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Le meilleur panettone au chocolat du monde est tessinois – radiolac.ch

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Le meilleur panettone au chocolat du monde est tessinois. Luca Poncini a remporté la médaille d’or dans cette catégorie lors de la 2e Coupe du monde de panettone, qui s’est tenue à Lugano le week-end dernier.
Le pâtissier de Maggia (TI) a devancé deux concurrents italiens, a annoncé jeudi l’association suisse des patrons boulangers-confiseurs (SBC). C’est la première fois que le concours du meilleur panettone au chocolat était organisé. M. Poncini s’était déjà classé troisième lors de la première édition de ce concours, il y a deux ans.
Le concours du meilleur panettone traditionnel a pour sa part été remporté par un autre Transalpin, Salvatore Tortora, de la région de Naples. Les vainqueurs ont été distingués par un jury de maîtres-pâtissiers.
Les Suisses du Nord des Alpes oublient qu’on trouve dans la partie italophone du pays parmi les meilleurs panettones du monde, avait déclaré en 2019 le boulanger-pâtissier tessinois Bruno Buletti à Keystone-ATS. Pourtant, depuis son appartenance au duché de Milan au cours des XIVe et XVe siècles, le Tessin est toujours resté une “terre de panettonistes”, avait ajouté celui qui était cette année membre du jury.
Après deux ans de qualifications nationales, les participants de neuf pays étaient en lice lors de la finale de cette coupe du monde (Suisse, Italie, France, Espagne, Portugal, Etats-Unis, Canada, Brésil et Australie). Ils ont dû présenter six panettones de 1 kg chacun, fabriqués à base de levain naturel, de double fermentation et de forme élevée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le Premier ministre kosovar Albin Kurti s’est prononcé en faveur d’un renforcement de la Swisscoy dans son pays. Le Kosovo doit non seulement poursuivre son engagement, mais aussi voir la contribution suisse augmenter, a-t-il déclaré.
“Davantage d’officiers et de soldats suisses sont toujours très bienvenus chez nous”, a déclaré vendredi Albin Kurti dans une interview accordée au groupe alémanique CH Media. Le Kosovo est “infiniment reconnaissant à la Suisse pour son engagement avec la Swisscoy”, a-t-il poursuivi.
En novembre dernier, le Conseil fédéral avait demandé au Parlement de prolonger jusqu’à fin 2026, l’engagement de la Swisscoy au Kosovo et de pouvoir augmenter l’effectif du contingent de maximum 30 militaires en cours de mandat. La Commission de la politique de sécurité du Conseil des Etats s’est prononcée en faveur de ces changements la semaine dernière.
L’armée suisse participe à la Kosovo Force (KFOR) depuis octobre 1999. A ses débuts, la Swisscoy était une compagnie logistique non armée. Elle a ensuite adapté ses tâches et ses effectifs aux besoins de la KFOR.
Le contingent suisse a évolué ces vingt dernières années, parfois à la hausse, parfois à la baisse, en fonction de la situation sur le terrain et des besoins de la KFOR. Le contingent est passé de 235 à 190 militaires en avril 2018, puis à 165 en octobre 2019.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les chutes de neige ont été abondantes sur l’ouest de la Suisse. Les cumuls atteignent parfois plus de 50 cm dans le Jorat et en Gruyère tandis que le mercure a plongé à -15 degrés dans la nuit de mercredi à jeudi à Villars-Thiercelin (VD).
Dès jeudi, le froid et la bise vont s’imposer pour plusieurs jours, a indiqué MeteoNews dans un communiqué. Les trottoirs étaient déjà verglacés dans plusieurs localités mercredi soir.
En Gruyère, jusqu’à 60 cm ont été mesurés vers 800 m d’altitude. La couche de neige au sol a atteint de 30 à 60 cm dans le Jura vaudois et de 30 à 50 cm dans le Jorat. Sur le Plateau, les quantités ont oscillé entre 5 et 25 cm.
Ces chutes de neige ont permis aux stations de basse et moyenne et altitude de pouvoir démarrer la saison de ski. L’enneigement est même actuellement supérieur à la moyenne dans les Alpes vaudoises, le Chablais, le Bas-Valais et une bonne partie du Valais central. Par contre, le Haut-Valais et l’est du massif alpin manquent de neige.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Mieux coordonner et voir au-delà de la médecine. Ce sont les recommandations finales du Programme national de recherche “Système de santé” (PNR 74) du Fonds national suisse (FNS). Les ressources peuvent être utilisées plus efficacement, selon ses responsables.
Le secteur suisse de la santé se trouve confronté à d’importants défis, de l’augmentation des maladies chroniques à la pression sur les coûts en passant par la numérisation. Pour y faire face, le PNR 74, dont les conclusions ont été présentées jeudi, a soutenu au total 34 projets au cours des cinq dernières années.
“Dans les années à venir, les soins devront être encore mieux adaptés aux besoins des malades chroniques, a déclaré Milo Puhan, président du comité de direction du PNR 74, devant la presse à Berne.
Le programme est arrivé à la conclusion qu’il faut pour cela une meilleure coordination entre les multiples professionnels participant à la prise en charge. Il préconise de faire davantage participer l’entourage familial et social des personnes atteintes de maladies chroniques.
Selon les auteurs, ce changement peut être mené à bien avec les ressources humaines déjà disponibles dans le système de santé. “Mais ces ressources, nous devrons mieux les utiliser, qu’il s’agisse des professions médicales et non médicales ou de l’entourage privé des patients”, note Milo Puhan.
La coopération interprofessionnelle occupe une place centrale dans les nouveaux modèles de soins. Un projet s’est ainsi attaché à la planification des sorties de l’hôpital des patients âgés et vulnérables.
Les scientifiques ont mis au point un outil en ligne pour la préparation interprofessionnelle des sorties, faisant participer médecins, personnel infirmier et travailleurs sociaux. Ces derniers s’occupent surtout des questions d’organisation qui se posent lors du retour à domicile. Il a ainsi été possible de renvoyer les patients à la maison plus tôt, sans augmentation du nombre de réadmissions qui s’ensuit souvent chez ce groupe de personnes.
La participation de l’entourage privé constitue souvent un autre facteur de réussite des nouveaux concepts de soins. C’est ce que montre une nouvelle offre de prise en charge psychiatrique à domicile, mise en place pour remplacer une unité fermée à l’Hôpital psychiatrique cantonal du Tessin.
Les scientifiques du PNR 74 ont aussi élaboré des solutions pour améliorer l’accès aux données de santé ou faire progresser la mesure de la qualité dans les soins. Ainsi, dans le cadre d’un projet, ils ont étudié dans quelles conditions les médecins de famille étaient prêts à partager les données cliniques de routine et à les analyser dans une base de données.
Ils sont ainsi parvenus à fortement étayer la base de données FIRE, le plus important portail dans ce domaine: au cours du projet, le nombre de médecins participants est passé d’environ 200 à plus de 700, soit environ dix pour cent de tous les médecins de famille en activité en Suisse.
Il devient ainsi possible, notamment, de tester systématiquement de nouvelles approches de manière représentative, souligne le FNS. “Le programme produit des modèles innovants pour améliorer la coopération interprofessionnelle et mieux adapter les soins de santé au contexte général de la vie des personnes”, précise Milo Puhan. “Il montre d’autre part comment on peut faire pour évaluer et adapter la prise en charge de façon continue”, conclut le chercheur.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La marque de chaussures britannique Dr. Martens, dont les performances ces derniers mois sont plombées par la crise économique plongeait de plus de 20% à Londres. Le groupe, indissociable du mouvement punk, a fait part de résultats décevants et abaissé ses prévisions.
L’entreprise fait face à “des problèmes opérationnels importants créant un goulot d’étranglement dans (son) nouveau centre de distribution” de Los Angeles et à des ventes directes aux Etats-Unis “plus faibles que prévues, en partie en raison d’un temps exceptionnellement chaud pour la saison”, pointe Kenny Wilson, le directeur général.
Conséquence, la marque a annoncé jeudi des ventes moins bonnes qu’anticipées pour son troisième trimestre décalé, achevé fin décembre, à 335,9 millions de livres, et a revu à la baisse sa prévision de chiffre d’affaires pour son exercice complet (il devrait croître de 11 à 13%). L’action plongeait de 21,89% à 163,40 pence jeudi vers 10h00 à la Bourse de Londres.
Dr. Martens, marque fondée en 1960 et indissociable du mouvement punk, avait publié des résultats annuels quintuplés pour son dernier exercice, mais elle est rattrapée par la détérioration du climat économique, avec le Royaume-Uni notamment projeté en récession l’an prochain et confronté à une inflation de plus de 10%.
La marque de célèbres chaussures orthopédiques aux épaisses semelles caoutchoutées avait vu son bénéfice net reculer sur un an pour son premier semestre, et prévenait que “la confiance des consommateurs s’est affaiblie”, ce qui l’avait déjà fait plonger à la Bourse de Londres.
“Dr Martens a été pris dans des problèmes opérationnels dans son nouveau centre de distribution à Los Angeles” et “il s’agit d’une autre grosse migraine pour l’entreprise, qui était déjà confrontée à des ventes décevantes” aux États-Unis, “considérés comme un marché clé pour la croissance de l’entreprise”, estime Susannah Streeter, analyste de Hargreaves Lansdown.
Le groupe met l’accent désormais sur la vente directe auprès des consommateurs, notamment en ligne, afin de moins dépendre des revendeurs, qui représentent encore la majorité des résultats, et espérait voir ses ventes dopées par Noël. Mais si “les ventes se sont améliorées en Amérique en décembre” cela n’a pas suffi à “compenser les performances plus faibles d’octobre et de novembre”, a encore indiqué l’entreprise dans son communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Les étudiants suisses n’ont pas tous les mêmes chances d’effectuer un séjour à l’étranger. En Suisse romande, les étudiants de l’EPFL voyagent plus que ceux des Universités de Fribourg ou de Neuchâtel. Peu de hautes écoles atteignent les objectifs de mobilité.
Conformément à la stratégie nationale de la Confédération et des cantons et aux objectifs du Processus de Bologne, 20% des diplômés devraient avoir étudié ou effectué un stage à l’étranger. Le taux moyen des hautes écoles suisses est de 15,7%, selon le premier indice d’internationalisation des hautes écoles suisses, publié jeudi par l’agence nationale Movetia.
Sur les 36 établissements étudiés, seules l’Université de St-Gall (53%), l’EPF de Lausanne (32%), la Haute école pédagogique de St-Gall (28%) et l’Université de la Suisse italienne (26%) dépassent la barre des 20%, soit une haute école sur neuf. Suivent avec 18% la Haute école spécialisée de Suisse occidentale, l’ETH de Zurich et l’Université de Genève. Celle de Lausanne affiche un taux de 16%, celles de Fribourg et de Berne 10% et celle de Neuchâtel 9%.
Le classement est indépendant du type de haute école (université, haute école spécialisée ou pédagogique) et ne dépend pas non plus de la taille ou de l’âge de l’établissement, ni de la région linguistique concernée, note Movetia. Et de souligner qu’il montre que tous les types d’institutions, dans toutes les régions linguistiques, peuvent atteindre des taux de mobilité élevés.
Le programme européen Erasmus+ permet la coopération internationale en matière d’éducation. La Suisse n’y est plus associée depuis 2014. Il est difficile de mesurer scientifiquement l’impact de cette non-association, mais “les taux seraient indéniablement plus élevés” si la Suisse faisait toujours partie du programme, a précisé Olivier Tschopp, directeur de Movetia, à Keystone-ATS.
Un programme alternatif a été mis en place mais il est plus restrictif. “Erasmus+ est comme un abonnement général auquel la Suisse n’a plus droit. Elle doit se contenter d’abonnements de parcours”, image M. Tschopp.
Concrètement, au lieu de faire partie d’un programme multilatéral, les établissements helvétiques doivent conclure bilatéralement des partenariats avec leurs homologues européens, en fixant des quotas d’échanges. Ce système n’est pas avantageux car il faut mettre en place un financement particulier et une administration parallèle.
L’impact de la pandémie de coronavirus n’est pas non plus inclus dans l’indice puisque ce dernier s’est basé sur les 53’000 étudiants diplômés en 2020 (bachelor et master), utilisant des données de l’Office fédéral de la statistique, de swissuniversities et des différents établissements.
Les conditions-cadres mises en place par les établissements jouent un rôle dans la mobilité des étudiants, telles que la gouvernance des hautes écoles, leurs objectifs stratégiques ou la conception des programmes d’études. Le degré d’internationalisation des hautes écoles a aussi son importance, c’est-à-dire la collaboration internationale en matière d’enseignement et de recherche ou la nationalité des étudiants et des professeurs.
Ces critères placent l’Université de la Suisse italienne, l’Université de St-Gall, l’ETH de Zurich, l’EPFL et l’Université de Lausanne parmi les établissements helvétiques les plus internationalisés.
Le taux de mobilité d’une haute école et son degré d’internationalisation sont corrélés. Les étudiants sont plus enclins à séjourner à l’étranger si les cursus en Suisse intègrent une dimension interculturelle ou proposent des cours en anglais, ou s’ils ont des contacts avec des étudiants et des professeurs étrangers, illustre Movetia.
Dans l’autre sens, pour attirer les étudiants étrangers, l’agence mentionne plusieurs facteurs stratégiques: des logements mis à disposition, la possibilité d’obtenir des bourses d’études ou la mise sur pied d’associations ou d’événements ciblés.
Un taux de mobilité élevé est important pour la Suisse en tant que pays d’innovation et pour l’économie, relève Movetia. Effectuer un séjour à l’étranger “apporte une plus-value décisive” pour les étudiants qui acquièrent ainsi des compétences interculturelles, professionnelles et personnelles. Des compétences qui leur serviront dans la recherche d’un futur emploi.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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