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Liban: le Parlement échoue à élire un nouveau président de la République – Arabnews fr

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BEYROUTH : Le Parlement libanais a échoué jeudi à élire un nouveau président de la République à l’issue d’un premier tour de vote, aucun consensus n’ayant encore été trouvé pour choisir le successeur au chef de l’Etat sortant, Michel Aoun, malgré une crise financière sans précédent.
Les profondes divisions au sein de l’Assemblée font craindre que le Liban ne se retrouve à nouveau sans président pendant des mois, après l’expiration du mandat de M. Aoun fin octobre, ce qui minerait davantage la confiance des créanciers.
L’élection du président sortant en 2016 avait eu lieu après une vacance de 29 mois au sommet de l’Etat, les parlementaires ayant tenté en vain, à 45 reprises, de parvenir à un consensus sur un candidat.
Depuis 2019, le Liban est plongé dans une profonde crise économique imputée par une grande partie de la population à la mauvaise gestion, la corruption, la négligence et l’inertie d’une classe dirigeante en place depuis des décennies. En l’espace de trois ans, la livre libanaise a perdu plus de 95% de sa valeur sur le marché noir.
Avant la séance de jeudi, la présence d’un nombre suffisant de députés pour le vote était incertaine, mais le quorum a finalement été atteint. Un total de 122 députés sur 128 ont voté, dont 68 qui ont glissé un bulletin blanc.
En vertu du système confessionnel de partage du pouvoir en vigueur, la présidence est réservée à un chrétien maronite.
Michel Moawad, député et fils du président René Moawad assassiné en 1989, a obtenu le plus grand nombre de voix jeudi, avec 36 votes. Il aurait eu besoin d’un total de 86 votes pour se faire élire au premier tour.
Plusieurs députés ont quitté la salle avant qu’un deuxième tour ne soit organisé, conduisant ainsi à levée de la séance faute de quorum.
Le chef du Parlement Nabih Berri a annoncé qu’il appellera à un deuxième tour “lorsqu’un accord sera trouvé pour élire le prochain président”, un processus qui pourrait prendre des mois dans un pays où la classe politique est profondément divisée.
«Risque d’incidents»
Le Liban connaît l’une des pires crises économiques au monde depuis 1850 selon la Banque mondiale, marquée par une flambée vertigineuse des prix, une dégringolade historique de la devise nationale et de graves pénuries.
Quatre Libanais sur cinq vivent désormais en dessous du seuil de pauvreté selon l’ONU, une paupérisation inédite accélérée par une inflation à trois chiffres.
Le pays est aussi dans une impasse politique, un nouveau gouvernement se faisant toujours attendre, quatre mois après les élections législatives.
La semaine dernière, la France, l’Arabie saoudite et les Etats-Unis ont publié une déclaration commune exhortant les députés à “élire un président qui puisse unir le peuple libanais”.
“S’il y a un vide politique, la crise économique s’intensifiera et le risque d’incidents est évident”, a mis en garde l’analyste Karim Bitar.
En avril, le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé un accord de principe avec Beyrouth pour une aide de trois milliards de dollars, échelonnée sur quatre ans mais conditionnée à la mise en oeuvre de réformes cruciales.
Parmi ces réformes, il réclame l’unification du taux de change, la réforme de la loi sur le secret bancaire, la restructuration du secteur bancaire et une loi sur le contrôle des capitaux. Le budget 2022, également exigé par le FMI, a été adopté cette semaine.
Le Liban a annoncé mercredi un nouveau taux de change officiel de 15.000 livres pour un dollar américain à partir du 1er novembre, une mesure qui constitue selon le ministère des Finances “un premier pas” vers l’unification des multiples taux de change en vigueur dans le pays.
En septembre, le ministre libanais de l’Economie, Amine Salam, avait estimé nécessaire de “promulguer au plus vite les réformes demandées, avant la présidentielle”.
https://arab.news/5kmdm
LONDRES: Un haut commandant du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) a été abattu vendredi lors d’affrontements avec des hommes armés opposés au régime, rapportent les médias officiels.
Ali Mousavi, qui était une figure éminente du CGRI dans la province du Sistan-Baloutchistan, a été tué dans la ville de Zahedan, dans le sud-est du pays, selon l’agence de presse Tasnim.
Les médias officiels ont également signalé qu’une fusillade avait éclaté au cours de la journée dans un poste de police de la ville, au milieu des manifestations antigouvernementales qui se poursuivent depuis la mort récente de Mahsa Amini, âgée de 22 ans.
Elle est décédée en détention après avoir été arrêtée par la police iranienne des mœurs.
Au moins 76 personnes ont été tuées dans la violente répression de Téhéran contre les manifestants, au moment où des manifestations anti-régime envahissent le monde entier.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 
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DUBAÏ: Plus de 20 000 enfants, âgés de quarante-cinq jours à six ans et originaires de 58 pays différents, sont aujourd’hui inscrits dans 226 centres de la petite enfance à Dubaï.
Afin de mettre en avant la diversité culturelle et l’écosystème éducatif dynamique de Dubaï, l’Autorité de la connaissance et du développement humain (KHDA) a indiqué vendredi que les enfants de maternelle étaient encadrés par plus de 1300 enseignants et 1900 assistants pédagogiques dans les centres de la petite enfance (CPE) de l’émirat, selon l’Agence de presse des Émirats (WAM).
Le rapport Milestones, réalisé par la KHDA, présente pour la première fois des statistiques et des détails approfondis sur le secteur privé de l’éducation et de la prise en charge de la petite enfance à Dubaï. «Dubaï est une ville tournée vers l’avenir, et son avenir repose sur le bien-être de nos enfants, leur sens de l’émerveillement et leur amour de l’apprentissage», a affirmé le Dr Abdallah al-Karam, directeur général de la KHDA.
Tout le monde profite de l’accès des parents à un enseignement de qualité pour leurs enfants à Dubaï, a-t-il indiqué. «Les CPE bénéficient de l’augmentation des inscriptions, les parents peuvent avoir l’esprit tranquille, sachant que leurs enfants sont pris en charge, bien encadrés et qu’ils profitent de l’apprentissage et du jeu dans un environnement positif et favorable», a expliqué le Dr Al-Karam.
Les parents de jeunes enfants peuvent choisir parmi 13 programmes d’enseignement préscolaire différents actuellement proposés par les CPE de Dubaï, rapporte WAM. La plupart des CPE proposent le programme Early Years Foundation Stages, tandis que d’autres proposent les programmes Montessori, IPC, suédois, finlandais, et norvégien, entre autres. Les parents peuvent rechercher les centres de la petite enfance sur l’annuaire numérique de la KHDA, disponible sur le site Web et l’application de l’organisme de réglementation de l’éducation.
«Nous voulons créer un secteur de l’éducation et de la prise en charge de la petite enfance diversifié et axé sur la qualité, afin d’encourager encore plus de parents à offrir à leurs enfants une expérience d’apprentissage heureuse et bénéfique», a ajouté le Dr Al-Karam. Selon les données, 70% des enfants inscrits dans les CPE privés de Dubaï sont âgés de 2 à 4 ans.
 
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
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LONDRES: L’ONU a prévenu que les personnes vivant à proximité des champs pétrolifères, où le gaz est brûlé à ciel ouvert, font face à des risques accrus de leucémie. L’organisation a classé ces lieux comme «zones de sacrifice modernes».
Ciblant des sites en Irak pour le torchage du gaz – un processus de combustion du gaz libéré par le forage pétrolier qui produit des polluants liés au cancer, notamment du CO2, du méthane et de la suie noire – l’ONU a déclaré que les profits avaient la priorité sur les droits humains, précisant que les compagnies britannique BP et italienne Eni opéraient sur ces sites.
David Boyd, rapporteur spécial des Nations unies sur les droits humains et l’environnement, a déclaré à la BBC Arabic que «les personnes vivant à proximité des champs pétrolifères sont victimes de la collusion entre l’État et les entreprises».
Malgré la loi irakienne interdisant le torchage à moins de 10 km des habitations, une enquête de la BBC a découvert des zones, notamment à la périphérie de Bassorah, où du gaz était brûlé à moins de 3 km des domiciles des habitants de la région, ce que les autorités n’ignoraient pas.
Un rapport du ministère irakien de la Santé ayant fait l’objet d’une fuite, et dont a pris connaissance la BBC Arabic, accuse la pollution de l’air d’avoir augmenté de 20% le nombre de cancers à Bassorah entre 2015 et 2018.
Dans le cadre de son enquête, la chaîne de télévision britannique a entrepris les premiers tests de contrôle de la pollution parmi les communautés exposées, les résultats indiquant une forte exposition aux produits chimiques cancérigènes et la découverte que les champs pétrolifères de Rumaila à Bassora brûlent plus de gaz que tout autre site dans le monde.
Ce site appartenant au gouvernement, avec BP comme entrepreneur principal, se trouve près de la ville de North Rumaila, connue par les habitants comme le «cimetière» en raison de ses niveaux élevés de leucémie.
Le scientifique irakien spécialiste de l’environnement Choukri al-Hassan a décrit le cancer en cet endroit si répandu qu’il est «comme la grippe».
Le Premier ministre irakien a publié une ordonnance confidentielle interdisant aux employés travaillant sur les sites de parler des dommages pour la santé résultant de la pollution.
Le ministre du Pétrole, Ihsan Abdel Jabbar Ismaïl, a déclaré à la BBC qu’il avait donné ses instructions à toutes les sociétés sous contrat opérant dans les champs pétrolifères de «respecter les normes internationales».
Répondant aux demandes de commentaires de la BBC, Eni a déclaré qu’elle rejetait fermement toute accusation selon laquelle ses activités mettaient en danger la santé des Irakiens, tandis que BP s’est déclarée «extrêmement préoccupée» et a affirmé qu’elle allait procéder à un «contrôle immédiat».
 
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

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