Des bombardements russes sur des quartiers résidentiels de Kherson ont fait au moins trois morts, selon les autorités locales. D’après un sondage, 55% des Suisses soutiendraient la réexportation de matériel de guerre helvétique en Ukraine. Notre suivi
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Interrogé par la RTS, l’ambassadeur allemand en Suisse Michael Flügger a indiqué que l’Allemagne pourrait se détourner du matériel militaire helvétique. Le Danemark et l’Espagne pressent également la Suisse à autoriser l’envoi d’armement à l’Ukraine.
Lire la dépêche à ce propos.
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Des bombardements russes sur des quartiers résidentiels de la ville ukrainienne de Kherson (sud) ont fait au moins trois morts dimanche, ont indiqué les autorités locales.
Dans une zone sous contrôle russe de la région voisine de Zapororijjia, également dans le sud du pays, les autorités installées par Moscou ont indiqué de leur côté que quatre personnes avaient été tuées par une frappe ukrainienne sur un pont de chemin de fer.
Le front dans le sud de l’Ukraine, où l’armée russe a dû abandonner Kherson en novembre, a été dernièrement beaucoup plus calme que celui de l’est de pays où se déroulent des combats acharnés, mais les bombardements de part et d’autre n’ont jamais cessé et les combats ont repris cette semaine dans la région de Zaporijjia.
«L’artillerie ennemie a frappé les zones résidentielles de la ville», a indiqué sur les réseaux sociaux l’administration régionale. Elle a ajouté qu’un hôpital, une école, une station de bus, une poste, une banque et des immeubles d’habitation avaient été touchés.
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L’armée ukrainienne affirme avoir repoussé une attaque près du village de Blahodatne situé dans la région de Donestk (est de l’Ukraine), tandis que le groupe paramilitaire russe privé Wagner assurait en avoir pris le contrôle.
Les troupes de Kiev ont «repoussé des attaques près (…) de Blahodatne» et de treize autres localités dans la région de Donestk, a assuré l’état-major ukrainien dans son communiqué quotidien.
Mais le groupe Wagner avait annoncé un peu plus tôt que ses unités avaient pris le contrôle de ce village. «Les unités de Wagner PMC ont pris Blahodatne. Blahodatne est sous notre contrôle», a affirmé Evguéni Prigojine, chef du groupe paramilitaire, cité par son service de presse.
Le ministère russe de la Défense n’a pas confirmé à ce stade. Moscou a fait de la capture de la totalité de la région séparatiste de Donestk –dont le président russe Vladimir Poutine a proclamé l’annexion fin septembre– le principal objectif du conflit en Ukraine.
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Le président de l’association ukrainienne de Suisse appelle la Confédération suisse à encourager l’embauche et la formation de réfugiés ukrainiens dans les entreprises suisses. Seuls 15% d’entre eux ont trouvé un emploi jusqu’à présent. Cela s’explique par le fait que ce sont surtout des entreprises locales qui souhaitent embaucher, indique Andreï Lushnycky dans un entretien diffusé par la SonntagsZeitung. «La connaissance de l’anglais ne suffit pas», ajoute-t-il.
Il relève qu’il est important que le plus grand nombre possible de réfugiés retourne en Ukraine après la guerre. L’exode de la main-d’œuvre était déjà un problème avant la guerre, note-t-il. «C’est pourquoi nous devons tout faire pour que les réfugiés reviennent». «Ce serait un bénéfice pour les deux parties: les entreprises suisses auraient en Ukraine des collaborateurs en qui elles peuvent avoir confiance, qu’elles ont elles-mêmes formés et qui connaissent les deux systèmes. Ce serait également idéal pour l’Ukraine, car le pays n’a pas seulement besoin de fonds d’aide, mais aussi d’investissements et de bonnes personnes.» L’économie suisse pourrait ainsi profiter des «centaines de milliards de dollars» qui seront investis dans la reconstruction de l’Ukraine après la guerre, affirme Andreï Lushnycky. «La reconstruction de l’Ukraine devrait être le plus grand projet de la décennie au niveau mondial».
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La Corée du Nord a démenti dimanche fournir des armes à la Russie pour la guerre que Moscou mène en Ukraine. Washington accuse Pyongyang de livrer des roquettes et des missiles au groupe paramilitaire russe Wagner, engagé sur le champ de bataille. La semaine dernière, le porte-parole du conseil de sécurité de la Maison-Blanche, John Kirby, a diffusé des images du renseignement américain montrant des supposés wagons russes revenir de Corée du Nord chargés d’équipements militaires, dont des roquettes pour Wagner. Dans la foulée, les Etats-Unis ont désigné Wagner comme une «organisation criminelle» et ont déclaré transmettre ces enregistrements à l’ONU dans le cadre des sanctions visant Pyongyang.
Dimanche, un haut représentant du gouvernement nord-coréen a dénoncé «une tentative stupide de justifier» les futurs envois d’armes à l’Ukraine par Washington, qui a promis jeudi 31 chars d’assaut Abrams à Kiev. Cité par l’agence de presse officielle KCNA, le directeur général du département nord-coréen des affaires américaines, Kwon Jong-gun, a rejeté cette «rumeur créée de toutes pièces» et prévenu les Etats-Unis qu’ils s’exposeraient à un «résultat vraiment indésirable» s’ils continuaient à la répandre. «Essayer de ternir l’image de [la Corée du Nord, ndlr] en fabriquant une chose qui n’existe pas est une grave provocation qui ne peut jamais être permise et ne peut que déclencher une réaction», a-t-il ajouté.
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Une majorité de Suisses (55%) est favorable à la réexportation vers l’Ukraine de matériel de guerre fabriqué en Suisse, selon la NZZ am Sonntag, qui cite une enquête d’opinion de l’institut Sotomo. La loi actuelle interdit son transfert d’un pays tiers vers un théâtre de guerre. La commission de politique de sécurité du Conseil national a adopté mardi une motion et une initiative parlementaire demandant d’autoriser la réexportation de matériel de guerre dans certains cas, notamment pour l’Ukraine.
Le journal dominical relève également que des politiciens PLR, Vert’libéraux et socialistes demandent à la Confédération de vendre des chars Leopard de l’armée suisse, pour permettre aux Etats qui envoient leurs Leopard en Ukraine de les remplacer par des chars d’assaut suisses. «Si ces pays souhaitent reconstituer leurs stocks avec du matériel suisse, nous devrions leur tendre la main», déclare dans le journal la conseillère nationale Maja Riniker (PLR/AG). Elle a déposé une motion en ce sens auprès de la commission de la politique de sécurité du Conseil national, sans obtenir de majorité, mais elle entend relancer sa proposition.
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Trois personnes ont été tuées et au moins deux blessées dans une frappe russe sur la ville de Konstantynivka dans l’est de l’Ukraine, a déclaré le gouverneur de la région. «Les Russes ont tiré sur un quartier résidentiel, endommageant des immeubles de quatre étages, un hôtel, des garages et des véhicules», a déclaré le gouverneur régional de Donetsk, Pavlo Kyrylenko, sur les réseaux sociaux.
«Trois civils ont été tués. Au moins deux ont été blessés», a-t-il ajouté. Des images publiées sur le compte Telegram de Pavlo Kyrylenko montrent des immeubles d’habitation aux fenêtres soufflées et des débris éparpillés autour de l’épave carbonisée d’une voiture.
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La Russie accuse l’armée ukrainienne d’avoir fait 14 morts et 24 blessés, en frappant un hôpital dans la région de Lougansk, dans l’Est séparatiste de l’Ukraine.
Samedi matin, «les forces armées ukrainiennes ont frappé à dessein le bâtiment de l’hôpital local avec des lance-roquettes Himars» dans la localité de Novoaïdar, dans la région de Lougansk, a affirmé l’armée russe dans un communiqué. La frappe «a fait 14 morts et 24 blessés parmi les patients et le personnel médical», a-t-elle indiqué.
Les médecins de l’établissement fournissaient «depuis plusieurs mois de l’assistance médicale à la population civile, comme à des militaires», selon la même source. «Une frappe intentionnelle contre un établissement médical civil connu constitue sans doute un grave crime de guerre du régime de Kiev», ajoute le communiqué.
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La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré samedi à la veille d’un sommet UE-Ukraine que le pays bénéficiait du soutien inconditionnel du bloc et qu’il devait l’emporter sur les attaques russes pour défendre les valeurs européennes.
«Nous nous tenons aux côtés de l’Ukraine, sans aucun si et sans aucun mais», a-t-elle dit lors d’un événement de son parti, le CDU chrétien-démocrate, dans la ville allemande de Düsseldorf.
L’Ukraine «se bat pour nos valeurs communes, elle se bat pour le respect du droit international et pour les principes de la démocratie et c’est pourquoi l’Ukraine doit gagner cette guerre», a-t-elle ajouté.
Ursula von der Leyen et ses collègues commissaires européens prévoient un sommet UE-Ukraine le 3 février.
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Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé l’«hypocrisie» du Comité international olympique (COI) et invité son chef, Thomas Bach, à visiter Bakhmout, l’un des points les plus chauds de la guerre avec la Russie. «J’invite M. Bach à Bakhmout pour qu’il voie de ses propres yeux que la neutralité n’existe pas», a lancé Volodymyr Zelensky dans son adresse quotidienne en promettant d’oeuvrer pour «nettoyer l’hypocrisie de la direction des structures olympiques internationales».
«Il est évident que tout drapeau neutre des sportifs russes est taché de sang», a-t-il poursuivi alors que l’Ukraine est confrontée depuis février 2022 à l’invasion russe qui a mis ce pays à feu et à sang. Malgré des appels répétés de l’Ukraine à bannir les sportifs russes et bélarusses des JO 2024 prévus à Paris, le CIO a déclaré mercredi «étudier» la possibilité de les autoriser à participer sous bannière neutre.
Une série de manoeuvres en coulisses ont par ailleurs été engagées à l’automne pour ramener dans le giron de l’olympisme les Russes et Biélorusses, exclus de la plupart des compétitions internationales depuis l’invasion de l’Ukraine. Ces propositions ont suscité l’ire des Ukrainiens.
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A l’occasion du 78e anniversaire de la libération par l’Armée Rouge du camp de la mort nazi d’Auschwitz-Birkenau, le premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a accusé vendredi le président russe de construire de nouveaux camps.
«Le jour de la libération du camp hitlérien allemand de la mort Auschwitz-Birkenau, souvenons-nous que Poutine est en train de construire de nouveaux camps à l’est», a-t-il écrit sur sa page Facebook, appelant à soutenir l’Ukraine pour que l’Histoire «ne fasse pas une boucle».
Egalement à l’occasion de la journée internationale des victimes de l’Holocauste, la cheffe de la diplomatie française Catherine Colonna a fustigé les propos «consternants» du président russe Vladimir Poutine contre «les néonazis en Ukraine», qui selon lui commettent «des crimes contre les civils». «Je voudrais dire, ayant lu quelques déclarations en provenance de Moscou, combien elles sont consternantes, choquantes. C’est une provocation indigne un jour comme aujourd’hui», a souligné la ministre.
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Moscou a demandé vendredi à l’ambassadeur letton de quitter la Russie «dans les deux semaines», quatre jours après que Riga a ordonné à son homologue russe en poste en Lettonie de quitter le pays, sur fond d’extrêmes tensions diplomatiques liées à l’Ukraine.
«L’ambassadeur de Lettonie, [Maris] Riekstins, a reçu l’ordre de quitter la Fédération de Russie dans les deux semaines», a déclaré le Ministère russe des affaires étrangères dans un communiqué, déplorant «la totale russophobie» de Riga à qui «incombe l’entière responsabilité de la situation actuelle».
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L’Union européenne a décidé vendredi de prolonger de six mois ses sanctions contre la Russie pour la guerre en Ukraine et prépare de nouvelles mesures contre Moscou.
Les sanctions, imposées lorsque Moscou a annexé la péninsule ukrainienne de Crimée en 2014, ont été considérablement renforcées après le début de l’invasion en février 2022. Elles ont été systématiquement prolongées pour des périodes de six mois au cours des huit dernières années.
L’UE a imposé à la Russie neuf séries de sanctions depuis l’offensive militaire déclenchée le 24 février dernier. Les mesures ont notamment touché les principales exportations de pétrole de la Russie, coupé ses banques du système de paiement mondial Swift et ciblé personnellement le président Vladimir Poutine.
De son côté, le premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé vendredi que son pays mettrait son veto à toute sanction européenne à l’encontre de la Russie qui concernerait l’énergie nucléaire. Les sanctions sont décidées à l’unanimité des Vingt-Sept.
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Des centaines de Tanzaniens ont rendu hommage, lors d’une cérémonie empreinte d’émotions, à un étudiant tué en Ukraine après avoir été recruté en prison par le groupe de mercenaires privés russes Wagner. Nemes Tarimo purgeait une peine de sept ans de prison pour une infraction non divulguée lorsque Wagner l’a recruté en échange d’un salaire et de la promesse de sa libération après la guerre. Mort le 24 octobre, son corps est arrivé en Tanzanie ce vendredi. Il a été accueilli par des membres de sa famille en larmes à l’aéroport international Julius Nyerere de Dar es Salaam.
L’hommage s’est déroulé en présence de responsables gouvernementaux et de représentants du parti d’opposition Chadema qui comptait Nemes Tarimo parmi ses membres. L’étudiant va être enterré dans le sud du pays. Il était père d’une fillette de trois ans qui se trouve toujours en Russie.
Ces derniers mois, des hommes ont été recrutés dans les prisons russes pour combattre en première ligne, en Ukraine, avec la promesse de salaires lucratifs et de peines réduites. Un étudiant zambien également recruté par le groupe Wagner, Lemekhani Nyirenda, a aussi été tué en Ukraine en septembre, ce qui a déclenché des tensions diplomatiques et une demande d’explication de Lusaka à Moscou.
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Le gouvernement belge a annoncé l’octroi à l’Ukraine de nouveaux financements pour l’aide civile et la fourniture de missiles, de mitrailleuses, de munitions et de véhicules blindés. «Il s’agit notamment de missiles antiaériens, de missiles antichars, de mitrailleuses, de grenades et de nombreux autres équipements militaires qui permettent à l’Ukraine de continuer à se défendre contre l’invasion» russe, a détaillé la ministre de la Défense, Ludivine Dedonder, lors d’une conférence de presse.
En revanche la Belgique n’est pas en mesure de fournir des chars, comme le réclamait le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Cette exigence a été satisfaite par les promesses d’autres pays dont les Etats-Unis, l’Allemagne, le Canada ou encore le Royaume-Uni cette semaine. Le nouvel effort de la Défense a été évalué à 93,8 millions d’euros, portant le total de l’aide belge à près de 228 millions depuis le début de la guerre en février 2022. … Le peuple ukrainien a besoin de notre soutien pour lutter face à une attaque en règle contre les fondements de notre société», a déclaré Ludivine Dedonder.
Pour le volet civil et humanitaire, le premier ministre Alexander De Croo a évoqué la livraison d’«ambulances, tentes, trousses médicales, générateurs», et une contribution à un programme international de financement du transport de matières premières agricoles hors des ports ukrainiens. «Au total le soutien civil s’élève à 86 millions d’euros: 69 millions d’aide humanitaire, auxquels s’ajoutent 10,6 millions pour le redressement et la reconstruction», a détaillé le responsable libéral flamand. La Belgique a également livré à l’Ukraine depuis un an 38 000 tonnes de carburant, principalement du diesel.
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La Pologne livrera à l’Ukraine, outre 14 chars Leopard 2 de fabrication allemande, une soixantaine de chars 30 PT-91, une version modernisée du T-72 soviétique. Une décision que salue le président ukrainien. «Je remercie [Varsovie] pour ces décisions si importantes de fournir à l’Ukraine 60 chars polonais, dont 30 PT-91, ainsi que 14 Leopard», a déclaré Volodymyr Zelensky sur Twitter. Cette annonce intervient deux jours après celles de l’Allemagne et des Etats-Unis de fournir des chars lourds à Kiev.
Jeudi, le premier ministre polonais a déclaré dans un entretien accordé à la télévision canadienne CTV News que Varsovie était prête à envoyer 60 chars modernisés. Il a également indiqué que depuis le début de la guerre, la Pologne «a déjà livré 250 chars […] et même plus que ça» à l’Ukraine. Il s’agit pour la plupart des chars T-72 de conception soviétique. Les chars PT-91 sont une version modernisée de T-72. Le type des 30 autres chars n’a pas été précisé.
Дякую @AndrzejDuda, @MorawieckiM, @mblaszczak, @JacekSiewiera і народу 🇵🇱 за такі важливі рішення про передачу Україні 60 польських танків, 30 із яких – знамениті PT-91 Twardy, і 14 Leopard-2. Як і 160 років тому, ми разом, але цього разу у ворога немає шансів. Разом переможемо!
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Une bataille «féroce» est en cours pour une ville située à l’est de l’Ukraine: Vougledar. Les forces russes tentent de la conquérir. Kiev assure que Moscou «exagère» le succès de son offensive. Le chef de l’occupation russe de la région ukrainienne de Donetsk, Denis Pouchiline, a affirmé dans la nuit «attendre des bonnes nouvelles≥» de Vougledar, ville minière qui comptait 15 000 d’habitants avant l’invasion russe.
Un de ses conseillers, Ian Gagine, a indiqué vendredi à l’agence Tass que «des combats sérieux, brutaux» étaient en cours et que les forces russes se sont «implantées dans le sud-est et l’est de la ville.» Le porte-parole de l’armée ukrainienne pour la zone Est, Serguiï Tcherevaty, a de son côté confirmé «des combats féroces», mais assure que les Russes ont été repoussés.
«L’ennemi cherche en effet à remporter un succès dans ce secteur mais il n’y parvient pas grâce aux efforts des forces de défense de l’Ukraine», a-t-il dit à la télévision.
L’Ukraine a indiqué cette semaine que l’armée russe, en supériorité numérique, avait intensifié ses assauts dans l’Est, notamment sur Vougledar et Bakhmout. Les forces russes et les troupes du groupe paramilitaire Wagner ont récemment pris Soledar, une ville au nord de Bakhmout. La Russie a mobilisé des centaines de milliers de réservistes et de repris de justice pour tenter de percer les lignes ukrainiennes et de conquérir le reste du Donbass ukrainien.
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Image de couverture: Un Char 87 Leo de l’armée suisse, basé sur le Leopard 2 allemand, en juillet 2014 à Hinwil (ZH). Des politiciens PLR, vert’libéraux et socialistes demandent à la Confédération de permettre la vente de ces chars fabriqués en Suisse aux pays qui souhaitent envoyer leurs chars lourds à l’Ukraine. (Gaëtan Bally/Keystone)
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source
https://netsolution.fr/piece-de-monnaie-commemorative-lettone-de-2-euros