Publié
le
De
Au lendemain d’une grosse frayeur devant Pedro Martinez, Matteo Berrettini (ATP 15) a sorti le grand jeu à Gstaad. Le Romain a survolé sa demi-finale du Swiss Open face à Dominic Thiem (ATP 274).
Matteo Berrettini s’est imposé 6-1 6-4 devant l’Autrichien pour prolonger deux séries impressionnantes: 8 victoires en 8 matches à Gstaad où il avait remporté le titre en 2018 et un 12e succès de rang sur le Circuit. Opéré à une main au printemps, l’Italien avait enlevé les titres à Stuttgart et au Queen’s lors de son retour aux affaires avant d’être contraint de renoncer à Wimbleon en raison de son infection au Covid-19.
Face à Dominic Thiem, Matteo Berrettini a remporté les cinq premiers jeux du match. Il a fait parler sa puissance au service et en coup droit pour ne laisser que des miettes à l’Autrichien, qui avait triomphé à Gstaad en 2015. En finale dimanche, l’Italien affrontera le vainqueur de la rencontre entre le tenant du titre Casper Ruud (ATP 5) et l’Espagnol Albert Ramos-Vinolas (ATP 40), qui est également un ancien vainqueur du tournoi (2019).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Casper Ruud: une victoire expéditive
A nouveau près de deux heures d’attente devant le Gothard
Une victoire miraculeuse pour Matteo Berrettini
Roland-Garros: Thiem en finale
Matteo Berrettini blessé aux abdominaux
Marc-Andrea Hüsler contre Dominic Stricker à Gstaad
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Publié
le
De
Le coprésident du PS Cédric Wermuth met en garde contre toute conclusion hâtive dans le cadre des indiscrétions au Département fédéral de l’intérieur (DFI). La balle est entre les mains de la justice, ainsi que du Conseil fédéral et des commissions de gestion.
Les tribunaux devront déterminer s’il s’agit d’une violation du secret de fonction au sens juridique du terme, a déclaré le conseiller national argovien samedi à la radio alémanique SRF.
Le coprésident du PS a critiqué l’exigence d’une publication immédiate des informations. Ceux qui le souhaitent (ndlr: l’UDC) exigent de facto une condamnation préalable de collaborateurs de l’administration fédérale nommément cités. Le Parlement ne peut pas clouer ainsi quelqu’un au pilori.
La “manière malhonnête dont la discussion est menée” dérange Cédric Wermuth: “Malheureusement, depuis quelques années, le Conseil fédéral est une passoire absolue s’agissant du contenu des séances. Les indiscrétions sont malheureusement un phénomène courant dans la Berne fédérale”.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Publié
le
De
Le PLR veut devenir le deuxième parti de Suisse après les élections fédérales de l’automne. Il s’appuiera pour ce faire sur les acquis libéraux qu’il va défendre via une politique économique approuvée par les 350 délégués présents samedi à l’assemblée du parti.
L’objectif du PLR de devenir le deuxième parti et dépasser le PS est “important pour la liberté et la prospérité des habitants de notre pays”, a dit le président du parti Thierry Burkart lors de son discours de clôture de l’assemblée des délégués du PLR à Dübendorf (ZH).
La politique idéologique du PS est déconnectée de la réalité. “Le PS veut le socialisme, et ce à l’état pur. Cette politique mène notre pays dans le mur”, a déclaré le conseiller aux Etats argovien, selon la version écrite de son discours. La politique financière de la gauche n’est pas durable.
Le président du PLR a aussi critiqué le Centre. Il lui reproche de trop souvent s’allier à la gauche pour être “dans l’esprit du temps”, mais celui-ci peut changer rapidement, a-t-il précisé citant des exemples de cette “hypocrisie”.
L’UDC, quant à elle, a une conception de la neutralité “trop rigide”, estime le président. C’est “préjudiciable à notre politique de sécurité et à notre réputation mondiale”. L’UDC “veut isoler la Suisse avec sa politique de fermeture”.
L’UDC “dénonce en bloc la migration et met tous les problèmes sur le dos des étrangers. Elle dresse ainsi les gens les uns contre les autres et ne résout aucun problème”.
Pour le conseiller aux Etats argovien, les recettes du PLR sont au contraire “garantes d’une Suisse respectueuse de l’être humain, d’une Suisse libre, progressiste et ouverte”. Elles assurent aussi une économie saine avec suffisamment d’emplois et des assurances sociales pérennes.
“Le coeur du libéralisme est la liberté”, a-t-il souligné. Une politique responsable “implique également de protéger et de renforcer l’économie de marché”.
C’est dans cet esprit que les délégués ont approuvé le papier de position sur l’économie présenté par la direction du parti. Le PLR suisse exige moins de bureaucratie et plus d’innovation.
Il entend combattre le manque de main-d’oeuvre notamment par une plus grande numérisation. Il demande aussi un assouplissement des règles concernant le travail du soir et de nuit, l’introduction rapide d’une identité électronique pour l’administration numérique, ainsi qu’un taux de TVA unifié.
Par ailleurs, une mise en place de l’imposition individuelle et une amélioration des structures de prise en charge extrafamiliale doivent permettre de mieux concilier travail et famille.
En politique étrangère, le PLR veut garantir l’indépendance de la Suisse. Il entend améliorer les relations avec l’Union européenne en garantissant et en élargissant la voie bilatérale. Le texte des libéraux-radicaux exclut une adhésion à l’UE ou à l’EEE.
En début d’assemblée, les délégués ont reçu les dernières nouvelles du ministre des affaires étrangères à ce propos. Les entretiens exploratoires entre Berne et Bruxelles se trouvent dans leur dernière ligne droite, a déclaré Ignazio Cassis.
Les discussions au niveau technique avec l’UE ont bien progressé et il s’agit maintenant d’établir une base sur laquelle le Conseil fédéral pourra décider d’un nouveau mandat de négociations”, a-t-il ajouté, sans préciser quand.
Selon le conseiller fédéral libéral-radical, en unifiant l’Europe, la guerre en Ukraine a relativisé d’autres problèmes, comme ceux liés à la relation entre la Suisse et l’UE. “Mais les problèmes ne sont pas résolus pour autant”, a dit le Tessinois.
A Dübendorf, les 350 délégués du PLR ont encore décidé à l’unanimité de soutenir la mise en oeuvre de l’impôt minimal, prévu par l’OCDE soumise aux urnes le 18 juin. Ils ont suivi l’avis de la ministre des finances PLR Karin Keller-Sutter. Le projet prévoit un impôt minimal de 15% pour les entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse les 750 millions d’euros.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Publié
le
De
L’UDC exige la publication des procès-verbaux d’audition d’Alain Berset dans l’affaire des fuites dans son département. La population a droit à la transparence, a déclaré le président du parti Marco Chiesa.
L’UDC exige du président de la Confédération des explications complètes, a ajouté M. Chiesa dans une interview samedi aux journaux alémaniques du groupe Tamedia. Le chef du Département fédéral de l’intérieur (DFI) aurait pu s’expliquer depuis longtemps. Selon le Tessinois, Alain Berset est “seul responsable”.
Apparemment, il y a eu “un pacte entre l’éditeur Ringier et le DFI”, a précisé le conseiller aux Etats UDC dans l’interview: “L’objectif était qu’en fin de compte Berset soit le meilleur dans les médias. C’est pourquoi nous avons maintenant une crise institutionnelle”.
La “Schweiz am Wochenende” avait rapporté il y a une semaine que l’ex-chef de la communication d’Alain Berset, Peter Lauener, avait transmis à plusieurs reprises à Ringier des informations confidentielles sur les mesures anti-Covid prévues par le Conseil fédéral. L’hebdomadaire s’appuyait, selon ses propres affirmations, sur des courriels et des procès-verbaux d’audition dont la rédaction disposait.
Pour le président de l’UDC, la question de savoir si Alain Berset était au courant des activités de son porte-parole est d’une importance secondaire: s’il ignorait ce qu’avait fait M. Lauener, ce serait “un échec flagrant de direction”; s’il était au courant, il n’est de toute façon plus nécessaire de poursuivre la discussion, a déclaré Marco Chiesa.
Celui-ci ne demande pas directement au ministre de la Santé de démissionner, contrairement au conseiller national Alfred Heer (UDC/ZH). Le président de la Confédération devrait en tirer lui-même les conséquences, s’est-il contenté de dire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Publié
le
De
5,6 milliards de francs: c’est le montant des avoirs non réclamés que détient la caisse supplétive LPP. Les bénéficiaires sont connus de l’institution mais pas leur adresse. Ces fonds ne sont pas pour autant oubliés ou perdus.
Sur les 1,4 million de comptes de libre passage que gère la caisse supplétive LPP, 62% étaient sans adresse à la fin 2022. Cela représente un montant de 5,6 milliards de francs, soit 34% de l’ensemble des capitaux administrés par cette caisse (16,2 milliards).
Sans adresse ne signifie pas pour autant qu’un compte tombe dans l’oubli, explique Séverine Jagmetti, porte-parole de la Fondation institution supplétive LPP, interrogée par Keystone-ATS. La plupart du temps, les propriétaires des fonds finissent par être retrouvés.
Car la fondation connaît en principe le numéro d’assurance sociale, le nom et la date de naissance des propriétaires. Seule l’adresse manque ou n’est plus actuelle. Mais cela ne signifie pas que les personnes ayant cotisé ne savent rien de leur capital.
L’argent du 2e pilier peut se retrouver en “déshérence” lorsque des personnes quittent un emploi et n’en reprennent pas immédiatement un autre. Leur capital est alors transféré sur un compte de libre passage auprès de la Fondation institution supplétive LPP, au plus tôt six mois après la fin du contrat de travail.
Lors de ce transfert, la fondation ne reçoit souvent pas l’adresse du détenteur, poursuit Mme Jagmetti. Il arrive aussi que des personnes oublient d’annoncer un déménagement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Publié
le
De
Christian Constantin repartira-t-il pour un tour ? Dans une interview au “Nouvelliste”, le boss du FC Sion affirme que sa décision de quitter le football professionnel en 2024 n’est pas irrévocable.
Christian Constantin est prêt, en effet, à demeurer à la tête du FC Sion si un projet de nouveau stade à Tourbillon et d’un centre d’entraînement estimé à 150 millions de francs voit le jour. Il est prêt à le financer à la hauteur de 50 millions de francs. “Avec 50 millions de francs de fonds propres, on peut débloquer 50 millions de crédits bancaires et les différents soutiens étatiques peuvent générer 50 autres millions”, précise Christian Constantin.
Dans cette interview, Christian Constantin rend public ce projet “pour mettre toutes les cartes sur la table avant 2024.” “Ce projet ne pourra pas se réaliser avant 2030. Mais s’il y a une volonté de le faire, je serais fou de ne pas demander de licence en Super League pour la saison 2024/2025”, explique-t-il. Pour lui désormais, la balle est dans le camp des autorités politiques valaisannes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Derniers titres
Samedi après-midi à Genève, la forte bise a déraciné un peuplier à l’avenue Wendt, dans le quartier de la Servette,…
Reporté à deux reprises en raison de la pandémie, le Festival international de ballons de…
Environ 250 personnes ont manifesté samedi en fin de matinée sur la colline du Mormont…
Le coprésident du PS Cédric Wermuth met en garde contre toute conclusion hâtive dans le…
Standard : 022 909 69 69 – Antenne : 0842 918 918 – Rédaction: 022 807 10 15
WhatsApp: 079 918 30 00 – Contactez-nous: contact@radiolac.ch
© Copyright 2021 – Media One Group