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Une image représentant Dakota Johnson dans une position suggestive et présentée en devanture d’un cinéma, pour inciter les futurs spectateurs à réserver leur place, a dû être retirée.
Le Welwyn Hatfield Times indique qu’un cinéma de la ville de Welwyn Garden City, située à une vingtaine de kilomètres de Londres, a dû enlever une affiche de 50 nuances de Greyjugée trop suggestive. Extraite d’une scène de la bande-annonce, l’affiche présente l’actrice Dakota Johnson, qui interprète le rôle d’Anastasia Steele, nue, en plein orgasme, les yeux bandés par un foulard de soie bleue et les bras écartées.
Un porte-parole du cinéma s’est excusé du choc causé par l’affiche: «Le film est un des gros blockbusters de l’année et les préventes marchent plutôt bien, même si le film ne sort que le jour de la Saint Valentin l’année prochaine. L’affiche reflète la nature érotique du film et n’était pas explicite, mais nous comprenons que certaines personnes aient pu en être choquées». Le panneau a été remplacé par l’affiche d’un film plus familial, Le Hobbit. La Bataille des cinq armées.
C’est la première polémique liée au caractère érotique de l’adaptation cinématographique 50 nuances de Grey. Et elle d’autant plus paradoxale que la bande-annonce jugée trop soft, en avait déçu plus d’un.
expan
le
Les anglais trouvent cette affiche choquante, mais intègrent avec pragmatisme le business de la prostitution dans le calcul de leur PIB. Nous ne devons pas avoir la même notion de la vulgarité.
Taipan
le
En Angleterre tout est tabou: le sexe, l’argent, la religion, la politique, la mort, etc. C’est pour cela que les anglais sont capable de parler de rien ou de la météo durant des heures. C’est un choix par défaut.
Laurenzo Toulsino
le
Choqués par cette affiche ??? mais laisser les gosses regarder les clips vidéos de Rihanna ou Cyrus “twerker” ça ne dérange personne…
Le long-métrage honorant les centaines de milliers d’Africains qui se sont battus pour la France pendant la Première Guerre mondiale, a suscité de vives émotions.
RÉCIT – Accusée d’islamophobie et de racisme pour son film traitant de la réhabilitation d’ex-djihadistes, Meg Smaker se bat pour qu’il soit diffusé.
Le septuagénaire, qui purge déjà une peine de 23 ans de prison après sa condamnation à New York en 2020, encourt cette fois jusqu’à 24 ans en cas de circonstances aggravantes. Il compte faire appel.
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50 Nuances de Grey : une affiche censurée à Londres
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