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Guerre en Ukraine: Quand Berlusconi trouve des excuses à Vladimir Poutine – L'essentiel

Le président russe Vladimir Poutine a lancé le 24 février, à l'aube, une invasion de l'Ukraine. Suivez la situation en temps réel.
23.09.2022 Des «référendums» d’annexion par la Russie ont débuté dans des régions d’Ukraine contrôlées entièrement ou en partie par Moscou. Ces scrutins sont qualifiés de «simulacres» par Kiev et les Occidentaux.
22.09 Le président Zelensky appelle les Russes à protester contre la mobilisation décrétée par le président Poutine.
22.09.2022 Au moins six personnes ont été tuées et six autres blessées dans une frappe ayant touché un marché à Donetsk, bastion des séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine, a annoncé le chef de l'administration locale pro-Moscou.
Pour Silvio Berlusconi, Vladimir Poutine a été «poussé» par sa population et son entourage à envahir l’Ukraine. «Poutine s’est retrouvé dans une situation vraiment difficile et dramatique», a expliqué jeudi soir, sur la Rai, le patron de Forza Italia.
«Une mission des deux républiques pro-russes du Donbass est allée à Moscou, a parlé avec tout le monde, les radios, la presse, la télévision, avec les gens du parti (de Poutine), les ministres du parti, et puis est allée le voir en délégation pour lui dire: «Zelensky a intensifié les attaques des forces ukrainiennes contre nos forces sur nos frontières. Nous sommes maintenant à 16'000 morts. S’il vous plaît défendez-nous parce que si vous ne le faites pas, nous ne savons pas ce qui va se passer», a-t-il développé.

Le bruit des tirs est assourdissant. Depuis le début de la guerre en Ukraine, le terrain d’exercice de Mezaine, dans l’ouest de la Lettonie, ne désemplit pas et le nombre de volontaires souhaitant s’engager dans la Garde Nationale a été multiplié par quatre.
«Lorsque la guerre a éclaté en Ukraine, toutes les valeurs européennes ont été mises en danger», dit, entre deux salves à balles réelles, Dita Danosa, directrice d’un centre letton de design. «J’ai vraiment senti que je ne pouvais pas rester passive et juste regarder la télévision», confie cette femme de 49 ans en tenue de combat, porte-chargeurs de cartouches attachés à sa ceinture, «j’ai décidé que la Garde Nationale était ma place».
Ancienne république soviétique revenue à l’indépendance en 1991, la Lettonie a «une histoire d’occupation». «Nous savions donc que cela pouvait arriver (…), c’est une situation qui nous touche directement», souligne-t-elle. Tout en se déclarant rassurée par l’appartenance de son pays à l’Otan et à l’Union européenne, elle dit se sentir menacée car «l’agressivité de la Russie est imprévisible».
La commission d’enquête de l’ONU sur l’Ukraine a affirmé vendredi que «des crimes de guerre ont été commis» dans le pays depuis l’invasion par la Russie en février dernier.
«Sur la base des preuves recueillies par la Commission, celle-ci a conclu que des crimes de guerre ont été commis en Ukraine», a déclaré le président de la commission, Erik Mose, lors d’un premier compte-rendu oral qui énumère les bombardements russes sur des zones civiles, de nombreuses exécutions, la torture et les mauvais traitements et les violences sexuelles.
Postée par le correspondant de la BBC à Moscou, la vidéo est déchirante: on y voit des Russes, mobilisés, rejoindre un bus pour partir faire la guerre. On peut entendre un enfant pleurer: «Papa, au revoir, reviens s'il te plaît».

Mercredi, le président Vladimir Poutine a décrété une mobilisation partielle des Russes en âge de combattre qui concernera au moins 300 000 personnes. Une annonce qui a provoqué une ruée sur les billets d'avion pour quitter le pays. L'Allemagne s'est dite jeudi, prête à accueillir des déserteurs de l'armée russe «menacés de grave répression». «Celui qui s'oppose courageusement à Poutine et se met ainsi en grand danger peut demander l'asile politique en Allemagne», a déclaré la ministre allemande de l'Intérieur, Nancy Faeser.
Des «référendums» d’annexion par la Russie ont débuté vendredi, dans des régions d’Ukraine contrôlées entièrement ou en partie par Moscou. Ces scrutins sont qualifiés de «simulacres» par Kiev et les Occidentaux.
Ces votes, qui ont débuté à 7h (heure du Luxembourg), doivent se tenir jusqu’au 27 septembre, dans les régions séparatistes pro-russes de Donetsk et Lougansk (est), et dans des zones sous occupation russe, dans les régions de Kherson et Zaporijjia (sud).

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exhorté jeudi les Russies à «protester» contre la mobilisation sur le front ukrainien annoncée par le Kremlin ou à "se rendre" aux forces de Kiev. «55 000 soldats russes ont été tués dans cette guerre en six mois. Vous en voulez davantage? Non? Alors protestez! Luttez! Fuyez! Ou rendez-vous» à l'armée ukrainienne, a-t-il lancé en russe dans son adresse vidéo traditionnelle. «Ce sont vos options pour survivre».
«Vous êtes déjà complices de tous les crimes, des meurtres et de tortures dont les Ukrainiens sont victimes. Parce que vous vous êtes tus. Parce que vous vous taisez toujours», a accusé M. Zelensky. Et d’affirmer que les autorités russes s'apprêtent à mobiliser «jusqu'à un million d'hommes». Officiellement, Moscou a annoncé la veille la mobilisation dès mercredi de 300 000 réservistes.
«C'est l'heure du choix pour vous. Pour les hommes en Russie, c'est le choix de mourir ou vivre, devenir invalide ou préserver sa santé. Pour les femmes en Russie le choix consiste à perdre à jamais leurs maris, fils, petits-fils ou à tenter quand-même de les protéger contre la mort, contre la guerre, contre le seul homme», Vladimir Poutine, a encore lancé M. Zelensky.
22.09 D'importants embouteillages ont été constatés à la frontière entre la Russie et la Finlande.
Plus de 1 300 personnes avaient été arrêtées mercredi lors de manifestations improvisées anti-mobilisation à travers toute la Russie, selon l'ONG OVD-Info. L'annonce de la mobilisation a aussi provoqué un afflux de Russes souhaitant quitter le pays, avec des files d'attente rapportées aux frontières terrestres avec plusieurs pays. Aucune estimation du nombre n'était disponible.
«Beaucoup» d'Ukrainiens remis à Kiev par Moscou à la faveur d'un important échange de prisonniers de guerre, ont été «brutalement torturés» en captivité, a affirmé jeudi un haut responsable ukrainien.
«Beaucoup d'eux ont été brutalement torturés», a déclaré lors d'une conférence de presse Kyrylo Boudanov, en charge du département du renseignement au sein du ministère de la Défense ukrainien, qui a participé à l'organisation de ce vaste échange annoncé mercredi par Kiev.
Près de 10 000 personnes se sont portées volontaires pour être mobilisées pour l'offensive en Ukraine ces dernières 24 heures, après l'annonce de Vladimir Poutine, a affirmé jeudi l'état-major russe.
«Lors de la première journée de mobilisation partielle, environ 10 000 citoyens sont arrivés par eux-mêmes aux commissariats militaires, sans attendre leur convocation», a assuré à l'agence Interfax Vladimir Tsimlianski, un porte-parole de l'état-major.
Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a appelé jeudi la communauté internationale à contraindre le président russe Vladimir Poutine à rendre des comptes pour son invasion de l'Ukraine.

«On ne peut pas laisser Poutine s'en tirer comme ça,» a déclaré le chef de la diplomatie américaine, dénonçant le fait que la Russie avait «mis en pièces l'ordre international». M. Blinken s'exprimait lors d'une réunion du Conseil de sécurité sur l'Ukraine, en présence de la Russie.
Les territoires d'Ukraine sous contrôle russe et Moscou ont affirmé jeudi que les votes d'annexion par la Russie prévus à partir de vendredi auraient bien lieu malgré le tollé international qu'ils suscitent.
La Russie, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, devrait défendre au Conseil de sécurité de l'ONU son projet d'annexion et son invasion de l'Ukraine, au lendemain de l'annonce de la mobilisation de 300 000 soldats supplémentaires et des menaces de recours à l'arme nucléaire proférées par Vladimir Poutine.
Viktor Medvedtchouk, un proche de Vladimir Poutine, détenu en Ukraine depuis mi-avril, a été libéré lors du plus important échange de prisonniers avec Kiev depuis le début de l'offensive russe, a confirmé jeudi un dirigeant séparatiste prorusse.

«Viktor Medvedtchouk a été libéré», a simplement indiqué à l'agence de presse russe Ria Novosti Denis Pouchiline, à la tête de la "république" autoproclamée par les séparatistes à Donetsk, dans l'est de l'Ukraine.

Cette confirmation intervient au lendemain d'un important échange de prisonniers entre Kiev et Moscou, après lequel le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait précisé que M. Medvedtchouk faisait partie des personnes libérées.

Cet ancien député, réputé proche du président russe Vladimir Poutine, avait été arrêté mi-avril par les services spéciaux ukrainiens alors qu'il était en fuite, soupçonné de trahison en faveur de Moscou.
Au moins six personnes ont été tuées et six autres blessées jeudi dans une frappe ayant touché un marché à Donetsk, bastion des séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine, a annoncé le chef de l'administration locale pro-Moscou.
«Selon les informations que l'on reçoit, six personnes sont mortes et six blessées dans le bombardement du marché Kryty», a indiqué sur Telegram Alexeï Koulemzine. Les médias séparatistes ont diffusé des images montrant un bus calciné et un cadavre ensanglanté sur la route, au milieu de bris de verre.

«Notre devoir c’est de tenir notre ligne» face au «chantage» du président russe Vladimir Poutine, a affirmé le président français Emmanuel Macron, dans un entretien à la chaîne BFMTV.
«Notre devoir c’est de tenir notre ligne, c’est-à-dire d’aider l’Ukraine comme on le fait, à protéger son territoire, jamais à pouvoir agresser la Russie. Nous ne sommes pas en guerre avec la Russie», a déclaré le chef de l’État français, qui a dit qu’il «n’aurait (pas) quelque propos qui participerait d’une escalade».

Le Royaume-Uni continuera de fournir une aide militaire à l’Ukraine jusqu’à sa victoire contre la Russie, a promis mercredi soir la nouvelle Première ministre britannique Liz Truss devant l’Assemblée générale de l’ONU.
«À ce moment critique du conflit, je promets que nous maintiendrons ou augmenterons notre soutien militaire à l’Ukraine aussi longtemps qu’il le faudra (…) Nous ne serons tranquilles que lorsque l’Ukraine aura triomphé», a assuré Mme Truss, à la tribune des Nations unies.
Plus tôt mercredi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, dans un message vidéo diffusé lors de l’Assemblée générale, a plaidé avec force pour un «juste châtiment» contre la Russie, que le président américain Joe Biden a accusé d’avoir «violé de manière éhontée» les principes des Nations unies.
Le Haut représentant de l’UE pour la politique étrangère Josep Borrell a affirmé mercredi soir que les 27 examinaient de nouvelles sanctions contre la Russie après «l’escalade» annoncée par Moscou.
M. Borrell a fait cette déclaration à l’issue d’une réunion extraordinaire informelle des ministres des Affaires étrangères de l’UE à New York au cours de laquelle ils ont adopté une déclaration condamnant «avec force la dernière escalade de la Russie».
«Nous allons continuer à augmenter notre aide militaire et étudier de nouvelles mesures restrictives» contre la Russie, a-t-il affirmé.
L’Ukraine a annoncé mercredi, l’échange avec la Russie de 215 militaires, un record, dont des chefs de la défense de l’aciérie Azovstal, dans la ville de Marioupol, symbole de la résistance à l’invasion russe.
«Nous avons réussi à libérer 215 personnes», a déclaré à la télévision, le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exigé mercredi, devant l’ONU, un «juste châtiment» contre la Russie, dénonçant avec force l’invasion de son pays par les troupes russes et appelant à la mise en place d’un tribunal spécial.
«Un crime a été commis contre l’Ukraine et nous exigeons un juste châtiment», a déclaré le président Zelensky en s’adressant via un message vidéo à l’Assemblée générale de l’ONU à New York. Il a également estimé que la Russie devrait être privée de son droit de veto au Conseil de sécurité.
La Turquie a condamné mercredi les référendums d'annexion «illégitimes» de la Russie dans quatre régions sous son contrôle en Ukraine.
«De tels faits accomplis illégitimes ne seront pas reconnus par la communauté internationale», a affirmé le ministère turc des Affaires étrangères dans un communiqué
Le commandant en chef de l'armée ukrainienne, Valery Zaloujny, a promis mercredi de «détruire» les Russes qui se rendront en Ukraine pour combattre, y compris ceux qui seront mobilisés après le décret du président russe Vladimir Poutine.
«Nous détruirons tous ceux qui viennent sur notre territoire avec des armes à la main — que ce soit volontairement ou par mobilisation», a écrit sur Facebook M. Zaloujny, qui s'exprime rarement dans les médias.
La situation à la centrale ukrainienne de Zaporijjia «se dégrade encore», a averti mercredi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, alors que les Ukrainiens ont accusé la Russie de l'avoir à nouveau bombardée.
«La situation se dégrade encore et on ne peut pas se permettre le luxe d'attendre que quelque chose de catastrophique se produise», a déclaré M. Grossi après une réunion sur la situation à la représentation française auprès de l'ONU, ouverte par le président Emmanuel Macron.
«Tant qu'il y aura des bombardements qui continuent, les risques sont énormes», a-t-il ajouté.

source
https://netsolution.fr/piece-de-monnaie-commemorative-lettone-de-2-euros

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