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Constatant que les établissements financiers de la zone euro continuent de sous-estimer largement les risques liés au changement climatique, la Banque centrale européenne leur fixe jusqu'à fin 2024 pour répondre à ses exigences en la matière.
Par Marion Heilmann
« Le verre se remplit lentement, mais il n'est même pas encore à moitié plein ». Voilà comment Frank Elderson, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE) et numéro 2 de la supervision bancaire , qualifie, dans un post de blog, les progrès des banques en matière de gestion des risques climatiques.
Les établissements bancaires de la zone euro vont donc devoir accélérer. La BCE leur fixe à présent jusqu'à fin 2024 pour respecter la totalité des demandes des autorités de supervision en matière de risques climatiques.
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