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L'élection de Miss France 2023 aura lieu le samedi 17 décembre prochain, à Châteauroux (Indre) et sera retransmise en direct sur TF1. Trente candidates vont se disputer la couronne pour succéder à Diane Leyre – Miss France 2022 -, voici les bios et le trombinoscope des Miss en lice.
Publié le 18/11/2022 à 16h10
Cette année, la finale du concours de beauté Miss France va poser ses valises à Châteauroux, dans la salle du MACH 36, le samedi 17 décembre. Jean-Pierre Foucault, maître de cérémonie historique de ces soirées, sera cette année encore au rendez-vous. Tout comme Sylvie Tellier, qui en profitera pour officiellement passer le flambeau à la nouvelle directrice du concours : Cindy Fabre.
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Découvrez le visage et le portrait des trente candidates en compétition pour le titre de Miss France 2023 :
Agathe Cauet a 23 ans et est infirmière à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul à Lille. Rien ne semblait prédestiner la jeune femme à intégrer le concours Miss France. “On m’a contactée sur les réseaux sociaux pour participer à un casting”, raconte l’intéressée à nos confrères d’Actu.fr.
Atteinte d’une tumeur dite borderline en 2017, la Lilloise n’en gardera finalement aucune séquelle. Aujourd’hui, elle veut soutenir cette cause qui lui “tient à cœur”. Son nom est l’homonyme de l’animateur Sébastien Cauet, mais aucun lien de parenté entre les deux : “Je ne le connais pas”, a-t-elle confié.
La jeune femme de 22 ans est actuellement étudiante à l’institut de formation en soins infirmiers d’Ajaccio. “Avoir l’honneur de devenir Miss France me permettrait de mettre en lumière le monde hospitalier”, espère Orianne Meloni auprès du média local.
Cette année, c’est une habitante de Vendée – plus précisément de Poiroux – qui représentera la région Pays de la Loire à l’élection Miss France 2023. Une aventure qui aurait pu commencer il y a deux ans pour l’étudiante en BTS Tourisme. “Une copine m’avait inscrit mais c’était plus une blague, je ne l’avais pas fait”, raconte Emma Guibert, 19 ans, à nos confrères de Ouest France.
Celle qui raffole de voyage a déjà pu faire une escale à la Beaujoire (stade du FC Nantes NDLR) avant de décoller pour la Guyane avec l’ensemble de la promotion. Autant dire que les supporters nantais ont déjà trouvé leur favorite !
Herenui Tuheiava aura la difficile tâche de succéder à sa compatriote Vaimalama Chaves, auréolée de la couronne de Miss France en 2019. “Je suis le fruit d’un métissage Paumotu et des îles Cook”, se présente à Paris Match la jeune femme de 23 ans.
“Miss France est une merveilleuse vitrine pour découvrir nos régions et territoires d’outre-mer. Cette couronne fait scintiller toutes les belles facettes et richesses de la France”, déclare celle qui est actuellement étudiante en web marketing.
Étudiante en 3e année de médecine, Flavy Barla, 19 ans, est originaire de Nice. “Je suis toujours dans le dépassement de moi-même et j’ai ce besoin constant de me lancer de nouveaux défis ! Quoi de mieux que de concourir à devenir l’ambassadrice de mon pays ?” plaide l’intéressée à nos confrères de Paris Match.
Flavy Barla fait elle aussi de Marine Lorphelin une référence. “Pour son naturel, mais également pour ce qu’elle a accompli après son règne”, justifie-t-elle à nos confrères. Elle avoue apprécier également Amandine Petit et Diane Leyre.
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Shaïna Robin est née à Kourou, tout près du site de lancement des fusées européennes. Si la jeune femme de 20 ans a les yeux rivés vers le ciel, elle ne vise pas la lune : elle rêve de devenir pilote de ligne. Celle qui est actuellement en deuxième année de classe préparatoire aux grandes écoles scientifiques (CPGE) affirme vouloir permettre aux “jeunes issus des communes éloignées d’accéder aux études”.
“Ces derniers voient leurs rêves et leurs avenirs freinés par l’éloignement et le manque de lieux d’hébergement”, plaide l’intéressée au média local Guyane la 1ère. Shaïna Robin, ancienne licenciée en athlétisme et fan de tennis de table, se décrit comme “dynamique et optimiste”.
Indira Ampiot, 18 ans, est l’une des plus jeunes participantes de cette édition de Miss France. Tout juste diplômée d’un bac avec mention, elle se dirigeait vers une école de communication, en Métropole, avant d’être couronnée Miss Guadeloupe.
“Le concours est quelque chose qui m’a toujours attiré puisque ma mère a participé à cette élection en 1998 où elle a été élue première dauphine de Miss Guadeloupe”, explique la jeune femme à The Link Fwi. “Ce n’est pas quelque chose de commun que d’être dans une voiture, de saluer les gens et qu’en retour, ils me sourient. C’était une très belle expérience.”
À 19 ans, Inès Tessier a tenté l’aventure Miss France sans grande conviction : “Comme je me disais que je n’allais pas gagner, je n’étais pas du tout stressée”, déclare-t-elle au Journal de Saint-Barth. Désormais, elle a la lourde responsabilité de représenter les deux îles.
Engagée dans la cause environnementale, la miss place également très haut les valeurs du féminisme. “Si je suis élue, je me servirai de cette place pour défendre la liberté des femmes, car en effet, la défense des droits n’est pas la chasse gardée d’avocats”, affirme-t-elle à Tototheclock.
Originaire de Gassin, près de Saint-Tropez, Chana Goyons – du haut de ses 18 ans – est l’une des benjamines de cette finale Miss France 2023. Victime de harcèlement scolaire, elle défendra les violences intra-familiales lors de la compétition. “On n’en parle pas assez mais aujourd’hui, selon des statistiques, un enfant sur dix est ou a été victime d’inceste”, rappelle la jeune femme à La Provence.
Pas question d’être une Miss “princesse”. Chana Goyons entend profiter du concours pour mettre en lumière différentes causes. “La Miss France qui m’inspire, c’est Marine Lorphelin. Pour moi, Miss France c’est plus qu’un physique. C’est aussi une voix. Marine est docteur et on voit sur les réseaux sociaux qu’elle est très engagée dans la prévention.”
Cameron Valliere est une candidate revancharde. En 2019, elle tente sa chance au concours Miss Languedoc-Roussillon. Arrivée première dauphine, elle n’obtiendra pas son ticket pour l’élection nationale. Trois ans plus tard, la jeune femme de 23 ans tient sa revanche.
Depuis, celle qui est originaire de Nîmes a décroché une licence en psychologie, puis un Master 1 psychologie sociale et environnementale. Elle se rêve, aujourd’hui, avec plusieurs casquettes – ou couronnes… – sur la tête : “Ça me plairait d’être à la fois chef d’entreprise, étudiante et Miss France”, lance Cameron Valliere à Objectif Gard.
“Fière” de représenter Perpignan et le pays catalan, Miss Roussillon vise désormais le sacre national. Chiara Fontaine, 20 ans, est étudiante en licence de psychologie à Montpellier.
“Je n’ai pas de mots pour vous remercier et vous dire combien je suis heureuse et honorée de cette mission pour laquelle vous m’avez choisie et me faites confiance”, a-t-elle publié sur Instagram peu après son couronnement.
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“J’ai toujours été derrière les écrans à regarder Miss Réunion et maintenant c’est mon tour”, se réjouit Marion Marimoutou, représentante de l’île pour Miss France 2023. À 18 ans, l’aventure l’oblige à repousser ses études en sciences sociales d’un an.
Une cause qui lui tient à cœur ? “Combattre les inégalités sociales en matière d’éducation.”
Florence Demortier, 22 ans, nourrit l’ambition de devenir Miss France depuis quelques années. Mais elle a voulu faire les choses dans l’ordre. Désormais kinésithérapeute, elle peut se consacrer pleinement au concours de beauté. “Cette année, je n’ai rien à perdre, alors je fonce !” peut-on lire chez nos confrères de La Dépêche.
“Je trouve ça fabuleux d’avoir le soutien des habitants de la région. Cette aventure n’a pas de prix tant elle m’enrichit au niveau humain. Quoi qu’il arrive, j’en ressortirai avec une grande richesse intérieure”, se félicite déjà Florence Demortier.
Camille Sedira, 21 ans et originaire de Bischoffsheime près de Strasbourg, est étudiante en master en école de commerce. Pour elle, le titre de Miss France impose une double mission : “Incarner la femme forte d’aujourd’hui et représenter notre beau territoire”, confie-t-elle à Paris Match.
“L’idée qu’une Miss représente uniquement la beauté, c’est révolu. C’est plus du tout les messages qui sont véhiculés actuellement. Certes, il y a l’aspect physique, le critère d’1m70, etc., mais il y a d’autres façons d’exprimer sa beauté, en s’exprimant bien, en s’engageant pour des causes importantes…” insiste la jeune femme sur France 3.
Marion Navarro, 19 ans, est actuellement en bachelor fashion business à l’école internationale de mode à Paris. Une petite pause s’impose pour représenter la Franche Comté lors du concours Miss France 2023.
“Miss France, c’est l’occasion de représenter la France, mettre à l’honneur des valeurs de partage et de fraternité. C’est quelque chose qui rassemble les familles, ça me plaît beaucoup”, a déclaré la jeune femme à Paris Match.
Alissia Ladeveze est âgée de 21 ans. L’étudiante en publicité, originaire de l’Allier, va vivre une expérience qu’elle suit depuis toute petite. “J’ai toujours aimé regarder les Miss à la télé”, se souvient la candidate interrogée par France 3.
La jeune femme compte bien profiter de l’élection pour faire parler d’une cause qui lui tient à cœur : “Je m’investis et je vais continuer à m’investir pour lutter contre l’isolement des personnes âgées. C’est une cause qui me touche beaucoup et je trouve qu’elle n’est pas forcément mise en avant”.
L’élection de Miss France 2023 marquera-t-elle le sacre – pour la première fois de son histoire – d’une Miss montagnarde ? “Je serais heureuse d’être la première”, plaide Esther Coutin à France Bleu. La jeune femme de 21 ans, originaire de Passy et étudiante en expertise comptable, va tenter de décrocher la couronne de Miss France en décembre.
La Savoyarde voit la vie en vert. “Il y a plusieurs causes qui me tiennent à cœur. Quand on voit la région dans laquelle on vit, j’aimerais mettre l’accent sur l’écologie. En venant du Pays du Mont-Blanc, ça me paraît cohérent de mettre l’accent là-dessus au niveau national”, assure l’intéressée au Dauphiné Libéré.
A 26 ans, Océane Le Goff est la “doyenne” de la promotion 2023 des candidates finalistes du concours Miss France. Celle qui est conseillère clientèle dans le domaine bancaire va devoir quitter son travail le temps de sa préparation et de sa participation au concours de beauté.
La jeune femme entend profiter de son exposition pour parler d’un sujet particulier à ses yeux : le syndrome des ovaires polykystiques, dont elle a été atteinte. Il s’agit d’un “trouble menstruel méconnu touchant 1 femme sur 7 et première cause d’infertilité”, précise-t-elle à Paris Match.
Énora Moal a 20 ans et sera l’ambassadrice de la région Bretagne, le 17 décembre prochain lors de la finale du concours Miss France à Strasbourg. Originaire de Guipavas, près de Brest, la Miss est étudiante en deuxième année DTS IRMT (imagerie médicale) à La Croix Rouge, à Brest.
Elle souhaite succéder à la dernière Miss Bretagne, Laury Thilleman. “Pour l’anecdote, j’ai appris qu’elle avait été repérée en travaillant au Stade Brestois. Moi aussi j’y ai travaillé… mais pas été remarquée (rire). Mais ça ne m’a pas empêché de devenir miss Bretagne”, raconte la jeune femme à nos confrères de Ouest France.
La Martinique va-t-elle remporter sa première couronne ? A 21 ans, Axelle René va tenter d’entrer dans l’Histoire… Si la jeune femme ambitionne d’être élue représentante de la France pendant un an, elle en est déjà une excellente ambassadrice : “J’aimerais que tous les Français prennent le temps d’admirer autour d’eux et de savourer la chance que nous avons de vivre dans un si beau pays”, note-t-elle auprès du Parisien.
Après un potentiel sacre, la Martiniquaise s’attaquera à un autre rêve : diriger l’observatoire volcanologique et sismologique de son île. Actuellement en Master 1 de science et planétologie à la Sorbonne, elle s’en donne en tout cas les moyens.
“Je regarde l’élection de Miss France chaque année. Déjà toute petite, je disais à ma maman qu’un jour je serais sur le plateau. Et là, ça va vraiment se faire, un rêve se réalise”, a déclaré, émue, Marine Paulais lors de son couronnement, rapporte Sud Ouest.
Première participation et première victoire pour la jeune femme de 20 ans, étudiante en seconde année de BTS esthétique – option management. Désormais, l’objectif est simple : la couronne nationale.
Connaissez-vous le film Miss Détective avec Sandra Bullock ? L’histoire d’Orianne Galvez-Soto s’en approche légèrement… Avant de devenir Miss Aquitaine – et maquilleuse professionnelle -, la jeune femme de 23 ans se rêvait… gendarme, nous apprend Actu Bordeaux.
“C’était ma dernière chance de pouvoir participer à cette élection. Selon le règlement, on ne peut se présenter que trois fois à un même concours”, explique-t-elle à Télé Star. La troisième est donc la bonne. Maintenant, il faut transformer l’essai !
“Je suis déterminée et motivée à devenir votre nouvelle ambassadrice. Je vous représenterais avec simplicité, passion et énergie”, assure Bérénice Legendre dans une vidéo de présentation publiée sur son compte Instagram.
Du haut de ses 25 ans, la jeune femme voit le concours comme l’opportunité “de vivre des moments uniques”, déclare-t-elle à Actu.fr. Celle qui travaille dans la communication devrait donc être à l’aise dans l’exercice toujours très délicat de la présentation devant les caméras de TF1.
“Je suis une femme déterminée qui va jusqu’au bout de ses rêves, de ses idées et qui met tout en œuvre pour les réaliser.” Auprès de Paris Match, Salomé Maud, 23 ans, plante le décor. Tout juste diplômée d’un Master en “Management des achats”, la jeune femme se lance dans la course Miss France.
Salomé Maud n’a pas attendu le concours et une potentielle victoire pour s’engager. “J’ai deux casquettes : je suis une maraudeuse et distribue des paniers repas tous les week-ends, et je donne des cours à de jeunes enfants issus de milieux précaires”, déclare-t-elle à nos confrères.
Solène Scholer, 20 ans, ambitionne, comme d’autres prétendantes à la couronne, à être la première à ramener la couronne de Miss France dans sa région. L’étudiante en médecine veut suivre les pas d’une ancienne Miss France. “Marine Lorphelin a un parcours de vie qui ressemble beaucoup à celui que j’aimerais réaliser”, plaide-t-elle auprès de Paris Match.
“Un jour, j’ai dit à mes amies : “Imaginez que j’aille un jour à Miss France !” Quelques années après, je me suis fait confiance et je vais vivre cette merveilleuse aventure !” Mission déjà réussie pour la jeune femme.
“On dit de moi que je suis pleine de vie et désireuse de réussir dans tout ce que j’entreprends”, confie Lara Lebretton, ambassadrice de la Bourgogne pour l’édition 2023 de Miss France. Réussira-t-elle ce défi ? Suspens.
La jeune femme de 23 ans est infirmière et souhaite à l’avenir s’engager dans l’humanitaire.
“Pour moi c’est une énorme fierté aujourd’hui de représenter mes terres et ma région natale”, se félicite la jeune femme de 25 ans, qui travaille dans le secteur des fonds d’investissement, au Luxembourg, révèle Radio Mélodie.
La représentante de la Lorraine rejette, chez nos confrères, l’étiquette sexiste qui colle au concours. “Je trouve que le concours évolue avec son temps, ça s’imprègne avec la société.” Sarah Aoutar se présente en voulant défendre une cause : l’accès à l’éducation.
“C’est quand même miss Normandie !” se réjouissent les parents de Perrine Prunier auprès de Ouest France. Leur fille est l’ambassadrice de leur région. Une mission qui tient à cœur à la jeune femme. “Je suis très chauvine. J’ai vécu en Normandie toute ma vie. Ça représente une certaine pression, mais j’ai vraiment hâte !” affirme-t-elle à nos confrères d’Actu.fr.
Parallèlement au concours de beauté, la jeune femme de 23 ans envisage de passer le concours d’entrée dans la police. “La cause des violences conjugales et de la maltraitance des enfants me touche beaucoup”, plaide-t-elle.
“Je suis très fière de pouvoir représenter ma ville de cœur ainsi que ma belle région à Miss France”, affirme l’une des jeunes candidates – 18 ans – de Miss France 2023 au Parisien. Étudiante en école de commerce, Adèle Bonnamour aura la lourde tâche de succéder à Miss France – et ancienne Miss Ile-de-France – Diane Leyre.
“Sport, amitié et aventure sont les trois mots qui rythment mon quotidien et qui me permettent de me surpasser”, explique-t-elle dans les colonnes d’Actu.fr.
“Miss France, c’est comme pour nous toutes un rêve de petite fille”, a déclaré après sa victoire Coraline Lerasle. Un rêve qui va se poursuivre pour la jeune femme de 22 ans, qui représentera la région Centre-Val de Loire à Châteauroux le 17 décembre prochain. La candidate est actuellement étudiante en géographie – aménagement du territoire, et souhaite devenir professeure des écoles.
“Ce qui me tient à cœur c’est la confiance en soi, il faut absolument que les enfants aient confiance en eux pour accomplir des choses plus tard. En général, on met trop l’accent sur le négatif à l’école au lieu de souligner les points forts”, déclare-t-elle dans La Nouvelle République.
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