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19 octobre 2022 à 16:23
En plus d’avoir un impact sur nos émotions, les ruptures amoureuses auraient aussi des effets sur notre cerveau. Une anthropologue américaine s’est penchée sur la question. Et ses résultats sont parlants.
En plus d’avoir un impact sur nos émotions, les ruptures amoureuses auraient aussi des effets sur notre cerveau. Une anthropologue américaine s’est penchée sur la question. Et ses résultats sont parlants.
La douleur causée par les séparations amoureuses est incontestable. La peine est encore plus intense lorsque la rupture n’est pas approuvée par les deux partenaires. Et si tout le monde connaît les conséquences que peut avoir un chagrin d’amour sur les émotions, qu’en est-il des effets sur notre cerveau ?
Au-delà des conséquences émotionnelles, la rupture amoureuse activerait également une zone bien spécifique du cerveau. Ce sont les conclusions d’Helen Fisher, une anthropologue américaine qui a observé l’activité cérébrale de quinze personnes en plein chagrin d’amour. Elle a publié les conclusions de son étude dans le Journal of Neurophysiology, en juillet 2010. Par la suite, ses travaux ont été repris par The Atlantic, dans un article paru en février 2022, par Florence Williams, auteure du livre Heartbreak qui aborde la douleur de la rupture.
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Pour mener ses recherches, l’anthropologue a exposé les participants à une photo de leur ancien partenaire, tout en étudiant les réactions des différentes zones de leurs cerveaux grâce à une IRM. Et il semblerait que certaines régions s’activent plus que d’autres à la vue de l’ancien partenaire : celles de l’envie, de la douleur et de la régulation émotionnelle. Helen Fisher affirme que ces parties sont nécessaires pour éprouver de l’amour, mais ce sont aussi les zones activées lors d’une dépendance à la cocaïne.
Vivre une rupture engendre le même effet qu’un sevrage. « Ces symptômes de manque puissant altèrent notre capacité à penser, et à fonctionner de manière normale », écrit le psychologue Guy Winch dans un article de la revue Psychology Today, publié en janvier 2018. « Nous avons tous et toutes ressenti les conséquences d’un chagrin d’amour insurmontable qui nous a rendu la concentration quasi-impossible durant des semaines », ajoute-t-il.
Le sevrage amoureux durerait environ trois mois, selon l’étude d’Helen Fisher. Et pendant ce processus, le cerveau passe par deux phases bien distinctes. Dans un premier temps, le cerveau proteste contre la rupture. Cela veut dire que l’individu quitté fera tout ce qui est en son possible pour récupérer son ou sa partenaire. Les neurotransmetteurs fabriqués par le cerveau favorisent cet état. La durée de cette période varie d’une personne à une autre.
L’autre est parti, détruisant notre couple, nos rêves et nous laissant seul(e), en proie au chagrin et à la douleur. Comment rebondir après une séparation ? Nos conseils.https://t.co/9m9PKysSL2
Puis, dans un second temps, survient la résignation. C’est un épisode assez difficile à vivre durant lequel les hormones de la joie, comme la dopamine et la sérotonine, baissent considérablement. En parallèle de ces étapes, le cerveau a également tendance à libérer des hormones liées au stress, comme le cortisol et l’adrénaline, indique l’étude.
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