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La saga jurassique nous propose de replonger dans l’univers des dinosaures d’Isla Nublar. Mais le plaisir n’est pas le même qu’il y a vingt-cinq ans.
1993, le public découvre le nouveau Spielberg, Jurassic Park, et ses effets spéciaux révolutionnaires. Par sa maîtrise de la tension, le réalisateur pose sa marque dans l’histoire du 7e art et, pour moi, signe un chef- d’œuvre. Ce film ouvre la porte à deux suites : Le Monde Perdu en 1997 et Jurassic Park 3 en 2001. Puis en 2015, les studios décident de repartir pour un tour. Surfant sur la vague nostalgique qui engloutit Hollywood, une nouvelle trilogie est lancée. Et c’est une réussite, du moins au niveau financier : Jurassic World réalise un carton mondial avec plus de 1,6 milliard de dollars de recettes.
Vingt-cinq ans après l’original, voici que débarque sur nos écrans une xième version (enfin la 5e) de l’île des dinosaures. Prenant place quelques années après les péripéties narrées dans Jurassic World 1 – qui souffrait déjà de personnages rapidement esquissés et un peu limités, d’une histoire inintéressante et d’une mise en scène peu convaincante, rien que ça – nous retrouvons nos héros, Owen Grady (Chris Pratt) et Claire Dearing (Bryce Dallas Howard). Surfant sur le concept de dinosaures évolués génétiquement, des scientifiques souhaitent transformer ces adorables bêtes en machines de guerre. Une idée déjà utilisée dans le film de 2015 et c’est évidemment à Claire et Owen de s’y opposer.
Bien que réalisé par l’Espagnol Juan Antonio Bayona, auteur de l’excellent Quelques minutes après minuit, le long-métrage ne nous embarque pas. Même si la qualité visuelle et artistique reprend l’ascenseur après le désert du premier épisode – probablement grâce au talent de l’homme derrière la caméra – le scénario nous perd, basé sur l’idée “plus grand, plus gros, plus fort”. Un nouveau dinosaure est créé, une éruption volcanique pète le feu, un grand méchant montre les crocs. Bref, l’entier de la recette d’un blockbuster actuel mais cela ne suffit malheureusement pas à nous divertir. Visuellement, malgré les évolutions techniques, nous ne sommes pas au niveau de la référence qu’est devenue le premier épisode de Spielberg. Heureusement, l’utilisation de marionnettes réelles pour les dinosaures permet un aspect visuel correct malgré tout.
Pour clôturer le tout, le film qui, sur le papier, aurait pu être un simple divertissement agréable, est truffé de nombreuses incohérences tant dans le scénario que dans ces personnages qui semblent plutôt subir qu’agir. Comment s’y attacher dans ces conditions ? Et par ailleurs, comment être effrayé par une menace dinosaure qui nous est servie sur un plateau et qui brise rapidement tout le suspense (à l’exception de quelques rares scènes) ? Des questions qui trouveront peut-être réponse dans le troisième volet de la trilogie, dont la sortie est prévue en 2021 avec Colin Trevorrow derrière la caméra, le réalisateur du premier Jurassic World. Au vu du résultat de 2015, on trépigne déjà d’impatience…
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Le président de la Commission pour les vaccinations, Christoph Berger, tire un bilan positif de la stratégie menée en Suisse en matière de vaccination. “Nous avons mieux réussi que d’autres pays à convaincre les groupes à risque de se faire vacciner”, déclare-t-il.
L’accent mis sur les personnes les plus vulnérables a fait ses preuves, insiste le spécialiste lundi dans une interview accordée aux titres alémaniques du groupe Tamedia.
Il n’en occulte pas moins l’existence d’effets indésirables dans certains cas. “Nous devons prendre les personnes concernées et leurs souffrances au sérieux et les aider, avance M. Berger. Mais, comme pour le Covid long, il n’existe pas de diagnostic unique. Des traitements individuels sont donc nécessaires”.
Aujourd’hui encore, le bénéfice de la vaccination est plus important que le risque encouru, assure-t-il. Mais, comme la situation pandémique n’est plus menaçante, chaque personne doit décider d’elle-même si elle veut se faire vacciner ou non.
Avec le vaccin contre le Covid, c’est aujourd’hui comme avec le vaccin contre la grippe ou les tiques, selon Christoph Berger. Les personnes à risque bénéficient d’une bonne protection contre une maladie grave pendant encore quelques semaines. “Mais pour les personnes plus jeunes et en bonne santé, la vaccination ne fait plus guère de différence”, indique-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Les jeunes Vert-e-s vaudois lancent une candidate pour le Conseil des Etats. Ils ont désigné leur co-présidente Angela Zimmermann pour défendre leurs couleurs lors des élections fédérales d’octobre.
Agée de 24 ans, titulaire d’un master en biologie, Angela Zimmermann a fait son annonce dimanche soir dans l’émission Forum de la RTS. Elle y a dit vouloir représenter à Berne un canton de Vaud “féminin, jeune, solidaire et engagé pour un avenir socialement et climatiquement juste.”
Son annonce constitue une relative surprise, dans la mesure où les Verts vaudois ont déjà désigné Raphaël Mahaim dans la course pour les Etats. Si Angela Zimmermann reconnaît le risque d’une dispersion des voix, elle estime que sa candidature va amener “une dynamique verte” dans cette élection.
Selon elle, son profil est à la fois “distinct et complémentaire” à celui de Raphaël Mahaim. La Lausannoise affirme que les Verts ont d’abord été “surpris” par cette décision, mais qu’ils sont désormais “contents d’avoir une jeunesse de parti aussi motivée.”
Jusqu’ici, seuls des poids lourds de la politique vaudoise s’étaient portés candidats pour le Conseil des Etats. Le PLR s’est rallié derrière Pascal Broulis, tandis que le PS et les Verts présentent un ticket commun avec Pierre-Yves Maillard et Raphaël Mahaim.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Givrins organisera la prochaine Fête cantonale des jeunesses vaudoises, du 31 juillet au 18 août 2024. La jeunesse de la commune de la Côte a été préférée à celle de Thierrens.
La désignation de Givrins est tombée dimanche à Savigny, lors de la 103e Assemblée générale des délégués de la Fédération vaudoise des jeunesses campagnardes (FVJC), annonce celle-ci dans un communiqué.
La “Cantonale” se déroule tous les cinq ans. Lors de la précédente édition en 2019, elle avait attiré près de 115’000 personnes en trois semaines à Savigny.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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A Genève, les pompiers professionnels et volontaires ont été très sollicités samedi et dimanche à cause de la forte bise. Le vent a fait tomber des arbres, des branches, des blocs de glace, des tuiles et d’autres objets.
Entre samedi à 13h00 et dimanche à la même heure, le Service d’incendie et de secours de Genève (SIS) et les compagnies de sapeurs-pompiers volontaires de quinze communes sont intervenus 109 fois en lien avec la bise, a indiqué dimanche le porte-parole du SIS, le lieutenant Nicolas Millot. Le vent n’ayant pas faibli, ils ont continué à être appelés dimanche après-midi.
En 24 heures, les pompiers ont effectué 18 interventions sur des arbres, surtout pour débiter des branches cassées. Samedi après-midi, un peuplier a été déraciné à l’avenue Wendt, dans le quartier de la Servette. Il a coupé l’artère et détruit un abribus. Un arbre est aussi tombé sur une maison à Collonge-Bellerive, où le SIS a dû intervenir avec une grue pour le couper.
Les chantiers ont également occupé les pompiers, qui ont dû sécuriser des bâches sur des échafaudages. Des poches d’eau sur les toits en travaux ont gelé et de gros blocs de glace sont tombés, comme samedi à la rue des Corps-Saints, dans le quartier de Saint-Gervais. Les pompiers ont aussi été appelés pour des pots de fleurs et des volets mal sécurisés, des palissades à terre ou encore des tuiles arrachées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Les prix d’interprétation “Swissperform”, distinguant des acteurs et actrices de productions télévisuelles, ont été remis dimanche soir dans le cadre des Journées de Soleure. Cette année, les quatre lauréats ont un point commun: ils jouent dans des séries policières.
La récompense pour la meilleure interprétation dans un premier rôle est revenue à David Constantin pour son rôle de Bax dans la comédie policière en dialecte haut-valaisan “Tschugger”. “Ce qu’il fait paraît simple comme un jeu d’enfant. Pourtant, nous savons qu’il n’y a rien de plus difficile que d’être naturel et spontané devant la caméra”, félicite le jury.
Une autre Valaisanne se voit primée pour son second rôle dans la série “Hors Saison”. Clarina Sierro joue avec “précision et le doigté d’une horlogère” dans ses débuts devant la caméra, note le jury.
La Bâloise Meryl Marty reçoit quant à elle le prix de la relève, remis pour la première fois. Elle est récompensée pour son rôle d’apprentie détective dans la série “Die Beschatter”. Le jury a notamment admiré sa façon d’exprimer la colère et l’intransigeance.
Enfin, Lale Yavas s’est vue décerner le prix spécial du jury pour ses rôles dans “Die Beschatter”, ainsi que dans la deuxième saison de “Neumatt”, une série dramatique qui se déroule dans une ferme. “Ton grand talent est de rendre tes personnages vivants et tangibles avec juste quelques détails bien observés”, complimente le jury.
Pour la première fois, les prix ont été décernés sans distinction de sexe. Chacune des catégories est dotée de 10’000 francs. Cette année, le jury était composé de la productrice Judith Lichtneckert, de l’acteur Samuel Streiff et du réalisateur et nouveau directeur artistique du festival Niccolò Castelli.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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