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Alors que la fin de l’année approche, beaucoup d’entreprises lancent leur campagne d’entretiens annuels. De quoi donner des vertiges à beaucoup de salariés, qui ignorent quel montant d’augmentation négocier. Les clés pour chiffrer juste… et remporter la mise.
Il se profile depuis des semaines, comme un moment fort de la fin d’année, un échange attendu… mais pas avec impatience. Sans doute parce que l’entretien annuel, dans l’esprit de beaucoup d’employés, rime davantage avec «évaluation» qu’avec «augmentation». 41% des salariés le redoutent, l’associent à un pic de stress et se sentent impuissants face à leur manager, en raison d’un rapport de force inégal avec l’employeur, d’après une étude (1) OpinionWay pour la plateforme RH Javelo publiée ce 2 décembre.
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Résultat ? D’une opportunité de faire valoir ses demandes, l’entretien annuel vire au simulacre – près d’un salarié sur deux a le sentiment d’entrer dans un jeu d’acteur, d’après la même étude. Un scénario déjà écrit, à l’issue certaine et, forcément, défavorable au salarié. Surtout s’agissant d’argent. Comment négocier une augmentation lorsqu’on s’attend à être jugé et devoir rendre des comptes ? «Les femmes que je reçois savent, au fond d’elles, qu’elles ne sont pas rémunérées…
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Négocier une augmentation de salaire : combien demander, et comment ?
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