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Les deux médaillés du “Nobel” des mathématiques Maryna Viazovska et Hugo Duminil-Copin ont été officiellement accueillis vendredi en début de soirée à l’aéroport de Genève. Ils rentraient d’Helsinki où ils ont reçu mardi la célèbre Médaille Fields 2022.
Les deux chercheurs lémaniques – l’une de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et l’autre de l’Université de Genève (UNIGE) – ont été reçus après leur descente d’avion par le conseiller d’Etat vaudois Frédéric Borloz et la conseillère d’Etat genevoise Anne Emery-Torracinta, le président de l’EPFL Martin Vetterli et le recteur de l’UNIGE Yves Flückiger.
Les deux lauréats ont ensuite tenu une conférence de presse conjointe à l’aéroport de Cointrin, avant de se prêter au jeu des interviews et photographies individuelles.
La Médaille Fields est attribuée tous les quatre ans lors du Congrès international des mathématiciens. A 37 ans, Maryna Viazovska, titulaire de la Chaire d’arithmétique à l’EPFL, est après Maryam Mirzakhani en 2014 la deuxième femme à recevoir la prestigieuse distinction sur plus de 60 mathématiciens récompensés à ce jour.
La Médaille Fields honore la résolution par la jeune professeure, née à Kiev en Ukraine, spécialiste de la théorie des nombres, du problème de l’empilement des sphères en dimension 8 et 24. La question de l’empilement optimal de sphères avec un minimum de vide entre elles – tel que dans une pyramide d’oranges – occupe les mathématiciens depuis déjà plus de quatre siècles.
Hugo Duminil-Copin, 36 ans, est professeur ordinaire à la Section de mathématiques de la Faculté des sciences de l’UNIGE et professeur permanent à l’Institut des hautes études scientifiques de l’Université Paris-Sarclay.
Les travaux du Français portent sur la branche mathématique de la physique statistique. Il étudie les transitions de phases – les changements brusques des propriétés de la matière, comme le passage de l’état gazeux à l’état liquide de l’eau – en faisant appel à la théorie des probabilités.
Créée par le mathématicien canadien John Charles Fields (1863-1932), la médaille Fields est attribuée tous les quatre ans depuis 1936, avec un maximum de quatre lauréats par édition. Elle ne peut être décernée qu’à des personnes de moins de 40 ans. Chaque lauréat reçoit une médaille et 15’000 dollars canadiens.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Le coprésident du PS Cédric Wermuth met en garde contre toute conclusion hâtive dans le cadre des indiscrétions au Département fédéral de l’intérieur (DFI). La balle est entre les mains de la justice, ainsi que du Conseil fédéral et des commissions de gestion.
Les tribunaux devront déterminer s’il s’agit d’une violation du secret de fonction au sens juridique du terme, a déclaré le conseiller national argovien samedi à la radio alémanique SRF.
Le coprésident du PS a critiqué l’exigence d’une publication immédiate des informations. Ceux qui le souhaitent (ndlr: l’UDC) exigent de facto une condamnation préalable de collaborateurs de l’administration fédérale nommément cités. Le Parlement ne peut pas clouer ainsi quelqu’un au pilori.
La “manière malhonnête dont la discussion est menée” dérange Cédric Wermuth: “Malheureusement, depuis quelques années, le Conseil fédéral est une passoire absolue s’agissant du contenu des séances. Les indiscrétions sont malheureusement un phénomène courant dans la Berne fédérale”.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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L’objectif du PLR de devenir le deuxième parti et dépasser le PS lors des élections fédérales de cet automne est “important pour la liberté et la prospérité des habitants de notre pays”, dit le président du parti Thierry Burkart. Il faut défendre les acquis libéraux.
“Le coeur du libéralisme est la liberté”, a souligné Thierry Burkart lors de son discours de clôture de l’assemblée des délégués du PLR samedi à Dübendorf (ZH). Une politique responsable “implique également de protéger et de renforcer l’économie de marché”.
La politique idéologique du PS est déconnectée de la réalité. “Le PS veut le socialisme, et ce à l’état pur. Cette politique mène notre pays dans le mur”, a déclaré le conseiller aux Etats argovien, selon la version écrite de son discours. La politique financière de la gauche n’est pas durable.
Le président du PLR a aussi critiqué Le Centre. Il lui reproche de trop souvent s’allier à la gauche pour être “dans l’esprit du temps”, mais celui-ci peut changer rapidement.
Il y a deux ans, Le Centre avait obtenu le soutien de la gauche pour durcir les règles sur les exportations de matériel de guerre, a rappelé Thierry Burkart. Aujourd’hui, Gerhard Pfister, président du Centre, critique le Conseil fédéral qui refuse les demandes de certains pays qui veulent fournir à l’Ukraine des armes et des munitions achetées en Suisse. “C’est plus qu’hypocrite”.
L’UDC, quant à elle, a une conception de la neutralité “trop rigide”, estime le président. C’est “préjudiciable à notre politique de sécurité et à notre réputation mondiale”. L’UDC “veut isoler la Suisse avec sa politique de fermeture”.
L’UDC “dénonce en bloc la migration et met tous les problèmes sur le dos des étrangers. Elle dresse ainsi les gens les uns contre les autres et ne résout aucun problème”. Le PLR continue à s’engager pour une politique migratoire “dure, mais juste” qui respecte la tradition humanitaire de la Suisse, a encore déclaré Thierry Burkart.
En conclusion, le conseiller aux Etats argovien a affirmé que “les recettes du PLR sont garantes d’une Suisse respectueuse de l’être humain, d’une Suisse libre, progressiste et ouverte”. Elles assurent aussi une économie saine avec suffisamment d’emplois et des assurances sociales pérennes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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L’UDC exige la publication des procès-verbaux d’audition d’Alain Berset dans l’affaire des fuites dans son département. La population a droit à la transparence, a déclaré le président du parti Marco Chiesa.
L’UDC exige du président de la Confédération des explications complètes, a ajouté M. Chiesa dans une interview samedi aux journaux alémaniques du groupe Tamedia. Le chef du Département fédéral de l’intérieur (DFI) aurait pu s’expliquer depuis longtemps. Selon le Tessinois, Alain Berset est “seul responsable”.
Apparemment, il y a eu “un pacte entre l’éditeur Ringier et le DFI”, a précisé le conseiller aux Etats UDC dans l’interview: “L’objectif était qu’en fin de compte Berset soit le meilleur dans les médias. C’est pourquoi nous avons maintenant une crise institutionnelle”.
La “Schweiz am Wochenende” avait rapporté il y a une semaine que l’ex-chef de la communication d’Alain Berset, Peter Lauener, avait transmis à plusieurs reprises à Ringier des informations confidentielles sur les mesures anti-Covid prévues par le Conseil fédéral. L’hebdomadaire s’appuyait, selon ses propres affirmations, sur des courriels et des procès-verbaux d’audition dont la rédaction disposait.
Pour le président de l’UDC, la question de savoir si Alain Berset était au courant des activités de son porte-parole est d’une importance secondaire: s’il ignorait ce qu’avait fait M. Lauener, ce serait “un échec flagrant de direction”; s’il était au courant, il n’est de toute façon plus nécessaire de poursuivre la discussion, a déclaré Marco Chiesa.
Celui-ci ne demande pas directement au ministre de la Santé de démissionner, contrairement au conseiller national Alfred Heer (UDC/ZH). Le président de la Confédération devrait en tirer lui-même les conséquences, s’est-il contenté de dire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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5,6 milliards de francs: c’est le montant des avoirs non réclamés que détient la caisse supplétive LPP. Les bénéficiaires sont connus de l’institution mais pas leur adresse. Ces fonds ne sont pas pour autant oubliés ou perdus.
Sur les 1,4 million de comptes de libre passage que gère la caisse supplétive LPP, 62% étaient sans adresse à la fin 2022. Cela représente un montant de 5,6 milliards de francs, soit 34% de l’ensemble des capitaux administrés par cette caisse (16,2 milliards).
Sans adresse ne signifie pas pour autant qu’un compte tombe dans l’oubli, explique Séverine Jagmetti, porte-parole de la Fondation institution supplétive LPP, interrogée par Keystone-ATS. La plupart du temps, les propriétaires des fonds finissent par être retrouvés.
Car la fondation connaît en principe le numéro d’assurance sociale, le nom et la date de naissance des propriétaires. Seule l’adresse manque ou n’est plus actuelle. Mais cela ne signifie pas que les personnes ayant cotisé ne savent rien de leur capital.
L’argent du 2e pilier peut se retrouver en “déshérence” lorsque des personnes quittent un emploi et n’en reprennent pas immédiatement un autre. Leur capital est alors transféré sur un compte de libre passage auprès de la Fondation institution supplétive LPP, au plus tôt six mois après la fin du contrat de travail.
Lors de ce transfert, la fondation ne reçoit souvent pas l’adresse du détenteur, poursuit Mme Jagmetti. Il arrive aussi que des personnes oublient d’annoncer un déménagement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Christian Constantin repartira-t-il pour un tour ? Dans une interview au “Nouvelliste”, le boss du FC Sion affirme que sa décision de quitter le football professionnel en 2024 n’est pas irrévocable.
Christian Constantin est prêt, en effet, à demeurer à la tête du FC Sion si un projet de nouveau stade à Tourbillon et d’un centre d’entraînement estimé à 150 millions de francs voit le jour. Il est prêt à le financer à la hauteur de 50 millions de francs. “Avec 50 millions de francs de fonds propres, on peut débloquer 50 millions de crédits bancaires et les différents soutiens étatiques peuvent générer 50 autres millions”, précise Christian Constantin.
Dans cette interview, Christian Constantin rend public ce projet “pour mettre toutes les cartes sur la table avant 2024.” “Ce projet ne pourra pas se réaliser avant 2030. Mais s’il y a une volonté de le faire, je serais fou de ne pas demander de licence en Super League pour la saison 2024/2025”, explique-t-il. Pour lui désormais, la balle est dans le camp des autorités politiques valaisannes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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