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Le Festival du film de la mer Rouge et Final Cut in Venice soutiennent les réalisateurs de la région – Arabnews fr

https://arab.news/rczrs
DJEDDAH: Le Festival international du film de la mer Rouge (RSIFF) a annoncé une collaboration avec l’atelier Final Cut de la Mostra de Venise, une initiative menée par Venice Production Bridge (VPB) qui soutient depuis 2013 des films en cours de réalisation provenant de pays d’Afrique et du Moyen-Orient, dont l’Irak, la Jordanie, la Syrie, le Liban et la Palestine.
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Dans le cadre de ce partenariat, cinq films financés par le RSIFF seront présentés pendant le festival. Il s’agit de: Nezouh de la réalisatrice syrienne Soudade Kaadan; Hanging Gardens du réalisateur irakien Ahmed Yassin al-Daradji; Dirty, Difficult, Dangerous du réalisateur franco-libanais Wissam Charaf; The Last Queen du réalisateur franco-algérien Damien Ounouri; et Queens de la réalisatrice et écrivaine marocaine Yasmine Benkiran.
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La 79e édition de la Mostra de Venise, qui débute le 31 août et se poursuit jusqu’au 10 septembre, présentera également dix films arabes et du Moyen-Orient. Par ailleurs, deux films financés par le RSIFF – Au cimetière de la pellicule, un documentaire réalisé par Thierno Souleymane Diallo, et la comédie noire Inshallah A Boy, d’Amjad al-Rasheed – figurent parmi les huit films qui seront présentés aux producteurs, acheteurs, distributeurs, sociétés de postproduction et programmateurs de festivals de film. Un seul de ces films recevra une récompense financière.
«Venice Production Bridge est honoré de bénéficier du soutien supplémentaire du Festival international du film de la mer Rouge pour l’atelier Final Cut in Venice et, plus généralement, d’avoir une relation aussi privilégiée», déclare le directeur du VPB, Pascal Diot.
«En très peu d’années, le RSIFF est devenu un acteur incontournable de la région MENA et l’un des principaux investisseurs et financeurs du cinéma arabe et des nouveaux contenus immersifs.»
«Nous sommes ravis d’établir un partenariat avec le programme Final Cut in Venice du Venice Production Bridge. Ce partenariat vise à renforcer notre engagement envers les cinéastes de la région et de mener à bien davantage de projets de sorte qu’ils puissent être sélectionnés dans les festivals les plus prestigieux du monde», affirme le PDG du RSIFF, Mohammed al-Turki.
«Le calibre des films de la région qui seront présentés cette année est remarquable et il est certain qu’ils marqueront le public mondial.»
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
https://arab.news/r99cq
BANGKOK: Après un film sur Amazon, au tour de Netflix: la plateforme de streaming présente jeudi sa série sur le sauvetage périlleux de jeunes footballeurs coincés dans une grotte thaïlandaise en 2018, avant un documentaire avec le témoignage inédit des enfants en octobre. 
“Le Sauvetage de l’impossible” retrace en six épisodes d’une heure environ l’opération spectaculaire qui a permis d’exfiltrer douze garçons et leur entraîneur d’un souterrain inondé dans le nord de la Thaïlande. 
Comme “Treize vies”, le long métrage sorti en août sur Prime Video, l’intrigue s’ouvre par un match de foot entre les adolescents, qui prolongent leur temps ensemble par une visite à la grotte de Tham Luang. 
Surpris par la montée subite des eaux en raison de la mousson, ils ne ressortiront que 18 jours plus tard de cet enfer humide, au prix d’une mission de secours spectaculaire ayant mobilisé jour et nuit près de 10 000 volontaires locaux et étrangers, qui a tenu le monde en haleine. 
“J’en ai des frissons rien qu’en y pensant. Quand les enfants sont sortis, tout le monde pleurait. C’était un miracle”, se rappelle Urassaya Sperbund, actrice star dans le royaume, qui joue une ingénieure hydraulique américano-thaïlandaise dans la série. 
Netflix a misé sur une distribution essentiellement locale, avec une direction thaïlandaise, quand son concurrent a opté pour l’international, avec Colin Farrell et Viggo Mortensen pour incarner les protagonistes et le réalisateur américain Ron Howard à la baguette. 
Film, série, documentaire… 
Ce sont deux manières de raconter l’histoire qui avait ému la planète qui s’opposent. 
Avant une troisième version qui doit arriver le 5 octobre sur Netflix, sous la forme d’un documentaire avec les témoignages des enfants – qui ont signé un contrat d’exclusivité avec Netflix à 100 000 dollars par tête selon la presse américaine -, intitulé “Les 13 Rescapés: Notre enfer dans la grotte.” 
“Je pense que la série couvre des parties dont on n’a pas assez parlé, comme l’histoire de Saman Kunan (le sauveteur thaïlandais mort durant l’opération, NDLR). L’épisode qui lui est consacré a été le plus difficile”, assure l’un des deux réalisateurs, Nattawut Poonpiriya. 
“C’était un défi de réaliser une série à partir de faits réels, parce que tout le monde connaît la fin. Mais puisque la série dure six heures, ça nous a permis d’évoquer des détails sur les personnages et les situations”, poursuit-il. 
“C’est une histoire basée sur la famille: l’amour, le désespoir, l’espoir, les erreurs… Il y a tellement d’émotions qu’on n’avait pas vues avant”, renchérit Urassaya Sperbund. 
« Doigts fripés » 
Le tournage s’est déroulé durant la saison humide, en partie dans la grotte de Tham Luang, dans la province de Chiang Rai, frontalière de la Birmanie. “Mes doigts étaient fripés et il faisait très froid. C’était intense sur place”, poursuit l’actrice. 
“On ne sait pas vraiment comment ça s’est passé dans les faits. La vérité, que le monde ne peut nier, c’est qu’il y a eu des êtres humains qui ont voulu s’entraider au-delà des classes sociales, de leur genre, âge, religion ou langue”, estime Taneth Warakulnukroh, qui campe le rôle principal de la série. 
L’acteur âgé de 64 ans incarne le gouverneur de Chiang Rai qui essaie de coordonner les efforts des militaires thaïlandais et américains avec ceux des plongeurs britanniques ou australiens, tout en tenant informées les familles des enfants coincés. 
“Ils sont tous engagés avec un cœur pur. Qu’importe le temps qui passe, j’espère que cette série va rappeler ce fait, parce qu’on a parfois tendance à l’oublier”, poursuit-il. 
Avec une autre leçon à retenir, comme le rappelle Urassaya Sperbund: “si vous voulez visiter une grotte, assurez-vous avant qu’il ne pleuve pas trop fort”. 
https://arab.news/npe83
BEYROUTH: De Beyrouth, où un étudiant dénonce les échecs de son gouvernement à travers la peinture, à Gaza où une enseignante palestinienne tente de s’évader de son quotidien par la musique, de nombreux jeunes au Moyen-Orient choisissent de s’exprimer à travers l’art.
Dans le premier volet d’une série consacrée aux aspirations des jeunes dans cette région instable – où près d’un tiers de la population a moins de trente ans – l’AFP s’est entretenue avec des artistes au Liban, en Syrie, dans la bande de Gaza, en Israël et en Irak, où ils sont confrontés à de nombreuses difficultés, un avenir incertain et de nombreux défis.
«Colère»
Étudiant aux Beaux-Arts à Beyrouth, Merhi va bientôt finir ses études alors que son pays traverse la pire crise économique de son histoire, avec un taux de chômage d’environ 30%, une monnaie locale en chute libre et de constantes coupures d’électricité.
“La vie est dure (…) la plupart des jeunes pensent à partir, mais moi je compte rester”, confie cet artiste de 21 ans.
Il jette de la peinture sur d’immenses toiles murales. L’une représente une montagne d’ordures, symbolisant l’échec des autorités à traiter les déchets. Ou encore le navire dont la cargaison de nitrate d’ammonium a déclenché l’explosion dévastatrice dans le port de Beyrouth en 2020.
“Au lieu de vivre nos vies, nous passons notre temps à la recherche de produits de base nécessaires pour vivre”, lance le jeune homme aux lunettes tâchées de peinture.
“On libère la colère qui est en nous à travers la peinture”, dit-il.
«Exploit»
“Franchement, je ne peux décrire la réalité à l’extérieur de mon studio”, lance l’artiste syrienne Dana Salameh dans son atelier en périphérie de Damas, en référence aux ravages causés par plus de onze ans de conflit en Syrie.
“J’essaie de prendre mes distances avec ça. Je ne sais pas pourquoi, peut-être que je fuis ou que je m’évade” comme ça avec la peinture, dit la jeune femme de 23 ans. Mais “le simple fait de vivre ici reste un exploit”.
“Quand j’ai eu mon diplôme, je pensais que j’allais voyager. Mais ensuite, j’ai compris qu’il y avait beaucoup de belles choses que j’aimerais faire ici”, dit-elle.
«Echappatoire»
A Gaza, la Palestinienne Jawaher al-Aqraa chante dans une école de musique tandis que des musiciens l’accompagnent à la guitare, au violon ou au oud.
“Nous vivons dans une société conservatrice” qui juge “honteux” le fait qu’une femme chante ou joue de la musique en public, déplore cette femme de 25 ans, également professeure d’anglais.
Sous contrôle du groupe islamiste Hamas, la bande de Gaza où vivent 2,3 millions de Palestiniens, est soumise depuis quinze ans à un blocus israélien. Ce territoire, où le chômage touche 74% des jeunes diplômés selon des chiffres palestiniens, a en outre connu quatre guerres depuis 2008.
La musique constitue un “échappatoire”, explique Jawaher.
“Je ne veux pas me servir de la situation à Gaza comme prétexte à un éventuel échec (…) Je souhaite au contraire mettre à profit les difficultés pour être plus forte”, dit-elle.
«Espoir»
L’Irakienne Qamar al-Ani, 21 ans, s’échappe de son quotidien avec son santour, un instrument à cordes oriental, loin de la crise politique à Bagdad qui a conduit à des affrontements meurtriers en août dernier.
“Nous avons toujours peur de l’avenir”, reconnaît la musicienne.
L’Irak est miné par la corruption, des infrastructures défaillantes et des services publics en déliquescence. Le pays est aussi confronté à des pénuries d’eau alors que la sécheresse ravage de nombreuses régions.
Malgré la richesse pétrolière du pays, de nombreux Irakiens vivent dans la pauvreté et près de 35% des jeunes sont au chômage, selon l’ONU.
Qamar refuse cependant d’être pessimiste. “Je pense que nous vivons mieux aujourd’hui qu’il y a dix ans (…) Nous gardons espoir”.
«Compter chaque shekel»
Dans un café de Jérusalem, l’artiste israélienne Shavit Vital réalise des modèles de tatouage sur une tablette.
Le conflit israélo-palestinien “est quelque chose qui définit très bien Israël”, déclare cette femme de 22 ans.
Shavit explique faire des études pour devenir tatoueuse, mais sa “famille est religieuse et ne l’accepte pas”.
Alors que le coût de la vie et l’inégalité des revenus augmentent dans son pays, elle dit qu’elle “ne cherche pas à devenir riche” mais que dans cinq ans, elle ne veut pas “avoir à compter chaque shekel (monnaie israélienne) et avoir du mal à joindre les deux bouts”.
https://arab.news/nk2dp
BARCELONE: Le FC Barcelone a exprimé mercredi son “indignation” après la publication par le quotidien espagnol El Mundo d’informations concernant les termes du renouvellement du contrat de Lionel Messi en 2020, qui n’a finalement pas abouti.
Afin de continuer à jouer avec le club de son cœur au-delà de la fin de son contrat fixée à juin 2021, écrit El Mundo, la star argentine aurait accepté en 2020, en pleine pandémie de Covid-19, une baisse de salaire de 20%, mais aurait réclamé de les rattraper au cours des deux années suivantes avec des intérêts (3%). Il aurait également réclamé de toucher une prime de 10 millions d’euros à la signature de la prolongation de son contrat et d’abaisser sa clause libératoire au montant dérisoire et symbolique de 10.000 euros.
Ces demandes figurent dans des courriels échangés entre son père et agent, Jorge Messi, les avocats du joueur et les dirigeants du club, y compris le président de l’époque, Joan Bartomeu, auxquels El Mundo a eu accès.
“Le FC Barcelone exprime son indignation face à la fuite intéressée d’informations qui font partie d’une procédure judiciaire”, a réagi le Barça dans un communiqué, laissant entendre qu’il pourrait porter plainte.
Selon El Mundo, le joueur aurait également demandé une loge au Camp Nou pour sa famille et celle de Luis Suárez, la prise en charge d’un vol privé pour la famille Messi vers l’Argentine à Noël ou encore une augmentation de salaire en cas de hausse des impôts.
En juin 2020, rappelle le journal, Messi était payé “74,9 millions d’euros (74 millions de dollars) nets par an”.
Après plusieurs négociations, poursuit El Mundo, le Barça ne veut pas baisser la clause libératoire et refuse le paiement de la prime de 10 millions d’euros.
De son côté, Messi campe sur ses positions. “Fin août 2020, deux mois seulement après les derniers contacts, il fait envoyer un fax certifié demandant son départ du club”, écrit El Mundo.
Le Barça a déploré mercredi qu’El Mundo “se vante d’avoir eu accès à une énorme quantité de documentation et de courriels qui sont en possession de l’enquête Barçagate” alors, ajoute le club, que ces informations et cette documentation “n’ont pas encore été communiquées aux parties”.
Le “Barçagate”, révélé en 2020 par la radio Cadena Ser, impliquait l’embauche de la société I3 Ventures pour mener une campagne de diffamation sur les réseaux sociaux contre les opposants à Bartomeu et des personnalités telles que Messi, Piqué et l’actuel entraîneur Xavi.
Le club catalan affirme que les documents publiés “n’ont rien à voir avec l’enquête sur l’affaire et que leur utilisation porte atteinte à la réputation et à la confidentialité du club”.
“Pour cette raison, et dans le but de protéger les droits du FC Barcelone, les services juridiques du club étudient déjà les mesures appropriées à prendre”, a conclu le Barça.

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