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Michelle Obama nous livre les leçons inspirantes de son incroyable vie – ELLE France

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Mais comment fait-elle ? Après l’immense succès de « Devenir », l’ex-Première dame des États-Unis revient en librairie avec « Cette lumière en nous » (éd. Flammarion). Couple, famille, empowerment, elle nous livre en avant-première les leçons inspirantes d’une vie hors norme.  
Michelle Obama est de retour ! Sorti en 2018 et vendu à plus de 500 000 exemplaires en France (17 millions dans le monde !), « Devenir » s’est imposé d’emblée comme un livre culte. Le deuxième ouvrage de Michelle Obama, « Cette lumière en nous » (éd. Flammarion), est-il promis au même destin ? Condensé de ce que le couple aime diffuser à travers ses interventions, ses projets ou sa fondation, il renouvelle ce savant mix de conseils inspirants, de bienveillance raisonnée et d’analyses politiques toujours au-dessus de la mêlée. Cette fois-ci, Michelle Obama se pose en coach de vie. Page après page, elle nous ouvre, sur le ton de la confidence, sa « boîte à outils », ce qu’elle utilise tant professionnellement que personnellement pour préserver son équilibre et son assurance, ce qui lui permet d’avancer dans les moments de stress. Comment gérer son anxiété quand le monde semble s’effondrer ou quand il faut sortir de sa zone de confort et vaincre « son cerveau peureux » ? Comment se sentir à la hauteur au boulot ? Faire durer son couple malgré les remous ? Élever ses enfants dans un univers qui fluctue ? Et comment faire de ses différences une force ? Autant de pistes de réflexion, en apparence basiques, mais toujours hyper concernantes, que Michelle Obama développe en partant de sa vie, distillant au passage nombre d’anecdotes intimes que l’on dévore avec bonheur. Michelle Obama, nouvelle gourou du développement personnel ? Chassez le naturel, il revient au galop… Au fil des pages, celle qui a vécu huit ans à la Maison-Blanche nous offre aussi, d’abord en filigrane puis de plus en plus franchement, son regard sur le monde qui nous entoure, sur le mandat de Donald Trump et sur l’avenir de son pays, rappelant sans cesse que la peur de l’autre est le cancer qui ronge les nations occidentales. Ce livre est ainsi à lire comme un véritable manifeste politique pour plus de tolérance, plus de liens entre les individus. Son mantra pourrait se résumer ainsi : trouver la lumière en soi et la tourner vers les autres pour s’élever et rebâtir un monde sur des bases fécondes. Voici, en exclusivité, trois passages clés de ce nouveau best-seller annoncé.
Barack et Michelle Obama ont fêté leurs trente ans de mariage le 3 octobre dernier.
« Ce serait la pierre d’achoppement de notre couple : nos conceptions distinctes et parfois incompatibles de ce que signifiait prendre un engagement, la position que nos deux étoiles occupaient dans le ciel l’une par rapport à l’autre, la façon dont nous gérions l’incertitude. Je ne supportais pas qu’il soit en retard et traite cavalièrement ses rendez-vous. Il se sentait envahi quand je prévoyais trop de choses et que j’invitais trop de monde. Quels fossés fallait-il combler ? Avec lesquels valait-il mieux composer ? Qui devait s’adapter et se défaire de ce qu’il avait appris ?          Il nous a fallu du temps et beaucoup d’expérience pour régler nos désaccords. En cas de conflit, Barack a tendance à vouloir s’attaquer au nœud du problème sur-le-champ. Il ne gaspille pas ses émotions. C’est sans doute dû au fonctionnement de sa famille : ils se voyaient si rarement qu’ils devaient tirer parti de chaque instant passé ensemble. Si nous nous disputons, il part bille en tête. Il va droit au but et déploie tout son arsenal logique, pressé d’aborder l’étape suivante, la phase de réconciliation. Comme lorsqu’il était enfant, il ne perd pas de temps et privilégie l’efficacité pour aboutir rapidement à une solution. De mon côté, je suis à la fois plus impétueuse et plus lente que mon mari. Je m’échauffe, puis je reviens progressivement à la raison, ce qui est peut-être une conséquence de la latitude dont je bénéficiais petite fille, quand on m’encourageait à exprimer tout ce qui me passait par la tête. Ce n’était pas le temps qui manquait, chez les Robinson. Au début d’une querelle, il n’est pas rare que j’implose et, dans ce cas, je n’ai aucune envie de me lancer dans une grande conversation avec arguments rationnels à l’appui, pour savoir qui a tort ou proposer un compromis. Quand je me sens acculée, je peux prononcer des mots injustes ou blessants. Il est arrivé au cours de notre vie commune que Barack insiste pour parler immédiatement de ce qui n’allait pas, et se voie brûlé par le feu de ma colère.                                                                                                                  Nous avons dû apprendre à gérer nos différences. Nous avons dû trouver le moyen de réagir en prenant en compte nos habitudes, nos personnalités et nos attentes respectives. Barack s’efforce de me donner l’espace et le temps dont j’ai besoin pour me calmer et analyser mes émotions. De mon côté, j’ai appris à être plus efficace et moins cinglante. Et je m’attache à ne pas laisser les problèmes en suspens trop longtemps, sachant que chez lui, on n’attendait pas que les choses s’enveniment.          Nous avons découvert qu’il n’y a ni bonne ni mauvaise façon de procéder. Notre vie de couple n’obéit pas à des principes rigides. Seuls importent les compromis auxquels nous parvenons ensemble, accordant nos deux singularités jour après jour, année après année, tantôt insistant, tantôt cédant, puisant dans nos réserves de patience pour essayer de nous comprendre un peu mieux. Je prise la présence physique plus que les mots. J’accorde une grande valeur à la ponctualité, au temps passé ensemble, à la routine, à la régularité – ce qui comptait moins dans sa famille. Barack a besoin d’espace pour réfléchir, il privilégie l’anticonformisme, une certaine insouciance, la flexibilité – ce qui comptait moins dans la mienne. C’est toujours plus facile quand on essaie de mettre des mots sur nos émotions et de replacer les désaccords dans le contexte de notre histoire personnelle, au lieu de s’en tenir à des reproches aveugles. »
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© Famille Obama-Robinson
Lire aussi >> Couple de légende : Michelle et Barack Obama, le power couple
Malia, 24 ans, et Sasha, 21 ans, les deux filles Obama, ont vécu une partie de leur enfance à la Maison-Blanche.               
« En l’espace de huit ans, nos deux écolières aux grands yeux innocents sont devenues des adolescentes impatientes d’acquérir leur indépendance et d’accéder aux privilèges de l’âge adulte. Elles ont, comme il se doit, testé quelques limites et commis leur lot de bêtises. Quelqu’un a été privé de sortie pour ne pas avoir respecté l’heure du couvre-feu. Quelqu’un a posté sur Instagram un selfie en Bikini et dû le retirer très vite, sur les instructions du service de communication de l’aile ouest. Quelqu’un a été exfiltré d’une fête non surveillée alors que la police arrivait sur les lieux. Quelqu’un a répondu au président des États-Unis, qui avait eu l’audace de demander (avec un manque de tact affligeant) comment il était possible de réviser son espagnol en écoutant du rap. Toute incartade, même bénigne, me plongeait dans les affres de l’angoisse, ravivant ma plus grande crainte : et si la vie à la Maison-Blanche faisait d’elles des adolescentes perturbées ? Alors nous avions failli à notre tâche de parents. Toujours à l’affût, mon vieil ami le cerveau peureux me noyait sous des torrents de remords et de culpabilité (ai-je mentionné que le cerveau peureux adore les enfants ? Il connaît tous vos points faibles et s’en donne à cœur joie dans ce genre de situation). Au moindre accroc, rongée par le doute, je remettais en question toutes les décisions que Barack et moi avions prises. Les femmes, on l’a vu, sont imbattables quand il s’agit de se juger. C’est le résultat d’un traitement inégalitaire qui les abreuve d’images irréalistes de la “perfection” féminine dès leur plus tendre enfance. Aucune de nous – littéralement aucune – ne peut atteindre cet idéal. Or on s’entête. Comme dans le cas du mariage et du couple, on entretient une vision idyllique de la parentalité, alors que la réalité est loin, très loin de cette chimère. Chez les mères, le sentiment de ne pas être à la hauteur peut se révéler particulièrement aigu. Les images de perfection maternelle véhiculées par les publicités et les réseaux sociaux sont aussi trompeuses et manipulatrices que les corps féminins photoshopés – affamés, sculptés, botoxés –, qui définissent souvent les critères de la beauté dans notre société. On aspire à la silhouette parfaite, mais également à des enfants parfaits, à l’équilibre parfait entre travail et vie personnelle, à la famille parfaite, à la patience et à la sérénité parfaites. Peu importe si personne – encore une fois, absolument personne – ne peut coïncider avec cet idéal. Le doute généré par de tels artifices peut se révéler destructeur. Quand on est mère et qu’on regarde autour de soi, il est difficile de ne pas se demander : Est-ce que tout le monde assure sauf moi ? Je suis moi aussi sujette à l’autoflagellation. Lorsque nous étions à la Maison-Blanche, au moindre conflit, au moindre heurt avec les filles, je passais en revue mes erreurs. Avais-je été trop sévère ? Trop indulgente ? Trop présente ? Trop absente ? Avais-je oublié d’étudier un manuel incontournable sur la parentalité, quinze ans plus tôt ? Était-ce un incident isolé ou la manifestation d’un problème plus profond ? Quelles leçons de vie essentielles avais-je omis de leur inculquer ? Était-il trop tard pour y remédier ? Si vous avez un enfant sous votre responsabilité, ce genre d’inquiétude doit vous être familière, le sentiment obsédant que vous n’avez pas fait assez pour lui, ou alors que vous avez tout fait de travers, et que vous payez à présent le prix de votre négligence et de vos mauvaises décisions. C’est une torture que nous sommes nombreux à nous infliger, et ce dès les premiers instants, quand on découvre le cher visage innocent d’un nouveau-né, et qu’on se dit : Par pitié, pourvu que je ne te bousille pas. Être parent, c’est lutter constamment contre le désespoir qui vous étreint à l’idée de faillir à la tâche qui vous a été confiée. Cette détresse alimente une véritable industrie, qui va de la gymnastique cérébrale pour les bébés au coaching personnalisé, en passant par les poussettes ergonomiques. C’est un puits sans fond. Aux États-Unis, le coût élevé des frais de garde (qui représentent environ 20 % du revenu moyen d’un citoyen américain) ne fait qu’aggraver le stress. Dans un tel environnement, on a tôt fait de se convaincre que l’on condamne peut-être son enfant à l’échec en le privant d’un minuscule avantage, que ce soit par ignorance ou par manque d’argent. Et il ne suffit pas qu’une étape ou une autre soit franchie pour que les soucis s’envolent. Le désespoir ne disparaît pas lorsque l’enfant commence à faire ses nuits, ni lorsqu’il marche, va à la maternelle, puis au lycée, ni même quand il emménage dans son premier appartement et achète des couteaux à steak. On continue de s’inquiéter ! On a toujours peur pour eux ! Jusqu’à votre dernier souffle, vous vous demanderez si vous pourriez en faire plus. Le monde paraît plus terrifiant et plus dangereux quand on a un enfant, même adulte. Et on fait tout ce qu’on peut pour se convaincre qu’on a un semblant de contrôle. Aujourd’hui encore, mon mari, l’ancien commandant en chef des États-Unis, ne peut pas s’empêcher d’envoyer à nos filles des liens vers des articles relatant des faits divers pour les mettre en garde contre les périls de la route et leur rappeler qu’il vaut mieux éviter de se promener seule la nuit. Lorsqu’elles ont emménagé en Californie, il leur a adressé un long papier sur la prévention des risques liés aux tremblements de terre et leur a proposé que le Secret Service leur fasse un topo sur les consignes de sécurité en cas de catastrophe naturelle (“Non merci”, lui a-t-on répondu poliment). Élever ses enfants et les regarder grandir est l’une des entreprises humaines les plus gratifiantes qui soient. Mais cela peut aussi rendre fou. »
Michelle Obama a longtemps eu le sentiment de détonner dans les sphères de pouvoir.                                
« Aucune critique ne peut vous atteindre si vous êtes en accord avec vous-même. Il m’a fallu des années pour mettre en pratique la maxime de mon père. J’ai pris confiance en moi lentement, par à-coups. J’ai appris pas à pas à porter fièrement ma différence. Dans une certaine mesure, on pourrait dire que tout a commencé par l’acceptation. À un moment donné, à l’école primaire, je me suis résignée à l’idée que j’étais la plus grande de la classe. Avais-je vraiment le choix ? Plus tard, à l’université, j’ai dû m’accoutumer à être “l’exception”, en cours et sur le campus. Encore une fois, il fallait bien s’en accommoder. Au fil des ans, je me suis habituée à évoluer dans des espaces où les hommes étaient plus nombreux et parlaient généralement plus fort que les femmes. C’était ainsi. Peu à peu, j’ai compris que, si je voulais changer la dynamique de ces lieux, pour moi-même et pour ceux qui suivraient, si je voulais qu’ils accueillent plus largement la différence, que chacun s’y sente à sa place, je devais d’abord trouver en moi l’aplomb et la fierté nécessaires. Au lieu de cacher qui j’étais, j’ai appris à le revendiquer. Je n’avais pas le droit de me décourager à la première défaite ni de fuir les situations potentiellement embarrassantes. Je devais m’entraîner à être à l’aise avec ma peur. C’était ça ou renoncer. La vie de mon père m’avait aussi enseigné une chose : on fait avec ce qu’on a. On se forge des outils, on s’adapte et on avance. On persévère en dépit de. Quels que soient les signaux – s’ils me faisaient comprendre que j’étais différente, que je n’étais pas à ma place, ou que ma présence était problématique pour une raison ou une autre –, qu’ils soient conscients ou non, volontaires ou non, rien ne m’obligeait à en être affectée. J’avais le choix. Je pouvais laisser ma vie et mes actes représenter ma vérité. Je pouvais persévérer et faire ce que j’avais à faire. Ce poison ne m’atteignait pas.                J’ai appris à associer des sentiments plus positifs à ma différence. Je le concevais comme une manière de redresser la tête psychologiquement, un outil supplémentaire quand je pénétrais sur un nouveau territoire. J’essayais de prendre une seconde pour me rappeler ce que, chez moi, parmi mes amis, je savais être vrai. Je connaissais ma propre valeur. Je m’acceptais telle que j’étais. Et cette force intérieure m’accompagnait partout. Dans ma tête, pour moi, je pouvais réécrire l’histoire de mon insignifiance : Je suis grande et c’est bien./ Je suis une femme et c’est bien./Je suis noire et c’est bien./Je suis moi-même et c’est très bien. Quand on commence à réécrire l’histoire de son insignifiance, on trouve un nouveau centre. On ne se cherche plus dans le miroir que nous tendent les autres et on apprend à parler plus librement en se fondant sur sa propre expérience, en se fiant à ce que la vie nous a enseigné. On redresse la tête, et on est plus à même de continuer en dépit de. Les obstacles ne s’évanouissent pas comme par miracle, mais ils paraissent moins insurmontables. Il est plus facile de recenser ses victoires, aussi petites soient-elles, et de se dire qu’on avance dans la bonne direction. C’est, j’en suis convaincue, le socle de la véritable confiance en soi. À partir de là, on peut gagner en visibilité, être en mesure d’agir et d’opérer des changements plus profonds. Ce n’est pas un état d’esprit qu’on atteint en un, deux, ou même une dizaine d’essais. Ne pas se laisser définir par le regard des autres exige du travail. Il faut s’entraîner à se concentrer sur les bons messages. Il n’est pas inutile de rappeler que, si ce travail est ardu, c’est aussi parce que nous avons la lourde tâche de poser nos propres mots sur plusieurs couches de récits existants. Nous devons essayer d’établir notre vérité dans un monde construit sur des histoires qui partent du principe que nous ne sommes pas à notre place, que nous ne sommes pas légitimes, quand elles ne nous ignorent pas totalement. Ces récits ont été entérinés par la tradition et fondus dans notre quotidien, ils forment souvent l’arrière-plan de nos journées. Ils ont façonné notre perception de nous-mêmes et des autres. Ils prétendent nous dire qui est inférieur et qui est supérieur, qui est fort et qui est faible. Ils ont consacré des héros et établi des normes : Voici qui est important. Voici à quoi ressemble la réussite. Voici à quoi ressemble un médecin, un chercheur, une mère, un sénateur, un criminel. Voici à quoi ressemble une victoire. […] La question de la visibilité est aujourd’hui au cœur des débats qui déchirent le pays. À une époque où les États parlent d’interdire aux enseignants d’aborder le racisme systémique dans les écoles publiques, où les autorités envisagent de retirer des bibliothèques scolaires les ouvrages sur la Shoah, le racisme ou les personnes LGBTQ+, nous devons être particulièrement vigilants à l’égard des histoires qui sont racontées et à celles qui sont effacées. Nous sommes une jeune nation dominée par de vieux récits. À force d’être loués et répétés sans jamais être remis en question, ils ont parfois été intériorisés et acceptés comme des vérités. On oublie de faire l’effort de les examiner. »
                
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