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Prévention du suicide | Susciter l'espoir pour sauver des vies – La Presse

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PHOTO PATRICK T. FALLON, AGENCE FRANCE-PRESSE
« Grâce à la ligne téléphonique à trois chiffres pour la prévention du suicide qui a récemment été mise en place aux États-Unis et qui sera lancée en novembre 2023 partout au Canada, les gens peuvent appeler ou texter au 988 pour joindre un professionnel de la santé mentale », écrit l’auteur.
À moins d’être personnellement touché par le suicide, on peut facilement penser qu’il ne concerne que les autres : d’autres familles, d’autres milieux de travail, d’autres communautés. En réalité, quelque 4000 personnes meurent par suicide au Canada chaque année, dont 75 % d’hommes. Chez les hommes de 15 à 39 ans, il s’agit de la deuxième cause de décès.
Pour chaque personne qui meurt par suicide, de nombreuses autres ont des pensées suicidaires ou font des tentatives de suicide, et bien d’autres en subissent les douloureux effets de ricochet. Ces contrecoups mettent les survivants d’une perte par suicide ou d’une tentative de suicide à plus haut risque de comportements suicidaires (tout comme les personnes autochtones et les jeunes 2SLGBTQ+, entre autres).
Mais il ne devrait pas en être ainsi.
Au contraire, il n’est pas nécessaire d’avoir une expérience directe ou professionnelle de la problématique pour faire partie de sa solution.
Aujourd’hui, en cette Journée mondiale de prévention du suicide, nous soulignons le pouvoir que nous détenons tous de réduire le nombre de suicides et de tentatives de suicide partout sur la planète.
À la base, la prévention du suicide et la promotion de la vie reposent sur l’espoir. À la Commission de la santé mentale du Canada (CSMC), nous nourrissons l’espoir au moyen de conversations ouvertes et positives et nous suscitons l’espoir en prenant des mesures concrètes et personnalisées. Notre travail nous amène à collaborer avec des chefs de file communautaires, des personnes ayant un savoir expérientiel, des responsables des orientations politiques et des chercheurs afin de sensibiliser la population au suicide et de faire naître des pratiques prometteuses et des conversations salutaires pouvant sauver des vies.
Bien qu’il n’existe pas d’approche universelle de prévention du suicide qui puisse trouver écho chez tout le monde, de petites actions peuvent mener loin. Il suffit parfois d’un brin de causette pour donner de l’espoir et procurer à la personne un sentiment de connexion dans un moment d’isolement.
On croit souvent à tort que si on demande à une personne si elle songe au suicide, on la poussera à l’acte. En fait, en lui posant la question directement, vous lui faites plutôt comprendre que vous vous souciez d’elle et que vous reconnaissez sa souffrance. Vous ouvrez également la porte à poursuivre la conversation. Ainsi, la personne ayant besoin d’aide a l’occasion d’exprimer ses besoins dans un cadre sûr et vous pouvez l’orienter vers des ressources supplémentaires.
À l’ère de la COVID-19, ces discussions à propos du suicide et de la santé mentale en général sont plus cruciales que jamais. Dans un sondage commandé par la CSMC mené auprès de 13 000 Canadiens tout au long de la pandémie, 7,9 % des répondants ont indiqué qu’ils songeaient sérieusement au suicide. Malgré ce besoin grandissant, l’accès aux services et aux mesures de soutien demeure faible.
Heureusement, plusieurs pratiques prometteuses font progresser le domaine de la prévention du suicide et contribuent à combler les lacunes.
Par exemple, grâce à la ligne téléphonique à trois chiffres pour la prévention du suicide qui a récemment été mise en place aux États-Unis et qui sera lancée en novembre 2023 partout au Canada, les gens peuvent appeler ou texter au 988 pour joindre un professionnel de la santé mentale. La CSMC réclamait depuis longtemps la création d’une telle ligne de prévention du suicide au Canada afin d’offrir une ressource facile à mémoriser et à joindre en cas de crise.
On note également des progrès remarquables en ce qui concerne la sécurité entourant les moyens de suicide, c’est-à-dire le recensement des méthodes employées et des lieux où des suicides se produisent et les mesures prises pour en accroître la sécurité. De petits changements, comme les barrières aux passages à niveau, l’entreposage sûr des armes à feu et les protocoles d’accès aux médicaments, peuvent rendre nos résidences et nos communautés plus sûres.
Les dirigeants et autres sentinelles communautaires peuvent également générer des changements en se renseignant davantage sur la prévention du suicide et la promotion de la vie, en fournissant des services spécialisés aux personnes à haut risque et en informant les résidants des services et des systèmes de soutien disponibles dans leur région. Par l’entremise d’Enraciner l’espoir, le programme communautaire de prévention du suicide de la CSMC, nous avons pu constater que les gestes faits par une poignée d’individus dévoués peuvent engendrer un mouvement puissant.
Le suicide peut toucher des personnes de tous horizons à tout moment ; c’est la même chose pour la prévention. En suscitant de l’espoir et en favorisant l’action à tous les niveaux, nous pouvons transformer une perte individuelle en une réponse collective. C’est le genre d’effet d’entraînement auquel je veux contribuer.
Jeunesse, J’écoute
1 800 668-6868

Par texto: textez le mot PARLER au 686 868
Trans Lifeline (en anglais)
1 877 330-6366
Ligne d’écoute téléphonique de résolution des questions des pensionnats autochtones
1 866 925-4419
Ligne d’écoute d’espoir pour le mieux-être des Premières Nations et des Inuits
1 855 242-3310
Parlons suicide Canada
1 833 456-4566
Pour les résidants du Québec
1 866 APPELLE
Il y avait des spéculations sur ce que la lettre « Z » signifiait pour le Kremlin, et pourquoi elle est devenue le symbole de la guerre génocidaire de la Russie contre l’Ukraine.
Au début de l’été, le Parti républicain se dirigeait vers une victoire décisive au Congrès américain lors des élections de mi-mandat, prévues le 8 novembre prochain.
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Combien de fois un journaliste nous a-t-il appris qu’un enseignant, une directrice d’école ou un psychoéducateur invité à commenter un problème dans son école a refusé de lui donner une entrevue par crainte de représailles de la part de son employeur ?
Depuis la publication récente par Statistique Canada des données linguistiques du recensement 2021, le déclin du français a beaucoup animé la chronique. Le ton général fut celui d’une légitime inquiétude pour l’avenir de la langue de Molière partout au Canada.
Même quand on le cherche, son apparition est une surprise. Une sorte d’étonnement jumelé à une déception propre à tellement de rencontres avec ce qui est censé faire la grandeur de l’humanité. Un « Oh wow ! » suivi d’un « Je ne l’imaginais pas comme ça… »
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Si la tendance des derniers mois se maintenait, la Coalition avenir Québec (CAQ) avalerait le Parti québécois (PQ) et risquerait d’obtenir près de 100 sièges sur 125 à l’Assemblée nationale. En 2018, avec seulement 37,4 % des appuis, elle en avait obtenu 76.
En période de campagne électorale, la spéculation concernant la « question de l’urne » est un exercice auquel se livrent de nombreux analystes. Cette expression, qui est un calque de l’anglais the ballot question, sert à identifier la question qui sera décisive lors de la journée du scrutin.
Je suis arrivé à Londres un 27 août 1997 pour une formation journalistique d’un an au siège de l’agence de presse Reuters. Trois jours et demi plus tard, la princesse Diana est morte à Paris dans des circonstances troubles.
L’annonce du décès de Sa Majesté la reine Élisabeth II m’a attristé et rappelé les occasions où j’ai pu la rencontrer alors que j’étais haut-commissaire adjoint à Londres de 2004 à 2008.
En réponse au texte de Léa Carrier, « Logements locatifs : des étudiants floués », publié le 27 août⁠1
La Coalition avenir Québec (CAQ) proposait la semaine dernière d’augmenter les admissions en médecine de 660 places sur quatre ans⁠1. Cette proposition fait suite à celle du Parti libéral du Québec (PLQ), qui souhaite quant à lui augmenter les admissions en médecine de 1000 places sur cinq ans⁠2. Ces augmentations font partie d’une plus grande stratégie voulant contrer la pénurie de main-d’œuvre en santé et assurer un meilleur accès à la première ligne de soins, notamment en garantissant un médecin de famille à tous les Québécois.
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Je ne pourrai pas voter aux prochaines élections provinciales en raison d’une formalité administrative. C’est la conclusion à laquelle en est arrivé le Directeur général des élections du Québec (DGEQ). Cette décision touche des milliers de Québécois, dont la plupart de mes collègues.
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