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La Russie isolée et sous pression après l'annexion de nouveaux territoires en Ukraine – Arabnews fr

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MOSCOU : La Russie se retrouve samedi isolée et sous pression au lendemain de l’annexion officielle de quatre territoires ukrainiens qui a suscité une pluie de condamnations internationales et le rejet de Kiev, déterminé à reconquérir son territoire.
L’Union européenne (UE), les Etats-Unis, et d’autres pays tels que la Turquie ont rejeté l’annexion de ces nouveaux territoires et Kiev a annoncé saisir la Cour internationale de justice (CIJ).
“Après les tentatives d’annexion de Poutine, l’Ukraine a officiellement informé la Cour internationale de justice que cette étape est une violation flagrante” de l’ordonnance rendue par la CIJ le 16 mars demandant à la Russie de suspendre immédiatement ses opérations militaires en Ukraine, a tweeté le ministre des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba.
“Nous exhortons la Cour à se saisir du dossier le plus vite possible”, a-t-il ajouté.
Le président russe Vladimir Poutine a, lui, clos vendredi soir la journée de cérémonie d’annexion devant plusieurs milliers de personnes réunies pour un concert festif sur la Place Rouge à Moscou. “La victoire sera à nous”, a-t-il lancé, alors qu’au même moment son armée éprouve des difficultés en Ukraine.
Peu avant au Kremlin, M. Poutine a signé les documents d’annexion, aux côtés des dirigeants des régions séparatistes d’Ukraine de Donetsk et Lougansk (est), et de celles occupées par les troupes russes de Zaporijjia et de Kherson (sud).
Dans son discours, il a appelé Kiev à cesser “toutes les hostilités et à revenir à la table des négociations”, malgré les récents revers infligés à l’armée russe par les forces ukrainiennes, auxquels s’ajoute depuis vendredi l’encerclement partiel de la ville stratégique de Lyman (est) par les Ukrainiens.
Les soldats russes à Lyman, un important nœud ferroviaire, combattent “à bout de force” et la situation y est “difficile”, a reconnu vendredi un haut responsable séparatiste prorusse, Denis Pouchiline.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui s’est félicité des “résultats significatifs” de la contre-offensive de ses troupes, a rejeté toute négociation avec Moscou tant que Vladimir Poutine sera président, tout en annonçant qu’il allait “signer la candidature de l’Ukraine en vue d’une adhésion accélérée à l’Otan”.
A Washington, le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a assuré que son pays et le Canada étaient favorables à cette adhésion.
“Nous soutenons fermement l’entrée dans l’Otan de pays qui souhaitent y adhérer et qui peuvent y apporter leurs capacités”, a-t-il déclaré à l’issue d’une entrevue avec la ministre canadienne des Affaires étrangères Mélanie Joly. Mais, a-t-il ajouté, “il existe un processus pour cela et les pays continueront à suivre ce processus”.
Le président américain Joe Biden a lui juré d'”appuyer les efforts de l’Ukraine pour regagner le contrôle de son territoire” et affirmé que les Etats-Unis et leurs alliés ne se laisseraient pas “intimider” par le président Poutine.
La Turquie “rejette” l’annexion de nouveaux territoires ukrainiens par la Russie, comme elle a refusé de reconnaître l’annexion de la Crimée, a indiqué samedi le ministère des affaires étrangères.
“La Turquie n’a pas reconnu l’annexion de la Crimée lors d’un référenum illégitime en 2014 et a toujours exprimé son ferme soutien à l’intégrité territoriale de l’Ukraine, à son indépendance et à sa souveraineté”, insiste le ministère dans un communiqué publié dans la nuit, après la célébation en grande pompe à Moscou des annexions.
“Conformément à cette position, arrêtée depuis 2014, nous rejetons la décision russe d’annexer les régions de Donetsk, Lougansk, Kherson and Zaporijjia. Cette décision, qui constitue une grave violation des principes du droit international, ne peut être acceptée”.
Le ministère turc avait déjà condamné la semaine dernière les référendums “illégitimes” conduits dans ces quatre régions.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui ne s’est pas directement exprimé sur le sujet, tente depuis le début du conflit de maintenir des relations avec Kiev et avec Moscou et a offert sa méditaion pour ouvrir des pourparlers entre la Russie et l’Ukraine, auquel Ankara fournit des drones de combat.
Mais après avoir à plusieurs reprises rencontré son homologue Vladimir Poutine et passé des accords notamment sur des livraison de gaz, payables en partie en roubles, il semble désormais prendre plus nettement ses distances, appelant à la tribune de l’ONU à une “sortie digne pour tous” de la guerre.
Sous la pression américaine et par craintes de représailles, les banques turques qui l’acceptaient se sont progressivement cette semaine retirées du système de paiement russe Mir qui permettait aux ressortissants russes de continuer de retirer de l’argent en Turquie.
Condamnations et sanctions
Les dirigeants des pays de l’UE ont publié vendredi une déclaration “rejetant” et “condamnant” cette “annexion illégale”.
La Turquie “rejette” cette annexion comme elle a refusé de reconnaître l’annexion de la Crimée, a pour sa part indiqué samedi le ministère des affaires étrangères.
L’Otan a dénoncé une annexion “illégitime”, tandis qu’à New York le Conseil de sécurité de l’ONU a examiné une résolution condamnant les “pseudo-annexions” en Ukraine, qui a immédiatement été bloquée par un veto de la Russie.
En dehors du veto russe, la résolution a recueilli 10 voix en sa faveur et quatre pays se sont abstenus (la Chine, l’Inde, le Brésil et le Gabon).
Dans son discours au Kremlin, M. Poutine a fustigé l’Occident, qu’il a accusé de vouloir préserver un “système néocolonial qui lui permet de parasiter et, en réalité, de piller le monde entier”.
Ces annexions interviennent après sept mois d’offensive russe en Ukraine et des “référendums” organisés en urgence dans les régions occupées.
Signe de cette précipitation et d’une certaine désorganisation, le porte-parole du Kremlin a annoncé devoir “clarifier” si la Russie annexait la totalité des régions ukrainiennes de Kherson et de Zaporijjia, ou uniquement les parties qu’elle occupe effectivement.
Balayant les critiques, M. Poutine a assuré qu’il “n’aspirait pas” à restaurer l’URSS. Il a également signé un décret facilitant l’accès à la nationalité russe pour les étrangers s’engageant dans l’armée, une mesure destinée visiblement à recruter des migrants venus d’ex-URSS travaillant en Russie.
Arrestation et frappes meurtrières
La Russie a arrêté vendredi Igor Mourachov, le directeur général de la centrale nucléaire de Zaporijjia, située sous contrôle russe dans le sud de l’Ukraine, a affirmé samedi l’opérateur nucléaire ukrainien Energoatom.
Une “patrouille russe” l’a extrait de sa voiture et “conduit, les yeux bandés, vers une destination inconnue”, a indiqué Petro Kotine, patron d’Energoatom, sur un réseau social.
Dans une zone restée sous contrôle ukrainien de la région de Zaporijjia, l’un des quatre territoires annexés par Moscou, au moins 30 personnes ont été tuées et 88 blessées vendredi par une frappe russe, selon la police ukrainienne. Un responsable prorusse en a, en retour, accusé les forces ukrainiennes.
Et au moins 11 civils ont été retrouvés morts sur une route, tués par balles, après le retrait des troupes russes d’une grande partie de la région de Kharkiv (nord-est), a constaté une équipe de l’AFP.
Depuis le début de l’offensive, Kiev a dénoncé des exactions de l’armée russe, des accusations systématiquement rejetées par Moscou.
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SOFIA: Les Bulgares votent dimanche pour la quatrième fois en un an et demi, avec un sujet dans toutes les têtes à l’approche de l’hiver: l’envolée des prix sur fond de guerre en Ukraine.
Les bureaux de vote ont ouvert à 07H00 (04H00 GMT) pour une fermeture à 20H00, heure à laquelle les sondages de sortie des urnes sont attendus.
Si la corruption endémique occupait les débats des dernières élections législatives, l’insécurité économique a cette fois dominé la campagne, alors que l’inflation frôle les 20% dans ce pays des Balkans le plus pauvre de l’Union européenne.
“Ce sont les prix qui préoccupent les électeurs, beaucoup plus que les sujets géostratégiques qui agitent les partis”, explique à l’AFP l’expert Antony Todorov, de la Nouvelle université bulgare.
Les études montrent “une peur de l’hiver”, de tomber dans la misère devant les tarifs du chauffage et des produits alimentaires qui explosent.
Dans ce climat anxiogène, l’ex-Premier ministre Boïko Borissov, 63 ans, tire son épingle du jeu: les instituts d’opinion placent son parti conservateur Gerb en première position, avec 25% des intentions de vote.
Fort de son expérience d’une décennie au pouvoir, il a promis vendredi, lors du dernier rassemblement de ses sympathisants à Plovdiv (sud), de vaincre “le chaos”, de “travailler pour la stabilité du pays”.
«Beaucoup de travail»
Malgré un retard de neuf points dans les sondages, son rival centriste Kiril Petkov veut y croire et “continuer le changement”, nom de sa formation.
Cet ancien entrepreneur de 42 ans formé à Harvard, qui a débarqué en 2021 sur la scène politique bulgare, a gouverné sept petits mois avant d’être renversé par une motion de censure.
Dans un entretien à l’AFP, il se félicite de s’être attaqué aux “pratiques de corruption”, son cheval de bataille, pour redistribuer l’argent aux plus jeunes et aux retraités mais “il reste beaucoup de travail”.
“Le défi consiste à choisir entre une Bulgarie européenne, progressiste et transparente, et un retour aux années de corruption politique”, résume-t-il, dans un appel ultime aux électeurs.
Il exclut fermement une alliance avec M. Borissov, son ennemi juré, faisant planer le spectre d’une poursuite de l’instabilité politique, sans précédent depuis la fin du communisme en 1989.
Les prorusses faiseurs de roi? 
Le parti Gerb se déclare de son côté “ouvert à tous”.
“Je ne crois pas qu’ils retournent au pouvoir, ils sont trop isolés”, commente M. Todorov. “La situation est critique, la Bulgarie a besoin d’un gouvernement, mais pas à n’importe quel prix”, souligne-t-il.
Pour le politologue Gueorgui Kiriakov, Boïko Borissov pourrait toutefois s’allier avec le parti de la minorité turque MDL et la formation Vazrajdane (Renaissance), ultra-nationaliste et proche du Kremlin, dont “le comportement sera décisif”.
Crédité de 11% à 14% des voix, ce mouvement est monté en puissance depuis le lancement de l’offensive russe en Ukraine, dans un pays aux liens historiques, économiques et culturels forts avec Moscou.
Des crises politiques en série bloquent les réformes, freinent la croissance et accélèrent l’exode des jeunes de ce pays qui a déjà perdu un dixième de sa population en une décennie.
Sans compter le coût des scrutins qui se succèdent: “on a dépensé un milliard pour les élections, autant que quatre stades de football”, lançait vendredi Boïko Borissov.
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IZIOUM: Dissimulés, petits et mortels, les mines et autres engins explosifs laissés par les forces russes dans l’est de l’Ukraine dans les districts dont elles se sont retirées, représentent un défi urgent pour les démineurs avant l’arrivée de l’hiver.
“Sans nous, aucune chance de réparer des services comme l’électricité avant l’hiver”, souligne Artem, 33 ans, qui dirige une équipe de démineurs s’affairant autour de la ville d’Izioum, récemment libérée par les forces ukrainiennes.
“Nous avons découvert plus de trente mines et obus d’artillerie, aujourd’hui, principalement des obus”, ajoute Artem dont l’équipe de dix personnes est chargée de nettoyer les zones autour d’infrastructures essentielles comme les câbles électriques ou les canalisations d’eau et de gaz.
“Chaque jour nous commençons là où nous avons terminé hier”, ajoute-t-il, observant des électriciens qui progressent avec précaution derrière un démineur dans un champ de tournesols en direction d’un câble sectionné.
D’autres démineurs empilent les mines découvertes, dont les détonateurs ont été retirés dans des conditions sûres, derrière un camion qui les évacuera en vue de leur destruction.
Les démineurs explorent les bords d’une route jonchée de débris entre Izioum, dont les forces ukrainiennes se sont emparées début septembre après six mois d’occupation par l’armée russe, et la limite de la région de Donetsk, non loin sur cette voie.
Artem, qui ne souhaite pas communiquer son nom de famille, ne semble pas s’émouvoir de la dangerosité du travail de son équipe, qui inspecte les bords de la route et progresse avec précaution dans des champs d’herbes hautes.
“C’est notre travail, c’est ce que nous savons faire, mais maintenant plus que jamais, c’est notre devoir”, souligne-t-il.
Danger pour les enfants
“Nous disposons de 35 hommes, répartis en sept équipes, venant de différentes régions d’Ukraine”, indique Vassyl Maidyk, 42 ans, qui commande l’équipe de démineurs déployée dans le district d’Izioum.
“Personne ne sait combien de temps” prendront les opérations de déminage, déclare-t-il à l’AFP à la base des démineurs d’Izioum.
“En dépit de l’aide des organisations internationales, nous n’avons même pas fini de découvrir les mines abandonnées depuis le début de la première phase du conflit en 2014”, ajoute-t-il, évoquant les affrontements avec les séparatistes de l’est de l’Ukraine.
Mais si les démineurs “travaillent rapidement”, le district d’Izioum pourra être nettoyé d’ici novembre, ce qui permettrait aux services essentiels d’être de nouveau opérationnels d’ici l’hiver, espère-t-il.
Depuis la libération d’Izioum, ses équipes ont couvert selon lui quelque 100 hectares dans le district, et découvert plus de 5 000 mines autour des position occupées précédemment par les Russes.
Les démineurs ont découvert aussi bien des mines antichars, des mines antipersonnel et des obus d’artillerie, que des mines PFM-1, dites mines “papillon”, particulièrement destructrices et interdites par un traité international auquel la Russie n’est pas partie.
Ces petites mines de couleur verte dotées d’ailes, connues en Ukraine sous le nom de “pétales”, sont d’autant plus dangereuses qu’elles peuvent être ramassées par des enfants, souligne M. Maidyk.
Sur la route, où ne circulent que des véhicules militaires se dirigeant vers le front, l’équipe de Sacha martèle des poteaux sur les bords de la voie, accrochant des panneaux avec une tête de mort et des os entrecroisés signalant “Danger – Mines!”
“Ce n’est pas plus dangereux que de traverser la route en temps normal”, assure Sacha, 44 ans, cigarette aux lèvres, commentant la situation d’un haussement d’épaules.
“Maintenant, la prochaine mine est deux mètres plus loin, dit-il, donc ici on est en sécurité, plus ou moins”, dit-il.
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HERAT: Plus d’une centaine d’étudiantes, la plupart appartenant à la communauté minoritaire Hazara, ont manifesté dimanche dans la ville d’Herat, dans l’ouest de l’Afghanistan, pour dénoncer l’attentat suicide qui a tué, vendredi à Kaboul, au moins 35 personnes dont 20 jeunes filles.
“L’éducation est notre droit! Le génocide est un crime!”, ont crié dimanche les jeunes filles qui ont entamé une marche depuis l’université de Herat en direction du siège de la province, a constaté un correspondant de l’AFP.
Mais les manifestantes, qui dénonçaient l’attentat commis vendredi contre les femmes de leur communauté, ont été stoppées avant d’atteindre leur but par des Talibans lourdement armés.
Vendredi matin, un homme s’est fait exploser dans une salle de classe d’un centre de formation de la capitale préparant les étudiants à leurs examens universitaires, tuant au moins 35 personnes dont 20 femmes, et faisant 82 blessé, selon le bilan de la Mission d’assistance des Nations unies en Afghanistan (Manua).
Plusieurs centaines d’élèves étaient réunis pour passer un examen dans cet établissement situé dans le quartier de Dasht-e-Barchi qui abrite la minorité chiite hazara de la capitale afghane. Dans la salle, les filles étaient séparées des garçons, et ont été les principales victimes de l’assaillant qui a surgi à l’avant de la pièce où elles étaient rassemblées.
L’attentat n’a pas été revendiqué. Mais par le passé, plusieurs attaques contre les Hazaras ont été revendiquées par l’EI-K, la branche régionale du groupe djihadiste Etat islamique (EI), qui les considère comme hérétiques et s’oppose à l’éducation des filles.
Les talibans considèrent également la communauté hazara comme des païens, et les groupes de défense des droits de l’Homme les ont souvent accusés de les prendre pour cible.
Depuis que les talibans ont repris le pouvoir en août 2021, les manifestations de femmes, qui rassemblent rarement plus d’une quarantaine de personnes, sont devenues risquées, de nombreuses manifestantes ayant été arrêtées. Des rassemblements de femmes, notamment pour le droit d’étudier, ont également été interrompus par des Talibans tirant des coups de feu en l’air.
L’éducation des filles est une question extrêmement sensible en Afghanistan, pays à majorité sunnite. Les talibans ont interdit l’enseignement secondaire (collège et lycée) aux filles. Les étudiantes sont en revanche admises à l’université, mais leur nombre devrait se réduire avec les années, faute d’avoir été au collège et lycée.

source

https://seo-consult.fr/page/comment-detecter-un-point-de-blocage-dans-une-gaine-de-telecommunications

https://tafrob.info/detection-dun-point-de-blocage-dans-un-conduit-de-telecommunication/

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