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Une trentaine d’employés ont réclamé une meilleure protection face au comportement violent de certains résidents. Ils dénoncent également un manque d’effectif pour faire face à ces situations. Le personnel demande une meilleure reconnaissance du travail gériatrique.
Coups, insultes et blessures. C’est le quotidien des employées de la maison de Vessy. Depuis quelques mois, ils sont victimes de formes graves de violence de la part des résidents atteintes de troubles cognitifs. Une trentaine de membres du personnel se sont mobilisés ce matin avec Avenir Syndical pour alerter sur la situation. Ecoutez une aide-soignante de la maison de Vessy.
Le syndicat déplore l’absence de mesures prises par l’institution qui, selon lui, a identifié depuis longtemps ces comportements violents. Les employés se disent à bout.
Le personnel et le syndicat demandent des mesures concrètes pour ne plus laisser un soignant seul avec un résident violent pour faire sa toilette. Avenir syndical a également épinglé l’Etat. Il lui rappelle qu’il a la responsabilité de donner à l’EMS les moyens pour avoir le personnel nécessaire pour mener à bien ces missions.
Une meilleure reconnaissance
Les employés demandent également la reconnaissance de la pénibilité de leur travail, souvent jugé ingrat.
Avenir syndical revendique une prime gériatrie pour l’ensemble du personnel des EMS du canton. Contacté, l’EMS de Vessy n’a pas donné suite à notre demande de réponse.
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Le président de la société des Artisans boulangers-pâtissiers-confiseurs vaudois (ABPCV), Laurent Buet, tire la sonnette d’alarme. Dans une interview accordée à Lausanne Cités, il estime que les faillites dans le secteur vont “se multiplier” ces prochains mois.
Avec les hausses des prix de l’électricité et des matières premières, qui arrivent après deux années de pandémie, Laurent Buet dit s’attendre à “des mois sombres”. Sans intervention des autorités, “plusieurs dizaines de boulangers vaudois devront mettre la clé sous le paillasson”, affirme-t-il.
Egalement à la tête de la Maison Buet à Lausanne, le confiseur explique que si les tarifs de l’électricité n’évoluent pas, la facture d’électricité de sa seule entreprise passera de 6000 à 31’000 francs par mois en janvier 2025. “Je serai contraint de fermer boutique”, dit-il.
Selon lui, les pouvoirs publics doivent réagir, notamment en faisant pression sur les fournisseurs d’électricité “pour que ces derniers arrêtent de se faire des millions sur notre dos.” A l’instar de ses confrères, il dit vouloir “une solution pérenne qui permette d’assurer un tarif de l’électricité juste pour les gros consommateurs.”
Outre le coût de l’énergie, Laurent Buet mentionne la hausse des coûts des matières premières, citant en exemple la tonne de farine qui, en quelques mois, a augmenté de 15%. “Un croissant coûtait 1,40 franc en 2020, on le vend désormais à 1,70 franc. Cela nous fend le coeur, mais nous n’avons pas le choix pour survivre”, regrette-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Le ministre de l’économie Guy Parmelin examine des mesures pour lutter contre la menace d’une pénurie de logements. Il estime le besoin de nouveaux logements à 50’000 par année. Il veut agir sur les conditions-cadre.
Pour le conseiller fédéral, une offre de logements insuffisante peut limiter le développement économique. Des tensions sociopolitiques sont possibles si les loyers augmentent et que les personnes à revenus modestes ne trouvent plus de logement, ajoute-t-il.
Le Département fédéral de l’économie (DEFR) a confirmé dimanche à Keystone-ATS une information de la SonntagsZeitung.
En ce qui concerne l’offre de logements, c’est en premier lieu à l’économie d’agir, estime le Vaudois. Mais il faut peut-être trouver des moyens d’améliorer les conditions-cadre. Les délais de traitement de permis de construire sont passés de 90 à 150 jours en 20 ans. M. Parmelin examine d’éventuelles mesures à prendre avec l’Office fédéral du logement (OFL).
Le Vaudois entend augmenter l’offre de logements et veiller à ce qu’il existe suffisamment d’habitations à prix modérés. Il souligne en outre qu’il faut tenir compte des besoins de la société, en particulier des personnes âgées.
Les autorités fédérales partent du principe qu’environ 50’000 nouveaux ménages se créent chaque année. Pour le chef du DEFR, la hausse de la demande est due principalement à l’immigration et à la baisse du nombre de personnes vivant en ménage commun.
Ces deux facteurs ont un effet similaire, selon le ministre de l’économie: ces dernières années, la réduction de la taille des ménages a parfois même été plus importante que l’impact de l’immigration.
M. Parmelin estime que l’immigration nette était de 80’000 personnes l’an dernier. Ce nombre ne tient pas compte des quelque 70’000 personnes venues se réfugier en Suisse en raison de la guerre en Ukraine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Le festival Antigel propose six “Made in” dans le cadre de sa 13e édition qui aura lieu du 3 au 25 février. Une fable écologique urbaine, une ode à la nature sur un terrain de tennis couvert ou encore une balade sur les pas de Richard Burton figurent parmi les propositions inédites.
Marque de fabrique du festival culturel, les créations labellisées Made in Antigel se veulent grand public et visent à explorer des lieux insolites d’une manière décalée. La première proposition sera une performance immersive dans une ancienne usine à Meyrin.
Alors que le semi-confinement lors de la pandémie de Covid-19 a permis à des animaux sauvages de se rapprocher de la ville, Antigel convie aussi le public à une balade nocturne et sonore sur un des plus beaux sentiers urbains. Parmi les Made in figurent encore une soirée dansante masquée au Grand Théâtre de Genève et un marathon des danses des multiples cultures présentes dans le canton.
www.antigel.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Vaud célèbre mardi son indépendance. A cette occasion, GastroVaud distribuera 3000 assiettes de papet vaudois gratuites dans neuf villes du canton sur le coup de midi.
Cette “Journée du papet” est organisée pour la cinquième fois, après deux années de pause en raison du Covid-19. Cet événement se tient en collaboration avec l’Association Charcuterie Vaudoise IGP et la Fédération vaudoise des producteurs de légumes, indique GastroVaud dans un communiqué.
Initiée en 2017, à l’occasion du 125e anniversaire de la faîtière cantonale, la démarche permet de valoriser les traditions culinaires et de promouvoir les produits vaudois, rappelle-t-elle. Cette année, Charcuterie vaudoise IGP mettra à disposition 1500 boucles de saucisses aux choux et la Fédération vaudoise des producteurs de légumes 750 kilos de poireaux, précise-t-on.
Sur le principe des premiers arrivés, premiers servis, quelque 3000 gourmands pourront déguster le plat typique dans neuf villes du canton: Château-d’Oex, Echallens, Lausanne, Morges, Nyon, Oron, Payerne, Vevey et Yverdon.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Un immeuble de Chavornay (VD) a dû être entièrement évacué samedi à la suite d’un incendie. Seul le locataire de l’appartement dans lequel le sinistre s’est déclaré demeure hospitalisé, en raison notamment de diverses brûlures. Sa vie n’est toutefois pas en danger.
Les autres habitants, incommodés par la fumée, ont été transportés dans différents établissements hospitaliers, qu’ils ont pu quitter dans la journée, indique la police cantonale vaudoise dans un communiqué.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes exactes de l’incendie, qui s’est déclaré samedi vers 08h00 à la rue de la Cité, au centre de Chavornay. Des appartements ont été fortement endommagés et plusieurs familles ont dû être relogées, la plupart chez des proches.
La police précise encore que cet incendie a nécessité l’intervention d’une vingtaine de sapeurs-pompiers des SDIS de la Plaine de l’Orbe et du Nord vaudois, ainsi que plusieurs ambulances et patrouilles de police.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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