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Comment Aramco est devenu synonyme de partenariat entre l'Arabie saoudite et les États-Unis – Arabnews fr

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DHAHRAN: Saudi Aramco est devenu synonyme de partenariat entre le Royaume et l’Amérique, et est sans doute l’une des collaborations les plus fructueuses de l’époque récente. Le nom de la compagnie, Aramco, est un acronyme pour: AR, arabe, AM, américain, CO, entreprise. Le partenariat entre les deux pays est aussi intégré que des particules de sable.
Mais pour comprendre l’alliance actuelle entre les deux États, il faut se pencher sur le passé.
Tout a commencé en 1933 lorsque la Standard Oil of California (Socal) a créé une nouvelle unité de forage à l’étranger, après avoir signé un accord de concession avec le royaume saoudien. Une entreprise affiliée, la California Arabian Standard Oil Company (Casoc), a été constituée pour gérer cet accord. Les forages ont commencé avec optimisme et enthousiasme en 1935 dans une vaste zone désertique saoudienne, bien qu’aucune ressource pétrolière n’y ait été recensée auparavant. Les géologues avaient le pressentiment qu’il y trouveraient quelque chose. 
À cette époque, ils avaient l’habitude de se rendre physiquement dans une zone du désert de Dammam dans une chaleur accablante pour essayer de deviner où forer, en se basant entièrement sur leurs observations à l’œil nu. Ils ont foré les sols six fois différentes, ne trouvant rien d’autre que d’amères déceptions.
Puis, en 1938, l’Américain Max Steineke a dit à son équipe de «continuer à forer». La septième fois a été la bonne, le numéro porte-bonheur qui a permis de trouver de l’or liquide. Ce premier puits de pétrole accessible a été affectueusement nommé Dammam-7, ou «puits de la fortune». C’est un nom qui est encore souvent utilisé avec affection à Dhahran, où se trouve le siège social de Saudi Aramco.
Avançons plus loin dans le siècle: dans les années 1960, alors que la recherche de pétrole et de gaz devenait plus difficile, la société s’est tournée vers la technologie et le programme d’exploration sismique 2D. Avec l’avènement de la force de frappe informatique d’IBM et de Cray dans les années 1990 et au début des années 2000, Aramco a pu utiliser une technologie sismique 3D qui a permis aux géologues de déterminer de façon plus précise les emplacements de forage à partir d’images 3D du sous-sol. Pour créer des images plus élaborées et détaillées du sous-sol à des profondeurs de plusieurs kilomètres, il existait un besoin toujours croissant de données sismiques, notamment les études sismiques High Channel Count. Il fallait une puissance de calcul avancée pour traiter ces énormes données.
Dans les années 1970, le gouvernement saoudien a progressivement commencé à acheter des actions de la société, d’abord 25% puis 60%, jusqu’à ce qu’il finisse par en détenir 100% en 1980. En 1988 est ainsi née la Saudi Arabian Oil Company ou Aramco, dont S.E. Ali al-Naimi est devenu le célèbre premier PDG saoudien. Avant cela, tous les présidents étaient des Américains. Pour de nombreux expatriés américains, Aramco reste toujours leur «chez eux», et nombreux sont ceux dans la région qui qualifient le camp d’Aramco de «mini Amérique». La société est devenue publique et a été officiellement cotée à la Bourse saoudienne (Tadawul) fin 2019, juste avant que ne frappe la pandémie de Covid-19.
Avec une productivité accrue et une technologie de classe mondiale, l’entreprise a maintenu un pied en Amérique, par le biais de sa filiale Aramco Americas située dans un autre climat chaud, en l’occurrence à Houston, au Texas.
Son site Web officiel indique que ses services sont multiples. Ils comprennent la gestion d’un réseau de trois centres de recherche américains et de bureaux technologiques à Houston, Boston et Detroit; l’identification des technologies en amont et en aval, des meilleures pratiques et des partenaires technologiques potentiels pour Saudi Aramco; l’apport de biens et services et services d’ingénierie; l’aide au recrutement et à la formation des étudiants et des employés parrainés par Saudi Aramco en Amérique du Nord.
Aujourd’hui, Aramco Americas joue de nombreux rôles. Au sein de l’entreprise est publié l’un des plus anciens magazines basés aux États-Unis, destiné aux lecteurs anglophones et qui traite du monde arabe et musulman. Le magazine bimensuel primé par le passé se concentre sur la création d’une compréhension interculturelle entre l’Orient et l’Occident. Le premier numéro a été publié en novembre 1949, les rédacteurs étant présents dans différentes parties du monde. Le magazine a été rebaptisé Saudi Aramco World en 2000, puis renommé Aramco World en 2015. 
Le bureau de la rédaction s’est installé à Houston en 1987, où il est encore opérationnel aujourd’hui. Cette revue imprimée sur papier glacé est envoyée aux lecteurs américains et aux «Aramcons» à Dhahran six fois par an. Toujours en évolution, le magazine dispose désormais d’une application smartphone et de riches archives comprenant 50 000 photos accessibles. L’édition imprimée du site Web d’Aramco World indique qu’il compte environ 35 000 abonnés dans plus de 125 pays.
Aramco Americas a cherché à se diversifier du pétrole et du gaz et à se concentrer sur des domaines essentiels comme le développement durable et l’environnement. Récemment, l’entreprise a lancé un projet financé par la National Fish and Wildlife Foundation’s Coral Reef Conservation (NFWF), dans le cadre duquel des efforts sont déployés pour aider à sauver et à reconstruire d’importants récifs côtiers des États-Unis et d’autres pays.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
https://arab.news/9whmy
BRUXELLES: Le chef de la diplomatie européenne et coordinateur pour le dossier du nucléaire iranien, l’Espagnol Josep Borrell, a soumis un projet de compromis et a appelé mardi les parties engagées dans les pourparlers à Vienne de l’accepter pour éviter une “dangereuse crise”.
Il reconnait que le texte “n’est pas un accord parfait”, mais “il représente le meilleur accord possible que moi, en tant que facilitateur des négociations, considère comme réalisable”, précise-t-il dans une tribune publiée par le Financial Times.
Le compromis proposé “aborde tous les éléments essentiels et comprend des compromis durement gagnés par toutes les parties”, souligne-t-il.”
En cas de rejet, “nous risquons une crise nucléaire dangereuse”, met-il en garde.
“Le Coordonnateur a fait part de ses idées pour conclure les négociations. Nous aussi, nous avons nos propres idées, tant sur le fond que dans la forme, pour conclure les négociations”, a déclaré mardi le négociateur iranien Ali Bagheri dans un message sur son compte twitter.
Conclu par l’Iran et six puissances (Russie, Etats-Unis, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne), le JCPOA est l’accord de 2015 encadrant le programme nucléaire iranien.
Coordinateur du JCPOA, Josep Borrell s’est rendu à Téhéran le 25 juin pour y rencontrer le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian. Les deux responsables ont annoncé la reprise “dans les prochains jours” des pourparlers menés à Vienne.
Les pourparlers en Autriche ouverts en avril 2021 sont destinés à réintégrer les Etats-Unis à l’accord sur le nucléaire iranien conclu en 2015 et à ramener l’Iran au respect intégral de ses engagements dictés par ce pacte. Ils sont au point mort depuis mars.
Le compromis soumis par Josep Borrell aborde “en détail” la levée des sanctions imposées à l’Iran et les mesures nucléaires nécessaires pour rétablir le JCPOA.
Il ne répond pas à toutes les préoccupations des États-Unis concernant l’Iran et de sérieuses réserves sont exprimées à Téhéran pour la mise en œuvre d’un accord, reconnait Josep Borrell. “Mais des décisions doivent être prises maintenant”, plaide-t-il.
Le JCPOA vise à garantir le caractère civil du programme nucléaire de l’Iran, accusé de chercher à se doter de l’arme atomique malgré ses démentis, en échange d’une levée progressive des sanctions internationales qui frappent l’économie iranienne.
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NATIONS UNIES: Le soutien «constant et ferme» de l’Arabie saoudite au peuple palestinien ne changera pas, «même si nous autorisons le passage de vols internationaux au-dessus de notre espace aérien», a déclaré le représentant permanent adjoint du Royaume auprès de l’ONU.
Mohammed Abdelaziz Alateek a ajouté que l’ouverture de l’espace aérien saoudien à tous les transporteurs qui répondent aux exigences de survol de son autorité aéronautique correspond aux obligations internationales du Royaume et n’est pas «un prélude à d’autres mesures».
Au cours d’une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies consacrée au Moyen-Orient, Alateek a déclaré aux membres du Conseil et à de nombreux représentants de pays que l’Arabie saoudite demeure attachée aux «principes constants» visant à mettre fin à l’occupation israélienne, à créer un État palestinien indépendant avec Jérusalem-Est pour capitale et à garantir le droit au retour des réfugiés palestiniens.
«Le Royaume continuera à se tenir aux côtés du peuple palestinien», a-t-il assuré. «Nous réaffirmons l’importance d’une paix globale et durable au Moyen-Orient en tant que choix stratégique afin de mettre fin à l’un des conflits les plus longs et les plus compliqués de notre histoire moderne. Tout cela sur la base de la solution à deux États, et conformément aux termes de référence internationaux, ainsi qu’à l’initiative de paix arabe de 2002 qui garantit la création d’un État palestinien selon les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale, le retour des réfugiés, et la fin de l’occupation israélienne de tous les territoires arabes, dont le Golan arabe syrien et les territoires libanais.»
Alateek a exhorté le Conseil de sécurité des Nations unies et la communauté internationale à «assumer leurs responsabilités» en aidant les Palestiniens à réaliser leurs aspirations à un État indépendant et en s’attaquant aux «violations continues par Israël du droit international et des résolutions du Conseil de sécurité».
La longue histoire de conflits et d’instabilité du Moyen-Orient l’a rendu plus vulnérable à l’impact négatif de défis tels que les pandémies, a expliqué Alateek, qui a réaffirmé la conviction de l’Arabie saoudite que la coopération régionale et internationale est primordiale pour faire face à ces épreuves communes.
Cette conviction est à l’origine de la décision de tenir le sommet de Djeddah sur la sécurité et le développement du 16 juillet, dont les résultats comprennent un engagement en faveur de la sécurité et de la stabilité du Yémen et un soutien aux efforts de l’envoyé spécial des Nations unies, Hans Grundberg, pour renforcer et prolonger la trêve actuelle pour la deuxième fois, a signalé Alateek.
«Les milices houthies doivent respecter la trêve», a-t-il insisté. «Elles doivent cesser d’exploiter les souffrances des civils yéménites. Elles doivent ouvrir des corridors humanitaires à Taïz.»
Le maintien d’un Moyen-Orient exempt d’armes de destruction massive est un autre consensus auquel sont parvenus les participants arabes au sommet.
«Nous devons également empêcher le financement, l’armement et le recrutement de groupes terroristes par certains pays de la région», a souligné Alateek.
Il a conclu en condamnant l’attaque de la semaine dernière contre Dohuk, dans le nord de l’Irak, et a soutenu que l’Arabie saoudite se tiendra aux côtés de l’Irak pour faire face aux défis posés à sa souveraineté et son intégrité territoriale.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
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AL-MUKALLÂ: Les Houthis, soutenus par l’Iran, ont brutalement torturé et placé à l’isolement le mannequin Entesar al-Hammadi, enlevé à Sanaa, ont averti des responsables gouvernementaux.
Les Houthis ont enlevé l’actrice et mannequin au début de l’année dernière, après l’avoir enlevée avec une amie dans une rue de Sanaa.
Après son enlèvement, la milice a torturé Al-Hammadi, l’a soumise à un test de virginité et l’a enfermée seule dans une cellule isolée de la prison de la sécurité politique à Sanaa. Elle a ensuite été condamnée à cinq ans d’emprisonnement pour prostitution et drogue.
Le mannequin a fermement démenti ces allégations et a prévenu qu’elle avait été enlevée en raison de son refus de travailler avec les Houthis.
Cette semaine, une ravisseuse houthie, Oum Zaid, a brutalement attaqué Al-Hammadi avec des fils électriques, lui causant des contusions au visage et au corps. Cette agression est survenue après que le mannequin a été surpris en train de mâcher du khat, un stimulant naturel largement consommé au Yémen.
Al-Hammadi a été retrouvée à l’extérieur de sa cellule, a révélé une source de Sanaa à Arab News par téléphone.
Le traitement réservé à Al-Hammadi a suscité la condamnation d’activistes, de journalistes, de responsables gouvernementaux et d’avocats yéménites qui ont conjointement appelé les Houthis à libérer immédiatement le mannequin.
Le ministre yéménite de l’Information, Mouammar al-Eryani, a affirmé que les Houthis ont soumis le mannequin à une «disparition forcée, à des tortures psychologiques et physiques» et l’ont «illégalement condamnée à cinq ans de prison lorsqu’elle a refusé de collaborer avec les réseaux de prostitution de la milice dans le but de piéger des personnalités politiques et médiatiques».
Al-Eryani a accusé les Houthis de violer les normes religieuses et tribales qui confèrent aux femmes l’immunité dans de telles circonstances.
«On appelle la communauté internationale, l’ONU et les organisations de défense des droits de l’homme qui luttent contre les violences faites aux femmes de condamner les crimes commis par la milice terroriste houthie contre les femmes yéménites, et de faire réellement pression sur ses dirigeants afin de libérer immédiatement et sans condition l’artiste Entesar al-Hammadi, et des centaines de personnes disparues de force», a publié le ministre yéménite sur Twitter.
De même, des dizaines d’activistes, de journalistes, d’écrivains, de juges, d’avocats et d’universitaires yéménites ont rédigé une pétition commune sur les réseaux sociaux pour condamner les ravisseurs Houthis qui ont abusé le mannequin, exigeant sa libération immédiate.
«Elle est soumise à des passages à tabac et à des traitements brutaux dans la prison centrale de Sanaa parce qu’elle n’a aucun soutien ni médiateur au sein de l’autorité houthie à Sanaa. Al-Hammadi est une jeune femme d’une vingtaine d’années qui est le seul soutien de son vieux père yéménite aveugle et sa mère éthiopienne âgée», a indiqué la pétition.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

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