Pour notre deuxième webinaire, nous vous avons donné toutes les clés pour maîtriser votre pouvoir d’achat et faire des économies. Nos deux experts, Stéphanie Truquin de Familles rurales et Raphaël Gerson de l’Ademe Ile-de-France, ont répondu, pendant une heure, à toutes les questions que vous nous avez posées avant et pendant l’émission sur votre pouvoir d’achat. Vous pouvez revoir notre émission et découvrir nos bons plans, nos astuces et les meilleurs réflexes à adopter, qui, mis bout à bout, permettent de réaliser de réelles économies.
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Pour mieux maîtriser son budget, il faut commencer par le suivre, en regardant ses relevés de comptes et éplucher toutes les petites dépenses surnuméraires, les choses dont on ne se sert pas. Rester vigilant grâce à l’appli de sa banque ou tout autre appli ou système pour éviter, par exemple, les frais de dépassement de découvert. On peut également changer la date de certains prélèvements pour les faire correspondre à la date de rentrée des ressources (salaires, allocations, etc.). On peut mettre en place un fichier qui liste dans deux colonnes différentes les revenus et les dépenses, se servir d’un système d’enveloppe par poste de dépenses par exemple, comme nous l’ont raconté les personnes qui ont témoigné dans notre série « Budget à la loupe », comme ci-dessous l’exemple de Sylvie.
Il convient de commencer par identifier les dépenses dont on n’a pas besoin : faire le bilan des abonnement que l’on n’utilise pas, faire coordonner ses prélèvements aux moments des ressources en changeant ses dates de prélèvement, de faire jouer la concurrence pour les abonnements (forfait téléphonique, gaz, électricité, eau, etc.). Il est possible de se faire aider en se rendant dans le Point conseil budget le plus proche de son domicile. Il y en a plus de 500 en France.
Le principe est simple : vous devez vous inscrire sur un site de cashback en créant un compte. Ensuite, à chaque fois que vous voudrez réaliser un achat en bénéficiant de la ristourne, vous devrez passer par le site de cashback sur lequel vous vous êtes inscrit. Il est important de consulter les conditions générales de ces sites et de comparer les remises proposées par les différents sites. Certains imposent, par exemple, qu’un montant de rétrocession soit atteint avant de procéder au remboursement. Et ce seuil doit en plus être dépassé dans un laps de temps limité, après quoi le montant de la rétrocession est perdu.
Assurez-vous que le système de cashback soit bien gratuit. Certains sites de cashback facturent des frais mensuels d’abonnement à leurs clients. Lors de votre inscription, vous êtes en effet invité à communiquer vos coordonnées bancaires pour vos remboursements futurs. Certains organismes de cashback mettent alors immédiatement en place un abonnement et prélèvement mensuel sur votre compte, dont le montant a de fortes chances d’excéder les remises d’argent que vous pourriez obtenir. Et enfin, faites attention au fait que ce dispositif peut vous inciter à surconsommer.
Depuis la loi sur le gaspillage alimentaire (loi Garot), votée en 2016, les grandes surfaces de plus de 400 m2 ont interdiction de jeter de la nourriture encore consommable. Elles ont obligation de donner ces denrées à des associations caritatives. Des supermarchés ont développé des rayons avec des produits proche de la date de péremption. Il existe aussi des magasins de déstockage des supermarchés ou déstockeurs alimentaires (par exemple Noz ou Max Plus) à l’écart des centres villes. Ils annoncent sur leurs sites Internet leurs derniers arrivages. Il faut surveiller les dates de consommation., mais les prix sont souvent entre 50 % et 70 % moins chers que dans les grandes surfaces.
On peut aussi aller voir le site zero-gachis.com ou les différentes applis qui permettent d’acheter des lots d’invendus de la journée ou des paniers d’invendus pas cher mais proches de la date de consommations pour les petits magasins, comme par exemple, Too good to go.Il est également possible de faire ses courses dans des épiceries solidaires qui récupèrent des produits dont le calibrage ne rentre pas dans les critères de la grande consommation. C’est le cas, par exemple, des fruits et légumes moches.
Il existe deux catégories de date limite pour les produits alimentaires : la date limite de consommation (DLC) et la date de durabilité minimale (DDM) qui remplace la date limite d’utilisation optimale (DLUO). Seul le dépassement de la DLC comporte un risque pour la santé. Il existe également la date de congélation, qui indique la date à laquelle le produit a été congelé ou la date de 1re congélation s’il a été congelé plusieurs fois.
« Avant le… », la prudence est de mise. Il s’agit d’une date limite de consommation (DLC) impérative. Elle concerne les produits frais périssables, potentiellement dangereux pour la santé lorsqu’ils se dégradent, à cause du développement de bactéries indésirables.
En revanche, quand le produit affiche « De préférence avant le… » ou « De préférence avant fin… » (DDM), le consommateur ne risque pas de s’empoisonner s’il le consomme au-delà de la date. Attention, pour consommer un produit après sa DDM, il faut qu’il ait été conservé dans de bonnes conditions.
Autre subtilité, la réglementation ne prévoit pour les œufs ni date de durabilité minimale (DDM) ni date limite de consommation (DLC), mais une « date de consommation recommandée » (DCR) de 28 jours pour tous les producteurs.
Pas toujours ! Pour les lots ou grand format, il fait toujours bien vérifier le prix au kilo et comparer les prix du produit à l’unité. Concernant les fruits et légumes les lots sont quasiment toujours plus chers que le vrac. Il faut également éviter tout ce qui est emballé : les radis déjà prêts coûtent souvent beaucoup plus cher quand vous achetez le sachet que la botte de radis. De plus, si on achète un lot, cela fait parfois une grosse quantité, que l’on risque de jeter avant d’avoir pu les consommer.
Malheureusement, il reste des efforts à accomplir pour améliorer l’affichage des prix ! Les grandes surfaces ont souvent des bornes dans les rayons pour lire les étiquettes.
Ils ont énormément augmenté comme cela a été constat& par notre Observatoire des prix qui est sorti en en juillet. Les prix des hard discounters ont davantage augmenté que les prix des grandes surfaces. Ceci dit, il reste toujours inférieur aux grands magasins, aux grandes surfaces. Aller chez les hard discounters est toujours plus intéressant que d’aller en grandes surfaces.
Il faut manger des fruits et légumes de saison, privilégier les produits bruts non découpés non lavés (par exemple salades, radis … en sachet, toujours plus chers et de beaucoup). On peut aussi utiliser des sources d’approvisionnement alternatives : Amap, circuits courts, magasins de producteurs… Il faut toujours comparer avec les produits congelés et surgelés qui peuvent parfois être moins chers, mais vérifier qu’ils soient le moins transformés possibles, sans sel… Et pour éviter le gaspillage, utiliser les légumes abîmés pour faire des soupes, les fruits pour en faire des compotes en mélangeant tout en utilisant les nombreuses recettes disponibles sur internet qui utilisent les épluchures, les pépins, les fanes… On peut faire des soupes avec les carcasses de poulet, os de viandes, tête de poisson, épluchures de crevettes…
Ça dépend du système de fidélité mais souvent oui, les cartes permettent des économies, mais en échange de vos données personnelles. En général, le coût de ces systèmes de fidélité sont répercutés sur l’ensemble des prix du magasin.
Pour l’électricité, avant tout changement, il faut comparer les offres grâce, par exemple, au comparateur du médiateur de l’énergie. Il peut être intéressant de comparer un contrat classique avec un contrat heures pleines/heures creuses. Si cela paraît plus cher au départ, il faut voir s’il est possible de décaler davantage la consommation de ses appareils en heures pleines. Attention aux changements de mode de travail quand on est plus souvent à domicile la journée. Si vous avez une forte capacité à gérer vos consommations, vous pouvez opter pour l’option Tempo (avec 22 jours rouges dans l’année).
Pour le gaz, si vous êtes au tarif réglementé, restez-y jusqu’en juin (date de la fin des tarifs réglementés), ce sont les moins chers du marché.Pour fioul, vous pouvez essayer la commande groupée avec des voisins pour économiser au moins le coût de la livraison, soit en étant un nombre non négligeable pour pouvoir peser sur le prix de la tonne.
Veillez à utiliser l’électroménager en périodes creuses (après-midi, nuit, weekend), à éviter de laisser des appareils allumés en permanence (ordinateur, console de jeu), à éteindre tous les appareils électroniques avant d’aller dormir avec des multiprises à interrupteur et à choisir des ampoules led ou basse consommation
Oui, consulter les données de consommation fournies par Linky permet d’avoir une photographie de ses usages, de changer son comportement et d’en mesurer en temps réel les conséquences et les économies réalisées. Vous allez, par exemple, vous rendre compte de l’importance du numérique dans votre facture. Si les Français croient posséder une trentaine d’appareil électroménagers, ils en ont, en réalité, plutôt une centaine. D’où l’utilité de les débrancher ou de mettre des interrupteurs sur les prises.
Elle est parfois assimilée à de l’austérité ou à une baisse de confort. En fait, cela consiste davantage à éviter le gaspillage à tous les niveaux, pas seulement alimentaire. C’est également valable aussi pour l’énergie. Par exemple, si vous avez un chauffe-eau surdimensionné, vous allez gaspiller de l’énergie à chauffer de l’eau dont vous n’avez pas besoin.
Beaucoup confondent souvent énergie et électricité ! Par exemple, si l’on prend une facture de consommation d’énergie globale en moyenne d’un foyer, elle est de 1 700 € par an et elle est répartie 60 % sur le logement et 40 % sur le transport. Dans le logement, il est important d’avoir des appareils (convecteurs, chauffe-eau, réfrigérateur…) bien dimensionnés par rapport aux besoins, et de les brancher sur des prises avec un interrupteur. Par exemple, la box, souvent on la cache car elle n’est pas esthétique et on oublie de l’éteindre. Pourtant, elle consomme autant qu’un petit frigo ! Enfin pour des travaux plus important, isolation ou autre, faites-vous accompagner par France-renov. Une fois nommé, l’accompagnateur vous guide complètement, notamment concernant les devis et le choix de professionnels sérieux. Il va aussi vous aider à choisir les meilleures options de chauffage, ce qui aura un impact important sur l’ensemble de votre consommation d’énergie.
Le tarif réglementé du gaz disparaît au 30 juin 2002. Jusqu’à cette date, il est préférable d’y rester car ce sont l’un des moins chers du marché. Avant tout changement, il faut comparer sur le site du médiateur de l’énergie. Le comparateur permet de comparer toutes les offres qui existent sur le marché actuellement, que ce soit en gaz, en électricité ou pour les deux d’ailleurs. Il y a des labels aussi qui peuvent être utiles, comme Vert vote pour l’électricité. Aujourd’hui, c’est le bon moment pour comparer son offre d’électricité notamment et pour vérifier qu’on est bien sur une offre qui correspond à sa consommation. Attention, le bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement ne s’applique qu’au tarif réglementé
Bien isoler son logement, par des gestes simples (rideaux épais, coussin d’isolation au pied de la porte d’entrée…) ou des investissements (isolation des combles, changement des fenêtres…) pour lesquels de nombreuses aides existent. Vous pouvez consulter le guide de l’Ademe “Isoler sa maison”.
Eviter le gaspillage, en programmant le chauffage à la baisse quand vous êtes absents et en ne dépassant pas 19 degrés (et 17 degrés dans la chambre), un degré de moins représente 7 % d’économie. Vous pouvez vous équiper de thermostats programmables et vous inspirer du tuto de l’Ademe “Eau et énergie : comment réduire la facture ?”
Remplacer son système de chauffage par des équipements plus performants et renouvelables, vous trouverez des pistes dans le guide “Changer de chauffage”
Il consomme quand même quand il est branché. C’est vrai aussi pour la télé comme pour tous les appareils électroménagers branchés. C’est quand même assez compliquer de débrancher des appareils dont l’usage est fréquent comme une machine à laver le linge ou un lave-vaisselle. En revanche, vous pouvez laver à basse température : laver à 30 degrés permet de consommer trois fois moins d’énergie.
Le plus économique est de régler son chauffe-eau sur 50 degrés (au lieu de 70 degrés) et de l’éteindre en cas d’absence de plusieurs jours.
L’installation de panneaux donne droit à des aides et des tarifs garantis. Le choix d’auto-consommer ou de réinjecter sur le réseau dépend du profil de consommation. Si vous possédez un véhicule électrique, un ballon d’eau chaude électrique et que vous pouvez les recharger (ainsi qu’utiliser vos autres appareils électriques : lave vaisselle, lave linge etc…) quand les panneaux produisent le plus, c’est-à-dire entre 11h et 15h, l’autoconsommation peut être rentable, l’objectif étant de consommer un maximum de votre production et de réinjecter un minimum sur le réseau. Sinon, l’injection à 100 % sur le réseau est recommandée. Le guide de l’Ademe sur les énergies renouvelables vous permettra d’aller plus loin.
Le site Monecowatt fondé sur l’esprit, sert d’alerte et devra inciter les Français à effectuer des éco-gestes pour éviter de saturer le réseau. Mais encore une fois, il ne s’agit pas de se mettre en doudoune chez soi.
L’eau est un sujet local. Le prix de l’eau est déterminé par les communes ou collectivités territoriales, selon des contraintes locales. Concernant la TVA elle est de 5,5 % sur la partie eau potable (définie comme un bien de première nécessité) et de 10 % sur l’assainissement. La tendance n’est pas à la baisse puisque ce taux était auparavant de 5,5 % comme l’eau potable, il a été augmenté une première fois à 7 % en 2012 et une seconde fois à 10 % en 2013.
Passer au E85, à base de maïs, de blé ou de betteraves, est beaucoup moins cher et écologique que le diesel et l’essence (jusqu’à 1€ moins). L’installation d’un boîtier est nécessaire pour ne pas abîmer le moteur. La s’effectue chez un garagiste et coûte entre 500 et 1500 € (demander un devis), certaines collectivités subventionnent cette opération, comme par exemple, l’Ile-de-France, la région PACA ou Hauts-de-France ou PACA, ou encore de cumuler des aides régionales et départementale. En général, la pose est rentabilisée au bout d’un an. Ce boîtier est obligatoire pour être en règle vis-à-vis de son assurance et pour pouvoir faire fonctionner la garantie constructeur du véhicule.
Il faut assouplir sa manière de conduire : choisir le régime moteur adapté, c’est 20 % d’économie de carburant et essayer de ne jamais dépasser les 2000 2500 tours/mn. On décélère quand on voit un feu, même s’il est vert, pour ne pas payer au dernier moment et redonner un gros coup d’accélérateur. Il faut également veiller au bon entretien de sa voiture et ne pas oublier de démonter le coffre de toit quand on n’en a pas besoin. Baisser ses fenêtres, c’est 15 % de consommation en plus, et c’est aussi s’exposer aux particules fines qui pénètrent dans l’habitacle. « Et contrairement à ce qu’on croit en vélo, on est beaucoup moins exposé parce qu’on bouge », ajoute Raphaël Gerson, directeur adjoint de l’Ademe Ile-de-France.
Oui, les prix sont beaucoup moins élevés. Attention, les bénévoles qui sont dans les repair café, même s’ils sont très impliqués, ce ne sont pas professionnels. On estime que l’économie réalisée en passant par un garage solidaire s’élève environ à 40 % par rapport à un garage classique. Pour profiter des tarifs avantageux de ce type d’établissement, vous devrez vous acquitter d’une cotisation annuelle comprise entre 10 et 150 euros. Vous bénéficierez alors d’un coût horaire d’entretien très faible, généralement inférieur à 10 euros.
Oui, en principe, il vaut mieux changer tous les ans de forfait, ou profiter d’offres promotionnelles. Mais avant de changer, il faut surtout comparer les offres et regarder de près les options comme le le triple ou quadruple play ou les options familiales, ou encore des offres professionnelles et personnelles. Attention aux frais en cas de résiliation anticipées, et aux prix qui flambent à la fin des offres spéciales. Veillez également à ne pas accepter de services qui vous ne seraient pas utiles comme, par exemple, un accès supplémentaire à Netflix, Amazon prime, etc.
Uniquement entre les personnes qui vivent dans un même foyer. La méthode “Netflix compte partagé” est assez répandue entre les amis et les membres de la famille hors foyer, même si elle est officiellement interdite. Netflix l’indique sur sa page officielle. Bien qu’il semble que Netflix tolère cette “stratégie” pour le moment, il est probable que la plateforme finisse par sévir et mette en place des moyens permettant d’endiguer le phénomène. En fait, c’est le nombre d’écrans simultanés qui est limité.
En partageant vos codes d’accès, vous risquez aussi de partager l’accès à vos données privées et surtout aux éléments de votre abonnement voire vos coordonnées bancaires. Donnez vos codes uniquement à des personnes de confiance. On constate beaucoup de fraudes en ce moment : une fois captées vos données bancaires ou personnelles sont revendues à des escrocs.
Vous pouvez acheter des objets d’occasion, notamment sur les plateformes, mais mieux encore les recycleries ou les ressourceries. Vous faites ainsi une triple bonne action : des économies car les produits sont moins chers, vous préservez la planète car s’il s’agit d’objets en plastique vous éviter qu’ils soient à nouveau produits et de plus vous faites fonctionner l’économie solidaire, c’est-à-dire des personnes souvent éloignées de l’emploi, sans réinsertion. En fait, l’énergie la plus propre, c’est celle qu’on ne consomme pas
Vous pouvez également récupérer des objets gratuitement comme sur donnons.org ou sur la nouvelle rubrique ouverte sur le site Leboncoin.
Vous pouvez aussi vendre les anciens jouets pour pouvoir en racheter des neufs ou encore les troquer.
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