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Après deux années sans tournoi en raison de la pandémie du coronavirus, les Swiss Indoors vont revivre. La tenue de l’édition 2022 a été confirmée. Roger Federer en sera la tête d’affiche.
Titré à dix reprises à la Halle Saint-Jacques, Roger Federer a confirmé sa présence pour cette édition 2022 qui se déroulera du 22 au 30 octobre. A condition, bien sûr, que la guérison de son genou opéré à deux reprises l’an dernier, se déroule sans accroc. Le Bâlois devrait effectuer sa grande rentrée un mois plus tôt à l’occasion de la Laver Cup qui se déroulera à Londres.
Il est d’ores et déjà acquis que Roger Federer disputera son premier tour le mardi et un éventuel huitième de finale le jeudi. Il fera jouer son classement protégé de no 9 mondial pour figurer dans le tableau principal du tournoi rhénan, qui possède le label ATP 500 et qui sera doté de 2,276 millions euros.
La prélocation débutera le mercredi 27 avril sur le site swissindoorsbasel.ch et auprès de Ticketcorner. Les organisateurs précisent que les billets vendus lors des préventes des éditions annulées en 2020 et en 2021 demeurent valables pour 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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L’UDC exige la publication des procès-verbaux d’audition d’Alain Berset dans l’affaire des fuites dans son département. La population a droit à la transparence, a déclaré le président du parti Marco Chiesa.
L’UDC exige du président de la Confédération des explications complètes, a ajouté M. Chiesa dans une interview samedi aux journaux alémaniques du groupe Tamedia. Le chef du Département fédéral de l’intérieur (DFI) aurait pu s’expliquer depuis longtemps. Selon le Tessinois, Alain Berset est “seul responsable”.
Apparemment, il y a eu “un pacte entre l’éditeur Ringier et le DFI”, a précisé le conseiller aux Etats UDC dans l’interview: “L’objectif était qu’en fin de compte Berset soit le meilleur dans les médias. C’est pourquoi nous avons maintenant une crise institutionnelle”.
La “Schweiz am Wochenende” avait rapporté il y a une semaine que l’ex-chef de la communication d’Alain Berset, Peter Lauener, avait transmis à plusieurs reprises à Ringier des informations confidentielles sur les mesures anti-Covid prévues par le Conseil fédéral. L’hebdomadaire s’appuyait, selon ses propres affirmations, sur des courriels et des procès-verbaux d’audition dont la rédaction disposait.
Pour le président de l’UDC, la question de savoir si Alain Berset était au courant des activités de son porte-parole est d’une importance secondaire: s’il ignorait ce qu’avait fait M. Lauener, ce serait “un échec flagrant de direction”; s’il était au courant, il n’est de toute façon plus nécessaire de poursuivre la discussion, a déclaré Marco Chiesa.
Celui-ci ne demande pas directement au ministre de la Santé de démissionner, contrairement au conseiller national Alfred Heer (UDC/ZH). Le président de la Confédération devrait en tirer lui-même les conséquences, s’est-il contenté de dire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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5,6 milliards de francs: c’est le montant des avoirs non réclamés que détient la caisse supplétive LPP. Les bénéficiaires sont connus de l’institution mais pas leur adresse. Ces fonds ne sont pas pour autant oubliés ou perdus.
Sur les 1,4 million de comptes de libre passage que gère la caisse supplétive LPP, 62% étaient sans adresse à la fin 2022. Cela représente un montant de 5,6 milliards de francs, soit 34% de l’ensemble des capitaux administrés par cette caisse (16,2 milliards).
Sans adresse ne signifie pas pour autant qu’un compte tombe dans l’oubli, explique Séverine Jagmetti, porte-parole de la Fondation institution supplétive LPP, interrogée par Keystone-ATS. La plupart du temps, les propriétaires des fonds finissent par être retrouvés.
Car la fondation connaît en principe le numéro d’assurance sociale, le nom et la date de naissance des propriétaires. Seule l’adresse manque ou n’est plus actuelle. Mais cela ne signifie pas que les personnes ayant cotisé ne savent rien de leur capital.
L’argent du 2e pilier peut se retrouver en “déshérence” lorsque des personnes quittent un emploi et n’en reprennent pas immédiatement un autre. Leur capital est alors transféré sur un compte de libre passage auprès de la Fondation institution supplétive LPP, au plus tôt six mois après la fin du contrat de travail.
Lors de ce transfert, la fondation ne reçoit souvent pas l’adresse du détenteur, poursuit Mme Jagmetti. Il arrive aussi que des personnes oublient d’annoncer un déménagement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Christian Constantin repartira-t-il pour un tour ? Dans une interview au “Nouvelliste”, le boss du FC Sion affirme que sa décision de quitter le football professionnel en 2024 n’est pas irrévocable.
Christian Constantin est prêt, en effet, à demeurer à la tête du FC Sion si un projet de nouveau stade à Tourbillon et d’un centre d’entraînement estimé à 150 millions de francs voit le jour. Il est prêt à le financer à la hauteur de 50 millions de francs. “Avec 50 millions de francs de fonds propres, on peut débloquer 50 millions de crédits bancaires et les différents soutiens étatiques peuvent générer 50 autres millions”, précise Christian Constantin.
Dans cette interview, Christian Constantin rend public ce projet “pour mettre toutes les cartes sur la table avant 2024.” “Ce projet ne pourra pas se réaliser avant 2030. Mais s’il y a une volonté de le faire, je serais fou de ne pas demander de licence en Super League pour la saison 2024/2025”, explique-t-il. Pour lui désormais, la balle est dans le camp des autorités politiques valaisannes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Les Etats-Unis ont annoncé vendredi avoir inculpé deux hommes soupçonnés d’avoir aidé l’oligarque russe Viktor Vekselberg, visé par des sanctions américaines, à éviter la saisie de son superyacht. L’un d’eux possède la double nationalité russe et suisse.
Le Russo-Suisse de 51 ans est en fuite tandis que l’autre homme inculpé, un Britannique de 52 ans, a été interpellé en Espagne, a précisé le ministère de la Justice dans un communiqué.
Les deux hommes sont accusés d’avoir aidé Viktor Vekselberg, un proche allié du président Vladimir Poutine, à dissimuler qu’il était le propriétaire du yacht “Tango”, dont la valeur est estimée à 90 millions de dollars.
Dirigeant du groupe Renova, un conglomérat basé à Moscou, et actionnaire de référence notamment du groupe industriel zurichois Sulzer, il avait été placé en 2018 sur la liste des oligarques visés par des sanctions américaines à la suite de l’invasion de la Crimée par la Russie.
La justice américaine reproche au Britannique, qui gère une compagnie de navigation à Palma de Majorque, d’avoir rebaptisé le navire “Fanta”, afin de continuer à travailler avec des fournisseurs américains. Les sanctions américaines empêchent les entreprises américaines, et leurs filiales, de faire des affaires avec les entités visées.
Les deux hommes “ont conseillé et ont permis aux employés du Tango de continuer à faire des affaires avec des entreprises américaines, en utilisant plusieurs stratagèmes pour contourner les sanctions, notamment en payant en d’autres monnaies (que le dollar) et via des intermédiaires”, selon le communiqué.
Le Tango, un bateau de 78 mètres de long, a finalement été saisi en avril par l’Espagne à la demande des Etats-Unis. Les Etats-Unis avaient annoncé en mars, après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, la création d’une cellule dédiée à la poursuite des “oligarques russes corrompus” et de tous ceux qui violeraient les sanctions adoptées par Washington contre Moscou.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Le directeur général de la SSR Gilles Marchand lance le combat contre l’initiative populaire “200 francs, ça suffit” qui veut réduire le montant de la redevance. Si le texte est approuvé, la surface et le budget de la SSR seraient divisés par deux, alerte-t-il.
“Il y aurait aussi des pertes d’emplois très importantes”, prévient-il samedi dans une interview accordée au Temps.
Lancée l’année dernière par l’UDC, l’Union suisse des arts et métiers (USAM) et les Jeunes PLR, l’initiative veut abaisser la redevance Serafe de la radio et de la télévision de 335 à 200 francs par an.
Si le texte se veut moins total que l’initiative “No Billag”, nettement rejetée en 2018, il s’avère quand même “brutal et radical”, avance Gilles Marchand. En cas de oui, la SSR verrait son budget divisé par deux. Celui-ci tomberait dans une fourchette de 700 à 750 millions.
Pour tourner, le groupe se verrait donc obligé de sacrifier l’un de ses deux sites romands situés à Genève et Lausanne. Et les programmes, notamment sportifs, musicaux et de fiction, seraient fortement limités.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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