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Des vents tempétueux ont soufflé sur la Suisse durant la nuit de samedi à dimanche, a indiqué SRF Meteo sur Twitter. Des rafales de plus de 100 km/h ont été mesurées.
Les vents les plus forts ont été enregistrés au Chasseral (BE), avec des pointes à 123 km/h. Sur le Säntis, qui se situe à la limite des cantons de St-Gall, d’Appenzell Rhodes-Extérieures et d’Appenzell Rhodes-Intérieures, leur vitesse était de 118 km/h.
Eole a également soufflé en plaine, a rapporté MeteoNews, amenant des températures douces durant la nuit.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Depuis le 1er janvier, la Suisse a intégré la réglementation européenne concernant les drones. Il va falloir se mettre en conformité pour continuer à voler.
Les nouvelles règles ont été adoptées au début de l’année mais il y a une période transitoire qui va durer jusqu’au 1er septembre. Reste que les changements concernent tout le monde, usagers de drones professionnels comme de loisirs. Parmi les nouveautés, un marquage CE obligatoire pour identifier tous les appareils. Mais ça va plus loin que ça, comme l’explique Régis Thevenet, opérateur drone chez Drone GVA, spécialisé en imagerie aérienne par drone:
Pour passer le brevet, rendez-vous sur le site UAS.gate.
Et quand on dit que toues les pilotes seront impactés par la nouvelle réglementation, c’est vrai. Les professionnels aussi sont concernés Régis Thevenet à nouveau.
A noter que cette nouvelle réglementation ne met pas un terme à une situation hors de contrôle, il y avait déjà des règles en Suisse.
Pour tout connaitre des nouvelles règles en vigueur, consultez le site de l’OFAC.
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Les prix de l’immobilier résidentiel ont connu en Suisse un ralentissement au 4e trimestre 2022. Pour l’année en cours, les tarifs de maisons et appartements devraient rester stables, mais des baisses ne peuvent pas être exclues dans certaines régions moins demandées.
Au cours des trois derniers mois de l’année dernière, les maisons ont pris 0,6% sur un an et les appartements 0,3%, alors qu’au début de l’année cette augmentation était de 5% pour l’ensemble des biens immobiliers, indique lundi la plateforme Realadvisor, spécialisée dans l’estimation de biens immobiliers en ligne.
Malgré cette progression modeste, les prix n’ont cessé de grimper depuis 2003, précise le communiqué.
Le nombre de transactions s’est quant à lui replié de plus de 20% au 4e trimestre, ce qui a dopé le stock d’objets disponibles à la vente de 40% par rapport à fin 2021.
“Le marché immobilier résidentiel a beaucoup changé ces derniers mois, ce qui rend la situation difficile pour les acheteurs potentiels. Les taux d’intérêts pour les prêts hypothécaires et les coûts de construction ont augmenté, ce qui rend les investissements immobiliers plus coûteux”, souligne le relevé trimestriel.
“Les acheteurs ont de plus en plus de mal à payer des prix élevés pour acquérir le bien immobilier de leur de rêve, les vendeurs quant à eux ne sont pas encore prêts à baisser leurs prix”, constate Realadvisor.
A Genève, le nombre de transactions a diminué de 30% en comparaison annuelle au 3e trimestre.
En 2023, la demande sur le marché immobilier résidentiel devrait continuer à être affectée négativement par la hausse des taux d’intérêt pour les prêts hypothécaires, les incertitudes macroéconomiques et l’instabilité des marchés financiers.
Les prix devraient cependant rester stables en 2023, selon Realadvisor, mais dans certaines régions considérées comme moins “dynamiques”, une tendance baissière pourrait s’amorcer.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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La Banque nationale suisse (BNS), après avoir relevé à trois reprises son taux directeur l’année dernière, pourrait encore le remonter jusqu’à 1,75% d’ici cet été, ont estimé les analystes de Credit Suisse lundi dans une étude.
Face à une inflation toujours forte, il devrait rester à ce niveau au moins jusqu’en 2024.
En juin 2022, face au renchérissement mondial des prix, l’institut d’émission avait mis fin à plus de sept ans de statu quo monétaire, remontant son taux directeur de 50 points de base à -0,25%. En septembre dernier, il avait ensuite mis un coup d’arrêt aux taux négatifs en effectuant un resserrement de 75 points à 0,5%. Et en décembre, la BNS avait réalisé un nouveau tour de vis de 50 points à 1,0%.
Pour sa prochaine réunion de politique monétaire, agendée au 23 mars, les analystes de Credit Suisse anticipent un nouveau relèvement de 50 points de base, au lieux de 25 points précédemment attendus, à 1,5%.
En juin, la banque centrale helvétique devrait quelque peu ralentir la cadence avec une hausse de seulement 25 points à 1,75%, selon une étude de la banque aux deux voiles.
La BNS devrait conserver ce niveau pour le reste de l’année et en 2024, face à une inflation toujours forte et partiellement supérieure à son objectif de stabilité des prix défini entre 0% et 2%. Après avoir atteint en moyenne 2,8% l’année dernière, l’accélération des prix à la consommation devrait ralentir à 2,4% en 2023 et à 1,8% en 2024, selon les projections de la banque centrale.
Le président de la Banque nationale suisse, Thomas Jordan, avait récemment laissé entendre que la troisième hausse de taux opérée en décembre pourrait ne pas être la dernière. “Nous ne pouvons pas exclure de devoir relever encore les taux”, avait-il indiqué aux journaux de CH Media.
La BNS devrait par ailleurs ne pas apporter d’indication sur la réduction de son important bilan. Elle a cependant commencé à vendre des devises pour éviter un affaiblissement trop important du franc et ainsi freiner l’inflation importée. D’après les estimations des experts de Credit Suisse, l’institut d’émission a vendu l’équivalent de 10,6 milliards de francs de monnaies étrangères en novembre et 13,3 milliards en octobre.
Elle devrait continuer à effectuer ces opérations “en silence”, des pressions à la baisse sur le franc devant être contrées par des ventes plus importantes de devises.
Ces interventions devraient s’avérer nécessaires, le franc ayant refranchi à la hausse la parité avec l’euro. Lundi, peu avant 10h40, la monnaie unique s’échangeait en effet à 1,0016 franc, alors que la paire de devises évoluait encore à 0,9831 EUR/CHF en début d’année.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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La vidéosurveillance de l’armée présente des lacunes en terme de sécurité, indique un rapport d’enquête interne du Département de la défense. La protection des données pose également problème.
Les conclusions du rapport d’audit interne sur les technologies de l’information du Département fédéral de la défense (DDPS) ont été rapportées lundi par radio SRF. L’agence Keystone-ATS en a obtenu une copie.
Le contrôle par sondages des caméras, notamment sur les places d’armes, les centres logistiques et les bâtiments administratifs de l’armée, a révélé que les documents de sécurité informatique étaient pour la plupart inexistants ou insuffisants.
Ceux-ci sont ainsi trop peu protégés contre les pirates. De plus, les caméras vidéo ne sont pas à la pointe de la technique et ont plus de dix ans. La protection des données est également pointée du doigt.
Selon l’audit, l’armée doit donc agir. Des recommandations qui devront être mises en ½uvre d’ici fin 2023 y sont émises.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Holcim poursuit son expansion avec une nouvelle acquisition d’activités outre-Atlantique, portant à trois le nombre de transactions effectuées depuis le début de l’année. Les Etats-Unis sont devenus le principal marché du groupe zougois, selon les analystes.
Le géant des matériaux de construction, né de la fusion il y a dix ans entre le groupe français Lafarge et suisse Holcim, a annoncé lundi le rachat de 13 carrières de sables et d’agrégats auprès de l’américain Pioneer Landscape Centers. Les détails financiers de l’opération n’ont pas été précisés.
Holcim met ainsi la main sur 13 sites, renforçant sa présence dans les agglomérations de Denver, Phoenix et Colorado Springs, a-t-il précisé dans un communiqué. Ce rachat complète également une opération similaire réalisée en décembre dernier à Greeley, dans le Colorado.
“Cette transaction apporte des synergies importantes à nos activités de béton prêt à l’emploi”, a estimé le directeur régional de Holcim pour l’Amérique du Nord, Toufic Tabbara, évoquant “la forte croissance attendue dans la région”.
L’entreprise, qui en est à sa troisième acquisition depuis le début de l’année, a souligné que ce nouveau rachat faisait partie de sa stratégie à l’horizon 2025, visant à soutenir sa croissance par le biais de rachats complémentaires dans les activités d’agrégats – sable, gravillon et cailloux – et du béton prêt à l’emploi.
En janvier, Holcim avait racheté l’italien Nicem et le français Chrono Chape. L’année dernière, outre plusieurs petits rachats, le groupe avait aussi obtenu le feu vert des autorités pour la cession de plusieurs activités, notamment de ses actifs brésiliens repris par Companhia Siderúrgica Nacional (CSN) et de ses filiales indiennes Ambuja Cements et ACC vendues au groupe Adani pour 6,4 milliards de francs.
Dans le contexte de la guerre en Ukraine et des sanctions internationales contre la Russie, Holcim a par ailleurs cédé ses activités en Russie à l’équipe de direction sur place.
Revenant sur l’opération du jour aux Etats-Unis, les analystes de Vontobel ont remarqué que ce pays était devenu “le plus grand marché unique de Holcim” et “devrait être un moteur de croissance pour le groupe au vu de l’activité de construction dans l’industrie et les infrastructures”, dans le contexte de la relocalisation de certaines activités sur le sol américain.
Les investisseurs approuvaient quant à eux cette nouvelle opération. A la Bourse suisse, l’action Holcim montait de 0,5% à 52,44 francs, dans un indice SMI à l’équilibre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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