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Le groupe de metal instrumental américain Polyphia a dévoilé « Ego Death », un single dans lequel on retrouve le légendaire guitariste Steve Vai. Une collaboration forte d’un certain succès, puisque le clip a désormais dépassé les cinq millions de vues. Ce dernier, réalisé par Caleb Young, est disponible via le player ci-dessous :
« Avoir Steve [Vai] sur notre disque était un rêve devenu réalité » s’enthousiasme le guitariste Tim Henson, interviewé par le magazine Guitarist. « Quand, même, c’est une légende ! ». Steve Vai, de son côté, a déclaré : « Tim Henson explore de nouveaux horizons. Je perçois une évolution dans une direction que je n’aurais pas pu prévoir. C’est magnifique. J’adore écouter ces idées et les voir exécutées. »
« Ego Death » est le morceau qui conclut Remember That You Will Die, prochain album de Polyphia, dont la sortie est prévue pour ce vendredi 28 octobre. Outre le single « ABC« , qui comprend une participation de la chanteuse Sophia Black, le groupe a invité Chino Moreno, chanteur de Deftones, ainsi que le rappeur Lil West.
Côté live, le quatuor américain viendra présenter son nouvel album le 26 mai 2023 au Bataclan (Paris). Les places sont en vente.
Remember That You Will Die est disponible en précommandeVoici la tracklist et la pochette :
John Lennon chante « Yellow Submarine » sur une démo de « Revolver »
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Les Beatles étaient capables d’exprimer leurs émotions comme aucun autre groupe. Leur chef-d’œuvre de 1966, Revolver, est rempli de moments où John Lennon, Paul McCartney, George Harrison et Ringo Starr touchent droit au cœur. Mais pas « Yellow Submarine »… jusqu’à aujourd’hui. Le monde a toujours chéri cette chanson comme une joyeuse comptine pour enfants, quelque chose que le groupe a concocté pour rire.
C’est donc un véritable choc d’entendre John Lennon la chanter, seul avec sa guitare, comme une triste ballade acoustique. Tirée de la nouvelle édition Super Deluxe de Revolver, qui sort le 28 octobre, c’est l’une des plus grandes surprises de cette sortie : qui s’attendait à une profondeur émotionnelle sur « Yellow Submarine » ?
Mais comme beaucoup de moments de la nouvelle édition, « Yellow Submarine » vous fait reconsidérer tout ce que vous pensiez savoir sur le groupe. On y voit à quel point ils étaient prêts à expérimenter en sortant de leur zone de confort. « Tout l’album, c’est eux qui disent : “Hé, faisons tout complètement différemment”, dit Giles Martin, producteur de la nouvelle version et fils du producteur original George Martin. C’était la nitroglycérine qui a tout fait exploser ».
Le nouveau Revolver comprend beaucoup de surprises. Il a été remixé par Martin et l’ingénieur Sam Okell en stéréo et Dolby Atmos, en utilisant la technologie de « démixage » développée par l’équipe audio de Peter Jackson pour le documentaire Get Back. La collection Super Deluxe comprend 31 morceaux bonus, dont trois démos maison. (Il y a aussi un EP quatre pistes avec « Paperback Writer » et « Rain »). Tout cela capture l’esprit libre des sessions de Revolver : quatre garçons en liberté en train d’inventer le futur.
La démo de « Yellow Submarine » n’a jamais fait l’objet d’un bootleg ou même d’une rumeur, pas même parmi les fans les plus acharnés des Beatles. John la chante de façon mélancolique sur un jeu de guitare folklorique. On dirait qu’il évoque ses douloureux souvenirs d’enfance, comme il le ferait plus tard dans « Strawberry Fields Forever », « Dear Prudence » ou « Julia ». Ça pourrait figurer sur l’Album Blanc ou même sur Plastic Ono Band. Mais… c’est « Yellow Submarine » ?
Paul McCartney a écrit le refrain classique. Mais c’est un choc de réaliser que John était si profondément impliqué, car les gens ont tendance à penser qu’il regardait ça de haut. « Je n’en avais aucune idée jusqu’à ce que je commence à regarder les outtakes, dit Martin. C’était bien un Lennon-McCartney. J’ai dit à Paul : “J’ai toujours pensé que c’était une chanson que tu avais écrite et que tu avais donnée à Ringo, et que John pensait ‘Oh, putain de Yellow Submarine’. Pas du tout. »
Comme le rappelle Paul dans un nouvel avant-propos qu’il a rédigé pour cette édition, « Un soir, au crépuscule, allongé dans mon lit avant de m’endormir, j’ai imaginé une chanson qui, selon moi, conviendrait à Ringo tout en intégrant les vibrations enivrantes de l’époque : Yellow Submarine, une chanson pour enfants avec une touche d’influence des drogues, avec laquelle Ringo éblouit encore le public aujourd’hui. »
Mais il s’agit bien d’un cas où John et Paul combinent deux fragments individuels en un tout parfait, comme « A Day in the Life » ou « We Can Work It Out ». Ils ont discuté de l’origine de la chanson dans une interview radio de 1966 pour les Ivor Novello Awards. « Il me semble me souvenir que… le sous-marin, dit John à Paul. Le refrain, tu es arrivé avec. Et l’autre partie, c’était pas quelque chose que j’avais déjà fait, et on les a mis ensemble ? » Paul acquiesce : « C’est ça, oui. »
C’est l’un des deux outtakes de Revolver publiés aujourd’hui. L’autre est une fantastique et énergique première version de « Got To Get You Into My Life », qui s’inspire du R&B de Memphis à la Stax. Pas encore de section de cuivres : George Harrison joue la mélodie sur une guitare fuzz-tone, pour une ambiance de groupe de garage.
Mais « Yellow Submarine » est celui qui est vraiment nouveau. Dans un autre enregistrement de travail du coffret, ils la chantent ensemble, comme un duo d’harmonie à la manière des Everly Brothers. On peut entendre Paul se retirer, reconnaissant généreusement que son compagnon est là dans une zone personnelle et lui donnant toute la place dont il a besoin. Il est stupéfiant de penser que John s’est laissé être si vulnérable dans cet air, puis qu’il l’a confié à Paul pour qu’il le retravaille et en fasse un tube pour Ringo. Tant de belles histoires des Beatles réunies dans une seule chanson. Ce n’est qu’un tout petit morceau, resté dans le coffre-fort pendant presque 60 ans. Mais il résume tellement bien la chimie unique des Beatles que l’on peut entendre à chaque instant dans Revolver.
Précommandez la réédition de Revolver
Rob Sheffield
Traduit par la rédaction
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Johnny Depp et Jeff Beck ont intenté un procès au folkloriste et professeur Bruce Jackson, qui les accuse d’avoir volé les paroles d’un poème qu’il a consigné dans son livre de 1974 et son album de 1976, Get Your Ass in the Water and Swim Like Me.
Comme Rolling Stone l’a rapporté en août, la chanson de Depp et Beck, « Sad Motherfuckin’ Parade » (extrait de leur album 18) semble tirer de nombreux vers d’un poème intitulé « Hobo Ben », dont un qui donne ostensiblement son titre à la chanson. Les vers « I’m raggedy, I know, but I have no stink », « God bless the lady that’ll buy me a drink » et « What that funky motherfucker really needs, child, is a bath » apparaissent tous sur « Sad Motherfuckin’ Parade ».
Pour sa part, Jackson ne revendique pas la paternité du poème. Il l’a appris d’un détenu du Missouri State Penitentiary, identifié comme Slim Wilson, qui a dit l’avoir appris de son père. Le poème, comme tant de musique et d’art dans la tradition orale, n’a pas d’auteur définitif.
Après la publication de l’article de Rolling Stone, un porte-parole de Depp et Beck a déclaré que le duo envisageait d’ajouter des crédits de droits d’auteur « si nécessaire ». Mais quelques mois plus tard, il semble que le duo soit moins intéressé par l’attribution de crédits que par la poursuite de Jackson pour des dommages et intérêts non spécifiés et une déclaration selon laquelle ils n’ont pas commis de violation des droits d’auteur.
L’argument de Depp et Beck semble reposer sur la zone grise entre les origines et la paternité inconnues de « Hobo Ben », et les droits d’auteur que Jackson possède pour ses transcriptions et l’enregistrement du poème. Depp et Beck affirment que cela signifie que Jackson « ne possède aucun droit d’auteur sur les mots » de « Hobo Ben », et que « la copie du poème dans son livre et les enregistrements ultérieurs n’ont pas créé de droits d’auteur sur ces mots ».
Dans une déclaration partagée avec Rolling Stone, Jackson a répondu : « Ils n’ont pas écrit un mot de ‘Sad Motherfuckin’ Parade’ et ils poursuivent la personne à qui ils l’ont volé et qui les a surpris en train de le faire. De mon point de vue, c’est comme un cambrioleur qui poursuit un propriétaire parce qu’il s’est coupé la main sur la fenêtre de la cuisine qu’il a cassée pour entrer. »
Les avocats Rachel et Michael Jackson (qui sont les enfants de Jackson) estiment qu’il s’agit avant tout de « détourner l’attention du public de leurs tentatives répétées de revendiquer la paternité d’une chanson qu’ils n’ont pas écrite. L’hypocrisie est profonde chez ces deux-là. D’une part, ils affirment que le professeur Jackson ne peut pas avoir de droits d’auteur sur la chanson ‘Sad Motherfuckin’ Parade’ parce qu’il s’agit d’un poème dont la paternité est incertaine et qui a été librement transmis et partagé au sein de la communauté afro-américaine, et Depp et Beck savent parfaitement que c’est faux. D’autre part, ils ont revendiqué à plusieurs reprises la paternité de cette même chanson, d’abord sur la version numérique de 18, et, plus tard, sur la version vinyle de 18. Comment expliquent-ils cela ? Ils ne le font pas. Au lieu de cela, ils ont intenté un procès à la personne qui a exposé leur détournement apparent de cette œuvre afro-américaine. »
Selon la plainte de Johnny Depp et Jeff Beck, Jackson leur a envoyé des lettres en août dernier, alléguant que « presque chaque mot » de « Sad Motherfuckin’ Parade » est « copié de “Hobo Ben”, y compris le titre ». Il était également suggéré que « l’inflexion, la tonalité et le rythme » de « Sad Mothefuckin’ Parade » reflétaient l’enregistrement que Jackson avait fait de Slim Wilson interprétant le poème dans les années 1960. La lettre de Jackson prétend même que Depp et Beck ne se sont pas contentés de copier les paroles de « Hobo Ben », mais ont peut-être échantillonné cet enregistrement « pour construire des parties de la piste vocale » de « Sad Motherfuckin’ Parade ». L’action en justice de Depp et Beck poursuit en affirmant que si « certains éléments » de « Sad Motherfuckin’ Parade » reprennent les paroles de « Hobo Ben », la chanson est « un travail original d’auteur et de créativité ».
Selon la déclaration de Jackson, celui-ci n’a jamais fait « aucune demande financière formelle à Depp et Beck ». Au contraire, « il a spécifié à plusieurs reprises que les sommes versées à titre de règlement seraient directement reversées à des organisations qui soutiennent son engagement de toute une vie pour la préservation de la culture et des traditions afro-américaines. L’affirmation de Depp et Beck selon laquelle il s’agit d’une tentative de se faire de l’argent est un autre mensonge ».
Jackson a été un peu plus direct dans sa première interview avec Rolling Stone, en disant : « Je ne sais pas si ce disque se vend. J’ai vu des critiques que j’aurais été très embarrassé d’obtenir s’il s’agissait de mon album. Mais s’il se vend, Johnny Depp gagne beaucoup d’argent avec. Cet argent doit-il lui revenir, ou doit-il aller quelque part où il aide les gens qui ont produit cette culture ? »
Jon Blistein
Traduit par la rédaction
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Midnights est officiellement un album qui bat des records. Vendredi, Spotify a révélé que le nouvel album de Taylor Swift était devenu le projet le plus écouté en une seule journée dans l’histoire du service de streaming.
En partageant le tweet de Spotify, Swift a écrit : « Comment ai-je pu être si chanceuse, que vous fassiez quelque chose d’aussi époustouflant ? ! Qu’est ce qui vient de se passer ??!?! ».
Bien que Spotify n’ait pas immédiatement publié les chiffres officiels du streaming, Swift bat le record précédemment détenu par Bad Bunny, Un Verano Sin Ti ayant recueilli 183 millions de streams lors de sa sortie en mai.
How did I get this lucky, having you guys out here doing something this mind blowing?! Like what even just happened??!?! https://t.co/7kDKDrBwiD
— Taylor Swift (@taylorswift13) October 21, 2022
L’annonce du record est intervenue quelques heures après que certains utilisateurs de Twitter ont rapporté que Spotify était brièvement tombé en panne jeudi soir, alors que les fans affluaient sur l’application pour écouter le disque dès sa sortie. Parmi les titres figurant sur Midnights, on trouve le single « Anti-Hero », « Snow on the Beach » avec Lana Del Rey et « Karma ».
Avant la sortie de Midnights, Swift a collaboré avec le service de streaming musical pour diffuser les paroles de l’album sur des panneaux d’affichage massifs à travers le monde, notamment à Nashville, New York City, São Paulo et Londres. Le partenariat avec Spotify renforce la relation entre Swift et la plateforme de streaming, de laquelle Swift avait initialement retiré sa musique en 2014.
« Dans le cadre de mon nouveau contrat avec Universal Music Group, j’ai demandé que toute vente de leurs actions Spotify entraîne une distribution d’argent à leur artiste, non récupérable, a écrit Swift dans un post Instagram en 2018, lorsque sa musique a fait son retour sur la plateforme. Ils ont généreusement accepté, à des conditions qui, selon eux, seront bien meilleures que celles versées précédemment par d’autres grands labels. »
Tomás Mier
Traduit par la rédaction
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Une fois encore, Bono s’est excusé pour le coup d’éclat de U2 en 2014, lorsque leur album Songs of Innocence s’est retrouvée sans avoir été sollicité dans les bibliothèques iTunes du monde entier. « J’assume l’entière responsabilité », écrit Bono dans son prochain livre, Surrender: 40 Songs, One Story, dont un extrait a été publié samedi dans le Guardian.
« J’avais pensé que si nous pouvions simplement mettre notre musique à la portée des gens, ils pourraient choisir de tendre la main vers elle. Pas tout à fait. Comme l’a dit un petit malin sur les réseaux sociaux : “Je me suis réveillé ce matin et j’ai trouvé Bono dans ma cuisine, buvant mon café, portant ma robe de chambre et lisant mon journal”. Ou, moins aimable, “L’album gratuit de U2 est hors de prix”. Mea culpa. »
Dans le livre, Bono raconte sa conversation avec Tim Cook, le PDG d’Apple, incrédule face à leur idée de donner gratuitement le nouvel album. « “Vous voulez donner cette musique gratuitement ? Mais le but de ce que nous essayons de faire chez Apple n’est pas de donner de la musique gratuitement. C’est de s’assurer que les musiciens soient payés.” Non, lui ai-je répondu, nous ne la donnons pas gratuitement. Vous nous payez et vous la donnez gratuitement, comme un cadeau aux gens. Ne serait-ce pas merveilleux ? », comparant cette démarche à celle de Netflix qui achète un film et le distribue gratuitement à ses abonnés.
« On pourrait appeler ça de l’ambition. Ou de la vantardise. Les critiques pourraient m’accuser d’aller trop loin. C’est le cas, poursuit Bono. Si l’idée était de transmettre notre musique à des gens qui aiment notre musique, c’était une bonne idée. Mais si l’idée était d’apporter notre musique à des personnes qui ne s’intéressaient pas du tout à elle, il y aurait peut-être eu une certaine réticence. Mais qu’est-ce qui pouvait arriver de pire ? Ce serait comme du courrier indésirable. »
Si les fans de U2 ont probablement apprécié cette offre gratuite, ce n’est pas le cas de nombreux utilisateurs d’iTunes : peu de temps après la sortie de l’album le 9 septembre 2014, Apple, face à la réaction négative, a publié des instructions pour supprimer l’album des bibliothèques. Bono s’est même excusé auprès des fans un mois plus tard lors d’une séance de questions-réponses en ligne.
« J’avais cette belle idée et nous nous sommes emportés, expliquait Bono à l’époque. Les artistes sont enclins à ce genre de choses : [une] goutte de mégalomanie, une touche de générosité, un soupçon d’autopromotion et une peur profonde que ces chansons dans lesquelles nous avons mis toute notre vie ces dernières années ne soient pas entendues. Il y a beaucoup de bruit dehors. Je suppose que nous sommes devenus un peu bruyants nous-mêmes pour nous en sortir. »
Une étude réalisée six mois plus tard a révélé que seul un quart des utilisateurs d’iTunes avait effectivement écouté au moins une chanson d’Innocence.
Dans l’extrait, Bono parle également de sa rencontre avec Steve Jobs en 2004, une conversation qui a débouché sur l’emblématique publicité pour l’iPod avec « Vertigo ». U2 a offert le single à Apple pour qu’il l’utilise gratuitement, bien que le groupe ait tenté d’obtenir « quelques actions Apple » en échange. « “Désolé, a répondu Steve. Ce n’est pas possible” », écrit Bono. À la place, U2 s’est contenté d’un iPod personnalisé.
Daniel Kreps
Traduit par la rédaction
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Joni Mitchell donnera son premier concert officiel depuis plus de 20 ans en se joignant à Brandi Carlile pour un concert au Gorge Amphitheatre l’été prochain.
Brandi Carlile a révélé mercredi au Daily Show que Joni Mitchell, qui a fait un retour surprise sur scène l’été dernier au Newport Folk Festival, participera aux concerts « Echoes Through the Canyon » prévus en juin 2023 dans ce lieu pittoresque de l’État de Washington.
« Joni Mitchell va jouer. Personne n’a pu acheter un billet pour voir Joni Mitchell jouer en 20 ans, a déclaré Carlile. Donc c’est énorme, et elle est tellement excitée parce que c’est proche du Canada… Je n’arrive pas à croire que ça arrive, mais ça arrive ».
Avant le concert du Newport Folk Festival (auquel Carlile a également participé) Mitchell n’avait pas joué un set live complet depuis 2000. La chanteuse a passé la dernière décennie à se remettre d’un anévrisme cérébral survenu en 2015, mais elle a souvent organisé des séances privées de « Joni Jams » dans sa maison californienne pendant sa convalescence. Ces rassemblements, auxquels Carlile assiste souvent, ont été le catalyseur de la performance de Newport.
« Je n’arrive toujours pas à croire que c’est arrivé, a déclaré Carlile à l’animateur Trevor Noah. C’était il y a quelques mois à peine, et le fait que ce soit au Newport Folk Festival, qui est un lieu si monumental et historique. [Mitchell] a toujours un plan. Elle sait ce qu’elle veut faire, même si elle ne le dit pas. […] Nous pensions que c’était un jam. Nous ne savions pas qu’elle allait chanter toutes les chansons. Elle a juste commencé à chanter. Nous avions répété les chansons nous-mêmes. Et nous ne savions pas si nous devions nous arrêter ou ce que nous devions faire, alors nous avons juste chanté avec elle. »
Après le spectacle de Newport, Mitchell a dit à Carlile, « “Je veux faire un autre concert.” Elle a dit : “Je veux jouer à nouveau.” » Carlile, qui avait déjà donné des concerts « Echoes Through the Canyon » au Gorge en 2021 avec une formation comprenant Sheryl Crow, a suggéré un retour dans le lieu qu’elle a qualifié de « l’un des plus beaux lieux du monde ».
Le festival « Echoes Through the Canyon », qui se déroulera sur deux jours, verra Carlile en tête d’affiche le 9 juin, suivie d’une performance de style Joni Jams avec Mitchell le 10 juin. Les autres artistes participants n’ont pas encore été annoncés.
Daniel Kreps
Traduit par la rédaction
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