Pièces complète 2 euro commémorative et accessoires protection pièces

Travail et réforme des retraites, leviers de «pérennité» du modèle social, selon Borne – Arabnews fr

https://arab.news/bwv6q
PARIS: “Le travail” et la “réforme des retraites” sont des leviers de “pérennité” du modèle social français, a estimé Elisabeth Borne vendredi soir en concluant un Conseil national de la refondation (CNR) consacré au “modèle social et productif” français.
“Notre modèle social c’est une grande force de notre pays. C’est un modèle qui peut protéger chacun et qui protège aussi les plus fragiles. (…) Donc on veut tous (le) préserver”, a affirmé la Première ministre en concluant ce CNR thématique au ministère de l’Economie.
Mais “ça ne sera pas en augmentant massivement nos impôts” dans le contexte d’inflation, ni en alourdissant la dette, a-t-elle ajouté.
“Du coup, et c’est vraiment le levier auquel moi je crois profondément, c’est par le travail que nous pourrons assurer la pérennité de notre modèle social”, a déclaré la cheffe du gouvernement. Le travail, “c’est le chemin de la dignité et l’émancipation” et “aussi ce qui nous permet de créer de la richesse et de financer ce modèle social”.
Elle a également affirmé que la réforme des retraites, qu’elle doit présenter la semaine prochaine, était “un levier majeur pour augmenter le taux d’emploi des seniors et donc participer aussi à défendre ce modèle social”, pointant les taux d’emploi encore faibles dans cette catégorie et chez les jeunes.
La Première ministre était accompagnée de plusieurs ministres, dont Bruno Le Maire (Economie), Olivier Dussopt (Travail), Sylvie Retailleau (Enseignement supérieur et recherche) et Jean-Christophe Combe (Solidarités).
Le modèle social français est “de plus en plus coûteux”, a souligné Bruno Le Maire, pour qui la “seule voie” est de “créer plus de richesses, plus d’emplois”, voyant un “lien total entre un modèle social totalement solidaire et un modèle productif totalement efficace”.
Ce CNR visait à débattre de la “stratégie économique et sociale” de la France autour notamment de l’innovation, du plein emploi et de la planification écologique.
Elisabeth Borne présidera samedi à Matignon un autre CNR thématique consacré à la jeunesse, avant de participer au CNR global lundi à l’Elysée.
Censé mobiliser les forces vives du pays, le CNR avait été boudé à son lancement le 8 septembre par les oppositions et certains syndicats.
https://arab.news/paapm
PARIS: La cour d’assises spéciale de Paris livre mardi après-midi son verdict dans le procès de l’attentat de Nice, qui avait fait 86 morts le 14 juillet 2016 quand un Tunisien au volant d’un camion-bélier avait foncé sur la foule réunie pour la fête nationale française sur la Promenade des Anglais.
L’assaillant, Mohamed Lahouaiej Bouhlel, 31 ans, avait été abattu par la police au terme de sa course meurtrière. Son acte avait été revendiqué par le groupe Etat islamique, mais aucun lien n’a pu être mis en évidence entre le mouvement djihadiste et le chauffeur-livreur tunisien.
En l’absence de celui qui aura été au coeur des débats, “il y aura des frustrations, c’est inévitable”, a prévenu le parquet national antiterroriste à l’adresse des quelque 2.500 parties civiles constituées.
L’avocate générale Alexa Dubourg a souligné que le procès ne compenserait pas la douleur “immense, insondable” des endeuillés et des rescapés. “Juger toutes les responsabilités ne veut pas dire faire porter le poids de l’absent aux accusés”, a-t-elle ajouté, “ce qui sera juste, c’est que les peines soient adaptées à la responsabilité de chacun”.
Après plus de trois mois d’audience, les cinq magistrats professionnels doivent, en répondant à 81 questions, dire leur “intime conviction” sur le rôle des huit accusés, dont aucun n’est jugé pour complicité de l’attentat.
De l’avis des avocats de la défense comme des parties civiles, les débats n’auront pas permis de dissiper toutes les “zones d’ombre” sur le rôle de chaque accusé.
Le Parquet anti-terroriste a requis quinze ans d’emprisonnement contre les trois hommes poursuivis pour “association de malfaiteurs terroriste” (AMT), mais demandé l’abandon de la qualification “terroriste” contre l’un d’eux, Ramzi Arefa, qui “ne pouvait connaître la radicalisation” du tueur au vu de leurs contacts réduits.
Cet habitant de Nice de 27 ans a reconnu avoir fourni un pistolet à l’assaillant, qui s’en était servi lors de l’attentat sans faire de blessé. “Je suis coupable d’avoir vendu une arme, sans y réfléchir. Et depuis, ça fait plus de six ans que je n’arrête pas d’y réfléchir”, a-t-il assuré lundi.
C’est le seul accusé qui encourt la perpétuité, car en situation de récidive en raison d’une condamnation pour vol en 2014.
«Vérité judiciaire»
Selon le Parquet anti-terroriste, Mohamed Ghraieb, Franco-Tunisien de 47 ans, et Chokri Chafroud, Tunisien de 43 ans, “savaient” en revanche “que Lahouaiej Bouhlel était en mesure de commettre un attentat”, même s’ils ont “commis des faits moins incriminants”.
Leurs avocats ont réclamé l’acquittement des deux hommes, qui risquent vingt ans de prison, fustigeant la “pauvreté” des preuves présentées contre eux.
Les cinq autres accusés sont jugés pour trafic d’armes ou pour association de malfaiteurs, sans qualification terroriste.
Le Parquet anti-terroriste a requis de deux à dix ans de prison à leur encontre.
“Le temps est maintenant venu de cette seule vérité judiciaire”, a souligné Pauline Marcé, avocate de parties civiles, lors de sa plaidoirie, la souhaitant “ni arbitraire, ni vengeresse, mais juste individualisée, équitable”.
Le verdict ne sera toutefois pas forcément synonyme de soulagement pour les victimes qui, comme depuis le début du procès, pourront assister au verdict à Paris ou dans la salle de retransmission spécialement installée à Nice.
Certaines reprochent à l’enquête de ne pas avoir exploré toutes les pistes ou se disent déçues par les peines requises.
“Il faudrait plus que quinze ans pour que les victimes soient soulagées”, estime Magatte Seck, qui était présente sur la Promenade des Anglais avec ses deux filles.
“J’espère que la cour sera plus sévère que les réquisitions, je ne comprends pas ces peines demandées après tout ce qui a été dit à l’audience”, a aussi déploré Anne Murris, présidente de l’association Mémorial des Anges, qui a perdu sa fille Camille le 14 juillet 2016.
Lors de leurs plaidoiries, les avocats de la défense ont appelé la cour à faire la part des choses entre “les souffrances des victimes” et l'”implication” réelle des accusés.
Me Adélaïde Jacquin a ainsi dit “faire confiance” à la cour pour “prendre du recul par rapport au caractère extraordinairement grave des faits” du 14 juillet 2016.
https://arab.news/262rn
CARCASSONE : Daniel Malgouyres, propriétaire du “jardin préféré des Français”, a été condamné lundi en appel par la cour d’assises de l’Aude à 15 ans de réclusion criminelle pour avoir tué un malfaiteur lors d’un cambriolage dans sa maison.
D’après l’avocat général Georges Gutierrez, qui avait requis une peine de 20 ans, l’accusé de 73 ans avait manigancé l’opération pour se débarrasser de son épouse Françoise, 63 ans, de nationalité belge.
Le 5 octobre 2017, le Jardin de Saint-Adrien, couronné “jardin préféré des Français” en 2013 par Stéphane Bern sur France 2 et qu’il avait bâti avec son épouse à Servian, près de Béziers (Hérault), s’est transformé en scène de crime.
La tension au sein du couple était à son comble depuis que Françoise Malgouyres avait découvert l’existence d’une relation extra-conjugale de son mari.
Pour les enquêteurs, Daniel Malgouyres avait monté un faux “home jacking” afin d’effrayer sa femme, pour qu’elle quitte le domicile familial.
Ce soir-là, deux hommes cagoulés pénètrent dans la vaste propriété. David Viers, 43 ans, est abattu d’un coup de fusil à bout portant, par l’accusé qui invoque la légitime défense.
Une hypothèse réfutée par l’avocat général, qui souligne qu’il a tiré sur une personne désarmée, au risque d’atteindre sa femme.
Le complice de David Viers prend la fuite. Une fois interpellé, il désigne comme donneur d’ordre un éleveur de chevaux ami du couple Malgouyres, qui lui-même affirme aux enquêteurs que Daniel Malgouyres est à l’origine de cette combine.
En première instance, en décembre 2021, la cour d’assises de l’Hérault avait condamné Daniel Malgouyres à 18 ans de réclusion criminelle.
L’éleveur a été condamné à huit ans de prison pour avoir organisé le cambriolage et Richard Bruno à sept ans.
Dans sa plaidoirie, Jean-Marc Darrigade, avocat de la défense, a jugé l’accusation “injuste” et que la cour “ne pouvait pas le condamner sur les affirmations d’un escroc qui a trahi son ami”.
Avant que la cour d’assises de l’Aude ne se retire pour délibérer, l’accusé a dénoncé une erreur judiciaire, affirmant qu’il n’était pas l’instigateur du cambriolage.
https://arab.news/ntafq
PARIS : Lobbying, recrutement, financement: les géants américains du numérique ont tissé ces dernières années une “toile d’influence” en France, dénoncée dans un rapport d’une trentaine de pages publié mardi par l’Observatoire des multinationales, une association qui milite pour l’encadrement des activités de lobbying.
“Les filiales françaises des Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) ont déclaré en 2021 la somme de 4,075 millions d’euros de dépenses de lobbying en France, contre 1,35 million en 2017, soit une multiplication par 3”, affirme l’association en se fondant sur les données de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). L’association se donne comme mission d’éclairer les relations entre grands acteurs économiques et pouvoir politique.
Google est la plus dépensière, avec plus d’1,6 million d’euros, devant Microsoft (1,1 million) et Amazon (850.000 euros).
Les cinq entreprises “ont également déclaré un total de 72 activités de lobbying (rendez-vous avec des décideurs publics, échanges téléphoniques…) en 2021, contre 15 en 2017”, un ordre de grandeur qui les situe “au même niveau que les plus actifs des groupes du CAC40 en matière de lobbying en France”.
Autre pratique signalée par l’Observatoire: les “portes tournantes”, qui consistent pour les géants du numérique “à recruter du personnel passé par le secteur public”.
Parmi une foule de noms, l’association cite par exemple Yohann Bénard, directeur des affaires publiques Europe d’Amazon France passé par Bercy et Matignon, ou Sébastien Gros, directeur des affaires gouvernementales d’Apple et “proche collaborateur” de l’ancien Premier ministre Manuel Valls.
“Le cas le plus emblématique est cependant celui de Benoît Loutrel, directeur des relations institutionnelles et des politiques publiques chez Google France de 2018 à 2020, qui est l’ancien directeur général de l’autorité de régulation Arcep”, regrette l’Observatoire.
L’influence des géants du numérique passe aussi par leurs liens financiers avec les médias ou les think tanks, pointe l’association, qui prend notamment l’exemple de l’Institut Montaigne, soutenu financièrement par Google, Amazon et Microsoft, ou des contrats conclus par Google avec la presse française (l’AFP a aussi un accord avec Google, NDLR).
“Dans ses prises de décision relatives au secteur numérique, l’État ne dispose souvent que d’une expertise limitée” et serait donc obligé de s’en remettre aux “industriels” du numérique, ce que l’Observatoire qualifie de “lobbyisme passif”.
En conclusion, l’association appelle les pouvoirs publics à “muscler leur expertise numérique, soutenir véritablement les alternatives aux Gafam et favoriser la montée en puissance de la société civile sur ces sujets”.

source

https://seo-consult.fr/page/communiquer-en-exprimant-ses-besoins-et-en-controlant-ses-emotions

A propos de l'auteur

Backlink pro

Ajouter un commentaire

Backlink pro

Prenez contact avec nous

Les backlinks sont des liens d'autres sites web vers votre site web. Ils aident les internautes à trouver votre site et leur permettent de trouver plus facilement les informations qu'ils recherchent. Plus votre site Web possède de liens retour, plus les internautes sont susceptibles de le visiter.

Contact

Map for 12 rue lakanal 75015 PARIS FRANCE