’occasion permettent clairement de monter en gamme même avec un budget limité. Ils demandent toutefois d’être plus précautionneux lors de l’achat afin de s’assurer d’obtenir un modèle dépourvu de défaut.
« Plus c’est grand, mieux c’est ». C’est vrai, surtout que l’on s’habitue vite aux téléviseurs de taille importante : il est difficile de revenir sur une TV de 55 pouces après avoir goûté à un modèle similaire en 65 pouces.
Il faut cependant prendre en considération la distance de recul et le champ de vision afin de ne pas investir plus qu’il ne faut dans un téléviseur dont les dimensions seraient trop importantes pour votre pièce. Pour une expérience optimale, il est recommandé de visionner vos programmes de telle sorte que l’écran couvre entre 30 et 40° de votre champ de vision. Il est donc préférable de connaître la distance de recul recommandée en suivant ce conseil et en prenant en compte la définition et la taille du téléviseur.
Vous pouvez ainsi vous référer au graphique ci-dessus, mais aussi consulter notre article complet pour savoir comment choisir la bonne diagonale pour son téléviseur. Notons toutefois qu'il n'est pas obligatoire de prendre toutes ces recommandations au pied de la lettre.
Pour éviter la mauvaise surprise d’avoir acheté un téléviseur qui ne tient pas sur votre meuble TV, il convient d'observer ce qu’il propose comme support. Une installation murale règle le problème, mais dans ce cas précis c’est davantage le design et l’ergonomie du téléviseur qu’il faudra regarder.

Il existe plusieurs types de supports avec leurs limites et avantages. Le plus répandu, ce sont les pieds excentrés, ils requièrent de posséder un meuble au moins aussi long que le téléviseur lorsqu’ils sont placés à ses deux extrémités. Le problème de ce type de support, c’est qu’il n’offre aucun réglage ergonomique.
Les socles offrent de bien meilleures prestations, d’abord car ils prennent place au centre du téléviseur, ce qui ne pose plus de problème de taille de meuble TV, mais aussi car certains d’entre eux (attention ce n’est pas toujours le cas) possèdent quelques réglages ergonomiques, avec fonction pivot. Enfin, certains socles apportent une plus-value au téléviseur, des atouts esthétiques et ergonomiques, mais pas uniquement. On pense notamment au pied massif du LG OLED55CX, dont la forme sert à rediriger le son des haut-parleurs. Astucieux !
Les téléviseurs sont de plus en plus fins alors pourquoi s’embarrasser d'installer le vôtre sur un meuble TV ? La fixation murale dégage un peu d’espace dans votre intérieur et produit un bel effet ! Certains téléviseurs se distinguent particulièrement en matière de design et auront bien mieux leur place contre un mur plutôt que sur un meuble. Les différentes normes VESA vous permettent toutefois de fixer n’importe quel téléviseur récent.
Il est cependant nécessaire de prendre quelques précautions en fonction de la nature du mur (béton, placoplâtre, etc.) et d’être un minimum bricoleur pour réaliser une installation correcte et sécurisée, surtout s’il s’agit de placer un support orientable sur une cloison creuse.  
Pour choisir votre support, il suffit de connaître la distance entre les points de fixation verticaux et horizontaux, comme le montre le schéma ci-dessus. Il est important de vérifier que le poids du téléviseur ne dépasse pas le poids maximum autorisé par le support choisi.

Pour terminer, sachez que l’épaisseur du téléviseur et l’emplacement des connectiques sont des critères importants pour une fixation murale. Un téléviseur épais sera forcément plus lourd et moins gracieux en matière d’esthétique. En ce qui concerne les connectiques, gardez en tête qu’elles seront la plupart du temps difficilement accessibles, il est alors nécessaire de câbler en amont de l’installation.
Certains téléviseurs Samsung se démarquent bien à ce niveau grâce à leur boîtier OneConnect qui permet de n’avoir qu’un seul câble à relier au téléviseur. Autrement, il faudra ruser pour dissimuler les câbles, à l’aide d’un cache-câbles ou en les faisant passer directement dans le mur.
En matière de connectiques il convient de savoir ce que vous comptez brancher à votre téléviseur, mais aussi éventuellement ce que vous y brancherez dans un avenir proche. Vous avez peut-être pour projet de mieux vous équiper suite à l’achat de votre téléviseur, par exemple avec une barre de son, un système home-cinéma, un lecteur Blu-Ray, ou encore une console de jeu de nouvelle génération.

L’idéal reste d’opter pour un téléviseur généreux en connectiques, histoire de ne pas être contraint dans les mois et années qui suivront votre acquisition. Par exemple, l’image ci-dessous montre le panneau de connectiques d’un téléviseur Philips ; celui-ci est généreusement garni de quatre prises HDMI compatibles ARC, ce qui ne sera pas de trop puisqu’une majorité d’appareils est équipée aujourd’hui de ce connecteur.
La compatibilité ARC (Audio Return Channel) signifie que vous n’avez pas besoin de câble supplémentaire pour relier une barre de son ou autre système audio. Attention toutefois, car beaucoup de téléviseurs n’embarquent qu’un seul port HDMI ARC, contrairement à celui présenté ici.

Autre détail à propos des normes et câbles HDMI, leur numéro de version. Dans la plupart des cas l’HDMI 1.4 et l’HDMI 2.0 suffiront pour diffuser des contenus en 4K UHD, attention : ces connecteurs doivent être certifiés HDCP 2.2, un protocole qui permet de lutter contre la copie illégale de contenus en haute définition. L’HDMI 2.1, la plus récente des normes HDMI, dote quant à elle nos téléviseurs de nouvelles fonctionnalités !
Elle permet ainsi de prendre en charge des flux vidéo jusqu’à 10K à 120 Hz, mais aussi de profiter des fonctions du rafraîchissement variable (VRR) et de l’Auto Low Latency Mode (ALLM) chères aux joueurs, du Dynamic HDR et de l’eARC, ou encore des technologies QMS et QFT. Le tableau ci-dessus résume ce que vous pouvez attendre de l’HDMI 2.1 et des autres versions.
En l’absence de port HDMI libre, ou d’HDMI ARC, les sorties audio se feront via un câble optique ou coaxial, ou encore via une simple prise RCA. Les téléviseurs récents embarquent également des connectiques plus anciennes afin de connecter vos appareils d’antan, on pense notamment à la prise composante YUV et aux prises Péritel (SCART) et VGA. Si vous souhaitez utiliser un casque filaire, assurez-vous de la présence d’une sortie mini-jack, elle tend à disparaître aujourd’hui au profit du Bluetooth. Hélas, les téléviseurs embarquent souvent des codecs Bluetooth standards comme le SBC, au détriment de la qualité audio et de la latence donc.
La connectivité est un point important pour les Smart TV. Par ailleurs, comme la 4K UHD, les téléviseurs connectés sont aujourd’hui légion et il vous sera bien difficile de trouver un modèle non connecté. On retrouve donc une prise RJ45 et très généralement une connexion Wi-Fi.
La définition 4K Ultra HD s’est clairement imposée sur nos téléviseurs, bien que cela ne soit pas toujours le cas dans le monde de l’audiovisuel. La 4K UHD est l’évolution logique qui fait suite aux téléviseurs Haute Définition qui équipaient nos salons il y a peu encore. Il ne faut toutefois pas confondre la 4K UHD avec la véritable 4K employée au cinéma, car le ratio d’affichage de nos téléviseurs est en 16:9, ce qui correspond à 3 840 x 2 160 pixels et non 4 096 x 2 160. Par rapport à la définition Full HD, la 4K UHD multiplie le nombre de pixels par quatre, le rendu est par conséquent plus net et détaillé, ce qui permet notamment de se positionner plus près de l’écran tout en offrant des téléviseurs plus grands.
Alors que la 4K UHD a demandé plusieurs longues années avant de pleinement se démocratiser, voilà que l’on nous parle déjà de 8K UHD ! Il est en effet un peu tôt pour se procurer un tel téléviseur, d’abord car les tarifs sont très élevés et les références encore peu nombreuses, mais aussi car les contenus en 8K UHD manquent cruellement à l’appel.

Malgré tout, cela ne vous empêche pas de craquer pour un téléviseur 8K à partir du moment où vous en avez les moyens. À vrai dire, ce sont de véritables produits haut de gamme qui proposent une expérience riche et complète.
Le haut de gamme 8K Samsung QE75Q950TS se rapproche de l'OLED avec un excellent contraste mais aussi une luminosité supérieure, l'avantage de la technologie LCD. Le tout dans un châssis à la présentation magnifique.
Le haut de gamme 8K Samsung QE75Q950TS se rapproche de l'OLED avec un excellent contraste mais aussi une luminosité supérieure, l'avantage de la technologie LCD. Le tout dans un châssis à la présentation magnifique.
L’offre de contenus 8K UHD est famélique ? Ce n’est pas un souci, votre TV met à l’échelle les contenus de définition inférieure en 8K UHD. L’intelligence artificielle offre en effet des fonctions d’upscaling très convaincantes.
Pas toujours facile à saisir, les technologies d’affichage sont pourtant ce qui conditionne le plus la qualité d’image et le rendu à l’écran. Résumons brièvement celles que l’on trouve actuellement sur le marché.

Il existe deux grandes familles, LED et OLED, mais beaucoup de variantes et d’appellations différentes à connaître pour tout savoir sur les technologies d’écran et ce qui en découle. On en profite également pour faire le point sur les technologies qui émergeront peut-être au cours des prochaines années.
On ne fait plus vraiment de différence aujourd’hui entre LCD et LED, pour la simple raison que les téléviseurs à cristaux liquides (LCD) sont tous équipés d’une source lumineuse de type LED.
Sans entrer dans les détails techniques propres à cette technologie, il faut tout de même savoir que cette source lumineuse, le rétroéclairage, est différente selon les modèles (et surtout en fonction de leur tarif). Il en va de même pour la dalle LCD, aujourd’hui les fabricants ont recours à deux types de dalles pour les téléviseurs : VA et IPS.
On distingue trois types de rétroéclairage : Edge LED, Direct LED (ou Full LED), et Full Array (FALD). Forcément, plus le rétroéclairage est important, plus le téléviseur sera onéreux et gourmand en énergie. Vous en apprendrez plus sur les avantages et limites de chaque rétroéclairage en suivant nos liens.
On peut penser que cette technologie commence à être dépassée et qu’elle n’évoluera désormais plus beaucoup, mais ce n’est pas totalement vrai.

Pour commencer, les téléviseurs LED sont les plus abordables du marché, lorsque l’on connaît l’investissement moyen pour un téléviseur, on peut estimer que la famille LED a encore de beaux jours devant elle. D’un point de vue technologique, les téléviseurs dits « QLED » ont permis d’en améliorer les performances, tandis que la technologie Mini-LED porte elle aussi de belles promesses.

Cependant, les limites inhérentes au rétroéclairage restent d'actualité, on pense notamment au clouding, banding et autre blomming, vignettage et fuites de lumière qui affectent l'expérience sur certaines dalles et références. Ces défaillances du rétroéclairage sont clairement la bête noire des téléviseurs LED.
Samsung a joué sur les acronymes et sur la confusion des consommateurs pour venir concurrencer l’OLED de LG et ne pas se faire piquer la vedette sur le segment des téléviseurs haut de gamme.

Avant l’apparition des premiers téléviseurs QLED en 2017, le terme faisait référence à une technologie où les sous-pixels Quantum Dot seraient capables d’émettre leur propre lumière, à l’instar de l’OLED. Toujours en voie de développement, nous préférons désormais parler de QD-LED – Quantum-Dot Light-Emitting Diodes – afin d’éviter toute confusion.
Un téléviseur QLED n’est donc autre qu’un téléviseur LED, mais son principe de fonctionnement est quelque peu différent. Le rétroéclairage est ici composé de LED bleues accompagnées par un film QDEF – Quantum Dot Enhancement Film. Constitués de milliards de minuscules Quantum Dot au sein de plusieurs films empilés, ces luminophores convertissent la lumière émanant du rétroéclairage en différentes longueurs d’onde selon leur taille.
Au final, les téléviseurs QLED sont plus lumineux, couvrent plus largement les espaces colorimétriques et offrent un spectre de lumière blanche plus équilibré.
Finalement, si Samsung a utilisé ce terme à des fins marketing pour lancer de nouvelles gammes de téléviseurs, il n’empêche que les téléviseurs QLED ont fait souffler un vent de renouveau sur la famille LED.
Néanmoins, on y retrouve les faiblesses liées au rétroéclairage et au type de dalle. Le QLED chez Samsung et TCL a par exemple recours à des dalles VA. D’autres marques ont développé leurs produits grâce à cette technologie, notamment les téléviseurs Hisense sous l’appellation ULED, Triluminos chez Sony, ou encore NanoCell chez LG. Notons que la gamme NanoCell a recours quant à elle à des dalles IPS.

Les téléviseurs QLED se sont donc bien démocratisés depuis 2017. Au départ réservé à des modèles haut de gamme, on retrouve désormais cette technologie en milieu de gamme, mais aussi chez des fabricants low cost avec quelques références aux alentours de 500 €, des téléviseurs TCL, ou encore chez Hisense qui a lancé le moins coûteux modèle réunissant FALD et QLED, le 65U8QF.
« Les téléviseurs QLED ont fait souffler un vent de renouveau sur la famille LED »
La technologie OLED possède bien des qualités et permet de s’affranchir des défauts que l’on retrouve sur les téléviseurs de la famille LED. À ce titre, l’OLED réalise un bond technologique assez flagrant, pour autant il subsiste certaines limites et inconvénients qu’il faut garder à l’esprit.
On voit bien l’intérêt de l’OLED et ses pixels autoémissifs avec le schéma ci-dessous, son principe de fonctionnement lui permet notamment de se passer des unités de rétroéclairage et donc des limites et faiblesses qui lui sont associées. Un téléviseur OLED 4K contient donc plus de 8 millions de pixels émettant chacun leur propre source de lumière, ce qui signifie qu’un pixel peut être individuellement éteint. Il en résulte des noirs et des contrastes parfaits et inégalables, un temps de réponse réduit au plus court (> 0,1 ms), de meilleurs angles de vue et une consommation électrique à la baisse.

Qui dit absence de rétroéclairage, dit également poids et volume réduits : les téléviseurs OLED sont en effet extrêmement fins, un atout majeur en matière de design.
Il en découle cependant un coût de production bien plus élevé, il faut également savoir que le processeur qui anime le téléviseur doit être particulièrement véloce pour gérer individuellement ce grand nombre de pixels.

Il faut bien également en venir aux faiblesses de l’OLED. LG Display a considérablement amélioré certains points, à commencer par la durée de vie de ses dalles, mais le risque de marquage (rétention d’images ou encore burn-in) est toujours présent. Pour en savoir plus à ce propos et connaître les solutions développées pour pallier ce problème de marquage, nous vous recommandons la lecture de notre interview avec LG France.
Autre inconvénient : le pic lumineux, qui peine à atteindre la luminosité proposée notamment par des écrans FALD. De nets progrès ont cependant été réalisés sur les dernières générations de téléviseurs OLED, avec un pic lumineux qui atteint quasiment 1 000 nits sur certaines références.
Malgré le fait que l’OLED ne pèse pas plus de 2% sur le marché des téléviseurs, cette technologie parvient tout de même à progresser, lentement mais sûrement, ce qui permet notamment de tirer les prix vers le bas.
En 2020, les téléviseurs OLED d’entrée de gamme n’ont jamais été aussi peu chers, notamment chez Philips et LG. D’autre part, les chaînes de production se multiplient, LG Display a inauguré sa première usine hors de ses propres frontières, en Chine, lui permettant ainsi d’augmenter ses capacités de production pour les dalles LCD comme OLED.

L’année 2020 marque également le premier lancement de téléviseurs OLED avec une diagonale inférieure à 55 pouces, à savoir les LG OLED48CX et Sony KD-48A9. Cette réduction de taille a été rendue possible grâce à la production de dalles mères pour les téléviseurs OLED 8K de 77 pouces.
Si l’OLED ne s’est pas encore vraiment démocratisé en raison de son tarif élevé, cette technologie commence néanmoins à être de plus en plus présente sur le marché. Les économies d’échelles réalisées ces derniers temps ont permis de faire (légèrement) baisser les prix, chose qui devrait continuer dans les années à venir.
Déjà évoquées avec le fameux QD-LED, de nombreuses technologies, à différents stades de développement, sont pressenties sur le marché des téléviseurs. Nous n’allons pas entrer dans les détails ici, mais simplement les porter à votre connaissance brièvement.

On pense d’abord à la technologie Mini-LED, arrivée sur le marché grand public en 2020 avec le TCL X10 Mini LED. En 2021, le fabricant chinois a été rejoint par Samsung, LG, ou encore Hisense et Philips.

Rappelons que la technologie Mini-LED se constitue toujours d’un rétroéclairage, à la différence qu’il dénombre beaucoup plus de diodes, de plus petites tailles, et donc un nombre de zones bien supérieur aux téléviseurs LED classiques.
Pour le reste et en vrac, vous trouverez des informations sur les technologies Micro-LED, QD-OLED, QNED et AMQLED, en explorant les liens ci-contre.
C’est un point que nous tenions à aborder ici, car il s’agit d’un élément relativement important selon les conditions de visionnage et que nous prenons en compte lors de nos tests de téléviseurs.
S’il y a une chose à savoir à propos des filtres antireflet, c’est que plus le téléviseur dispose d’une luminosité importante, plus il est possible de l’équiper avec un filtre efficace. Le filtre antireflet peut en effet induire une légère perte de luminosité, ce pour quoi il est généralement plus efficace sur un téléviseur QLED qui dispose d’un haut pic lumineux, que sur un téléviseur OLED dont la luminosité est bien plus basse.
Tous les filtres antireflet ne se valent donc pas. Par exemple, sur ses modèles QLED haut de gamme, Samsung parvient à nous proposer l’un des meilleurs filtres antireflet du marché, idéal si vous visionnez souvent la télévision la journée ou dans un environnement particulièrement lumineux. Sur ses références QLED d’entrée et de milieu de gamme, son filtre est toutefois moins efficace.
Nous avons tendance à scruter davantage la taille et la qualité d’image lorsque l’on choisit un téléviseur, mais pour une Smart TV le système d’exploitation a aussi son importance. Elle varie cependant selon les utilisateurs, car tous n’ont pas forcément envie de profiter d’une expérience connectée riche et complète.

Et comme cela serait bien trop facile d’avoir un OS unique, les marques ont recours à différents systèmes et tous ne se valent pas. Interface, ergonomie, fonctionnalités, on fait rapidement le point ci-dessous en vous présentant les principaux systèmes d’exploitation que l’on trouve actuellement.
Tout le monde connaît Android ! Le système d’exploitation open source de Google est le plus répandu et exploité au sein de téléviseurs connectés. Android TV est une solution de facilité pour les constructeurs, qui n’ont ainsi pas besoin de développer leur propre OS. Il apporte de nombreux atouts aux utilisateurs, notamment le catalogue d’applications le plus complet du marché. Le contrôle vocal avec Google Assistant, ou via un d'autres appareils Android, est également de la partie.
Il n’a cependant pas que des avantages. Sa lenteur est ainsi souvent pointée du doigt lorsqu’il équipe des téléviseurs dont le processeur intégré n’est pas des plus véloces. Enfin, les constructeurs sont tributaires des mises à jour déployées par Google qu’ils doivent ajuster en fonction des références, il en résulte une fréquence de mises à jour moindre comparé à d’autres.

Parmi les fabricants qui ont recours à Android TV, on peut citer TCL, Sharp, Hisense, ou encore Sony. Il faut toutefois savoir que certains n’intègrent pas Android TV sur l’ensemble de leur gamme. Chez Philips, il faut par exemple se contenter de Saphi en entrée de gamme, un OS qui propose le strict minimum en matière de fonctionnalités connectées et d’applications.
Comme son nom l’indique, LG WebOS est un système propriétaire que l’on trouve uniquement sur les téléviseurs LG. L’interface diffère largement d’Android TV grâce à un menu organisé avec des tuiles colorées. LG a développé bon nombre de fonctionnalités avec son WebOS, notamment pour le contrôle vocal (ThinQ AI) via la télécommande ou encore l’application mobile LG TV Plus.
Précisons aussi que la LG Remote est une télécommande gyroscopique, très pratique pour naviguer rapidement. L’OS en lui-même est réactif et parfaitement optimisé. Néanmoins, on trouve beaucoup moins d’application dans le LG Content Store que sur Android TV, environ 500 contre 5 000. Les principales sont bel et bien présentes et LG travaille à en intégrer de nouvelles, comme ce sera le cas prochainement avec l'ajout de myCanal sur les téléviseurs LG.
À l’instar de LG, Samsung a choisi de développer son propre système qu’il utilise au sein de plusieurs appareils connectés, notamment ses montres connectées et Smart TV. Avec son Smart Hub, Tizen offre une interface qui rappelle WebOS, le menu se situe en bas de l’écran et laisse donc une grande partie de l’image visible.
L’App Store de Tizen est bien fourni, mais il nécessite un compte Samsung. Les principaux services sont là, bien que la richesse du catalogue est forcément en retrait par rapport à Android TV. On regrette cependant que myCanal soit considéré comme un second décodeur, cela signifie que si votre abonnement a déjà été activé sur deux décodeurs, vous ne pourrez pas en profiter sur Tizen. Du côté du contrôle vocal, Bixby est aux commandes. L’assistant de Samsung, que l’on retrouve sur ses smartphones, est efficace, tout comme l’application SmartThings sur smartphones et tablettes.
Tizen présente les inconvénients des systèmes propriétaires, mais aussi beaucoup d’avantages : ergonomie de l’interface, réactivité, mises à jour fréquentes, l’expérience est complète à quelques détails près.
Les trois systèmes d'exploitation présentés ci-dessus sont clairement les meilleurs à l'heure actuelle et à défaut de pouvoir développer des systèmes propriétaires aussi complets que ceux de LG et Samsung, tous les fabricants n'ont pas forcément recours à Android TV.
Parmi eux, on peut citer Hisense et Philips qui réservent Android TV à seulement certaines de leurs références. Ces deux constructeurs ont développé leurs propres systèmes avec Vidaa U et Saphi. Ces derniers présentent pas mal de différences, mais se rejoignent sur plusieurs points avec une interface relativement minimaliste, un catalogue d’applications assez pauvre et peu de fonctionnalités multimédia et connectées.
My Home Screen équipe quant à lui l’ensemble des téléviseurs Panasonic. Il est beaucoup plus fourni que Vidaa U et Saphi, mais reste en retrait par rapport aux systèmes de LG et Samsung. Dérivé de Firefox OS, il embarque des fonctionnalités connectées intéressantes, mais dispose d’un catalogue d’applications assez restreint, sur lequel il faut faire une croix sur des services comme Spotify, myCanal ou encore Bein Sport pour ne citer qu’eux.
Reste la solution d’acquérir une passerelle multimédia ou une box Android TV si vous n’êtes pas satisfait de ce que propose le système d’exploitation de votre téléviseur. Vous trouverez certainement votre bonheur dans notre sélection des meilleures box Android TV ou encore avec un boîtier multimédia comme l’Amazon Fire Stick TV.
La compatibilité HDR (High Dynamic Range) est sans doute la question la plus épineuse lors du choix d’un téléviseur, mais pourquoi ?
D’abord, car tous les téléviseurs ne sont pas capables de prendre en charge cette technologie, mais aussi, car ceux qui le peuvent n’excellent pas toujours. Pour qu’un téléviseur puisse diffuser des flux vidéo en HDR, il doit d’abord posséder une dalle 10 bits : bon nombre de modèles s’arrêtent encore à un affichage 8 bits aujourd’hui. Ensuite, l’expérience HDR est bien différente selon la technologie d’affichage (LED ou OLED) et les types de rétroéclairage, si on évoque seulement le cas des téléviseurs LED.
Avec l’HDR, tout ou presque est histoire de luminance. Le pic lumineux doit ainsi être suffisamment haut, inversement pour le niveau de noir afin d’offrir un rendu plus lumineux et contrasté et de faire ressortir les détails de la scène. Enfin, pour que les scènes HDR soient diffusées avec précision, un rétroéclairage avec local dimming est requis.

Plus ce système comporte de zones contrôlables individuellement et plus la gradation des noirs sera précise et homogène. Notons que le problème ne se pose pas avec l’OLED, puisque cette technologie offre des noirs et un contraste infini et que chaque pixel est contrôlé individuellement.
Une bonne expérience HDR, c’est aussi un téléviseur capable de couvrir avec largesse et précision différents espaces colorimétriques. L’UHD Alliance préconise ainsi que les téléviseurs HDR couvrent la totalité du spectre sRGB, mais aussi les espaces Rec.2020 et DCI-P3 à hauteur de 90 %, ce qui n’est pas toujours le cas.
Comme nous venons de le voir, les normes HDR imposent des contraintes assez fortes aux fabricants et sans surprise le tarif d’un bon téléviseur HDR labellisé « Ultra HD Premium » varie en conséquence.
Du côté du consommateur, le choix peut être compliqué, voire confus. Le téléviseur n’est en effet pas le seul à intervenir pour profiter de l’HDR : les contenus doivent avoir été tournés en HDR, les sources de diffusion doivent être compatibles avec l’une des normes HDR tout comme votre matériel, par exemple si vous utilisez un décodeur TV ou un boîtier multimédia.
Concernant le matériel, il faut aussi penser aux câbles qui permettent de transporter le flux vidéo, ou encore à votre connexion internet (fibre recommandée) si jamais vous passer par un service de SVOD comme Netflix et Amazon Prime Video. Tout ceci est résumé clairement au sein de notre dossier HDR10, HDR10+, Dolby Vision : quel est le meilleur format ?. Vous y apprendrez notamment les principales différences entre ces normes, ainsi que les avantages de l’HDR10+ et le Dolby Vision qui ont recours à des métadonnées dynamiques.
Mettons tout de suite de côté les appellations marketing autour de l’HDR, on pense notamment aux mentions HDR Pro, HDR Plus, ou HDR Elite. Bien que certaines ne sont plus d’actualité, elles ajoutent de la confusion à un écosystème déjà suffisamment complexe. Ces appellations ne sont pas des certifications officielles, mais de simples éléments marketing pour présenter des téléviseurs compatibles HDR10 ou parfois avec une meilleure plage dynamique ou une luminosité boostée par rapport à des téléviseurs SDR.
L’écosystème HDR comprend trois certifications : HDR10, HDR10+ et Dolby Vision. Il existe d’autres certifications, pour les appareils photo, smartphones, ou encore pour les équipements professionnels comme les outils de mastering et autre post-production que nous n’abordons pas ici (PQ 10, Advanced HDR by Technocolor). Enfin, l’HDR HLG (Hybrid Log Gamma) est un standard libre de droits développé et adopté par plusieurs chaînes de télévision (BBC, NHK, Sky), conçu pour celles-ci et « compatible » avec les téléviseurs SDR.

Du côté des jeux vidéo, l’industrie tente de définir ses propres recommandations avec l’HDR HGiG (HDR Gaming Interest Group). Cette association regroupe des fabricants de téléviseurs, de moniteurs et de hardware, mais aussi des producteurs et éditeurs de jeux vidéo. Précisons que l’HDR HGiG n’est pas un organisme de certification.
Revenons-en à notre sujet de départ : la complexité de cet écosystème.

Elle provient du fait que tous les constructeurs n’adoptent pas l’intégralité des certifications HDR, comme nous pouvons l’observer avec l’image ci-dessus. Tous partagent le classique HDR10, mais c’est loin d’être le cas des contenus HDR à métadonnées dynamiques.

Samsung ne prend ainsi en charge que l’HDR10+, quand LG, Sony et consorts se concentrent sur le Dolby Vision. Seuls TCL, Hisense, TP-Vision (Philips) et Panasonic offrent les deux formats. Notons qu’il y a tout de même du mouvement : TCL et Hisense ne proposaient ni l’HDR10+ ni le Dolby Vision en 2019.
Jusque là, tout va bien. Mais il faut également prendre en compte les appareils que nous raccordons à notre téléviseur, tout autant que les services que nous utilisons.
Par exemple, la PlayStation 5 ne prend en charge que l’HDR10, là où les Xbox Series X | S proposent l’HDR10 et le Dolby Vision. Il en va de même pour les lecteurs Blu-Ray et autres box multimédia, comme pour les services VOD.

Comme le montre l’image ci-dessus, Netflix ne propose pas de contenus en HDR10+, quand Amazon Prime Video et Rakuten TV offrent des films et séries en HDR10+ comme en Dolby Vision.
L’audio est définitivement le parent pauvre des téléviseurs. Les systèmes audio qu’ils embarquent ne sont généralement pas très convaincants, à quelques exceptions près notamment sur des modèles haut de gamme.

Malgré la grande variété de formats audio compatibles avec nos téléviseurs (Dolby Digital, Atmos, DTS, etc.), le meilleur moyen d’en profiter reste de s’équiper avec du matériel de qualité en fonction de votre budget, mais aussi de vos exigences.

Les barres de son permettent de bénéficier d’un bien meilleur rendu, tout en restant dans des fourchettes de prix acceptables. Ceux qui recherchent une véritable expérience cinématographique n’hésiteront pas à investir dans un home cinema ou un système audio de pointe. Enfin, notons qu’une enceinte multiroom peut également convenir, notamment pour contrôler votre téléviseur et autre équipement domotique à l’aide de la voix.
Le choix d’un téléviseur peut varier en fonction de vos principaux usages. Un téléviseur sur lequel on compte visionner principalement des émissions de télévision n’a pas forcément besoin de regrouper les mêmes qualités qu’un modèle que l’on destine aux jeux vidéo ou au cinéma. Quoi qu’il en soit, l’idéal reste d’opter pour la polyvalence. Résumons tout de même quels critères scruter selon les usages.
LG OLED48CX
Comme moniteur PC
Sony KD-55XH9096
Le polyvalent
Panasonic TX-65HZ2000E
Comme au cinéma
Tout au long de ce dossier, nous avons évoqué de nombreux éléments qui animent et améliorent l’expérience avec nos téléviseurs, qu’il s’agisse de fonctionnalités propres à votre TV connectée, ou de technologies de traitements d’image et autres normes et formats. Il y a cependant certains termes, pourtant importants, sur lesquels nous ne sommes passés que brièvement.

Puisque nous en avons l’occasion avant de clore cet article, nous allons revenir dès maintenant sur certains d’entre eux. Avant tout, rappelons que si vous ne trouvez pas les réponses que vous souhaitez ici même, vous les trouverez sans l’ombre d’un doute au sein des nombreux articles et dossiers vers lesquels nous avons disposé des liens, ou encore en consultant nos tests et comparatifs de téléviseurs.
Nous sommes assez longuement revenus sur l’HDR, sans pour autant expliquer ce que sont les mentions 8 / 10 / 12 bits ou 8 bits + FRC.

Sans entrer dans de complexes détails, il faut savoir qu’un pixel est composé de trois sous-pixels (RVB – rouge, vert et bleu). Un encodage de profondeur de couleur de 8 bits signifie que l’on pourra obtenir 256 nuances d’une même couleur. Pourquoi 256 ? Car un octet de 8 bits permet de coder 256 valeurs différentes, ni plus ni moins. Par conséquent, avec nos trois sous-pixels (8 bits par couleur, 24 bits au total) nous obtenons très exactement 16 777 216 couleurs (256^3). Ce chiffre paraît déjà énorme ; en réalité il permet de couvrir la totalité l’espace colorimétrique Rec.709.
L’HDR requiert quant à lui une profondeur de couleur de 10 bits, et ça change tout. Il est ici question de 1 024 nuances pour chaque couleur primaire. Le résultat est donc considérablement plus élevé (1 024^3) avec un peu plus d’un milliard de couleurs. L’espace Rec.709 ne suffit plus pour mesurer, on utilise les diagrammes de chromaticité DCI-P3 et Rec.2020 pour définir ce que ces téléviseurs sont capables de diffuser.

Pour information, avec ces espaces on parle de Wide Color Gamut (WCG), littéralement de couverture colorimétrique étendue. Dans nos tests vous retrouvez ainsi ces différentes mesures, à titre d’exemple le LG OLED65GX couvre 76,4 % de l’espace Rec.2020 et 98,9 % du DCI-P3, des valeurs qui font partie des meilleures à l’heure actuelle.
Le Dolby Vision pousse les choses encore plus loin avec un encodage sur 12 bits (4 096 nuances par couleur), ce qui équivaudrait à afficher plus de 68 milliards de couleurs !

Les téléviseurs ne proposent pas encore de dalles 12 bits, il s’agira peut-être de l’une des prochaines grandes évolutions de ce marché, mais les fabricants semblent plus occupés à développer la 8K UHD à l’heure actuelle. Néanmoins, cela n’empêche en aucun cas de profiter du Dolby Vision avec une dalle 10 bits !
Se pose aussi la question de la pertinence d'afficher autant de couleurs. Les dernières études scientifiques en date font état d'une perception humaine d'environ 10 millions de couleurs, qui varie énormément en fonction des personnes.
Pour faire simple : les dalles 8 bits + FRC « simulent » un rendu 10 bits en faisant varier l’état des sous-pixels par le biais d’un scintillement pour « tromper » l’œil humain. Concrètement, le sous-pixel s’éteint et se rallume avec une certaine fréquence entre deux nuances de couleurs, d’où son nom de « Frame Rate Control ».

Ces dalles sont moins coûteuses à fabriquer, mais n’atteignent pas le rendu d’une dalle 10 bits. Notons que cette technologie pouvait induire un scintillement visible à l’écran, mais elle a depuis évolué et les téléviseurs (et moniteurs) récents ne devraient logiquement pas présenter ce défaut.
En matière de traitement vidéo, les téléviseurs sont tributaires de leur processeur : la qualité et la variété de traitement vidéo proposé dépendent par conséquent du processeur embarqué. Évidemment, on ne retrouve pas les mêmes capacités suivant les marques et leurs différentes gammes.

Sony, Philips et LG, entre autres, sont parvenus à développer des processeurs relativement efficaces qui agissent sur plusieurs points cruciaux de la chaîne de traitement d’un flux vidéo. La puissance de calcul et les algorithmes sont ainsi au service de la réduction de bruit, du mappage des couleurs, de l’amélioration du contraste, mais aussi de la gestion des mouvements, la netteté, ou encore la mise à l’échelle des contenus (upscaling).
Il est difficile d’évoquer le sujet de façon exhaustive : chaque fabricant utilise des technologies et des appellations différentes et souvent des fonctions propriétaires. L’idéal reste de s’informer sur les possibilités offertes par le processeur d’image du téléviseur et consulter des tests où celui-ci est mis à l’épreuve.

Chaque année, les processeurs évoluent un peu plus et nous offrent de nouvelles fonctionnalités. À l’heure actuelle, le P5 Perfect Engine de Philips, les Sony X1 Ultimate et Extreme, et l’α9 Gen3 de LG figurent parmi les meilleurs. Samsung est également un très bon élève sur ce point avec son Crystal Processeur 4K.

Notons enfin que la puissance du processeur joue sur la fluidité et la réactivité de l’interface et du système d’exploitation des téléviseurs connectés. C’est pour cette raison qu’Android TV pose parfois problème sur des modèles d’entrée de gamme qui n’embarquent qu’un processeur à la puissance de calcul limitée. Vous n’êtes pas à l’abri de quelques ralentissements sur ce type d’appareils.
En général, on désire utiliser directement son nouveau téléviseur après l’avoir installé. Nous sommes nombreux à ne pas trop nous soucier de la fidélité de notre téléviseur et de son étalonnage d’usine. Pourtant, ce critère est très important selon les contenus visionnés, ou bien en fonction des conditions de visionnage. Dans certains cas, il sera intéressant d’ajuster vous-même certains paramètres ou bien, selon vos exigences, de calibrer votre téléviseur à l’aide d’une sonde colorimétrique.
Les téléviseurs proposent différents modes d’images, il s’agit de profils préréglés pour différents types d’utilisation. Les références les plus complètes peuvent parfois contenir plus de 10 modes, l’assurance de ne pas trop avoir à farfouiller au sein des réglages du téléviseur pour obtenir un rendu correct.

On y retrouve souvent les modes Standard et Eco, Dynamique (ou Vif), Sport, Jeux, et bien entendu Cinema. Le mode Cinéma est celui sur lequel les fabricants se penchent le plus, d’abord car il s’agit généralement du mode le mieux étalonné d’un téléviseur, mais aussi car il n’arrive pas toujours seul. Les téléviseurs de dernière génération embarquent ainsi des modes Cinéma jour et Cinéma Nuit, ISF Expert, ou encore le mode FilmMaker.
Développé par l’UHD Alliance en partenariat avec certains constructeurs (Panasonic, LG, Samsung, Vizio, etc.), ce dernier se targue d’offrir un rendu au plus proche de la vision des réalisateurs. Il désactive par conséquent certains traitements d’image (fluidité, surbalayage, réduction de bruit) et respecte la référence D65 pour le point blanc. L’intérêt de ce mode est qu’il est utilisable en SDR comme en HDR et qu’il ne varie pas d’un téléviseur à un autre. L’expérience est donc uniforme et les spectateurs peuvent s’attendre à retrouver les qualités de ce mode sur un téléviseur Sony comme LG. Malgré tout, le Filmmaker Mode ne garantit en rien que le téléviseur soit correctement étalonné et ne dispense donc pas d'avoir à ajuster certains paramètres ou utiliser des mires de calibrage et une sonde.
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source

http://fragua.org/otdr-pour-detecter-un-point-de-blocage-dans-un-cable-a-fibre-optique/

https://netsolution.fr/detection-dun-point-de-blocage-dans-un-cable-a-fibre-optique/

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