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Guerre en Ukraine: Une réponse «rapide et sévère» en cas d'annexions en Ukraine par la Russie, menace Biden – L'essentiel

Le président russe Vladimir Poutine a lancé le 24 février, à l'aube, une invasion de l'Ukraine. Suivez la situation en temps réel.
23.09 Biden menace d'une réponse «rapide et sévère» en cas d'annexions russes en Ukraine, alors que les «référendums», considérés comme un simulacre par la communauté internationale, ont eu lieu ce vendredi.
23.09 La frontière finlandaise est submergé par des russes désireux de fuir pour survivre, depuis la mobilisation décrétée par Poutine.
23.09.2022 Des «référendums» d’annexion par la Russie ont débuté dans des régions d’Ukraine contrôlées entièrement ou en partie par Moscou. Ces scrutins sont qualifiés de «simulacres» par Kiev et les Occidentaux.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exhorté vendredi le reste du monde à condamner les «pseudo-référendums» organisés par la Russie et en cours dans quatre territoires qu'elle a conquis en Ukraine depuis le début de son invasion.
Dans son adresse quotidienne à la nation, M. Zelensky s'est dit persuadé que «le monde réagira avec la plus grande justesse aux pseudo-référendums» et que ceux-ci «seront condamnés sans équivoque».
Les Etats-Unis «vont travailler avec leurs alliés et partenaires pour infliger des mesures économiques supplémentaires rapides et sévères à la Russie» si celle-ci annexe des territoires en Ukraine, a prévenu vendredi Joe Biden dans un communiqué.
«Les référendums de la Russie sont un simulacre, un prétexte fallacieux pour essayer d'annexer des parties de l'Ukraine par la force», a dénoncé le président américain, qui a déjà pris plusieurs trains de sanctions économiques et financières contre le régime de Vladimir Poutine.

Des centaines de manifestants se sont rassemblés vendredi à Moscou et Saint-Pétersbourg en soutien aux «référendums» d'annexion à la Russie de quatre régions ukrainiennes, dénoncés par Kiev et ses alliés, qui ont débuté dans la matinée. À Moscou, un rassemblement a commencé en fin d'après-midi à deux pas de la Place rouge, selon des images diffusées par la télévision russe.
Sur une scène installée pour l'occasion, des représentants de plusieurs partis politiques russes étaient présents, prenant tour à tour la parole pour défendre les «référendums» soutenus par Moscou. «Pour la liberté», «le début d'une nouvelle histoire commune», «un moment historique», lançaient ces dirigeants. A Saint-Pétersbourg, plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés en début d'après-midi autour de la forteresse Pierre-et-Paul, coeur historique de la deuxième ville de Russie.

Depuis l'annonce d'une mobilisation partielle, de nombreux Russes tentent de quitter leur pays pour ne pas avoir à participer à la guerre. Faut-il les accueillir comme des réfugiés en Europe? Les avis entre États-membres de l'UE divergent, les pays baltes étant plus réticents que l'Allemagne ou la France.
Notre article complet sur le débat en suivant ce lien.
Les leaders du G7 ont «fortement condamné» vendredi les «faux référendums» d'annexion organisés par la Russie dans les territoires qu'elle occupe en Ukraine, ajoutant qu'ils ne reconnaîtront «jamais» ces scrutins «illégitimes».
«Nous ne reconnaîtrons jamais ces référendums qui semblent être un pas vers une annexion russe», ni «une prétendue annexion si elle a lieu», ont-ils affirmé dans un communiqué diffusé par l'Allemagne qui assure la présidence du groupe cette année.
Les autorités ukrainiennes ont exhumé 436 cadavres qui étaient enterrés dans une forêt près de la ville d'Izioum reprise aux Russes, 30 d'entre eux présentant des «signes de torture», a annoncé vendredi le gouverneur de la région de Kharkiv (nord-est).
«Un total de 436 corps ont été exhumés. La plupart présentent des signes de mort violente et 30 présentent des signes de torture», a indiqué Oleg Sinegoubov sur Telegram.
La Finlande a décidé de prendre des mesures pour limiter «significativement» l'entrée des citoyens russes sur son sol, a annoncé le gouvernement vendredi, après avoir déjà divisé par dix les visas de tourisme accordés.
Le pays nordique, qui voit augmenter les entrées de Russes à sa frontière terrestre depuis l'annonce par Moscou d'une mobilisation de réservistes pour la guerre en Ukraine, va «significativement restreindre l'entrée de citoyens russes et la délivrance de visas sur le fondement d'une atteinte grave à la position internationale de la Finlande», indique l'exécutif dans un communiqué.
Un civil a été tué vendredi dans une attaque russe réalisée à l'aide de drones iraniens sur la ville portuaire d'Odessa, dans le sud de l'Ukraine, a annoncé l'armée ukrainienne.
«Odessa a été attaquée par des drones kamikazes depuis la mer. Deux drones ont détruit le bâtiment de l'administration dans le port», a indiqué sur Telegram le commandement Sud de l'armée, précisant qu'un civil avait été tué et qu'un drone iranien Shahed-136 avait été abattu au-dessus de la mer.
Le nombre d’entrées de citoyens russes à la frontière finlandaise a doublé depuis l’annonce de la mobilisation militaire partielle en Russie, même s’il reste à un niveau limité, ont annoncé les gardes-frontières vendredi. La Finlande, qui s’apprête à durcir encore les conditions d’entrées des Russes munis de visas dans le pays nordique, a vu entrer «6470 Russes par la frontière terrestre jeudi», a dit un porte-parole de l’autorité.
Au début de la semaine, le niveau avoisinait les 3100, et le nombre d’entrées de jeudi est similaire à celui d’un jour de week-end, traditionnellement plus chargé. Le nombre de passages vers la Finlande dépasse nettement celui vers la Russie, mais reste toutefois relativement faible par rapport, par exemple, aux niveaux prépandémie de Covid-19, selon les gardes-frontières.

L'armée ukrainienne a annoncé vendredi avoir repris aux Russes une localité dans la région de Donetsk, dans l'Est du pays, au moment où Moscou organise des référendums d'annexion dans plusieurs régions d'Ukraine sous son contrôle.
«L'armée ukrainienne a repris Iatskivka», a annoncé à la télévision Oleksiï Gromov, un responsable de l'état-major militaire ukrainien. La prise de cette localité sur la rive orientale de la rivière Oskil semble confirmer la poursuite d'une contre-offensive qui a déjà permis à Kiev de reprendre plusieurs milliers de kilomètres carrés dans la région voisine de Kharkiv.
Pour Silvio Berlusconi, Vladimir Poutine a été «poussé» par sa population et son entourage à envahir l’Ukraine. «Poutine s’est retrouvé dans une situation vraiment difficile et dramatique», a expliqué jeudi soir, sur la Rai, le patron de Forza Italia.
«Une mission des deux républiques pro-russes du Donbass est allée à Moscou, a parlé avec tout le monde, les radios, la presse, la télévision, avec les gens du parti (de Poutine), les ministres du parti, et puis est allée le voir en délégation pour lui dire: «Zelensky a intensifié les attaques des forces ukrainiennes contre nos forces sur nos frontières. Nous sommes maintenant à 16'000 morts. S’il vous plaît défendez-nous parce que si vous ne le faites pas, nous ne savons pas ce qui va se passer», a-t-il développé.

Le bruit des tirs est assourdissant. Depuis le début de la guerre en Ukraine, le terrain d’exercice de Mezaine, dans l’ouest de la Lettonie, ne désemplit pas et le nombre de volontaires souhaitant s’engager dans la Garde Nationale a été multiplié par quatre.
«Lorsque la guerre a éclaté en Ukraine, toutes les valeurs européennes ont été mises en danger», dit, entre deux salves à balles réelles, Dita Danosa, directrice d’un centre letton de design. «J’ai vraiment senti que je ne pouvais pas rester passive et juste regarder la télévision», confie cette femme de 49 ans en tenue de combat, porte-chargeurs de cartouches attachés à sa ceinture, «j’ai décidé que la Garde Nationale était ma place».
Ancienne république soviétique revenue à l’indépendance en 1991, la Lettonie a «une histoire d’occupation». «Nous savions donc que cela pouvait arriver (…), c’est une situation qui nous touche directement», souligne-t-elle. Tout en se déclarant rassurée par l’appartenance de son pays à l’Otan et à l’Union européenne, elle dit se sentir menacée car «l’agressivité de la Russie est imprévisible».
La commission d’enquête de l’ONU sur l’Ukraine a affirmé vendredi que «des crimes de guerre ont été commis» dans le pays depuis l’invasion par la Russie en février dernier.
«Sur la base des preuves recueillies par la Commission, celle-ci a conclu que des crimes de guerre ont été commis en Ukraine», a déclaré le président de la commission, Erik Mose, lors d’un premier compte-rendu oral qui énumère les bombardements russes sur des zones civiles, de nombreuses exécutions, la torture et les mauvais traitements et les violences sexuelles.
Postée par le correspondant de la BBC à Moscou, la vidéo est déchirante: on y voit des Russes, mobilisés, rejoindre un bus pour partir faire la guerre. On peut entendre un enfant pleurer: «Papa, au revoir, reviens s'il te plaît».

Mercredi, le président Vladimir Poutine a décrété une mobilisation partielle des Russes en âge de combattre qui concernera au moins 300 000 personnes. Une annonce qui a provoqué une ruée sur les billets d'avion pour quitter le pays. L'Allemagne s'est dite jeudi, prête à accueillir des déserteurs de l'armée russe «menacés de grave répression». «Celui qui s'oppose courageusement à Poutine et se met ainsi en grand danger peut demander l'asile politique en Allemagne», a déclaré la ministre allemande de l'Intérieur, Nancy Faeser.
Des «référendums» d’annexion par la Russie ont débuté vendredi, dans des régions d’Ukraine contrôlées entièrement ou en partie par Moscou. Ces scrutins sont qualifiés de «simulacres» par Kiev et les Occidentaux.
Ces votes, qui ont débuté à 7h (heure du Luxembourg), doivent se tenir jusqu’au 27 septembre, dans les régions séparatistes pro-russes de Donetsk et Lougansk (est), et dans des zones sous occupation russe, dans les régions de Kherson et Zaporijjia (sud).

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exhorté jeudi les Russies à «protester» contre la mobilisation sur le front ukrainien annoncée par le Kremlin ou à "se rendre" aux forces de Kiev. «55 000 soldats russes ont été tués dans cette guerre en six mois. Vous en voulez davantage? Non? Alors protestez! Luttez! Fuyez! Ou rendez-vous» à l'armée ukrainienne, a-t-il lancé en russe dans son adresse vidéo traditionnelle. «Ce sont vos options pour survivre».
«Vous êtes déjà complices de tous les crimes, des meurtres et de tortures dont les Ukrainiens sont victimes. Parce que vous vous êtes tus. Parce que vous vous taisez toujours», a accusé M. Zelensky. Et d’affirmer que les autorités russes s'apprêtent à mobiliser «jusqu'à un million d'hommes». Officiellement, Moscou a annoncé la veille la mobilisation dès mercredi de 300 000 réservistes.
«C'est l'heure du choix pour vous. Pour les hommes en Russie, c'est le choix de mourir ou vivre, devenir invalide ou préserver sa santé. Pour les femmes en Russie le choix consiste à perdre à jamais leurs maris, fils, petits-fils ou à tenter quand-même de les protéger contre la mort, contre la guerre, contre le seul homme», Vladimir Poutine, a encore lancé M. Zelensky.
22.09 D'importants embouteillages ont été constatés à la frontière entre la Russie et la Finlande.
Plus de 1 300 personnes avaient été arrêtées mercredi lors de manifestations improvisées anti-mobilisation à travers toute la Russie, selon l'ONG OVD-Info. L'annonce de la mobilisation a aussi provoqué un afflux de Russes souhaitant quitter le pays, avec des files d'attente rapportées aux frontières terrestres avec plusieurs pays. Aucune estimation du nombre n'était disponible.
«Beaucoup» d'Ukrainiens remis à Kiev par Moscou à la faveur d'un important échange de prisonniers de guerre, ont été «brutalement torturés» en captivité, a affirmé jeudi un haut responsable ukrainien.
«Beaucoup d'eux ont été brutalement torturés», a déclaré lors d'une conférence de presse Kyrylo Boudanov, en charge du département du renseignement au sein du ministère de la Défense ukrainien, qui a participé à l'organisation de ce vaste échange annoncé mercredi par Kiev.
Près de 10 000 personnes se sont portées volontaires pour être mobilisées pour l'offensive en Ukraine ces dernières 24 heures, après l'annonce de Vladimir Poutine, a affirmé jeudi l'état-major russe.
«Lors de la première journée de mobilisation partielle, environ 10 000 citoyens sont arrivés par eux-mêmes aux commissariats militaires, sans attendre leur convocation», a assuré à l'agence Interfax Vladimir Tsimlianski, un porte-parole de l'état-major.
Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a appelé jeudi la communauté internationale à contraindre le président russe Vladimir Poutine à rendre des comptes pour son invasion de l'Ukraine.

«On ne peut pas laisser Poutine s'en tirer comme ça,» a déclaré le chef de la diplomatie américaine, dénonçant le fait que la Russie avait «mis en pièces l'ordre international». M. Blinken s'exprimait lors d'une réunion du Conseil de sécurité sur l'Ukraine, en présence de la Russie.
Les territoires d'Ukraine sous contrôle russe et Moscou ont affirmé jeudi que les votes d'annexion par la Russie prévus à partir de vendredi auraient bien lieu malgré le tollé international qu'ils suscitent.
La Russie, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, devrait défendre au Conseil de sécurité de l'ONU son projet d'annexion et son invasion de l'Ukraine, au lendemain de l'annonce de la mobilisation de 300 000 soldats supplémentaires et des menaces de recours à l'arme nucléaire proférées par Vladimir Poutine.

source
https://netsolution.fr/piece-de-monnaie-commemorative-lettone-de-2-euros

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