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Universités | Éducation mondialisée, crise climatique et cinéma – La Presse

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PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE
Étudiants et chargé de cours de l’Université McGill durant une discussion sur les changements climatiques et les actions possibles, dans le Stewart Biology Building
Il y a seulement deux universités anglophones à Montréal, mais elles créent régulièrement de nouveaux cours et programmes pour s’adapter aux changements dans la société. Voici trois nouveautés récentes.
Elle est terminée, l’époque où on allait à l’école, on obtenait son diplôme et on avait fini de se former. Avec la complexité du monde actuel qui est en constante évolution, les besoins de formation et de perfectionnement sont partout dans la société. C’est pour cette raison que l’Université McGill a créé le baccalauréat en éducation dans des contextes mondiaux. Les cours sont notamment dans les domaines de la justice sociale, de la communication, du changement, ainsi qu’en conception et en évaluation de programme. Pour aligner le baccalauréat avec ses objectifs de carrière, il est possible de choisir une mineure en psychologie de l’éducation, en développement international ou en gestion. Il faut savoir toutefois que le programme ne mène pas au brevet d’enseignement. Il permet plutôt de faire carrière par exemple comme responsable de la formation en entreprise, travailleur humanitaire à l’étranger ou consultant en apprentissage. Combinant la théorie et la pratique, le programme comprend un stage local ou international.
Pour répondre aux besoins urgents de l’industrie, l’Université Concordia a créé l’an dernier un microprogramme en scénarisation et production cinématographique. Cette année, il sera aussi offert en français, étant donné que la majorité des besoins à combler se trouvent du côté francophone. Ce sont des scénaristes et des cinéastes professionnels qui enseignent l’essence de leur travail dans des séminaires réalisés en petits groupes. Le microprogramme aborde aussi les éléments essentiels du travail de producteur, du choix d’un projet de film jusqu’à sa mise en œuvre, sans oublier la recherche de financement et la distribution. Les cours se donnent en ligne les soirs de semaine et les fins de semaine pour pouvoir être suivis par des gens qui sont déjà sur le marché du travail et qui souhaitent se diriger maintenant vers l’industrie du cinéma. Pour être accepté dans le microprogramme, il suffit de se démarquer par sa lettre d’intention.
Le nouveau cours Climate Crisis and Climate Actions est maintenant offert à l’Université McGill. Il permet d’apprendre de gens qui ont un large spectre de connaissances et d’expérience dans le domaine de la crise climatique, des données quantitatives sur le climat aux savoirs autochtones en passant par les modèles socioéconomiques. En plus d’expliquer les grands éléments au cœur de la crise climatique, le cours présente des actions qui ont lieu actuellement pour lutter contre la crise et des solutions potentielles. L’objectif est d’acquérir des compétences pour engager les étudiantes et les étudiants personnellement et collectivement dans la lutte contre la crise climatique, ce qui implique une capacité à travailler en collaboration avec des gens de différentes disciplines. Parmi les invités dans le cours, on compte notamment Ken Dryden, ancien joueur du Canadien de Montréal et ancien ministre fédéral libéral.
Placements Mackenzie Inflation et hausses de taux : avantageuses pour des titres canadiens
TELUS Honorer les survivants des pensionnats pour autochtones
Collège Universel — Campus Gatineau Des formations pour tous
C’est unanime, les étudiants sont de retour en force cet automne sur les campus et on sent vraiment une frénésie postpandémique quand on parle à différents représentants d’université contactés pour ce dossier. Les gens sont heureux de se retrouver ensemble en classe, mais il n’en demeure pas moins que le monde universitaire a été changé à tout jamais par son passage forcé en ligne.
Entre 20 et 30 ans, la planification financière se retrouve souvent tout en bas de la liste des priorités. Pourtant, la vingtaine offre la chance de se préparer pour la vie. Deux expertes donnent cinq règles à suivre à cet âge où tout est encore possible.
En cette période d’incertitude, bien des gens aimeraient, avec raison, se faire accompagner par un planificateur financier. Mais ces professionnels du conseil financier sont-ils en nombre suffisant au Québec ? La Presse a fait le point avec Chantal Lamoureux, présidente-directrice générale de l’Institut québécois de planification financière (IQPF).
Même si le sujet reste tabou dans bien des familles, il est important de parler d’argent avec ses enfants afin qu’ils adoptent de bonnes habitudes financières et fassent des choix judicieux, estiment les experts. Trucs, conseils et outils pour parents avertis.
Population vieillissante, familles reconstituées, nouvelles technologies : le monde d’aujourd’hui n’a rien à voir avec celui de l’an 2000 et même de 2010. Les changements dans la société ont un gros impact sur les besoins des gens en matière de finances personnelles. Les planificateurs financiers doivent donc continuellement être en apprentissage pour demeurer pertinents.
Afin que l’industrie de l’aluminium puisse continuer à être compétitive ici et ailleurs, il faut agir sur différents fronts qui ont été ciblés dans les dernières années par un travail d’analyse d’AluQuébec, la grappe de l’aluminium. Elle vient de créer le chantier de l’Aluminerie de l’avenir pour faire le suivi et s’assurer de la mise en œuvre de ces actions. Voici quatre de ses priorités.
Les ponts routiers en aluminium sont plus durables que ceux en béton. Pourtant, le Canada n’en compte que deux : à Arvida et à Saint-Ambroise. Afin de démontrer les propriétés enviables des poutres d’acier et des surfaces de roulement en aluminium, un pont sera bientôt testé par une équipe de recherche de l’Université Laval dans la forêt Montmorency pendant deux ans.
Les applications durables de l’aluminium se multiplient sous l’effet des innovations et des initiatives d’entreprises québécoises de toutes les tailles. L’aluminium trouve ainsi de nouveaux usages où sa légèreté et sa résistance à la corrosion permettent de remplacer des matériaux plus coûteux en énergie et en transport.
La jeune entreprise Ferreol Skis vient de lancer un projet de recherche visant à fabriquer des skis recyclables intégrant l’aluminium dans la fabrication. En contrebas des pistes du mont Sainte-Anne, ses trois associés fondateurs entendent concilier la durabilité et la performance dans la conception de leurs skis de randonnée alpine.
Lorsqu’on pense à une construction, que ce soit un pont ou un bâtiment, l’aluminium a plusieurs avantages. À commencer par le fait qu’il n’a pas besoin d’entretien pour 75 ans. En raison de cette durabilité, AluQuébec, la grappe de l’aluminium, multiplie les efforts pour convaincre différents acteurs dans la province de prendre le virage de l’aluminium. Et tranquillement, elle voit les comportements changer.
L’art numérique qui permet de transformer le spectateur en un créateur est un secteur très niché, si bien que pour assurer le développement et la croissance de l’entreprise, il faut se tourner vers l’étranger. C’est pourquoi 90 % des œuvres d’Iregular se retrouvent à l’extérieur du Canada, explique Éloi Beauchamp, associé principal qui dirige le développement de l’entreprise avec le créateur artistique Daniel Iregui.
De nombreux évènements s’adressant aux entrepreneurs, et plus précisément aux PME, se dérouleront dans les prochaines semaines. Petit survol du calendrier dans le monde des PME.
Pour une PME québécoise qui désire exporter ses biens ou services, commencer par les provinces et territoires du Canada plutôt que par les autres pays semble être le parcours logique à suivre. Pourtant, plusieurs obstacles peuvent rendre ce chemin ardu.
En 2015, Tessa Paradis et Jade Tremblay, un couple du Saguenay, inventaient avec Carol Rancourt Totem Team, un jeu de cartes qui permet à ses adeptes de mieux comprendre ce que les autres pensent d’eux, positivement. Sept ans plus tard, le jeu est exporté dans 33 pays. L’entreprise a réussi son coup en partie grâce à un organisme que toutes les PME voulant exporter devraient connaître.
C’est nouveau, c’est innovateur et surtout, c’est local. Dès la mi-novembre, les New-Yorkais (et les touristes) pourront utiliser deux abris à vélos intelligents produits par la PME québécoise Poitras Industries, en plein cœur de la métropole américaine. Cerise sur le gâteau : l’un des abris se trouvera à quelques pas de Times Square.
Tourbières Berger, de Saint-Modeste, près de Rivière-du-Loup, vend plus de 90 % de sa production hors Québec et 75 % à l’exportation. Fondée en 1963, l’entreprise familiale compte 814 employés, dont 384 au Québec, 235 au Nouveau-Brunswick, 118 au Manitoba, 74 aux États-Unis et 3 en Amérique latine. Ses principaux marchés sont les États-Unis, le Canada et le Mexique. Petit tour du proprio.
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