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«Un safari de sons»: le philharmonique de New York a un nouvel écrin – Arabnews fr

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NEW YORK : Un design et une acoustique réglés au millimètre: après des mois de travaux, le prestigieux orchestre philharmonique de New York va se produire dans un écrin rénové, résultat d’un chantier à plus d’un demi-milliard de dollars.
A deux semaines du lancement, c’est l’heure des derniers ajustements pour les musiciens et leurs instruments. Mais aussi pour les spécialistes de l’acoustique qui apportent les dernières retouches aux murs et aux plafonds du David Geffen Hall.
«C’est un peu comme si vous partiez pour un safari de sons. Il s’agit vraiment de réinventer le son de l’orchestre», explique Jaap van Zweden, chef d’orchestre et directeur musical du «Phil».
Selon lui, la conception datée du David Geffen Hall, ouvert depuis 1962 au sein du Lincoln Center, ne contribuait guère à une bonne acoustique. Désormais, les musiciens vont «retrouver beaucoup de sons et de beauté» mais «cette lune de miel entre eux et la salle a besoin de temps», prévient-il.
Né en 1995, le projet pharaonique à 550 millions de dollars a longtemps traîné. Paradoxalement, la pandémie, en contraignant la salle à fermer au public, a accéléré les choses.
– Bois de hêtre –
Plus de 600 ouvriers et techniciens travaillaient en permanence sur le chantier.
La rénovation réduit la capacité de 2.738 à 2.200 places, mais la visibilité sera améliorée et certains spectateurs seront placés derrière l’orchestre, dont la scène a été légèrement avancée pour renforcer l’effet surround.
Les murs ont été revêtus de bois de hêtre pour soutenir les basses fréquences de la salle, explique l’acousticien en chef Paul Scarbrough.
Autre nouveauté: une verrière acoustique modulable.
«Nous avons pu régler à la fois avec précision la quantité d’énergie renvoyée aux musiciens sur la scène (…) et la quantité dirigée vers le public», ajoute Paul Scarbrough.
L’acoustique a été testée et ajustée avec différentes œuvres musicales, pour mieux faire ressortir les «différentes couleurs, textures, timbres et couches d’instruments», explique-t-il aussi.
Une expérience «incroyable» pour la violoniste Yulia Ziskel, 22 saisons au compteur, qui raconte qu’avec certains changements, «le son devenait soudainement différent».
Le réglage de la salle depuis août marque un retour au bercail pour le philharmonique, plus vieille institution musicale américaine –il a été créé en 1842–, qui a dû se produire dans d’autres espaces du Lincoln Center depuis mars 2020.
«J’ai hâte de voir ce que le public verra», confie le trompettiste Ethan Bensdorf, à l’aube de sa quinzième saison. «C’est pour ça qu’on est musiciens (…) c’est pour ça que la musique vivante est si magique», ajoute-t-il.
Le tout premier rendez-vous est fixé au 8 octobre, avec «San Juan Hill: une histoire de New York», un spectacle composé par le trompettiste Etienne Charles sur la vie des communautés afro-américaine, caribéenne et portoricaine vivant dans le quartier de l’Upper West Side avant l’opération de rénovation urbaine massive qui vit naître le Lincoln Center, l’un des centres artistiques de Manhattan, où se produisent aussi le Metropolitan Opera et le New York City Ballet.
La saison officielle démarre le 12 octobre avec la première mondiale d’«Oya», du Brésilien Marcos Balter.
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RABAT: À l’occasion de la Fashion Week de Milan, 700 danseurs, 200 musiciens, 100 choristes et 952 mannequins ont été mobilisés samedi soir pour mettre en scène le 70e anniversaire de la marque de luxe Moncler, devant plus de 18 000 spectateurs. Ces commémorations qui dureront 70 jours ont été inaugurées à la célèbre cathédrale milanaise Piazza del Duomo.
Une performance grandiose, minutieusement chorégraphiée par le franco-algérien Sadeck Berrrabah (alias Sadeck Waff) dont les mouvements géométriques et angulaires constituent une signature de plus en plus prisée.
La ballerine Virna Toppi de la Scala de Milan ouvre le spectacle, avant que le reste des danseurs – portant des doudounes de la marque – n’occupent la place de la cathédrale. Plusieurs mois ont été nécessaires pour préparer le spectacle.
Un parcours inhabituel
De maçon à danseur professionnel, l’artiste gardois a su se faire une place à l’international. En 2015, il co-fonde le groupe Géométrie Variable avec Ammar Benbouzid, dont la première vidéo sort en mars 2017.
Peu à peu, la signature du chorégraphe attire l’attention et en 2021, il est propulsé en finale de l’émission à succès de M6 «La France a un incroyable talent» sans passer par les phases intermédiaires.
Cette ascension fulgurante le met sous le feu des projecteurs et lui permet de collaborer avec les plus grands noms de la musique, de Chris Brown à Shakira, en passant par les Black Eyed Peas.
Mais sa réussite ne se limite pas au monde de la musique, puisqu’il est sélectionné pour chorégraphier la cérémonie de passation des Jeux Paralympiques entre Tokyo et Paris au Trocadéro, le 5 septembre 2021. 

«Pour toujours extraordinaire»
De par le monde, sous le slogan «Extraordinary Forever Campaign», Moncler entend marquer son anniversaire pendant 70 jours.
À Séoul, Londres ou encore New York, la marque présentera son histoire à travers des photographies et vidéos d’archives. Des expériences immersives alliant technologie à la mode.
Par ailleurs, la marque annonce la création de 7 NFT (jetons non fongibles) dans le but de s’introduire au métavers.
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LONDRES: Filmée et photographiée sous tous les angles pendant ses 70 ans sur le trône britannique, la reine Elisabeth II a aussi souvent pris la pose devant des artistes de renom: une exposition à Londres rassemble les oeuvres de trois d’entre eux.
À l’entrée de la galerie Quantus, plus habituée à montrer les oeuvres de street artistes comme Bansky ou Stony, un buste sombre en bronze de la défunte reine accueille les visiteurs. C’est une des pièces maîtresses de la douzaine d’oeuvres rassemblées jusqu’au 12 octobre en hommage à Elizabeth II, décédée le 8 septembre dernier.
Pour la sculpter, Frances Segelman a réalisé trois séances de poses avec Elizabeth II en 2007.
“Je ne voulais pas faire son portrait, comme d’autres ont pu le faire, en déformant la réalité, pour faire sensation”, raconte l’artiste à l’AFP, pour justifier sa fidélité totale aux traits de la souveraine, point commun de toutes les oeuvres présentées ici.
Son buste témoigne aussi du “fort et solide roc” qu’elle était pour le peuple britannique, et quinze ans après, elle se souvient avec nostalgie de sa rencontre avec Elizabeth II. “C’était une personne lumineuse, et très facile à approcher”.
L’exposition présente également trois portraits de la reine, une peinture plutôt classique, commandée par le Palais, et deux immenses toiles présentant chacune une photographie de la reine tout sourire saturée de rose et incrustée de poussière de diamants.
Ils sont signés de l’artiste Christian Furr. “Je voulais capturer sa personnalité, sa vitalité, son humour, mais aussi son humanité, parce qu’elle paraissait d’une certaine manière ordinaire même si elle était aussi majestueuse”, explique-t-il.
Quand il peint le portrait de la reine en 1995, il n’a que 28 ans, et se souvient du sentiment “d’anachronisme” qu’il a ressenti alors que le mouvement novateur des British Young artists, connu pour son usage des nouvelles matières et procédés créatifs, bouillonnait autour de lui.
Effet 3D
Ses portraits tranchent avec ceux, dans un solennel et lumineux noir et blanc, réalisés par Rob Munday, spécialiste des hologrammes qui donnent un effet 3D en associant plusieurs images d’un même sujet.
Baptisée “Equanimity”, sa principale oeuvre, réalisée avec Chris Levine en 2004, est devenue l’une des images iconiques de la reine, reprise sur des timbres ou des billets de banques, ou encore à la Une de Time magazine en 2012 à l’occasion de ses 60 ans de règne.
De face le regard droit vers l’objectif, la reine y apparait vêtue de noir avec une couronne, un manteau de fourrure blanc et son inamovible collier de perles. En se déplaçant autour d’elle, le spectateur peut voir des images différentes de la monarque.
Au début des années 2000, “c’était encore une technologie très nouvelle”, raconte Rob Munday, qui nécessite l’immobilité parfaite du modèle. Mais la reine “a été merveilleuse, fantastique” et “très accommodante”, ajoute-t-il se souvenant de son inquiétude quant à sa réaction face à une oeuvre au rendu si “réaliste”.
“Les membres de la famille royale ont cette faculté incroyable de savoir rester immobile…. Ils sont très disciplinés, mais la reine parlait constamment et je ne pouvais pas me concentrer”, se souvient aussi parfaitement Frances Segelman.
“Normalement, je dis à mon modèle, ‘ne bougez pas s’il vous plait’, mais je ne me voyais pas dire cela à la reine”, alors au début de sa deuxième séance “je lui ai dit ‘Ma’am, vous n’êtes pas obligée de parler, vous pouvez juste vous détendre si vous voulez’. Mais elle a juste continué de parler”, rigole-t-elle.
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PARIS: Un film sorti il y a treize ans, en tête du box-office français: Disney réussit son pari avec la ressortie d'”Avatar”, trois mois avant de livrer la suite très attendue du blockbuster en 3D de James Cameron.
Au total, 335.000 spectateurs ont choisi de retourner sur Pandora, pour découvrir ou redécouvrir le premier volet d'”Avatar”, selon les chiffres publiés mercredi par Cbo-Box Office.
Lors de sa sortie en 2009, le film avait attiré 14 millions de spectateurs dans les salles françaises. Sa ressortie est une façon pour Disney de faire monter les attentes avant la sortie du nouveau volet, “La voie de l’eau”, le 14 décembre.
Dans la suite du box-office, trois nouveautés, dont “Une belle course”, le voyage en taxi de Line Renaud et Dany Boon, deux figures populaires qui attirent 180.000 spectateurs.
L’effet Harry Styles, idole des adolescents et star de la chanson, a probablement joué dans le succès du thriller dystopique “Don’t Worry Darling”, d’Olivia Wilde, vu par 151.000 spectateurs.
“Les enfants des autres”, un drame de Rebecca Zlotowski avec Viriginie Efira, qui incarne une femme tentant de trouver sa place dans une famille recomposée, s’en tire honorablement, avec 142.000 spectateurs.
1. “Avatar”: 335.359 entrées, 344 copies (première semaine de ressortie)
2. “Une belle course”: 180.034 entrées, 531 copies (nouveauté)
3. “Don’t Worry Darling”: 151.272 entrées, 356 copies (nouveauté)
4. “Les Enfants des autres” : 142.402 entrées, 330 copies (nouveauté)
5. “Kompromat”: 126.665 entrées, 743 copies (468.529 entrées en 3 semaines)

source
http://fragua.org/comment-acheter-ou-vendre-une-piece-de-2-euros

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