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Irak: trois militaires tués dans l'explosion d'une bombe près de Bagdad – Arabnews fr

https://arab.news/mgsa9
BAGDAD : Trois militaires irakiens ont été tués et trois blessés mercredi dans l’explosion d’une bombe au passage de leur véhicule de patrouille dans une zone agricole au nord de Bagdad, ont annoncé les forces de sécurité.
L’attaque, qui n’a pas été revendiquée dans l’immédiat, s’est produite dans les vergers de Tarmiya, une municipalité rurale située à une trentaine de kilomètres au nord de la capitale et où des cellules jihadistes du groupe Etat islamique (EI) sont encore actives.
Dans un premier temps une source de sécurité s’exprimant sous couvert de l’anonymat avait fait état de “l’explosion d’une bombe posée en bordure de route durant une patrouille dans la région de Tarmiya”.
Un lieutenant-colonel à la tête d’une unité d’infanterie, mais aussi deux soldats, ont été tués “dans l’explosion d’une bombe”, a confirmé le ministère de la Défense dans un communiqué.
Trois militaires ont également été blessés, selon un autre communiqué d’une cellule média des forces de sécurité.
En 2017, l’Irak a déclaré sa victoire militaire contre l’EI mais les jihadistes restent actifs dans plusieurs zones du pays. A Tarmiya, ils profitent des buissons, palmeraies et autres fossés pour se terrer et lancer des attaques sporadiques, en particulier contre les forces de l’ordre.
Les forces de sécurité irakiennes enchaînent les opérations de contre-terrorisme et ratissent les zones où l’EI est présent. Elles annoncent régulièrement la mort de dizaines de jihadistes dans des frappes aériennes ou dans des raids.
Après une montée en puissance fulgurante en 2014 en Irak et en Syrie voisine et la conquête de vastes territoires, l’EI a vu son “califat” autoproclamé être renversé sous le coup d’offensives successives dans ces deux pays, respectivement en 2017 et 2019.
Malgré sa mise en déroute, l’EI “a maintenu sa capacité à lancer des attaques à un rythme régulier”, reconnaissait un rapport de l’ONU publié en janvier 2022.
“Exploitant la frontière poreuse” entre l’Irak et la Syrie, l’organisation jihadiste conserverait “entre 6.000 et 10.000 combattants dans ces deux pays, où elle forme des cellules et entraîne des agents”, selon ce rapport.
https://arab.news/rgmb5
LONDRES: Cette année, la Coupe du monde de la FIFA a accueilli des fans du monde entier et l’événement quadriennal est le point de départ des reporters. De nombreux fans de football ont cependant snobé les journalistes israéliens, en signe de solidarité avec les Palestiniens.
Pendant des semaines, les fans ont afflué à Doha pour faire partie du spectacle. La Coupe du monde 2022 organisée au Qatar a marqué les esprits. Son message est celui de l’unité pour l’amour du jeu et pour la première fois, les gens dans les fan zones, les stades et même les joueurs ont exprimé leur soutien à la Palestine, en arborant le drapeau palestinien et en lançant des slogans, des chants et des chansons propalestiniens.
Bien que la Coupe du monde de cette année ait été très amusante avec l’Arabie saoudite qui a battu la grande Argentine en phase de groupe et le Maroc qui a battu les Espagnols et les Portugais avant de s’incliner il y a quelques jours, ce sont les points de vue politiques, très affichés, qui sont devenus un sujet de discussion important.
Alors que des vols directs spéciaux ont amené les fans de Tel Aviv à Doha pour le tournoi, nombreux sont ceux qui ont choisi de faire la sourde oreille aux journalistes israéliens, comme un certain nombre de journalistes l’ont constaté et montré en direct à la télévision.   
Il y a près de deux ans, quatre États membres de la Ligue arabe ont signé les accords d’Abraham, négociés par les États-Unis, par lesquels Israël entend nouer des relations officielles avec les pays de la région. Le Qatar ne faisait pas partie de ces pays.
Des vidéos de supporters, pour la plupart arabes, évitant les médias israéliens sont devenues virales sur les réseaux sociaux. Une vidéo a été partagée le 18 novembre, montrant un citoyen qatari dans le Souq Waqif de Doha refusant une interview après avoir appris que le journaliste travaillait pour une chaîne de télévision israélienne.  
Deux jours plus tard, une autre vidéo montrait un groupe de supporters libanais s’éloignant d’un journaliste lorsque celui-ci a révélé être originaire d’Israël. L’un d’eux a déclaré au journaliste de Channel 12: «Israël n’existe pas. C’est la Palestine. Israël n’existe pas», dans un rejet apparent de la normalisation.  
Le journaliste israélien Raz Shechnik, qui se trouvait à Doha pour couvrir l’actualité de la Coupe du monde de la FIFA, s’est retourné sur Twitter pour exprimer sa frustration. Il a partagé le 26 novembre des exemples dans lesquels des fans arabes se sont éloignés de lui lorsqu’ils ont découvert qu’il représentait Israël. Sa vidéo montre trois femmes et un homme portant le drapeau palestinien et disant au journaliste: «Il n’y a rien qui s’appelle Israël. C’est juste la Palestine.»
Dans la même vidéo, des fans marocains, qui ont d’abord posé, mais qui, en apprenant que Shechnik était originaire d’Israël, se sont éloignés avec l’un d’eux disant: «Israël, non. La Palestine, oui.» Le journaliste a crié: «Mais nous sommes en paix» et «vous avez signé les accords de paix», à propos de la signature des accords d’Abraham avec le Maroc en décembre 2020.  
Le fil Twitter du journaliste de Yedioth Ahronoth a également montré des fans interrompant une émission en direct pour scander et brandir le drapeau palestinien et d’autres Qataris refusant de lui parler, choqués d’apprendre que la chaîne était israélienne. 
Le 27 novembre, le journaliste israélien Moav Vardi a publié sur Twitter qu’il avait été interpellé la veille par un fan de football saoudien, qui a déclaré au correspondant de Kan 11 TV qu’il n’était «pas le bienvenu ici (au Qatar)» et qu’«il n’y a que la Palestine; il n’y a pas d’Israël».    
Profitant de la scène mondiale du tournoi, le drapeau palestinien — ainsi que les sentiments propalestiniens — a été omniprésent tout au long de la Coupe du monde du Qatar, attirant une attention considérable.
Le drapeau palestinien a occupé le devant de la scène à sept reprises.
L’équipe nationale de football du Maroc a soulevé le drapeau palestinien après ses victoires en Coupe du monde, notamment celle du 6 décembre contre l’Espagne, lorsqu’elle s’est qualifiée pour les quarts de finale malgré la normalisation des relations entre le gouvernement de ce pays d’Afrique du Nord et Israël.
De même, des supporters tunisiens ont hissé une bannière sur laquelle on pouvait lire «Libérer la Palestine» lors du match Australie-Tunisie du 26 novembre, tandis que des supporters qataris ont brandi des drapeaux de la Palestine de différentes tailles lors du match Qatar-Pays-Bas du 29 novembre.  
Et ce, malgré les campagnes de relations publiques menées par Israël dans la région après la signature en 2020 des accords de paix négociés par les États-Unis avec les Émirats arabes unis et Bahreïn, puis avec le Soudan et le Maroc. Après la signature de ces accords, Eliav Benjamin, haut responsable du ministère israélien des Affaires étrangères, a exprimé, lors d’un briefing, l’espoir de normaliser les relations avec «tous les pays de la région, du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord».
Daoud Kuttab, ancien professeur de journalisme à l’université de Princeton et fondateur et ancien directeur de l’Institut des médias modernes de l’université Al-Quds, a déclaré à Arab News: «Ce que nous avons vu se produire lors de la Coupe du monde montre sans aucun doute que le public arabe — et même la plupart des peuples du monde — sont de véritables partisans du droit des Palestiniens à être libres.» 
Kuttab a ajouté: «Les pays qui ont signé les accords d’Abraham ont affirmé à l’époque qu’ils espéraient pouvoir influencer la politique israélienne à l’égard des Palestiniens, mais sur le terrain, un nombre record de Palestiniens ont été tués par des soldats israéliens et une célèbre correspondante de télévision, qui porte la nationalité américano-palestinienne, a été abattu sans que l’armée israélienne n’accepte même d’enquêter sur cette affaire.»
Un journaliste saoudien qui suit de près les événements à Doha a révélé: «Il est intéressant de voir le maniérisme typiquement qatari avec lequel la Coupe du monde a été traitée. Alors qu’en arabe, les commentateurs qataris défendaient la cause palestinienne et refusaient de reconnaître Israël, en anglais et en hébreu, ils accueillaient les supporters et les reporters israéliens et leur offraient des souvenirs devant les caméras.
«Normalement, les déclarations politiques sont interdites ou du moins désapprouvées lors d’événements sportifs, surtout dans un pays non démocratique comme le Qatar. Cependant, je dirais que la rhétorique propalestinienne a été mise en avant afin de détourner l’attention des Arabes du fait que Doha, qui n’a aucune relation diplomatique avec Tel Aviv, a autorisé l’entrée de supporters et de journalistes israéliens», a-t-il ajouté. 
«Je ne dis pas qu’il n’y a pas de solidarité arabe sincère avec les Palestiniens. Je dis que si Israël ne corrige pas le tir — et il est peu probable qu’il le fasse sous un gouvernement d’extrême-droite dirigé par Netanyahu — nous verrons beaucoup plus de cascades de relations publiques anti-israéliennes comme ce que nous avons vu à Doha», a conclu le journaliste saoudien. 
Avant le début de la Coupe du monde, la chaîne qatarie Al Jazeera Arabic a publié des articles et des messages sur les médias sociaux insinuant que Doha avait ordonné à Israël d’autoriser les Palestiniens à venir assister au match par avion. Cette affirmation semble contredire la réalité, à savoir que les compagnies aériennes et les citoyens israéliens ont été autorisés à se rendre directement à Doha.
À peu près au même moment, le Fact Check de l’AFP — le service de surveillance des fausses nouvelles de la célèbre agence de presse internationale française — a publié un rapport détaillant comment la propagande propalestinienne a été diffusée avant la coupe du monde pour atténuer le choc.  
Des images d’archives de bâtiments qataris habillés de drapeaux palestiniens ont été présentées comme récentes et de fausses histoires de personnes se convertissant à l’islam ont été diffusées pour étouffer l’affaire. 
Certes, avec un gouvernement d’extrême-droite qui devrait être formé sous la direction du Premier ministre désigné Benjamin Netenyahu, la croisade déjà difficile d’Israël pour gagner le monde arabe ne peut que devenir plus difficile. 
Kuttab a souligné que «le gouvernement israélien du centre ou de la droite ne gagnera pas les cœurs et les esprits tant que le peuple palestinien vivra sous l’occupation et l’entreprise de colonisation.»
«Rien de ce qui se passe en Israël, à part la fin de leur occupation illégale et immorale, ne changera l’esprit des personnes libres partout dans le monde et certainement pas les opinions arabes et musulmanes», a-t-il soutenu.
 
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 
https://arab.news/rk87f
RIYAD: Les entreprises d’Arabie saoudite et du monde entier devraient être obligées de prouver qu’elles disposent de cyberdéfenses à jour, selon le PDG d’une importante société de sécurité numérique qui a révélé dans une étude qu’un tiers des utilisateurs d’ordinateurs en Arabie saoudite ont été ciblés par des cybercriminels en 2022.
Eugène Kaspersky, PDG et cofondateur de Kaspersky, une société de sécurité informatique comptant 4 000 employés, a déclaré à Arab News dans une interview exclusive que les gouvernements devraient introduire des réglementations pour les systèmes de cybersécurité et exiger des entreprises qu’elles adhèrent aux directives correspondantes, tout comme elles le font pour les réglementations sur les risques d’incendie.
Ses remarques sont intervenues après que des recherches menées par son entreprise ont montré que, depuis janvier de cette année, pas moins d’un tiers des utilisateurs de la région Moyen-Orient, Turquie et Afrique ont été affectés par des menaces en ligne et hors ligne.
Les menaces hors ligne sont des logiciels malveillants diffusés dans les réseaux locaux par des clés USB ou d’autres moyens hors ligne, tandis que les menaces en ligne sont des logiciels malveillants ou des fraudes qui utilisent le Web.
L’Arabie saoudite est classée troisième dans la région, avec 33,3% des utilisateurs confrontés à ce genre de problèmes, précédée par le Qatar (39,8%) et le Bahreïn (36,5%). 
En ce qui concerne les menaces hors ligne, c’est l’Arabie saoudite qui affiche le chiffre le plus bas avec 32% d’utilisateurs touchés. L’Égypte, le Qatar et la Jordanie affichent les chiffres les plus élevés avec respectivement 42,4%, 33,9% et 33,2%.
Les secteurs des infrastructures critiques, tels que l’industrie manufacturière, l’industrie pétrolière et minière et l’industrie chimique, ont été signalés comme étant confrontés à des attaques de plus en plus ciblées. Les données de Kaspersky montrent que 43% des ordinateurs industriels ont été ciblés dans la région META (Moyen-Orient, Turquie et Afrique) au cours des trois premiers trimestres de cette année.
Réagissant à cette étude, Kaspersky a demandé que la cybersécurité soit ajoutée aux indicateurs clés de performance des entreprises publiques et privées.
Kaspersky a signalé: «Il y a vingt-cinq ans, les ordinateurs étaient des machines à écrire, puis ils ont été intégrés dans les procédures commerciales et aujourd’hui ils font partie de la gestion des infrastructures. La cybernétique devient donc de plus en plus intégrée dans tout ce que nous avons.»
Il a souligné: «Nous sommes de plus en plus dépendants des cybertechnologies.»
«Le gouvernement devrait être chargé d’introduire des réglementations pour les cyber-systèmes similaires aux réglementations mises en œuvre sur d’autres systèmes comme les alarmes incendie, la construction, les installations urbaines, et bien d’autres; les entreprises devant suivre les normes ou subir des pénalités si elles ne le font pas.»
Comparant le paysage des menaces dans la région du Conseil de coopération du Golfe au niveau mondial, Kaspersky a reconnu qu’il était plus ou moins le même: «Les cybercriminels juniors qui font la chasse aux petits poissons comme les particuliers et les petites entreprises, ainsi que les criminels professionnels qui font la chasse aux grosses prises comme les banques et les grandes entreprises, sont les mêmes où que vous alliez.»
Il a ajouté qu’il n’est pas possible de mesurer les dommages causés par les cyberattaques sur les économies nationales ou mondiales car les pertes financières ne sont pas communiquées, mais il peut les estimer à environ une portion de 1% de l’économie, ce qui est déjà un chiffre énorme.
Interrogé sur le budget recommandé que les entreprises doivent allouer à la cybersécurité, Kaspersky a mentionné que les budgets varient en fonction du secteur dans lequel les entreprises opèrent, mais qu’en moyenne, moins de 1% du budget opérationnel d’une entreprise est suffisant.
«Des scénarios de sécurité sont nécessaires pour comprendre les risques auxquels les entreprises sont confrontées en cas de cyberattaques. Les entreprises doivent identifier les parties les plus critiques de leur activité et ce qu’il leur en coûtera en cas d’attaque réussie, puis construire un système de sécurité autour de cela», a avisé Kaspersky.
Le maillon faible de la chaîne
Dans une autre note de recherche, il a été révélé que l’homme était souvent le maillon le plus faible des systèmes de sécurité, car il suffit de cliquer sur un mauvais lien ou de télécharger une mauvaise pièce jointe pour qu’un virus s’infiltre dans un système ou un réseau.
Même si la sensibilisation par l’éducation à la cybersécurité est importante, Kaspersky croit toujours au développement de technologies permettant de prévenir ces attaques.
L’entreprise a lancé une gamme de produits basés sur son approche qui s’inspire du système immunitaire pour vaincre les cyberattaques et permet de créer des solutions pratiquement impossibles à compromettre et de minimiser le nombre de vulnérabilités potentielles.
«L’éducation à la cybersécurité doit être faite partout, même dans les écoles, mais je crois toujours aux technologies qui réduiront le risque des facteurs humains. Je pense qu’à l’avenir, nous disposerons de technologies plus intelligentes de manière à conseiller les gens afin qu’ils ne commettent pas d’erreurs», a expliqué Kaspersky.
«Impressionné par l’Arabie Saoudite»
Kaspersky est présent dans la région du Moyen-Orient, de la Turquie et de l’Afrique depuis plus de 15 ans. L’entreprise collabore avec la Fédération saoudienne pour la cybersécurité, la programmation et les drones afin de sensibiliser à la cybersécurité et de renforcer les capacités nationales.
Fondée en 1997, cette entreprise mondiale de cybersécurité et de protection de la vie privée numérique fournit des solutions et des services de sécurité pour protéger les entreprises, les infrastructures importantes, les gouvernements et les consommateurs du monde entier.
Le portefeuille de produits de l’entreprise comprend la protection des terminaux et un certain nombre de solutions et de services de sécurité spécialisés pour lutter contre les menaces numériques sophistiquées et en constante évolution.
Parmi les développements récents, citons la mise au point d’une passerelle qui peut être installée sur l’unité centrale des voitures afin de les protéger contre le piratage et de fournir une mise à jour sûre de la passerelle elle-même et des composants électroniques de la voiture par voie aérienne. Cette passerelle permet aussi l’envoi des journaux du réseau interne de la voiture au centre de surveillance de la sécurité.
Au début de l’année, Kaspersky a ouvert un nouveau bureau en Arabie saoudite, dans le cadre de son objectif global d’étendre son réseau dans le monde et dans la région.
«Je suis très impressionné par la rapidité avec laquelle l’Arabie saoudite s’est transformée et par l’attention que le pays porte à la cyber-transformation. C’est pour cela que je me suis rendu trois fois en Arabie saoudite cette année, et être trois fois dans le même pays est exceptionnel», a affirmé Kaspersky.
Et après ?
Les experts de Kaspersky croient que des changements majeurs vont se produire en ce qui concerne les types de cibles et les scénarios d’attaque. L’année prochaine, des attaquants audacieux pourraient même mélanger intrusions physiques et cybernétiques en employant des drones pour tenter un piratage de proximité.
Parmi les scénarios d’attaque possibles, citons l’installation de drones dotés d’outils suffisants pour permettre la collecte d’informations en utilisant la technologie de protection des accès Wi-Fi utilisée pour le piratage hors ligne des mots de passe Wi-Fi, ou encore le largage de clés USB malveillantes dans des zones interdites dans l’espoir qu’un passant les ramasse et les branche sur une machine.
Compte tenu du climat politique mondial actuel, les chercheurs de Kaspersky prévoient également une augmentation des cyberattaques destructrices, qui toucheront à la fois le secteur public et les industries clés. Il est probable qu’une partie d’entre elles ne seront pas facilement traçables comme des cyberattaques et ressembleront à des accidents aléatoires.
Les autres prendront la forme d’attaques de pseudo-ransomware ou d’opérations d’hacktivistes afin de fournir un déni plausible à leurs véritables auteurs. Des cyberattaques très médiatisées contre des infrastructures civiles, comme les réseaux d’énergie ou la radiodiffusion publique, pourraient également devenir des cibles, de même que les câbles sous-marins et les centres de distribution de fibres optiques, qui sont difficiles à défendre.
 
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 
https://arab.news/ba8g5
LE CAIRE: L’Égypte a confirmé son intention d’utiliser la technologie du biogaz pour répondre à ses besoins énergétiques.
Le biogaz est une source d’énergie renouvelable qui utilise les gaz produits à partir de matières premières, notamment les déchets agricoles et municipaux. Il est déjà utilisé dans des centaines d’endroits dans le monde.
Karima Hussein, responsable au ministère égyptien de l’Environnement, a déclaré à Arab News: «Après la fin du sommet sur le climat qui s’est tenu à Charm al-Cheikh en novembre, l’État s’est saisi de la question de l’élimination des déchets, qui est étroitement liée au changement climatique. Après de nombreuses expériences réussies, une mise en œuvre a été proposée par le ministère.»
Elle a ajouté: «La technologie du biogaz repose sur le recyclage des déchets solides et liquides issus des eaux usées, des déchets végétaux et animaux et des ordures, de manière économique et saine, afin de protéger l’environnement de la pollution grâce à la production d’une source d’énergie nouvelle et renouvelable qui contribue, dans une large mesure, à rationner la consommation d’énergies traditionnelles telles que le pétrole.»
«La technologie du biogaz est l’incarnation de l’idée d’une économie circulaire et d’une économie verte, conforme à l’adoption de la loi réglementant la gestion des déchets en Égypte.»
Le projet «est basé non seulement sur la gestion intégrée des déchets mais aussi sur le partenariat avec la société civile, en plus de la nécessité de considérer la question des déchets d’un point de vue économique et non seulement d’un point de vue environnemental», a-t-elle poursuivi.
Le Dr Tariq al-Arabi, PDG de l’Agence de réglementation de la gestion des déchets, a révélé à Arab News: «Les travaux sur 1 660 unités de biogaz domestiques ont été achevés dans de nombreux gouvernorats.»
En ce qui concerne les déchets électroniques, Al-Arabi a indiqué: «Il y a 18 usines qui ont reçu des permis du ministère de l’Environnement dans le but de recycler les déchets électroniques, de travailler sur un système de déchets médicaux avec le ministère mettant à jour les technologies utilisées en matière de recyclage des déchets médicaux au sein des hôpitaux et d’adopter un système permettant d’impliquer le secteur privé dans le traitement des déchets médicaux.»
 
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 

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