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Marine Le Pen dénonce un «manque de vision» du gouvernement pour l'Outre-mer – Arabnews fr

https://arab.news/b48gm
PARIS: La députée RN Marine Le Pen a dénoncé mardi lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale le manque de vision du gouvernement Macron pour l’outre-mer, estimant que les réponses aux problèmes des territoires ultramarins ne pouvaient pas être que budgétaires.
“Il y a une absence totale de vision de la part du gouvernement” concernant l’outre-mer, a déclaré Mme Le Pen.
Interrogée pour savoir si son groupe voterait le budget du ministère délégué aux outre-mer, la finaliste à la présidentielle avec le RN a déclaré que penser “que les réponses sont budgétaires, c’est faux !”.
“Si le budget est porté sans vision, le budget ne sert à rien”, a-t-elle insisté. “Oui, on peut voter le budget outre-mer de la même manière qu’on va voter la mission sécurité”: “on va embaucher des policiers, on va rajouter du budget mais il n’y a pas les ordres, il n’y a pas les consignes qui sont données”.
“Il y a des parties du budget qui ne nous posent aucun problème: la construction d’abris anticycloniques en Polynésie, les 3,5 millions pour les sargasses” (pour le ramassage de ces nappes d’algues qui s’échouent sur les côtes des Antilles françaises, NDLR), a-t-elle mentionné.
“Mais à la sortie de ce quinquennat il n’y aura toujours pas d’eau, il y aura toujours une insécurité grandissante sur certains territoires, il y aura toujours une immigration-submersion à Mayotte, il y aura toujours la vie chère”, a-t-elle lancé, disant constater “une forme de désintérêt à l’égard des outre-mers”.
Marine Le Pen était arrivée en tête au second tour de l’élection présidentielle dans huit territoires d’Outre-mer, dont sept qui avaient massivement voté pour Jean-Luc Mélenchon au premier tour.
https://arab.news/28gsy
PARIS: Le nouveau préfet de police de Paris Laurent Nunez maintient “à ce stade” l’avis défavorable de son prédécesseur Didier Lallement au projet de la mairie de réaménagement des abords de la Tour Eiffel, a-t-il expliqué mercredi au Conseil de Paris.
“Il y a effectivement des inquiétudes au regard des études qui ont été produites, un certain nombre d’incertitudes qui ont fait que mon prédécesseur a émis un avis défavorable, que j’ai évidemment confirmé à ce stade”, a déclaré le nouveau préfet, qui a succédé fin juillet à Didier Lallement, lors de sa première intervention en conseil municipal.
Son prédécesseur entretenait des relations notoirement tendues avec la maire Anne Hidalgo, notamment sur les projets de cette dernière visant à réduire la place de la voiture dans la capitale, rappelant à chaque fois que la circulation relevait de sa compétence.
En mai, il avait fait savoir dans un courrier à Mme Hidalgo “son opposition à ce projet de restriction de la circulation dans le secteur de la Tour Eiffel”, soulignant les “reports de circulation importants” et “des retenues” qui pourraient gêner l’intervention des secours.
Ce courrier comprenait “un certain nombre d’inquiétudes, d’incertitudes que je partage, d’autant que nous approchons de la période des Jeux olympiques et que la circulation pourra être aggravée”, a déclaré le préfet, soulignant que le projet concernait “plusieurs sites sensibles” sur le plan sécuritaire.
Le projet de la mairie vise notamment à la réduction de la place de la voiture de part et d’autre du pont d’Iéna, appelé à devenir “le premier pont végétalisé de Paris”, avec le réaménagement de la place du Trocadéro, où la circulation sera réorganisée en demi-lune.
Le préfet a repris le premier adjoint Emmanuel Grégoire à ce sujet: “vous disiez que nous avions validé (le projet), ce n’est pas tout à fait exact”.
“Si, si, il y a quand même des permis qui ont été autorisés”, a aussitôt réagi Mme Hidalgo, assise à côté du préfet pour la première fois.
Début octobre, la mairie a renoncé aux petits bâtiments prévus aux pieds de la Tour Eiffel pour les touristes et les employés, après la polémique suscitée par l’abattage d’arbres qu’impliquaient ces constructions.
Le projet reste dans l’ensemble “mis en œuvre à 95%”, a affirmé M. Grégoire, annonçant le début de la remise en état de la pelouse très abîmée du nord du Champ-du-Mars “cette semaine même”.
 
https://arab.news/6nnyb
PARIS: Le camp présidentiel a essuyé mercredi une série de revers dès le début de l’examen des mesures du budget 2023 à l’Assemblée, sous l’ombre toujours plus prégnante d’un déclenchement de l’article 49.3 de la Constitution.
D’emblée, les oppositions ont réussi à rejeter en première lecture, par 192 voix contre 175, l’article “liminaire” du projet de loi de finances (PLF), dans lequel figurait l’objectif-clé de contenir le déficit public à 5% du PIB en 2023.
“Vous êtes réunis Nupes, Rassemblement national, LR, pour priver la France de tout cap”, a dénoncé le ministre des Comptes publics Gabriel Attal, après cette première déconvenue qui en annonçait d’autres.
Contre l’avis du gouvernement, les députés ont ensuite largement adopté un amendement (227 voix pour, 88 contre) visant à dissuader les grandes entreprises de distribuer des résultats exceptionnels sous forme de “super-dividendes”, par le biais d’une majoration de la taxation de ces revenus, portée temporairement de 30 à 35%.
Le texte a pu être voté notamment grâce au soutien des groupes politiques de gauche membres de la Nupes et à celui du RN. Mais il a aussi fissuré le camp de la majorité, puisqu’il était proposé par le Modem et qu’il a reçu le soutien d’une vingtaine de députés Renaissance, tandis que les députés du groupe Horizons se sont pour la plupart abstenus.
Epée de Damoclès
Peu avant l’ouverture de la séance au Palais Bourbon, le Conseil des ministres a autorisé le gouvernement à actionner le fameux article 49.3, une arme constitutionnelle permettant d’adopter un texte sans vote, sauf motion de censure.
Il ne sera utilisé que “si la situation devait exiger qu’on y ait recours”, a insisté le porte-parole du gouvernement Olivier Véran.
“Nous voyons déjà l’épée de Damoclès poindre”, a lancé à l’Assemblée le député Boris Vallaud, chef de file des socialistes. “Combien de temps laissez-vous au débat parlementaire?”, a-t-il demandé au gouvernement.
“Nous prendrons tout le temps nécessaire” à un “débat approfondi”, a assuré le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, même si “viendra un moment où il faudra bien qu’il y ait un budget pour la France”.
Trop dispendieux pour la droite, “austéritaire” pour la gauche, “soumis” à Bruxelles selon le RN: les oppositions ont exclu de soutenir ce budget, dont l’une des mesures phares est le “bouclier tarifaire” de 45 milliards d’euros pour limiter à 15% les hausses des prix réglementés du gaz et de l’électricité.
Si l’utilisation du 49.3 semble inéluctable, faute de majorité absolue, le camp présidentiel est tiraillé entre la volonté de ne pas apparaître comme fermé au débat et celle d'”abréger les souffrances” face à des oppositions qui “voteront contre tout”.
En attendant que le couperet tombe, la majorité seulement relative dont disposent les macronistes les expose à des défaites.
Parmi celles enregistrées mercredi, les députés ont adopté, contre l’avis du gouvernement, un autre amendement du Modem, créant un statut d’investisseur immobilier. Ce dernier permettrait d’opter pour le Prélèvement forfaitaire unique (PFU) pour des revenus fonciers, en contrepartie d’engagements des propriétaires.
https://arab.news/96xy4
PARIS: Les grévistes de TotalEnergies ont refusé mercredi soir une proposition de la direction pour lever les blocages de dépôts de carburants, quelques heures après une première réquisition lancée par le gouvernement français chez Esso-ExxonMobil afin de ravitailler les stations-services à sec de la région parisienne.
Au terme d’une nouvelle réunion au siège de TotalEnergies près de Paris, les grévistes ont refusé fermement une proposition de débloquer les livraisons tôt jeudi matin, comme condition à l’ouverture dans la foulée de négociations salariales.
“C’est un refus catégorique massif, ils (les salariés) ne veulent pas de cette exigence pour négocier”, a déclaré à l’AFP Thierry Defresne, du syndicat CGT au sein du comité TotalEnergies Europe. L’entreprise a de son côté confirmé à l’AFP “l’issue négative des discussions de la nuit”.
Plus tôt dans la journée, la direction avait pourtant accepté pour la première fois de recevoir la CGT mercredi. Jusqu’à présent, elle exigeait comme préalable la levée des blocages pour voir le deuxième syndicat du groupe.
Auparavant, comme annoncé par la Première ministre Elisabeth Borne la veille, le ministère de la Transition énergétique a lancé la réquisition de quatre salariés grévistes chez Esso-ExxonMobil pour libérer du carburant au dépôt de la raffinerie de Port-Jérôme (nord-ouest).
L’arrêté a été notifié par le directeur du site aux quatre salariés, deux pour mercredi et deux pour jeudi, qui se verront contraints de venir rouvrir les vannes, sous peine de sanctions pénales.
Philippe Martinez, leader de la CGT venu soutenir les salariés d’ExxonMobil, a dénoncé une “décision scandaleuse” et annoncé le dépôt d’un recours en justice jeudi.
La réquisition ne vise pas les opérations de la raffinerie et donc la production de carburant. Elle “va permettre d’assurer l’expédition des produits”, “normalement aujourd’hui vers la région parisienne” par oléoduc, a précisé une porte-parole d’Esso France.
Les grévistes du dépôt de Flandres de TotalEnergies, près de Dunkerque (nord), seront les prochains à faire l’objet de réquisitions, a assuré le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran.
Le président Emmanuel Macron a quant à lui prévu un retour de la normale dans la distribution de carburants “dans le courant de la semaine qui vient”, lors d’un entretien sur la chaîne France 2 mercredi soir, appelant “à la responsabilité” la direction de TotalEnergies et la CGT.
Galère
Six des sept raffineries de France étaient en grève mercredi: les quatre de TotalEnergies et les deux d’Esso-ExxonMobil. Seule celle de Lavéra (groupe Petroineos) n’est pas bloquée.
Et Force ouvrière (FO), quatrième syndicat parmi les salariés du raffinage chez TotalEnergies, a rejoint la grève.
De quoi prolonger les pénuries, malgré la promesse d’amélioration du gouvernement.
Mercredi en fin d’après-midi, 30,8% des stations-service manquaient d’un ou plusieurs carburants (31,3% mardi), selon les autorités. La situation est pire dans le nord du pays, en région parisienne et dans le centre.
Partout les automobilistes racontent leur “galère” et les files monstres: “Ce matin, j’ai perdu 1H30 pour trouver une pompe de gazole (…) sur mon jour de repos”, désespère Albertine Morais, infirmière à Clichy-la-Garenne, près de Paris. Et il faudra “recommencer d’ici deux jours”: “je suis déjà en panique”.
Cause du conflit: les salaires. La CGT, qui a lancé la grève le 27 septembre chez TotalEnergies, revendique 10% d’augmentation pour 2022, contre les 3,5% obtenus en début d’année, afin de compenser l’inflation et de profiter des bénéfices exceptionnels du groupe.
Chez Esso, un accord a été signé avec deux syndicats majoritaires dont la CFDT, mais pas avec la CGT. La grève continuait dans ses deux raffineries.
Chez TotalEnergies, la grève dure depuis le 27 septembre. Elle concerne la raffinerie de Normandie, près du Havre (nord-ouest), le dépôt de Flandres, près de Dunkerque (nord), la “bio-raffinerie” de La Mède (sud-est), la raffinerie de Feyzin (centre-est), et celle de Donges (ouest).
Face aux automobilistes exaspérés, le gouvernement est de plus en plus critiqué par les oppositions. La députée écologiste Sandrine Rousseau a appelé mercredi à “la grève générale” et Mathilde Panot (La France insoumise, extrême gauche) s’est rendue auprès des grévistes d’ExxonMobil.

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