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Le PIF va créer cinq sociétés régionales d'investissement pour attirer 24 milliards de dollars – Arabnews fr

https://arab.news/mnv7p
RIYAD: Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a annoncé que le Fonds d’investissement public (PIF) allait créer cinq sociétés régionales d’investissement supplémentaires; en Jordanie, à Bahreïn, au Soudan, en Irak et dans le sultanat d’Oman.
Cette annonce fait suite à la création de la Saudi Egyptian Investment Co. en août. Pour l’ensemble des six sociétés, la valeur des investissements ciblés atteindra 90 milliards de riyals saoudiens (24 milliards de dollars: 1 dollar = 1 euro) dans divers secteurs.
Les entreprises investiront dans les infrastructures, le développement immobilier, l’exploitation minière, les soins de santé, les services financiers, l’alimentation et l’agriculture, la fabrication, les télécommunications et la technologie, ainsi que d’autres domaines stratégiques.
Dévoilée lors de la deuxième journée de la sixième édition de la conférence sur l’Initiative pour l’investissement dans l’avenir, cette annonce s’inscrit dans l’objectif du PIF de rechercher de nouvelles opportunités d’investissement dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.
La création de ces nouvelles sociétés d’investissement contribuera non seulement à dynamiser le secteur privé saoudien, mais aussi celui des six pays concernés.
En outre, les sociétés d’investissement permettront au PIF de développer des partenariats stratégiques, d’obtenir des rendements durables, d’accroître ses actifs sous gestion et de diversifier les sources de revenus du Royaume conformément à la Vision saoudienne 2030.
Le PIF, qui gère près de 620 milliards de dollars d’actifs et vise à les porter à plus de 1 000 milliards de dollars d’ici à 2025, a été le deuxième investisseur public le plus actif entre janvier et octobre, avec trente-neuf opérations évaluées à 17,2 milliards de dollars au cours de cette période, selon l’organisme de suivi des fonds de patrimoine Global SWF.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
https://arab.news/6vxe2
CHARM EL CHEIKH: Après des négociations longues et difficiles qui ont largement débordé du calendrier prévu, la COP27 s’est terminée dimanche à l’aube après avoir adopté un texte très disputé sur l’aide aux pays pauvres affectés par le changement climatique mais sans nouvelles ambitions pour la baisse des gaz à effet de serre.
Après plus de deux semaines, la grande conférence sur le climat de l’ONU a pris fin avec plus d’un jour de retard sur le calendrier prévu, ce qui en fait l’une des COP les plus longues de l’histoire.
“Ca n’a pas été facile” mais “nous avons finalement rempli notre mission”, a souligné le président égyptien de la conférence Sameh Choukri.
Une déclaration finale fruit de nombreux compromis a été finalement adoptée, appelant à une réduction “rapide” des émissions mais sans ambition nouvelle par rapport à la dernière COP de Glasgow en 2021.
“Nous devons drastiquement réduire les émissions maintenant –et c’est une question à laquelle cette COP n’a pas répondu”, a regretté le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, à l’issue de la conférence climatique.
Dans la foulée, l’Union européenne s’est dite “déçue” par l’accord sur les émissions.
Cette édition a en revanche été marquée par l’adoption d’une résolution emblématique, qualifiée d’historique par ses promoteurs, sur la compensation des dégâts causés par le changement climatique déjà subis par les pays les plus pauvres.
Ce dossier des “pertes et dommages” climatiques des pays pauvres avait failli faire dérailler la conférence, avant de faire l’objet d’un texte de compromis de dernière minute qui laisse de nombreuses questions en suspens, mais acte le principe de la création d’un fonds financier spécifique.
“Les pertes et dommages dans les pays vulnérables ne peuvent désormais plus être ignorés même si certains pays développés avaient décidé d’ignorer nos souffrances”, a salué la jeune militante ougandaise Vanessa Nakate.
Recul critiqué
Le texte sur les réductions d’émissions a été également très disputé, de nombreux pays dénonçant ce qu’ils considéraient comme un recul sur les ambitions définies lors de précédentes conférences.
Notamment sur l’objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris, contenir le réchauffement à 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, qui est toutefois réaffirmé dans la décision finale.
Les engagements actuels des pays signataires de l’accord ne permettent pas de tenir cet objectif, ni même celui de contenir l’élévation de la température à 2°C par rapport à l’ère pré-industrielle, quand les humains ont commencé à utiliser en masse les énergies fossiles responsables du réchauffement climatique.
Ces engagements, en admettant qu’ils soient intégralement tenus, mettraient au mieux le monde sur la trajectoire de +2,4°C à la fin du siècle et, au rythme actuel des émissions, sur celle d’un catastrophique +2,8°C.
Or, à près de 1,2°C de réchauffement actuellement, les impacts dramatiques du changement climatique se multiplient déjà.
L’année 2022 en a été l’illustration, avec son cortège de sécheresses, méga-feux et inondations dévastatrices, impactant récoltes et infrastructures.
Les coûts de ces événements extrêmes s’envolent également: la Banque mondiale a ainsi estimé à 30 milliards de dollars le coût des inondations qui ont laissé un tiers du territoire pakistanais sous l’eau pendant des semaines et fait des millions de sinistrés.
Les pays pauvres, souvent parmi les plus exposés mais qui sont généralement très peu responsables du réchauffement, réclamaient depuis des années un financement des “pertes et dommages” qu’ils subissent.
Suspects habituels
La bataille ne s’achèvera pas avec l’adoption de la résolution de Charm el-Cheikh puisque celle-ci reste volontairement vague sur certains points controversés.
Les détails opérationnels doivent être définis pour adoption à la prochaine COP, fin 2023 aux Emirats arabes unis, promettant de nouveaux affrontements. Notamment sur la question des contributeurs, les pays développés insistant pour que la Chine en fasse partie.
Autre sujet qui a secoué la COP: les ambitions de réductions d’émissions.
De nombreux pays ont estimé que les textes proposés par la présidence égyptienne constituaient un retour en arrière sur les engagements d’en relever régulièrement le niveau pris à Glasgow.
“Cette COP a affaibli les obligations pour les pays de présenter des engagements nouveaux et plus ambitieux”, a regretté Laurence Tubiana, architecte des accords de Paris de 2015.
Sans compter la question de la réduction de l’usage des énergies fossiles, à l’origine du réchauffement mais à peine mentionnées dans la plupart des textes sur le climat.
Le charbon avait été cité en 2021 après de rudes échanges mais à Charm el-Cheikh les “suspects habituels”, selon l’expression d’un délégué, s’y sont une nouvelle fois opposés pour le pétrole et le gaz. Arabie saoudite, Iran ou Russie sont les noms de pays les plus souvent avancés.
Le développement des renouvelables fait cependant l’objet d’une mention inédite aux côtés des énergies à “basses émissions”, expression généralement appliquée au nucléaire.
https://arab.news/w7t47
CHARM EL-CHEIKH: L’émissaire chinois pour le climat Xie Zhenhua a qualifié samedi de “très constructive” la reprise des discussions officielles avec son homologue américain John Kerry, qui met fin à un gel de la coopération des deux plus grands pollueurs mondiaux.
Les deux hauts responsables se sont rencontrés pendant la conférence COP27 de l’ONU sur le climat après que le président américain Joe Biden et le dirigeant chinois Xi Jinping se furent accordés pour reprendre leur collaboration dans le domaine du climat au sommet du G20 en Indonésie.
Pékin, furieux de la visite de la présidente de la Chambre des représentants américains Nancy Pelosi à Taiwan, avait suspendu les discussions en août.
La coopération entre les deux géants est indispensable et a, par le passé, conduit à des avancées lors de conférences internationales sur le climat, dont celle de 2015 à Paris, fondamentale dans la lutte contre le dérèglement climatique.
Les discussions ont été “franches, amicales, positives” et “dans l’ensemble très constructives”, a dit M. Xie.
“Nous avons décidé de poursuivre après cette COP nos conversations officielles avec notamment des réunions en tête-à-tête”, a dit M. Xie en précisant qu’il connaissait M. Kerry depuis plus de deux décennies.
Mais il a mis en exergue des différends persistants avec les pays occidentaux, rejetant l’idée que la Chine – devenue la deuxième puissance économique mondiale – ne soit plus considérée comme un pays en voie de développement.
Aux termes d’un traité de l’ONU de 1992, les pays développés doivent aider financièrement les pays en développement dans leur transition énergétique et leur adaptation au changement climatique.
L’Accord de Paris, a dit M. Xie, dit aussi “très clairement que la responsabilité dans l’apport de financements revient (…) aux pays développés”.
Cette question était au centre d’un débat épineux à la COP27 sur l’établissement d’un fonds pour “pertes et préjudices” à l’attention des pays les plus pauvres affectés par les catastrophes climatiques.
“J’espère qu’il serait destiné aux pays fragiles en premier lieu. Mais les bénéficiaires devraient être les pays en développement” dans leur ensemble, a dit M. Xie”.
https://arab.news/gepux
CHARM EL-CHEIKH: Un accord a été trouvé samedi sur la question des dégâts climatiques subis par les pays pauvres, un des principaux points de blocage des difficiles négociations de la conférence internationale sur le climat, selon une source européenne.
“Un accord a été trouvé” sur la création d’un fonds spécifique dédié à ces “pertes et dommages” qui “dirige” les moyens financiers vers les pays les plus vulnérables, a indiqué cette source à l’AFP.
Cette annonce donne l’espoir que cette 27e conférence internationale sur le climat, qui semblait au bord de l’échec samedi matin, soit sauvée.
“Plutôt pas d’accord qu’un mauvais accord”, avait lancé le vice-président de la Commission européenne Frans Timmermans devant la presse.
“Nous sommes inquiets de certaines des choses que nous avons vues et entendues au cours des dernières 12 heures”, a-t-il dit, ajoutant que l’objectif des Européens était de garder “en vie” la limite de réchauffement de 1,5°C, objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris.
Pétrole et gaz absents
La présidence égyptienne, critiquée pour la lenteur des négociations, a fini par publier un nouveau projet de texte final très attendu en début d’après-midi.
Cette proposition doit encore être discutée par les négociateurs de près de 200 pays rassemblés à Charm el-Cheikh pour des discussions qui ont déjà débordé d’un jour.
Le document réaffirme les objectifs de l’accord de Paris de 2015, qui vise à limiter le réchauffement de la planète “nettement en-dessous de 2°C” par rapport à l’ère pré-industrielle, et si possible à 1,5°C.
Le texte souligne que les impacts du dérèglement climatique seraient bien moins importants à 1,5°C et affiche l’importance de poursuivre les “efforts” pour respecter cette limite.
Côté énergie, la fin des “subventions inefficaces aux carburants fossile” est affirmée mais pas la sortie du pétrole ou du gaz. L’objectif d’une sortie progressive des centrales à charbon – acquis de Glasgow l’an dernier – est réaffirmé, mais avec désormais un appel à accélérer le développement des renouvelables au cours de cette décennie.
Espoir
Cette conférence, qui aurait dû se terminer vendredi soir, a longtemps bloqué sur la compensation des dégâts déjà occasionnés par le changement climatique, les “pertes et dommages”.
Une proposition de texte sur cette question, l’une des plus épineuses des discussions depuis deux semaines, avait aussi été avancée samedi par la présidence égyptienne, avec l’espoir qu’un consensus puisse être trouvé.
Le document propose d’établir “de nouveaux accords de financement pour aider les pays en développement” à “mobiliser des ressources nouvelles et supplémentaires”.
Mais aussi, revendication phare des pays pauvres très exposés, de “créer un fonds de réponse aux pertes et dommages”, dont le fonctionnement et les financements devront être élaborés par un “comité de transition” d’ici la prochaine COP28 aux Emirats arabes unis fin 2023.
L’ambiguïté sur les bénéficiaires de ce fonds, un point de blocage majeur des derniers jours, est levée a indiqué la source européenne.
Ce sujet des dégâts déjà occasionnés par le changement climatique est plus que jamais au centre des débats après les inondations historiques qui ont récemment frappé le Pakistan et le Nigeria.
De timides avancées avaient cependant eu lieu ces derniers jours.
Des “facilitateurs” de ce dossier au centre des frictions Nord-Sud avaient publié une proposition de résolution sur la question, avec trois options, dont une actant le principe de création d’un fonds dont le fonctionnement exact sera ensuite déterminé.
Option jugée vendredi acceptable “avec quelques changements” par Sherry Rehman, ministre pakistanaise du Changement climatique et présidente en exercice du puissant groupe de négociation G77+Chine, qui compte plus de 130 pays.
Risque d’emballement incontrôlable
Les pays riches étaient depuis des années très réticents à l’idée d’un financement spécifique, mais l’Union européenne a fait une ouverture jeudi en acceptant le principe d’un “fonds de réponse aux pertes et dommages”, réservé aux “plus vulnérables” sur une “base de contributeurs élargie”, sous entendu à la Chine, qui s’est considérablement enrichie en trente ans.
Mais ni la Chine ni les Etats-Unis n’ont fait connaître leur position dans l’immédiat.
Les engagements actuels des différents pays sont loin de permettre de tenir l’objectif de 1,5°C. Selon les analyses de l’ONU, ils permettent au mieux de limiter le réchauffement à 2,4°C d’ici la fin du siècle, menant l’humanité vers le risque que des points de bascule irréversibles soient atteints et provoquent un emballement incontrôlable du dérèglement climatique.

source

https://seo-consult.fr/page/comment-detecter-un-point-de-blocage-dans-une-gaine-de-telecommunications

https://tafrob.info/detection-dun-point-de-blocage-dans-un-conduit-de-telecommunication/

https://google-adsense.info/detection-dun-point-de-blocage-dans-un-conduit-telecom/

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