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CHRONIQUE. Après sa visite aux États-Unis, le président a pu méditer sur l’histoire des variations, parfois brutales, des relations franco-américaines.
Temps de lecture : 5 min
Adieu homards, fromages de l’Oregon et rosé pétillant, adieu l’interminable poignée de main de Joe Biden au coin du feu de la Maison-Blanche et les applaudissements, sous les tentes blanches décorées de fleurs et d’argenterie, de centaines d’invités debout ! Adieu les « Vive Macron, Vive la France ! » en dansant dans les rues de La Nouvelle-Orléans. Retour aux manifs à la française.
Ce lundi, après avoir « réinvesti le champ mémoriel » en visitant près d’Aix-en-Provence le camp des Milles, où 2 000 Français internés allaient monter dans un train pour Auschwitz, Emmanuel Macron s’apprêtait à retrouver, devant le collège Jas-de-Bouffan où il devait présider un « Conseil national de la refondation » afin de réveiller « un imaginaire républicain fédérateur », la foule habituelle de manifesta…
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Mais cela dépend avant tout de ce que fera l’l’Allemagne, qui, elle, a des arguments pour étre écoutée des américains puisqu’elle va leur acheter quantité d’armes, c’est donc elle qui pèse… L’image de M. Le Maire est celle d’un faiseur de déficits, donc pas de quoi en imposer.
SVP arrêtez vos comparaisons entre De Gaulle et Macron. Il existe suffisamment de biographies sur De Gaulle, dont certaines ne se prive pas de critiques, pour vous faire une opinion sur la vision que le Général
avait du rang que notre pays devait occuper. Si de nos jours nous sommes encore Français, ceci est bien grâce à Lui, car effectivement au moment de la libération nos « amis » américains avaient déjà désignés les préfets, leurs bagages contenaient également toute la monnaie qu’ils avaient préparé pour remplacer la nôtre et nous transformer en une colonie ou un sous état américain. De Gaulle n’a pas utilisé « des ronds de jambes » pour leur dire leurs vérités, ni mâché ses mots, même par la suite une fois notre dignité retrouvée. De Gaulle avait des objectifs. Qui ne concernait nullement sa réélection. De nos jours avec nos politiciens bornés, nous somme passé du 5 eme rang du PIB par habitants au 26 ème, sans s’étendre plus, et la chute continue. L’avenir est de plus en plus noir (même avant coupures électriques) Nous sommes déjà très fortement engagés sur la voie d’un État sous développé. Mais notre apprenti comédien « continue ses pas de deux » Cet homme n’a aucune compétence ou qualité pour diriger un pays. Seul les magouilles électorales nous ont affublées d’un soi-disant responsable. Alors pourquoi s’étonner de la désaffection du vote, ce type de politique a transformé les élections en la plus grande duperie des temps modernes
Notre guignol de président qui est allé se ridiculiser chez jo le sénile devrait revoir ses connaissances en histoire car nos cousins américains qui bossent pour eux et uniquement pour eux ont tout fait et continueront à tout faire pour qu’aucune unité entre pays ne se fasse de Brest à Vladivostok.
Le général l’avait bien compris lui !
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