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Manu Ginobili, Tim Hardaway, Swin Cash et George Karl au Hall of Fame ! – TrashTalk

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C’était le grand soir pour 13 nouveaux membres du Hall of Fame. Cette nuit, du coté de Springfield, Manu Ginobili, Tim Hardaway, Swin Cash, George Karl et neuf autres élus ont eu l’immense honneur d’entrer dans le Panthéon du basket. Retour sur une soirée comme d’habitude remplie d’émotions, avec des discours comme on les aime.
« Je ne suis pas là parce que j’étais super spécial. Je suis là parce que j’ai fait partie de deux des équipes les plus importantes des années 2000 : les Spurs et l’équipe nationale de l’Argentine. » Voilà comment résumer Manu Ginobili en une phrase. Un homme rempli d’humilité, qui sera toujours associé à la franchise de San Antonio et à la Generación Dorada de l’Albiceleste. Comme Manu le dit lui-même, avec Tim Duncan à ses côtés sur l’estrade et le duo Gregg Popovich – Tony Parker assis en face de lui, il a eu deux carrières en une. Une avec les Spurs où il a remporté quatre titres NBA, et une avec l’Argentine où il a gagné une médaille d’or olympique. Deux carrières forcément très différentes dans leur déroulement, mais qui ont chacune apporté à Manu tout ce qu’il recherchait dans le basket : le plaisir de jouer, des relations fortes avec ses coéquipiers et ses coachs, et bien évidemment des titres. Tout cela n’aurait néanmoins pas été possible pour Gino sans son passage en Italie entre 1998 et 2002, son premier grand voyage où il a grandi, notamment sous les ordres d’Ettore Messina avec qui il a gagné l’Euroleague sous les couleurs de Bologne. Tout cela n’aurait pas été possible sans son papa, président du tout premier club dans lequel Manu a joué à deux pas de chez lui à Bahía Blanca, ni sans sa maman, qui le cherchait à l’école pour ensuite lui faire à manger et l’amener au gymnase du coin. Alors Ginobili n’a évidemment pas manqué de les remercier, terminant son magnifique speech en espagnol – et avec quelques larmes – pour rendre hommage à l’ensemble de sa très belle famille. Ne change jamais Manu.


Quand on pense à Tim Hardaway, on pense avant tout au Run-TMC, à son killer crossover, ou encore à son association avec Alonzo Mourning à Miami. Mais Tim Hardaway, c’est avant tout un « kid from Chicago » et son speech respire les rues parfois sombres et dangereuses de la Windy City. Ce n’est pas un hasard si Isiah Thomas et Yolanda Griffith étaient sur l’estrade avec lui, en compagnie de ses anciens coéquipiers aux Warriors Mitch Richmond et Chris Mullin. L’ancien meneur des Pistons version Bad Boy est lui aussi un enfant de Chitown, tout comme Yolanda qui est l’une des meilleures joueuses WNBA de l’histoire. Ces grands noms ont apporté inspiration et soutien à Mister Hardaway dans un parcours qui n’a pas toujours été rose. Enfant de parents divorcés, Tim a été profondément marqué par la séparation de ses parents, lui qui ne pensait pas dans ses plus jeunes années que « les couples pouvaient se briser« . Heureusement sa mère et son père sont restés très présents dans sa vie. Sa maman pour lui apporter tendresse et soutien, son papa pour jouer le rôle de protecteur et le guider sur la voie du basket. Une voie qui l’emmènera jusqu’à la NBA grâce aux différents coachs que Tim a pu côtoyer de son enfance à Chicago jusqu’à son passage à l’université d’UTEP sous les ordres du légendaire Don Haskins. La suite, c’est une carrière calibre All-Star qui a démarré aux Warriors avec l’entraîneur Don Nelson, « qui a menti à toutes les équipes NBA en disant que mes genoux étaient foutus pour pouvoir me sélectionner à la Draft ». De Golden State à Miami, Tim Hardaway s’est imposé comme l’un des meilleurs meneurs de sa génération et surtout l’un des plus grands briseurs de chevilles de l’histoire de la NBA. Le Killer Crossover est désormais officiellement au Hall of Fame.

Swin Cash l’assure, « je suis probablement l’une des trois seules personnes à avoir vu Bill Laimbeer verser une larme ». C’était en 2004, quand elle a été victime d’une rupture d’un ligament du genou sous les couleurs du Detroit Shock et que Billou était son entraîneur. L’un des moments très difficiles sa carrière, l’une des nombreuses épreuves qu’elle a dû traverser sur comme en dehors du terrain dans sa route vers le Hall of Fame. Comme elle le dit cash sur l’estrade de Springfield, être une femme afro-américaine aux États-Unis peut vite vous limiter dans vos ambitions, mais Swin n’a jamais voulu accepter certaines règles imposées dans la société où elle a évolué. Inspirée par sa mère Cynthia, Swin Cash a toujours avancé la tête haute, avec confiance et caractère. Pour montrer qu’elle est, on cite, « parfaitement à l’aise dans ma peau et dans mon corps, parce que c’est MON CORPS », une phrase qui résonne énormément après les événements de juin dernier aux States concernant le droit à l’avortement. Et dans tout ça, le basket a souvent représenté le moyen, la plateforme, pour s’exprimer et tout simplement grandir. Alors Swin Cash a tenu à remercier tous ceux et toutes celles qui l’ont accompagné dans son chemin. Son coach de lycée, qui a su lui apporter dureté et éthique de travail. Son coach à l’université, le légendaire Geno Auriemma, avec qui elle a remporté deux titres NCAA tout en lâchant une saison parfaite (39 victoires – 0 défaite) en 2002 aux côtés de Diana Taurasi et Sue Bird. Téma la dream team. Ses copines Tamika Catchings et Tina Thompson, avec qui elle a remporté l’or olympique, sans oublier la grande Teresa Weatherspoon qui travaille aujourd’hui avec elle dans l’organisation des New Orleans Pelicans. Considérée comme l’une des grandes joueuses WNBA de l’histoire, Swin Cash a remporté trois titres de champion tout en participant à quatre All-Star Games, le genre de CV qui a de quoi inspirer n’importe quelle jeune fille voulant réaliser une grande carrière dans l’univers de la balle orange. Ça tombe bien car inspirer les futures générations, c’est la mission ultime de Swintayla.

Joueur puis entraîneur, passé par la célèbre université de North Carolina, les ligues mineures américaines, la ABA, l’Europe et bien évidemment la NBA, George Karl a eu une carrière bien remplie. Alors pour les remerciements sur le podium du Hall of Fame à Springfield, l’ancien coach des célèbres Sonics des années 1990 possédait forcément une liste longue comme le bras. Sur cette liste, plusieurs grands noms du coaching qui ont inspiré et guidé George durant son parcours. Le légendaire Dean Smith (North Carolina), grâce à qui il a eu « l’éducation ultime en matière de basket », mais aussi le deuxième coach le plus victorieux de l’histoire de la NBA et mentor Don Nelson, sans oublier Doug Moe ou encore Del Harris qui vient également de rentrer au Hall of Fame. Tous ces entraîneurs ont aidé George Karl à remporter 1 175 matchs durant sa carrière sur les bancs NBA (sixième plus gros total all-time). Tout comme sa famille – toujours là pour le soutenir notamment quand il a dû batailler à plusieurs reprises face à un cancer – et les grands joueurs qu’il a eu sous ses ordres comme un certain Gary Payton, présent à ses côtés au moment de son speech cette nuit. Et puis il y a eu des expériences très singulières qui ont aidé à forger George Karl le coach. Notamment celle en CBA (Continental Basketball Association) où il a appris « qu’entraîner demandait parfois à se transformer en psychologue ». Ou celle au Real Madrid, « l’un de moments les plus importants » de sa vie où l’un de ses joueurs – Fernando Martin – a tragiquement disparu dans un accident de voiture à seulement 27 ans. Toutes ces inspirations, tous ces moments, tout cet amour pour le basket ont fini par porter George Karl vers Springfield. Un honneur qu’il n’avait jamais imaginé au moment d’entamer une carrière de plus de trois décennies sur les bancs.

Del Harris' HOF coaching career began with a junior high basketball team, the rest is history! #22HoopClass pic.twitter.com/u0gM5N9QDS
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On Bob Huggins Day in West Virginia, he becomes a member of the @Hoophall 👏🏻
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Adrienne Hudson speaks on behalf of her father Lou Hudson as he is inducted into the @Hoophall. #22HoopClass pic.twitter.com/eGjFrEglbb
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Tonight's @Hoophall Enshrinement Ceremony began with a tribute to the great Bill Russell 💚 pic.twitter.com/yaDDc8S6AO
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Manu Ginobili, Tim Hardaway, Swin Cash, George Karl, Lindsay Whalen, Marianne Stanley, Theresa Shank-Grentz, Bob Huggins, Hugh Evans, Lou Hudson, Larry Costello, Del Harris. Le Hall of Fame étaient un rêve pour eux, c’est désormais une réalité. 
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Sortez les mouchoirs !
Plus haut Djan, plus haut.
Qui de Nikola Jokic ou de Simone Fontecchio verra les quarts de finale ?
Tarpey on the air, Osman on the poster.
On peut leur donner une médaille juste pour les fans ?
“Si on est dans le match dans le money time, c’est gagné.”
Celui de gauche est né dans le Loiret, et l’autre à Louisville, Kentucky.
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