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INFO-TURK N°429 – Info-Türk

Vos deux courriels des 7 et 8 avril dernier concernant le report du vote de la résolution du député Jean-Claude Defossé concernant la liberté de la presse en Turquie me sont bien parvenus et ont retenu ma meilleure attention.
Je vous remercie pour votre témoignage mais j’aimerais néanmoins vous apporter quelques précisions. Le MR a toujours défendu et milité pour la liberté de la presse que ce soit en Turquie ou ailleurs. En tant que libéral, la liberté d’expression est dans l’ADN de notre mouvement. J’en veux pour preuve que le sénateur MR Richard Miller est cosignataire d’une résolution qui a été déposée au Sénat demandant le respect de la liberté de la presse en Turquie. Celle-ci demande au gouvernement belge d’agir “de toutes les manières possibles pour faire respecter la liberté de la presse en Turquie, condition sine qua non de la démocratie”.
Par ailleurs, en septembre 2012, Richard Miller et le député européen Louis Michel ont mené une mission en Turquie où ils ont systématiquement rappelé l’importance de la liberté de la presse lors de chaque rencontre politique notamment avec le président du CHP et le président de la grande assemblée turque, Cemil Çiçek et des responsables de l’AKP.
Il est clair qu’à nos yeux, tous les critères démocratiques doivent être respectés, en ce compris la liberté de la presse, en vue de l’adhésion de la Turquie à l’Europe au même titre que le respect des autres critères de Copenhague en vue de toute nouvelle adhésion.
Restant à votre écoute, je vous prie de recevoir, cher Monsieur, l’expression de mes sentiments les meilleurs.
The 40th International Book Fair is being held in Buenos Aires from April 24th to May 12th. Armenia is one of the more than 40 countries participating in the book fair, and the Day of the Republic of Armenia was traditionally celebrated on May 1st.
More than 1,600 people attended the main event of the day held at José Hernandez Exhibition Hall under the patronage of the RA Embassy in Argentina and with the support of the Armenian Center of Argentina. The event began with opening remarks by RA Ambassador to Argentina Vahagn Melikyan, followed by speeches by Deputy Secretary of Buenos Aires City Council for Human Rights and Cultural Diversity Claudio Avruj and Turk intellectual, activist, human rights activist Ragip Zarakolu.
In his speech, Ambassador Melikyan particularly mentioned: “For the past 40 years, the International Book Fair in Buenos Aires has always turned into a unique and beautiful celebration that not only provides the representatives of different nationalities with the opportunity to become familiar with world literature, but also bears the symbol of bringing people closer to literature, awakening their love for books, engaging them in cross-cultural dialogue and promoting mutual understanding and tolerance.
In his speech, Deputy Secretary Claudio Avruj addressed the Armenian-Argentinean political and cultural relations and the role and significance of the Armenian community in Argentina, attaching importance to the community’s valuable contributions to the country’s society, politics and culture. Touching upon international recognition and condemnation of the Armenian Genocide, as well as the Argentinean government’s consistent efforts, Claudio Avruj informed that by the decision of the municipal authorities of Buenos Aires, Buenos Aires City Council will allocate a free space for the construction of an Armenian Genocide Museum in Palermo District ahead of the Centennial of the Armenian Genocide.
In his speech, Turk journalist, intellectual Ragip Zarakolu condemned the Armenian Genocide perpetrated by Ottoman Turkey and the current Turkish government’s policy of denial, as well as addressed the brutal murders of the Armenian intellectuals who were killed during the Armenian Genocide, including Ruben Sevak, Siamanto, Daniel Varujan, Grigor Zohrab and others. He mentioned also the murder of turkish writer Sabahattin Ali, Hrant Dink and Publisher İlhan Erdost. And he expressed his anxiousness for the writers in prison in Turkey, like Sevan Nishanyan, Yuksel Genç, Dursun Yildiz and Füsun Erdogan. And he demanded urgent freedom for  them.
He remembered also famous book of Austrian writer Franz Werfel was banned in 1933 by Turkish and German Governments together. Ragıp Zarakolu said that he is proud, of to publish  Franz Werfel’s “40 Days in Musadag” in 1997.

Sevan Nisanyan – Armenian intellectual, citizen of Turkey, civic activist, former columnist in liberal newspaper Taraf and bilingual weekly AGOS, and prominent linguist – has been imprisoned in Turkey under severe conditions of isolation since January 2, 2014.
The cruel and unreasonable nature of punishment handed down fort his intellectual, the steady deterioration in the conditions of incarceration, and the looming threat of new and escalating charges and trials have prompted a group of civil society organizations’ representatives and intellectuals to come together and form the International Committee for Freedom and Justice for Sevan Nisanyan.
Our committee regards Nishanyan’s prison sentence as a mockery of justice and an unacceptable punitive measure that threatens the people’s right to freedom of thought. The committee regards Nishanyan’s imprisonment as a clear manifestation of prejudice and malice. This blatant mistreatment is motivated by his being a dissident intellectual who fights against the dubious theories and official historiography generated by the mind-set (to apply that term generously) of the Turkish state.
The International Committee for Freedom and Justice for Sevan Nishanyan calls on Turkish authorities to free Nishanyan immediately and end the campaign of intimidation, harassment, and cruelty directed against him.
The committee calls on international entities and human rights organizations, and appeals to the wider court of public opinion, to condemn and fight for the removal of the coercion and restrictions faced by Sevan Nishanyan, and to campaign for Sevan’s freedom.
The committee calls on all responsive people, organizations and citizens of Turkey to stand by one of their own, an intellectual who has been victimized by the state’s relentless punitive machine, who has defended multiculturalism and fought so that it could prevail and flourish, and who has been an exemplar in this regard for his fellow countrymen and women.
This committee believes that in a country where illegal construction is widespread, and where almost all of the government facilities are built illegally, it is only a pretense to imprison an outspoken critic under the charges of violation of construction ban. Sevan Nisanyan is under conditions that can only be called psyhological torture, and his health is deteriorating. Therefore this committee calls all international human rights organizations’ aid in rectifying Sevan Nisanyan’s situation by restoring his rightful freedom. May 30, 2014
Plusieurs affaires de meurtres d’enfants ont suscité l’indignation en Turquie et réveillé les partisans d’un rétablissement de la peine de mort, contraignant le gouvernement islamo-conservateur à préparer un projet de loi renforçant les sanctions contre les assassins de mineurs.

Sa photo s’est étalée cette semaine en “une” de toute la presse turque.

Gizem, 6 ans, retrouvée morte mardi dans la province d’Adana (sud) deux jours après sa disparition. La fillette a été poignardée et incendiée. Son meurtrier présumé, identifié par les initiales S.A., a avoué aux enquêteurs avoir fait monter sa victime dans sa voiture en lui promettant un pique-nique, puis l’avoir agressée.

“J’ai fermé les yeux et je l’ai poignardée. Elle est tombée. Je l’ai arrosée d’essence et j’ai mis le feu avec une allumette. Elle a commencé à crier”, a expliqué le jeune homme de 20 ans.

Plus tôt dans la semaine, c’est le corps d’un garçon de 9 ans qui a été retrouvé dans la province de Kars (est), violé et étranglé. Et quelques jours plus tôt, celui d’un autre gamin, 4 ans celui-là, découvert dans une grange de la province d’Aydin (ouest), lui aussi sauvagement assassiné.

Cette série a brutalement réveillé les défenseurs de la peine capitale, supprimée définitivement de la Constitution en 2004 dans le cadre des discussions d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne (UE), toujours en souffrance.

Le vice-président du très islamiste Parti de la Félicité, Yusuf Yigitalp, a bondi sur l’occasion et fait de son rétablissement une “nécessité”.

“Aujourd’hui, la peine capitale est appliquée dans de nombreux pays occidentaux. Elle existe aux Etats-Unis et même dans des pays européens pour certains crimes”, a plaidé M. Yigitalp dans les colonnes du quotidien conservateur Milli Gazete
Le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan avait lui-même relancé ce débat il a un an et demi en évoquant le sort du chef rebelle kurde emprisonné Abdullah Öcalan. Lui non plus n’a pas tardé à réagir à la récente vague de crimes.

“Ces affaires constituent une sorte de crime capital”, a estimé M. Erdogan vendredi devant les journalistes. “Même s’il ne sera pas possible de réinstaurer la peine de mort, j’ai demandé à ce qu’on institue des peines aggravées”, a-t-il poursuivi.

En Turquie, les meurtres aggravés sont punis d’une réclusion criminelle à perpétuité effective, sans possibilité de remise de peine.

Ces faits divers ont plus généralement relancé la question des violences faites aux enfants, après une proposition iconoclaste de la ministre de Famille Aysenur Islam, qui a suggéré aux parents d’apprendre à leurs enfants à crier en cas de danger.

“Ils (les enfants) doivent aussi savoir comment se comporter lorsqu’ils sont confrontés à un étranger, de la même façon qu’ils doivent savoir qu’ils peuvent se brûler avec le feu”, a doctement expliqué la ministre.

“Nos enfants doivent crier pour que leur entourage comprenne qu’ils sont dans une situation qu’ils ne souhaitent pas”, a-t-elle poursuivi.

Une idée qualifiée de “superficielle” par les associations de défense des enfants, qui dénoncent l’incapacité du gouvernement en la matière.

“Il est évident que le cri ne marchera pas dans la plupart des cas”, constate Ezgi Koman, de “Gündem Cocuk” (“Les enfants au programme”). “Dans la plupart des enlèvements, les enfants sont baillonnés”, dit-elle, “il est de la responsabilité de l’État de leur créer un environnement sûr”.

Selon cette association, 633 enfants ont été tués en Turquie en 2013, contre 609 l’année précédente.

Mais, plus que ces crimes, les spécialistes considèrent que les abus sexuels au sein même des familles restent la principale menace pour les enfants.

“Les abus sexuels contre les enfants restent tabous en Turquie parce qu’ils gênent”, déplore la psychologue pour enfants Aylin Ilden. “Dans ces cas-là, les enfants sont souvent sans défense car menacés par ceux en qui ils ont le plus confiance, les hommes de leur famille”. (AFP, 4 mai 2014)
Attentat à la voiture piégée à la frontière syro-turque, 43 morts

Au moins 43 civils dont des femmes et des enfants ont été tués et des dizaines blessés jeudi dans un attentat à la voiture piégée à un point de passage dans le nord de la Syrie, à la frontière turque, selon une ONG.

Ce nouveau bilan a été fourni par le chef de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane. Un précédent bilan de cette ONG faisait état de 29 morts.

L’attentat a visé une zone utilisée comme parking au point de passage de Bab al-Salama tenu par des rebelles islamistes, a précisé l’OSDH.

Des photos de l’attentat mises en ligne par des militants montrent des hommes en état de choc debout autour de corps carbonisés. Une vidéo diffusée sur Youtube montre de la fumée s’élevant de la carcasse d’une voiture pulvérisée ainsi que des bagages abandonnés. L’authenticité de la vidéo n’a pu néanmoins être confirmée de source indépendante.

Les victimes ont été transportées dans des hôpitaux turcs et syriens, selon M. Abdel Rahmane.

Le côté syrien du passage de Bab al-Salama est contrôlé par les rebelles islamistes, engagés depuis janvier dans des combats meurtriers avec les jihadistes de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), considéré comme le groupe le plus radical dans le pays en guerre.

Les alentours de ce point de passage avaient déjà été visés par des attentats à la voiture piégée. En février, une explosion avait notamment fait morts et 45 blessés.

L’EIIL a mené plusieurs attentats meurtriers contre des positions rebelles dans le nord du pays.

D’autres points de passage de la frontière syro-turque ont également été visés par des attaques, dont celui de Bab al-Hawa dans la province d’Idleb (nord-ouest), où un double attentat suicide avait fait 16 morts en janvier.

Déclenché en mars 2011 par une contestation populaire violemment réprimée, le conflit en Syrie s’est transformé en une guerre opposant le régime à des déserteurs aidés par des civils armés et des jihadistes venus de l’étranger.

Il s’est complexifié avec des combats entre rebelles et jihadistes venus pour la plupart de l’étranger pour combattre eux aussi le régime de Bachar al-Assad.

Plus de 150.000 personnes ont été tuées dans cette guerre qui continue de faire rage, en l’absence de tout espoir de règlement dans l’immédiat.

Ailleurs dans le pays, des combats avaient lieu entre soldats et rebelles à Idleb, de même que dans la province de Deraa (sud), où neuf personnes dont trois enfants ont péri dans des raids aériens du régime, a indiqué l’OSDH.

Et dans la province de Damas, de violents combats avaient lieu pour la prise de la localité de Mliha, où l’armée du régime a mené plus de 25 raids aériens, selon l’ONG. (AFP, 15 mai 2014)
Suspension de la construction d’une ambassade turque à Dakar

La Turquie a, à la demande du Sénégal, suspendu la construction de son ambassade en bord de mer à Dakar, construction dénoncée depuis quelques semaines par plusieurs associations, a annoncé dimanche le président sénégalais Macky Sall.

Selon la télévision publique sénégalaise (RTS), le président Sall a visité dans la journée de dimanche la corniche ouest, une portion de littoral menant du centre-ville à l’aéroport, en compagnie de membres d’un collectif baptisé “Non au mur” qui proteste contre la construction de l’ambassade turque, déjà matérialisée par un long mur.

“Le mur, déjà, a fait l’objet d’un arrêt” des travaux, “nous avions demandé aux autorités turques de suspendre les travaux, cela a été fait”, a déclaré M. Sall à la RTS, sans précisions de date.

Il a annoncé la création d’un groupe de travail, rassemblant gouvernement et société civile, pour faire un “état des lieux” de l’occupation du littoral qui a vu surgir ces dernières années de nombreuses constructions, incluant des hôtels et habitations, décriées par les riverains, architectes et défenseurs de l’environnement.

C’est “sur la base de cet état des lieux (du groupe de travail créé) et des autorisations qui ont été délivrées que des mesures (seront) prises pour sécuriser ce qui doit l’être”, a ajouté le président.

Depuis le début de la mobilisation contre la construction de l’ambassade de Turquie, des responsables sénégalais et turcs ont régulièrement expliqué dans la presse locale que le site a officiellement été attribué dans le cadre d’un protocole d’échanges de parcelles entre Dakar et Ankara.

Outre la Turquie, des “titres ont été octroyés” également à la Libye et au Koweït sur le littoral, a indiqué la RTS.

Macky Sall a affirmé qu’il attendrait “les conclusions” du groupe de travail sur l’occupation du littoral avant toute décision et que pour les trois pays concernés, la question serait traitée d’Etat à Etat.

“Il y a la continuité de l’Etat. Nous discuterons avec ces différents pays sur des schémas alternatifs”, permettant éventuellement d’édifier des bâtiments soit sur des sites près de la corniche mais plus vers “l’intérieur, soit sur d’autres sites qui sont déjà identifiés”, a affirmé M. Sall, sans plus de détails.

Il a par ailleurs indiqué qu’un concours d’architecture sera prochainement lancé pour l’aménagement de la corniche.

Le collectif “Nom au mur” rassemble plus de 20 associations, dont SOS Littoral, dirigé par l’architecte sénégalais de renom Pierre Goudiaby Atépa.

Il exige l’abandon de la construction de l’ambassade de Turquie, prévue sur 4.000 m2 selon l’Agence sénégalaise de presse (APS, officielle). (AFP, 4 mai 2014)

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