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Office 365 et Google Workspace en difficulté chez l'école républicaine – LinuxFr.org – LinuxFr





“Le ministère de l’Éducation nationale estime que les solutions Office 365 de Microsoft (dont Word, Excel, Power Point…) et celles de Google Workspace ne sont pas conformes aux exigences européennes sur la protection des données et à la doctrine « cloud au centre » de l’État . Il demande aux écoles, collèges et lycées « d’arrêter tout déploiement ou extension » des solutions des deux géants américains, déjà très déployées.”
https://www.latribune.fr/technos-medias/internet/fin-de-la-recreation-microsoft-et-google-exclus-de-l-ecole-par-l-education-nationale-942051.html
Par ailleurs en RFA, selon un rapport rédigé par la Datenschutzkonferenz, qui traite des questions de protection des données depuis 1979, “Microsoft enfreint toujours le règlement général sur la protection des données (RGPD), entré en application le 25 mai 2018.”
https://www.tomsguide.fr/microsoft-ne-respecte-pas-la-rgpd-et-risque-de-gros-problemes-avec-les-autorites/
Ça fait plaisir de voir que les coloriages et autres exercices de grammaire de nos jeunes ne vont pas tomber entre de mauvaises mains. Ou en tous les cas, que cela tombera entre des mauvaises mains “bien de chez nous”..
Posté par  . Évalué à 2 (+2/-2). Dernière modification le 02/12/22 à 14:24.
Le lien avait déjà été ajouté dans la rubrique liens.
Le ministère demande des choses mais que propose-t-il ? Existe-t-il des solutions alternatives qui seraient fournies par l’éducation nationale ? Si la réponse est non, la demande du ministère revient à se dégager d’une responsabilité sans donner aux écoles, collèges et lycées les moyens de faire autrement. Dans ce cas, cela ressemblerait fortement à du vent sans éolienne.
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 8 (+6/-1).
libreoffice ?
Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.
Posté par  . Évalué à 6 (+5/-0).
Oui, il existe un référentiel : Logiciels libres recommandés par l’État
Celui qui pose une question est bête cinq minutes, celui qui n'en pose pas le reste toute sa vie.
Posté par  . Évalué à 3 (+3/-2). Dernière modification le 02/12/22 à 15:09.
Oui, des solutions existent mais est-ce que des instances sont disponibles ? Un enseignant n’a pas forcément les connaissances, le temps et/ou le matériel pour mettre en place un serveur. J’imagine que le gros avantage de Google Workspace est qu’il n’y a besoin que d’une inscription.
De mémoire, il y avait un serveur de l’éducation nationale qui offrait quelques uns de ces logiciels mais je ne retrouve plus le lien.
Posté par  . Évalué à 8 (+7/-0).
Une instance pour quoi ?
Pour tout ce qui est collaboratif, l’éducation nationale fournit l’ENT. Pour tous les ministères (y-c l’EducNat), la DINUM fournit au moins RESANA et OSMOSE : https://www.numerique.gouv.fr/outils-agents/
Il n’y a que l’embarras du choix, mais les instructions (inter-)ministérielles sont ignorées, et donc non transmises, à tous les niveaux.
Posté par  . Évalué à 10 (+11/-0).
Pour l’EN, il y a plutôt :
https://apps.education.fr/
https://tribu.phm.education.gouv.fr/
Apps est récent en prod et pas encore assez connu.
Le problème dans l’EN, c’est l’humain : des profs récalcitrants (je sais de quoi je parle, ce n’est pas de l’antiprof primaire je parle de certains de mes collègues) qui ne jurent et ne jureront toujours que par MS/Google, des administratifs idem, et des rectorats qui malgré le RGI envoient en permanence des .doc(x), .xls(x) et autres horreurs, sans parler des visios par Zoom (alors que BBB fonctionne très bien, mais vous comprenez certains ont leurs petites habitudes…). A décharge, avec l’avalanche d’informations diverses et variées, l’absence de support/formation ou des formateurs vendus aux GAFAM, les choix divergents entre académies ou primaire/secondaire/supérieur, difficile de trouver une cohérence ou une ligne claire.
Et toujours dans l’humain, un manque de moyens dans les fonctions informatiques diverses (ben oui, on est à l’os partout dans la fonction publique) donc difficile d’impulser quelque chose d’ambitieux avec les ressources manquantes.
Posté par  . Évalué à -5 (+1/-7).
Les solutions libres n’arrivent pas à la cheville des outils bien intégrés de Google ou de Microsoft, ça fait mal de le dire mais c’est la réalité. Alors jeter la pierre sur les enseignants, c’est un peu facile.
Posté par  . Évalué à 10 (+15/-0).
Je ne jette pas la pierre sur les enseignants, j’en suis un. Je constate que le problème est avant tout humain (profs y compris, mais pas seulement).
Je ne partage pas ton point de vue sur des solutions libres qui “n’arrivent pas à la cheville des solutions propriétaires”.
Nextcloud remplace sans aucun problème les solutions de “drive” en ligne, avec la synchro sur tous les OS et les smartphones. BBB remplace sans aucun problème les solutions de visio comme Meet, Teams, ou encore Zoom.
OnlyOffice (Tribu) fonctionne très bien lorsqu’il y a nécessité de collaborer à plusieurs sur un même document (ce qui comme usage dans la vraie vie des profs reste assez ponctuel et marginal). LibreOffice Online sur apps est moins exploitable, mais c’est très récent et ça essuie les plâtres.
Tu as raison sur un des aspects, c’est l’intégration de tout cela effectivement, et c’est la force des solutions MS et Google.
Pourtant, il suffit de réfléchir au nombre de fois où une licence bureautique (et maintenant SaaS) a été payée pour une même place élève/étudiant dans une salle informatique et des usages qui ont très peu évolué (voire régressé), il y a de quoi devenir fou. Si l’institution utilisait une fraction du pognon qu’elle brûle en licences pour intégrer tout ça proprement, le problème serait réglé depuis longtemps.
Mais pour ça il faut une vision, une volonté et des compétences. De l’humain donc.
Posté par  . Évalué à 4 (+2/-0).
des profs récalcitrants … [liste]tu as oublié ceux qui refusent par principe, parce qu’ils n’ont pas été formé même s’ils n’en ont pas besoin (c’est du vécu).
A décharge
tu as oublié le bordel démoralisant, avec les fournitures manquantes et tout en panne la veuille de la rentrée (c’est du vécu).
On en blâme un peu moins les refus par principe.
Posté par  . Évalué à 5 (+3/-0).
Oui, des solutions existent mais est-ce que des instances sont disponibles ?
https://cryptpad.fr/ par exemple pour accéder à des instances OnlyOffice ?
(bon par contre si toute l’EN se mettait à l’utiliser je suppose que leurs serveurs exploseraient… 🙂
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 10 (+19/-1). Dernière modification le 02/12/22 à 15:33.
Le ministère demande des choses mais que propose-t-il ? Existe-t-il des solutions alternatives qui seraient fournies par l’éducation nationale ?
Oui : étudier sans informatique, sauf lorsqu’il s’agit d’apprendre la bureautique et l’informatique.
Sérieusement, les connaissances de compétences de base que l’école est censée transmettre n’ont pas changé depuis cinquante ans, c’est toujours lire, compter, calculer, réfléchir, puis pour aller plus loin, étudier des textes littéraires, résumer, raisonner, avec des bases en diverses sciences. Que des trucs qui se faisaient très bien sans informatique, et qui peuvent toujours très bien se faire sans informatique.
Je soupçonne même que ces trucs se feraient sans doute mieux sans informatique.
L’informatique est indispensable lorsqu’il s’agit d’apprendre la bureautique. Ça se fait sans problème sous Google ni Microsoft. L’informatique est, en revanche, secondaire lorsqu’il s’agit d’apprendre la programmation, c’est important à rappeler. L’algorithmique et toute ça théorique, ça se fait sans ordinateur, en tout cas sans coder, donc sans problème avec un tableau noir et du papier.
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 6 (+5/-0).
L’algorithmique et toute ça théorique, ça se fait sans ordinateur, en tout cas sans coder, donc sans problème avec un tableau noir et du papier.
Pour être dans la partie, avec des élèves en NSI, je peux témoigner de la nécessité d’alterner pratique et théorique. Les élèves n’ont pas encore assez de recul pour se permettre d’apprendre uniquement le côté théorique. Pour que les concepts prennent forme dans leur mémoire, ils doivent expérimenter certaines choses.
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 10 (+12/-0).
L’algorithmique et toute ça théorique, ça se fait sans ordinateur, en tout cas sans coder, donc sans problème avec un tableau noir et du papier.
Pour être dans la partie, avec des élèves en NSI, je peux témoigner de la nécessité d’alterner pratique et théorique. Les élèves n’ont pas encore assez de recul pour se permettre d’apprendre uniquement le côté théorique. Pour que les concepts prennent forme dans leur mémoire, ils doivent expérimenter certaines choses.
À l’université, y a 20 ans, en licence/master informatique, les cours d’algorithmiques se faisaient sans ordinateurs. Et on comprenait très bien. Alors je veux bien — pourquoi pas ! — rajouter un peu de TPs pour peut-être rendre certains aspects plus pratiques. Mais globalement, ces choses que j’ai apprises en algorithmique, je les avais bien comprises et je les ai encore dans mon esprit à ce jour.
Sinon dans ce sujet de “l’informatique à l’école”, il y a 2 sujets en fait: l’informatique au service des cours (donc l’usage d’ordis pour les élèves et apprendre une matière par le biais de logiciels libres ou non) et au service de l’infrastructure (l’administration, mais aussi les échanges entre élèves, profs et élèves, parents et profs/école, etc.).
Sérieusement, les connaissances de compétences de base que l’école est censée transmettre n’ont pas changé depuis cinquante ans, c’est toujours lire, compter, calculer, réfléchir, puis pour aller plus loin, étudier des textes littéraires, résumer, raisonner, avec des bases en diverses sciences. Que des trucs qui se faisaient très bien sans informatique, et qui peuvent toujours très bien se faire sans informatique.
Je soupçonne même que ces trucs se feraient sans doute mieux sans informatique.
Pour le premier sujet déjà, j’abonde totalement avec Tangui. Je trouve la “foire à l’informatique” de nos jours totalement aberrante. On enseigne aux jeunes à ne plus savoir rien faire sans ordi (que ce soit les gros, ou les minis dans la poche, qui servent accessoirement à téléphoner!). Mais le fait est que la plupart des choses se fait très bien sans ordi. Et même justement apprendre à faire les choses à leur base nous fait comprendre.
Pour les quelques trucs où l’informatique reste tout de même très utile, on a vraiment tout ce qu’il faut en libre.
Même si parfois certains logiciels propriétaires ont certaines fonctionnalités avancées qui pourraient ne pas exister ailleurs (ce que je mets d’ailleurs aussi en doute; non pas parce que c’est faux, mais parce que c’est en général vrai dans les 2 sens: oui chaque logiciels, libre comme propriétaire, a en général des points forts que l’autre n’a pas — mais passons et supposons ce cas extrême où il y aurait vraiment un logiciel propriétaire mieux en tous points), ce sont justement des fonctionnalités “avancées”, ce qui veut souvent dire qu’elles ne sont finalement pas si utiles lorsqu’on parle d’école (où ce n’est pas l’efficacité qui doit primer mais l’apprentissage), voire même qui ne devraient surtout pas être utilisés dans un tel contexte. En effet, un truc typique que j’ai remarqué, c’est que les gens n’aiment pas comprendre et veulent des solutions “magiques”. Mais comme on n’est pas à Poudlard/Hogwarts, on n’est pas censé apprendre la magie mais bien apprendre à apprendre, comprendre, réfléchir, se débrouiller par soi-même.
En fait, en tant que développeur, pour être clair, je trouve cela peu responsable de plonger les enfants dès leur plus jeune âge dans les ordis. C’est une des nombreuses raisons pour lesquelles j’ai très tôt arrêter de travailler dans le secteur des “startups”, après quelques années à peine dans ce monde et après avoir compris à quel point ce monde était tordu. En conséquence, je suis pas riche comme ceux qui ont continué auraient pu l’être mais je vis bien avec moi-même (que les gens qui développent des systèmes qu’ils empêchent leur propres enfants d’utiliser; voir le paragraphe suivant). Et je ne suis pas de ceux qui prônent une informatique omni-présente. Au contraire, il y a plein de cas où on peut et devrait s’en passer.
Pour info, la question de l’informatique pour la formation/éducation des enfants existe depuis des années, et notamment le fait que les gros “pontes” du monde numérique envoient leurs enfants dans des écoles sans informatique, en fait au moins 11 ans dans la presse puisque les plus vieux articles sur le sujet que je trouve datent de 2011, notamment un article de 2011 du New York Times. Bien sûr ça a commencé avant, quand on voit notamment que l’une des plus citées de ces écoles, dans la Silicon Valley — Waldorf School of the Peninsula — fut créée en 1984. Et oui, tous les gens aisés de la Silicon Valley, tous les présidents de GAFAM et autres grosses entreprises du coin notamment, envoient leurs enfants dans ce type d’école ou d’autres similaires (article récent sur les enfants de Steve Jobs et Bill Gates éduqués avec le moins de technologie possible). On en parle depuis une dizaine d’années (le sujet revient dans des journaux depuis très régulièrement; une simple recherche web trouve des articles très récents) mais c’est plus vieux que cela.
Pour moi, il ne faut même pas y chercher une forme de “théorie du complot” d’ailleurs, comme on lit souvent dans les explications. Ce n’est pas parce que les logiciels de ces GAFAMs sont faits pour vous rendre dépendants (flux de news constants, techniques de “rétention”, notamment en jouant sur les instincts et émotions les moins nobles des humains…), même s’il y a forcément un peu de cela, mais bien parce que l’ordinateur est probablement le dernier outil à utiliser pour apprendre les bases de quoi que ce soit (on parle de l’école là, la formation la plus initiale qui soit). Non on n’apprend pas à écrire avec un traitement de texte (LibreOffice pas plus que MS Word), à compter avec une calculatrice, à dessiner avec un stylet et des filtres automatiques (que ce soit GIMP, Photoshop ou autre), à penser et exprimer clairement sa pensée en lisant ou écrivant sur Twitter (ou Mastodon), à sculpter en manipulant des objets 3D (Blender ou 3DS Max), etc. Pour moi, ce serait comme dire qu’on apprendrait à cuisiner avec un robot de cuisine, ou à piloter avec un Boeing 737 MAX, ou bien à planter un clou avec un marteau-piqueur (notons qu’il y a diverses catégories d’absurdités: dans certains cas, ce peut être inadapté notamment parce que la qualité n’est pas au rendez-vous, dans d’autres parce que c’est sauter des étapes voire qu’on utilise trop gros et inadapté pour un besoin simple; mais le point commun dans tous les cas est qu’on ne commence pas par apprendre les bases).
Les outils libres que l’on fait sont utiles, mais il ne faut jamais oublier que ce ne sont que des outils, pour des usages avancés et particuliers, avec un focus souvent sur l’efficacité plus que l’apprentissage, etc. Il suffit de voir d’ailleurs tous ces gens qui se disent perdus (genre comme si cela touchait à leur métier) si jamais leur logiciel de prédilection devait changer, être racheté par une entreprise, ou disparaître. À quel point peut-on devenir dépendant d’un seul outil? Alors que si on apprend les concepts et qu’on “comprend” les choses, quoi qu’il arrive, on ne se sent jamais perdu.
Pour le second sujet, à savoir l’infrastructure scolaire, il faut aussi arrêter de rigoler. On a tout ce qu’il faut pour les besoins et l’efficacité des services éducatifs. Que ce soit les logiciels bureaux comme serveurs (“cloud”), on a largement de quoi faire. Oui, on perd toujours quelques fonctionnalités en changeant de logiciels, mais on en découvre et gagne d’autres (ce qui fait que globalement on peut s’y retrouver). C’est toujours comme cela, ça n’a aucun rapport avec le fait d’être libre ou non, et le fait de réduire ces changements à ce point précis, c’est juste ne pas comprendre comment fonctionne le développement informatique.
Mais surtout, et c’est là où les administrations publiques pourraient avoir un énorme coup à jouer: on gagne la possibilité d’influer les changements, notamment en rémunérant du développement soi-même! Énormément de gens se trompent complètement quand ils parlent de l’avantage principal du libre, du moins dans le contexte de l’usage en entreprise ou administration publique: ils vont vous dire “au moins on peut vérifier le code et s’assurer qu’il est exempt de bug“. C’est en partie absurde pour un certain nombre de raisons même si c’est aussi en partie vraie (mais je vais pas épiloguer sur ce point). Le vrai gros pouvoir est de pouvoir changer les choses soi-même. Alors à ça, on aime bien rétorquer que “tout le monde n’est pas développeur”. C’est vrai, mais là on parle de grosses entités (entreprises ou administrations publiques) qui, elles, pourraient tout à fait embaucher. Mieux, elles peuvent aussi se rassembler pour partager et réduire les dépenses. Par exemple, pourquoi ne pourrait-on pas avoir un service de développeurs gérés au niveau national qui serait à même de contribuer aux logiciels libres utilisés pour les collectivités? Cela pourrait être géré par la DINUM par exemple? Les collectivités pourraient faire des demandes de correction de bugs, des demandes de fonctionnalités, etc. Elles pourraient aussi faire des demandes de groupes (la plupart des changements sont utiles pour une grande quantité d’administrations). Au lieu de cela, chacun fait des appels d’offres dans leur coin, pour des logiciels que presque personne sauf eux va utiliser et qui coûtera 100 fois plus que de payer des développeurs compétents en CDI et avec des salaires décents.
J’ai récemment été en contact avec la mairie de Lyon (qui est pro-logiciel libre dans le mandat actuel) et notamment j’ai demandé s’ils avaient des développeurs. J’ai donc été étonné d’apprendre qu’ils n’ont aucun développeur en interne! Pourtant c’est vraiment ce qui fait la force du libre. Pourquoi on utilise essentiellement du libre? Parce que quand on a testé initialement (pour voir ce qu’il se faisait hors monde Adobe, qui était ce qui avec quoi on enseignait aux artistes en université, et l’artiste avec qui on avait des idées de projets en commun, Aryeom, avait un esprit ouvert aux alternatives et s’intéressait à des logiciels plus proches de ses valeurs), il y avait plein de problèmes et que ce n’était pas utilisable dans notre cas d’usage (dans d’autres, ça l’était déjà, notons bien, car l’idée est justement que ça dépend des usages et donc des objectifs de chacun). Comme j’en avais l’habitude, j’ai contribué quelques patchs par ci par là, puis au bout de quelques années, on a testé dans des projets semi-pro, c’était déjà un peu plus utilisable. Puis on a insisté, jusqu’à ce que maintenant on soit plutôt content du résultat (loin d’être parfait, encore, mais un bond depuis nos débuts). Et tout ça avec un seul développeur (un seul focalisé sur nos besoins précisément, j’entends; ce dernier étant moi-même, vous l’aurez compris) qui a souvent fait d’autres choses, a eu d’autres emplois, a fait des patchs majoritairement “à côté”. Imaginez s’il y avait des équipes de développeur payés pour cela?
Autre exemple: Aryeom donne des cours à l’université depuis quelques années maintenant (avec GIMP, bien sûr! Il est loin le temps où elle était étudiante et qu’on lui imposait les produits Adobe!). Cette année, certains étudiants ont rencontré un bug. Le soir même, je l’ai corrigé dans notre code en développement. Essayez d’avoir des corrections de bug dans la journée avec Microsoft ou Adobe, pour voir!
C’est pour moi le plus gros pouvoir du logiciel libre. Les économies, la souveraineté numérique, la possibilité de faire des audits de code, tout cela est vrai aussi. Mais croire que ce sont les avantages majeurs, c’est aussi prendre le risque d’être déçu (“quoi y a pas cette fonctionnalité?! Le Libre, c’est nul!“; “attends j’ai demandé cette fonctionnalité y a 10 ans et les 3 contributeurs pas payés qui font ça sur leur temps libre l’ont même pas encore mis en priorité 1? Ça prouve la supériorité du propriétaire (dont on peut même pas contacter les gens qui décident, donc au moins ils m’ignorent pas! CQFD!)!“; “ah y a des bugs! Votre logiciel est pas parfait! Le Libre, c’est trop nul!“…). Alors que si on se rend compte que si on peut implémenter les fonctionnalités soi-même et corriger des bugs immédiatement, d’un seul coup, on maîtrise entièrement ses outils de travail. On a un vrai contrôle pour rendre l’outil adéquat à ses besoins.
Parce que le plus gros pouvoir du Libre, c’est pas d’avoir le droit de se plaindre publiquement parce que les discussions sont effectivement publiques, c’est de pouvoir prendre en main ses besoins.
Enfin bon en conclusion: l’informatique à l’école pour les enfants? Franchement, pas besoin dans la majorité des cas; l’informatique dans l’infra, l’administration, la communication? Absolument! Mais il faut aussi prendre le sujet à bras le corps et c’est là où ces administrations y trouveront tellement leur compte que revenir en arrière leur semblera une aberration tellement les avantages seront énormes.
Il faut des développeurs. Et il faut aussi que les fonctionnaires soient formés à la remontée de bug et comprennent le concept de développement communautaire. En fait ce n’est simplement pas une logique à laquelle les gens sont habitués (puisqu’on les a habitué à attendre passivement qu’on les “nourrisse” et à se plaindre quand ça va pas), mais une fois qu’on a compris et qu’on est au milieu de tout cela, le développement communautaire est juste tellement puissant. Et le pire, c’est qu’il est déjà super puissant alors qu’on a à peine effleuré ses possibilités. On le dit assez, tellement de logiciels massivement utilisés sont développés par une poignée de développeurs à peine (voire souvent 1 ou 2 personnes seules et qui font ça en hobby). Imaginez alors si les administrations et entreprises décidaient réellement de “collaborer”, de se rassembler et travailler ensemble. Les possibilités seraient presque infinies. Pour le logiciel, on a déjà tout ce qu’il faut pour que ce soit possible, et ça marche déjà à échelle réduite. Imaginez si les administrations jouaient le jeu plutôt que de jouer celui des GAFAM? Le résultat serait sans équivoque.
Film d'animation libre en CC by-sa/Art Libre, fait avec GIMP et autre logiciels libres: ZeMarmot [ http://film.zemarmot.net ]
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 6 (+4/-0).
La gendarmerie nationale apparemment a réussie avec sa propre implémentation de linux
je sais pas ou cela en est, mais comme on en parle plus c’est que cela fonctionne (ou a disparu …)
Au niveau de l’éducation nationale, je trouve aberrant qu’avec le volume d’étudiants/développeurs ils ne travaillent pas, au moins en partie, sur des projets open source. C’est du gagnant/gagnant.
Mais a mon avis le mammouth à l’habitude de manger dans la main de certaines grosses structures …
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 5 (+2/-0).
Il y a sans doute aussi des questions de diffusions des responsabilités. L’éducation national est organisé en académies, et sans doute que chacune isolément n’a pas les moyens de faire ce que la gendarmerie ferait à un niveau national.
Ceci dit, il y a bien le projet EOLE, mais c’est une exception.
La création d’un grand pole à Saclay, avec finalement des écoles qui quittent le groupe initial, montre aussi que l’indépendance est une valeur importante, et ça va à l’encontre de “se mettre ensemble”.
Je ne doute pas que des boites privés en profitent (vu qu’elles sont capables d’industrialiser leur produits), mais il faut pas non plus oublier les choix fait par les responsables, y compris pour des choses qui semblent être une bonne raison avec des effets de bord.
C’est un peu comme le monde du libre, “il faut bosser plus ensemble”, ça passe mieux que “on va supporter que systemd” :p
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 6 (+3/-0).
Pour la gendarmerie, il y a eu une sacrée préparation avec les gens qui devaient utiliser les logiciels. Ça ne s’est pas fait avec un claquement de doigt et une réflexion du style “les utilisateurs et utilisatrices finaux suivront”.
Et le gendarmerie est un truc centralisé au niveau du financement. Pas les structures d’enseignement.
« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 3 (+1/-0).
C’est vrai que pour l’éducation nationale l’informatique c’est un truc “récent”
https://www.devenirenseignant.gouv.fr/cid137910/creation-capes-numerique-sciences-informatiques.html
EN 2020 l’EN à reconnu que cela pouvait faire une matière pour le CAPES
La aussi c’est bête et méchant, ok, surtout que je ne sais pas exactement ce que c’est un CAPES
mais bon pour moi l’informatique cela a commencé au siècle dernier …
Et puis il y a un ministère qui peut quand même préconiser des outils non ?
vu que c’est lui qui paie …
Ou alors nos ministres sont comme le mammouth … abreuvés à la même source …
Un étudiant en mécanique auto, il n’apprend à réparer que les voitures renault et peugeot …
Posté par  . Évalué à 4 (+2/-0).
La gendarmerie a surtout réussi son passage vers le libre, en développant du code pour sécuriser encore plus Thunderbird, en imposant très progressivement le courielleur puis le navigateur web puis la suite bureautique (ce n’est peut-être pas dans l’ordre) et enfin, une fois le trio précédemment cité (…) connu et maîtrisé par nombre des collègues (citation d’un gendarme anonyme en 2010), le système d’exploitation. C’est une équipe réduite qui a conduit le projet, de façon pragmatique et compétente — ce qui ne m’étonne pas au fond, la grande compétence des officiers de commandement, c’est l’organisation, la planification, la logistique.
Voici quelques dépêches sur le sujet
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 3 (+1/-0).
la grande compétence des officiers de commandement, c’est l’organisation, la planification, la logistique.
C’est peut être ce qu’il manque au ministère de l’éducation nationale ?
OK c’est bête et méchant …
Mais cela fonctionne
Je rajouterais un autre lien : Wikipedia GenBuntu
Dans cette page a la fin une infos :
Début 2019 : 90 % du parc environ est en GendBuntu, soit près de 77 000 postes.
Gendarmerie Nationale : Bravo Good Job
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 6 (+4/-0).
Un journal dans un commentaire d’un journal?
Il faudrait en faire un journal…
Merci pour le travail sur la rédaction et la mise en page.
Pourquoi bloquer la publicité et les traqueurs : https://greboca.com/Pourquoi-bloquer-la-publicite-et-les-traqueurs.html
Posté par  . Évalué à 2 (+1/-0).
Je comprends la remarque, mais il ne faut pas confondre “informatique” et “numérique”. À l’école, la différence est bien marquée (peut etre à tort) : informatique=programmeur ; numerique=utilisateur.
Les outils numériques permettent d’apprendre les choses avec une façon différente. De la même manière que passer de la tablette d’argile de l’antiquité à disons, la feuille et l’encrier. C’est de nouvelles façon d’apprendre les mêmes choses (lire, ecrire, compter).
Un Espace Numerique de Travail permet aux élèves d’apprendre différement : video complementaire, enregistrement audio d’un travail à la maison, questionnaire en ligne, rattraper les cours. Ca c’est la théorie, car ils arrivent tres bien a détourner les usages à leur avantage.
L’algorithmie s’apprend dès la maternelle, et sans ordinateur comme tu le dis : colorier des cases en alternant du jaune et du bleu, c’est un algorithme (https://del-en-maternelle.fr/les-domaines/maths/les-algorithmes/ )
Je ne sais pas si il existe un équivalent à Office365/GoogleDoc permettant de travailler à plusieurs sur un même document, et qui soit installable par l’éducation nationale.
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 8 (+5/-0).
Collabora Office, plus les framacalc et autres etherpad. Tout ça installable par l’Éducation nationale.
Il y aurait aussi, j’imagine, la solution Tracim qui serait possible.
« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 10 (+9/-0).
Oui : étudier sans informatique, sauf lorsqu’il s’agit d’apprendre la bureautique et l’informatique.
Sérieusement, les connaissances de compétences de base que l’école est censée transmettre n’ont pas changé depuis cinquante ans, c’est toujours lire, compter, calculer, réfléchir, puis pour aller plus loin, étudier des textes littéraires, résumer, raisonner, avec des bases en diverses sciences. Que des trucs qui se faisaient très bien sans informatique, et qui peuvent toujours très bien se faire sans informatique.
Autant je suis d’accord avec toi sur le côté fondamental de certaines matières, et l’importance de les décorréler d’un outil ou d’une techno spécifique. Autant je ne permettrai de rappeler que les jeunes d’aujourd’hui (comme les jeunes d’hier ou d’avant-hier, nous) ont besoin d’outils, de supports et d’une approche qui leur permettent de rattacher ce qu’on aimerait leur enseigner (écrire, calculer, etc.) à quelque chose qui leur permette de lui trouver du sens, et surtout de le faire coller à leur quotidien. Or, le quotidien de “nos” jeunes est ce que… nous en avons fait, nous les vieux. Càd, pour l’essentiel, un espace saturé d’outils et de gadgets électroniques, et de contenu “numérique” et en ligne. Et si par malheur c’est pas multimédia… ohlala.
Du coup, je vois mal comment demander aux jeunes de se passer de ces gadgets technologiques, même pour apprendre les bases, quand ils nous voient nous, leurs aînés, incapable de nous modérer et le nez dedans en permanence. Je ne dis pas que ça me fait plaisir, hein.
Pour le reste, c’est clair que pour chercher moi-même des solutions alternatives aux outils cloud, de Microsoft par exemple (je ne parle de celui que je connais). Ben, c’est pas gagné pour le commun des mortels. Y a trop de petits (et de gros) obstacles.
Mon dernier essai d’alternative à OneDrive/Office 365, était de louer une instance NextCloud hébergée sur un serveur Hetzner plutôt intéressant niveau prix (une offre Storage Share, si je ne me trompe). Sur laquelle on peut activer la suite Office en ligne Collabora (ou sa concurrente, dont j’ai oublié le nom) et donc se retrouver avec une vague copie de OneDrive + Office365. J’ai donc payé cet abonnement et lu la doc pour tout mettre en place, juste pour pouvoir tester et parce que je rêve de ne plus avoir rien qui me relie à Microsoft. Bref.
Quel résultat ?
J’avais “mon” nextcloud, quelque part en Allemagne (yeah!) et j’avais mon client local sur mon PC, yeah ! Aussi. Mais j’ai aussi eu, tout de suite, l’impossibilité de renommer ou de déplacer certains fichiers stockés dessus. Je veux dire, que ce soit sur l’interface Web ou sur le client local, côté ordi donc, ils revenaient à l’ancien nom/ancien emplacement. Alors que les mêmes fichiers étaient OK hors de NextCloud ou sur OneDrive. Seule solution trouvée ? Aller purger ou « faire quelque chose » à la main dans une certaine base de données d’autorisations, enfin de ce que j’ai compris. Car je reconnais sans hésiter mon extrême incompétence et mes limites vite atteintes, mais on parle aussi d’un système fraîchement initié et démarré en suivant à la lettre la doc, et censé m’offrir un hébergement de fichier cloud quasi clé en main. Heu…
Je ne connais pas le niveau de compétence et la patience des profs, mais même pour moi qui ne suis pas prof et qui voulait tenter l’expérience… apprendre à gérer une base de données ou à gérer un serveur c’est juste trop me demander. Désolé.
RTFM et yaka apprendre, espèce de freignasse me diront certains. Ouais, sauf que non.
Même posté en Markdown depuis ma Debian, je ne suis pas un geek. Et si je suis ravi de pouvoir changer mes mauvaises habitudes informatiques je ne vais pas passer je ne sais combien de semaines ou de mois pour m’autoformer au job d’administrateur serveur ou de programmeur (ça ne m’intéresse pas), ou de je ne sais encore quoi d’autre, juste pour réussir à faire ce que je fais sans trop y penser dans OneDrive ou sur mon PC : renommer un fichier et le changer de dossier.
Et je ne parle même pas des risques que ça impliquerait de me former tout seul : aucune certitude que je ne fasse pas les pires conneries et mette en péril tous mes fichiers.
Bref, ce nouvel essai s’est soldé par un échec, comme tous les précédents, et par l’impossibilité pour moi, avec mes compétences qui valent ce qu’elles valent, d’utiliser sans stress inutile autre chose qu’un cloud made in GAFAM.
Posté par  . Évalué à 7 (+4/-0). Dernière modification le 02/12/22 à 18:38.
J’imagine que tu avais une version toute buggée mal gérée.
Je viens de tester sur le nextcloud de murena.io (celui de la fondation /e/), je peux renommer un fichier dans l’interface web. D’ailleurs tout ce que tu fais via l’interface web de nextcloud est indépendant de l’intégration que tu as pu configurer sur ta machine.
Posté par  . Évalué à 6 (+3/-0). Dernière modification le 02/12/22 à 18:46.
J’ajouterai que je ne me rappelles pas non plus avoir de problème de renommage quand j’avais ma propre instance sur un vps.
je sais que ça sonne un peu comme du chezmoiçamarche.com mais j’imagine que ton anecdote n’est pas forcément représentative de l’état actuel de nextcloud.
Le problème essentiel de nextcloud, c’est quand tu dois maintenir toi-même ton instance, ça je ne le nie pas, raison pour laquelle je n’ai actuellement plus ma propre instance sur un vps. J’envisage cependant de me reautohéberger, à la maison, avec une instance non exposée au net et seulement accédée via vpn wireguard où je me sentirais un peu plus en sécurité si j’ai un mois de lag dans les mises à jours de sécu.
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 4 (+3/-0).
je sais que ça sonne un peu comme du chezmoiçamarche.com mais j’imagine que ton anecdote n’est pas forcément représentative de l’état actuel de nextcloud.
Non, rassure-toi. Je prends ta réponse comme un autre partage d’expérience… qui m’interpelle et me fais réfléchir.
Je pensai que en passant par l’offre Hetzner le service serait fonctonnel. Tu me donnes envie de tester ailleurs, juste pour voir si ça merdouille ou pas…
Mais les prix sont, disons, hors du budget que je suis OK de consacrer à du cloud (surtout juste pour un test), ou alors ils sont très loin de l’espace disque auquel je souhaite pouvoir accéder.
Posté par  . Évalué à 3 (+1/-0). Dernière modification le 03/12/22 à 15:03.
Je ne peux que te conseiller un minuscule VPS pour y mettre Yunohost à partir duquel tu ajoutera NextCloud ou Tracim ou … bref ce que tu veux, en deux clics de souris sans avoir le sentiment de devenir administrateur système. C’est la meilleure solution parmi celles que j’ai testé.
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 1 (+0/-0).
Je vais me renseigner sur ce que c’est. Merci pour la suggestion!
Posté par  . Évalué à 7 (+7/-0).
Oui, L’EN propose une instance nextcloud de 100 Go à chaque enseignant (inscription via adresse pro). C’est dispo dans les apps.education à côté de plein d’autres applications plus ou moins utiles.
L’instance nextcloud utilise libreoffice pour l’édition en ligne de documents partagés. Il est aussi possible de régler les partages assez finement (nextcloud quoi…)
Posté par  . Évalué à 2 (+0/-0).
Ce n’est pas 100 Go mais 1 Go !
https://apps.education.fr/applications/nextcloud
Ca ne fait vraiment pas beaucoup !
2 ou 5 eut été mieux.
Posté par  . Évalué à 2 (+1/-0).
Alors je ne sais pas si il y a une typo sur le lien que tu pointes, ou si effectivement pour certaines situations, seulement 1 Go est mis à disposition, mais dans mon cas, et sur un domaine national (https://nuage03.apps.education.fr), je te confirme que j’ai bien un espace de stockage de 100 Go.
Posté par  . Évalué à 3 (+3/-0).
Oui, je pense que c’est une coquille. Sans doute une info non modifiée datant du temps où le service était encore en bêta (et limité à 1Go)
Actuellement, la limite est à 100Go pour tous les nouveaux comptes, et les anciens ont été mis à jour aussi.
Cette info a été confirmée par les responsable du service contactés en septembre pour des problèmes sur certaines instances (soucis corrigé dans la semaine).
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 3 (+0/-0). Dernière modification le 04/12/22 à 17:23.
Ha, je ne connais pas nextcloud aussi je veux bien un coup de main. Je cherche avec quel outil apps.education pouvoir mettre en ligne une image ou un pdf, accessible publiquement sans se connecter (sans compte personnel de l’EN ou élève), et dont l’url serait connue d’avance (comme une coquille à remplir) ou personnalisable.
En effet je souhaite mettre en ligne une affiche que je réalise et qui portera le QR code de son adresse de consultation en ligne.
Ça veut dire qu’il faut que j’ai déjà le lien de publication avant d’y publier le fichier puisque le fichier portera ce lien sous la forme du QR Code.
La dernière fois pour un truc du genre et tandis qu’apps.education n’existait pas, j’avais utilisé des services chatons et on m’avait conseillé une étape intermédiaire : Dolomon, qui permet de fixer une URL publique dont la redirection est paramétrable https://libre-ouvert.tuxfamily.org/index.php?article234/realiser-distanciel-album-photos-eleves-classe
Est-ce que nextcloud (ou une autre app) offre cette fonction ou dois-je toujours passer par Dolomon ?
Posté par  . Évalué à 1 (+1/-0).
Je viens de tester et un lien de partage nextcloud est toujours valide si le fichier est modifié ultérieurement.
Ceci te permets de créer un fichier vide, le partager, puis modifier ton fichier avec l’adresse du partage !
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 3 (+0/-0).
C’est exactement ce qu’il me faut, mais je ne vois pas comment faire
Par exemple j’ai uploadé ce fichier et généré un lien public https://nuage03.apps.education.fr/index.php/s/cjCLfZ2QpKf49wH
Mais tout ce que je peux faire côté cuisine c’est
* déplacer ou copier
* télécharger
* supprimer
capture de l'interface de Nuage sur apps.education.fr
Posté par  . Évalué à 2 (+2/-0).
En fait, il faut que tu remplaces (écrases) l’ancien fichier. Tu peux le faire par glisser-déposer par exemple.
Pour être honnête, je n’utilise l’interface web que pour les partages. Pour le reste, j’ai installé l’appli nextcloud qui me synchronise tout sur l’ordi, ce qui accessoirement permet de palier aux moments sans internet 😉
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 3 (+0/-0).
Ben ça marche pô, si je glisse-dépose un fichier, ça en ajoute un 2è
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 3 (+0/-0). Dernière modification le 05/12/22 à 01:26.
Bon, n’ayant pas réussi avec Nuage seul, je suis passé par un dolo
https://dol.roflcopter.fr/h/harcelometre
(le QRcode lui-même est généré avec un outil académique https://edu-portail.ac-versailles.fr/)
Posté par  (site Web personnel) . Évalué à 8 (+7/-0).
Mais ou sont les amendes pour infraction au GDPR?
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