Consulter
le journal
Mark Zuckerberg dans le gouffre du métavers
Les Etats-Unis sanctionnent l’ensemble de l’industrie chinoise des semi-conducteurs
Prix de l’énergie : « Une partie de l’industrie européenne craint de ne plus avoir beaucoup d’avenir en Europe »
« L’Etat pourrait modifier le partage de la valeur ajoutée en faveur des revenus du travail en instaurant un bouclier salarial »
Comment faire de l’art avec du noir : Pierre Soulages expliqué en vidéo
La défense ukrainienne prépare ses tranchées à l’arrivée de l’hiver
La crise énergétique peut-elle mener à un black-out en France cet hiver ?
Pourquoi y a-t-il une pénurie de médecins en France ?
Editorial du « Monde » : Emmanuel Macron, en retard d’une vision
Des raffineurs au PDG de TotalEnergie, la difficile définition du « juste » salaire
Frédéric Graber : « L’enquête publique s’apparente de nos jours à une formalité administrative »
« La visite du pape François à Bahreïn risque de légitimer la politique discriminatoire du roi Hamad »
« Les Aventures de Gigi la Loi » : quand un policier se fait son cinéma
Giuliano da Empoli lauréat du grand prix de l’Académie française
Dans « Club Première », sur Paris Première, Laurent Ruquier veut donner envie
« La Jeune Fille à la perle » de Johannes Vermeer pris pour cible par des militants écologistes
Vins d’Alsace : la sélection du « Monde »
La saine tradition viticole des Hospices de Strasbourg
Sébastien Tantot, un aubergiste en quête de sens
Toussaint : mamie repose en paix dans le placard de l’entrée
Services Le Monde
Services partenaires
Service Codes Promo
Suppléments partenaires
L’Occident joue un « jeu dangereux, sanglant et sale », mais devra entamer des discussions avec la Russie, a déclaré le président russe. Le président américain Joe Biden n’a « aucune intention de s’asseoir » et discuter avec lui, a rétorqué la Maison Blanche.
La Maison Blanche a expliqué jeudi que Joe Biden n’avait « aucune intention » de conduire un entretien bilatéral avec Vladimir Poutine lors du sommet du G20 auquel les deux dirigeants doivent assister en novembre à Bali, en Indonésie. Le président américain avait déjà annoncé qu’il n’avait « aucune intention » d’y rencontrer le prince saoudien Mohammed Ben Salman.
La Chine pose un risque « fondamental » pour la sécurité des Etats-Unis pendant les décennies à venir, tandis que la Russie représente une « menace aiguë », estime le Pentagone dans sa nouvelle stratégie de défense publiée jeudi, pour la première fois de concert avec la nouvelle stratégie nucléaire des Etats-Unis.
Le danger le plus profond et le plus grave pour la sécurité nationale des Etats-Unis, ce sont les efforts coercitifs et de plus en plus agressifs de la Chine pour refaçonner la région Indo-Pacifique et le système international conformément à ses intérêts et ses préférences autoritaires. La rhétorique de plus en plus provocatrice et les activités coercitives de la Chine à l’encontre de Taïwan sont déstabilisantes, risquent d’entraîner des malentendus, et menacent la paix et la stabilité dans le détroit de Taïwan.
La nouvelle stratégie américaine « cherche à empêcher une domination de la Chine sur des régions-clés tout en protégeant le territoire américain et en renforçant un système international stable et ouvert », ajoute le Pentagone, qui précise cependant qu’« un conflit avec la Chine n’est ni inévitable ni désirable ».
Quant à la Russie, elle pose un risque « aigu » qui a été « démontré le plus récemment par l’invasion injustifiée de l’Ukraine », selon le document. « L’invasion de l’Ukraine par la Russie souligne que le danger nucléaire persiste et pourrait s’aggraver, dans un contexte géopolitique de plus en plus concurrentiel et instable. »
Les Etats-Unis considèrent que leurs armes nucléaires sont destinées à « dissuader toute forme d’attaque stratégique », y compris conventionnelle, a également prévenu le Pentagone. « Cela inclut l’emploi d’une arme nucléaire, quelle que soit sa puissance, et cela inclut des attaques très importantes de nature stratégique avec l’usage de moyens non nucléaires », a précisé à la presse un haut responsable du ministère américain de la défense, expliquant que cette nouvelle approche est destinée à « compliquer la prise de décision » de l’adversaire.
Quatre femmes proches de prisonniers de guerre ukrainiens doivent rencontrer jeudi à Genève des représentants du bureau des droits de l’homme de l’ONU et du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) pour leur demander une mobilisation accrue. Avant cela, ces femmes – épouse, fille ou mère de prisonniers de guerre – ont rencontré quelques journalistes, mais ont souhaité garder l’anonymat pour des raisons de sécurité. Elles étaient accompagnées de Hanna Zamazieieva, représentante de la délégation ukrainienne auprès du Congrès du Conseil de l’Europe. « Nous aimerions appeler [l’ONU et le CICR] à l’action », a expliqué en ukrainien Mme Zamazieieva, qui est également à la tête du conseil régional de Mykolaïv (sud de l’Ukraine).
Les familles demandent également la libération rapide des personnes non combattantes et la mise en place d’un mécanisme de communication avec les prisonniers de guerre. « En ce qui concerne le CICR, nous aimerions leur demander en outre d’aller sur place inspecter et de s’assurer du respect des conditions de détention. Nous aimerions leur demander d’agir rapidement et de s’impliquer davantage dans le processus », a souligné la responsable ukrainienne.
Les députés russes ont approuvé jeudi les amendements à la loi autorisant la mobilisation des anciens détenus qui ont été condamnés pour des crimes graves, lesquels pourront désormais être envoyés combattre en Ukraine. Il s’agit notamment des personnes qui sont sorties de prison il y a moins de huit ans (pour « crimes graves ») ou il y a moins de dix ans (pour les « crimes particulièrement graves »).
Jusqu’ici, la loi sur la mobilisation décrétée en septembre par le président russe, Vladimir Poutine, interdisait de recruter ce type d’ex-détenus. Désormais, seuls ceux qui ont été condamnés pour pédophilie, prise d’otage ou attentat, trafic de matériaux radioactifs, espionnage ou haute trahison ne pourront pas être mobilisés, selon les amendements votés jeudi par la Douma, chambre basse du Parlement russe.
Les députés ont également voté jeudi la loi réglementant le statut de volontaires censés « assister les forces armées » lors des conflits armés ou des opérations antiterroristes, dans le pays et en dehors de ses frontières. Selon cette loi, ils auront notamment « le même statut que les militaires contractuels ». « C’est juste : ils défendent notre pays », a souligné le président de la Douma, Viatcheslav Volodine, dans un communiqué.
Les promesses d’aide à l’Ukraine de la part des Etats-Unis et de l’Union européenne s’annoncent « suffisantes » pour 2023, a estimé jeudi la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Georgieva, en marge d’une conférence organisée par la Commission européenne à Bruxelles.
Lors de la réunion du Club de discussion Valdaï, qui se tient jeudi à Moscou, le président russe a blâmé le « soi-disant Occident » pour l’escalade des événements en Ukraine. L’Occident joue un « jeu dangereux, sanglant et sale » dans la guerre en Ukraine mais devra tôt ou tard entamer des discussions avec la Russie face à la crise systémique déclenchée par les événements internationaux des derniers mois, a estimé Vladimir Poutine.
Le président russe s’est par ailleurs livré à une virulente charge contre les Etats-Unis et leurs alliés, qu’il a accusés de chercher à contenir le développement d’autres civilisations et d’être « aveuglés » par le colonialisme. « L’Occident n’est pas en mesure de diriger le monde, mais il essaye désespérément, et la plupart des peuples du monde ne peuvent l’accepter », a-t-il affirmé, jugeant dès lors que le monde est en « situation révolutionnaire ». Selon lui, l’assaut contre l’Ukraine s’inscrit dans ce « changement tectonique de tout l’ordre mondial ».
« La Russie ne défie pas l’Occident, la Russie défend juste son droit à exister », a-t-il encore déclaré, accusant Américains et Occidentaux de vouloir « détruire, effacer [la Russie] de la carte ». Selon lui, le monde entre dans sa décennie « la plus dangereuse, la plus importante, la plus imprévisible » depuis la seconde guerre mondiale.
Vladimir Poutine a également estimé que l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA) devrait se rendre « au plus vite » en Ukraine, le président russe accusant ce pays voisin d’effacer les preuves démontrant qu’il prépare une « bombe sale ».
Après de nouvelles frappes russes sur des infrastructures énergétiques, la consommation d’électricité va être encore plus restreinte dans les régions du centre de l’Ukraine, a annoncé jeudi un conseiller de la présidence ukrainienne.
Sont concernées les régions de la capitale, Kiev, Tchernihiv, Tcherkassy et Jytomyr, a expliqué Kirill Timoshenko, sans préciser si les frappes avaient fait des victimes. « De telles mesures permettent aux compagnies énergétiques de réparer rapidement les installations endommagées et de maintenir l’équilibre du système » de production d’électricité, a précisé l’opérateur ukrainien Ukrenergo.
Les retombées de l’invasion de l’Ukraine par la Russie dévoilent au grand jour les contradictions entre l’aspiration des pays africains à une autonomie stratégique et la solidarité avec un pays européen agressé que réclament leurs partenaires occidentaux.
La 8e édition du Forum international de Dakar, conférence de dirigeants et d’experts sur la sécurité en Afrique, qui s’est tenue cette semaine, s’est fait l’écho de ces incompréhensions réciproques.
« L’Afrique n’est pas contre l’Ukraine, il ne faut pas qu’on ait l’impression que les Africains sont insensibles à la situation de l’Ukraine. Ce n’est pas ça du tout », a assuré l’hôte du Forum, le chef de l’Etat sénégalais Macky Sall, président en exercice de l’Union africaine (UA). « Mais les Africains disent que, au moment où l’Ukraine est en guerre, est envahie, est agressée, l’Afrique est en permanence agressée par le terrorisme », a-t-il argué.
Il a aussi déploré le manque de solidarité internationale avec le continent face à la crise économique et aux maladies, donnant le ton de beaucoup d’interventions de dirigeants africains.
Une disparité dont s’est également ému le ministre malien des affaires étrangères, Abdoulaye Diop, représentant d’un régime dominé par des colonels qui s’est retiré des instances du G5 Sahel, trop sensible selon lui aux « pressions françaises ». « Pour l’Ukraine, où on demande à l’Afrique de prendre position, en quelques jours, plus de huit milliards ont été mobilisés, a-t-il déclaré. C’est la politique de deux poids, deux mesures. Toutes les vies humaines, noires, blanches, rouges et jaunes se valent. »
Le ministre de la défense ukrainien, Oleksii Reznikov, a déclaré jeudi sur Twitter avoir eu une « conversation productive » avec Margarita Robles, son homologue espagnole qu’il a remerciée pour son « soutien » et « pour être la première à fournir des systèmes Hawk », (acronyme de Homing All the Way Killer, ou « tueur autoguidé tout au long de sa route ») à l’Ukraine pour l’aider à se défendre contre les attaques de drones et de missiles de croisière russes.
Le Kremlin accuse l’Ukraine de s’être retirée des négociations de paix avec la Russie en mars à la demande des Etats-Unis, a déclaré aujourd’hui Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, cité par l’agence de presse russe TASS. « Le texte était en fait prêt. (…) Et puis, tout à coup, la partie ukrainienne a disparu des radars, [elle] a déclaré qu’elle ne voulait plus poursuivre les négociations », a déploré le porte-parole de Vladimir Poutine, ajoutant que le président russe avait jugé « évident » qu’« un tel rejet des accords déjà convenus se soit clairement produit sur ordre de Washington ».
Mercredi, le Bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo, président en exercice de la Cédéao, avait affirmé à Kiev que Vladimir Poutine, à qui il avait rendu visite la veille, « avait exprimé l’idée qu’il était prêt à négocier avec le président Zelensky ». Interrogé sur ces propos, M. Peskov a assuré que la Russie était « prête à garantir ses intérêts à la table des négociations ». « Nous le voulons, mais dans ce cas précis nous parlons d’une totale réticence de la part de l’Ukraine », a-t-il regretté, précisant qu’« il n’y avait pas de message spécifique » en plus à destination de la présidence ukrainienne. Volodymyr Zelensky a pour sa part rapidement balayé toute possibilité de discussions avec Moscou, dénonçant « la rhétorique préparée » de Vladimir Poutine. Il avait été encore plus catégorique à la fin de septembre, lorsqu’il a déclaré que l’Ukraine ne négocierait pas avec la Russie tant que Vladimir Poutine est président.
Les pourparlers entre Kiev et Moscou sont au point mort depuis le mois de mars, les deux parties se rejetant mutuellement la responsabilité de cette impasse.
Lors d’une intervention devant une commission des Nations unies, Konstantin Vorontsov, le directeur adjoint du département chargé de la non-prolifération et de la maîtrise des armements du ministère des affaires étrangères russe, a jugé que l’utilisation de satellites occidentaux pour soutenir l’effort de guerre des Ukrainiens constituait « une tendance extrêmement dangereuse », rapporte l’agence de presse russe TASS.
Qualifiant de « provocateur » le recours à ces satellites pour aider l’Ukraine, M. Vorontsov a précisé que ces « infrastructures quasi civiles pourraient constituer une cible légitime pour des frappes de représailles », a-t-il averti, toujours selon l’agence TASS. « Nous parlons de l’implication, par les Etats-Unis et leurs alliés, de composants d’infrastructures spatiales civiles, notamment commerciales, dans des conflits armés », a-t-il poursuivi, sans citer explicitement d’opérateur de satellites.
Le 15 novembre 2021, la Russie avait effectué un tir antisatellite contre l’un de ses vieux satellites qui n’était plus opérationnel, ravivant le spectre de la guerre spatiale.
Le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, a prévenu la Russie des conséquences auxquelles le pays s’exposerait s’il utilisait une arme nucléaire dans la guerre en Ukraine. « Nous l’avons communiqué très clairement et directement aux Russes, y compris au président Poutine », a déclaré M. Blinken lors d’un entretien dans les bureaux de Bloomberg à Washington. M. Blinken a ajouté que les assertions de la Russie sur l’utilisation par l’Ukraine d’une prétendue « bombe sale » était encore « une autre invention » et que la Russie avait « l’habitude de projeter », c’est-à-dire d’attribuer à d’autres des comportements qu’elle envisage elle-même. Il a déclaré que cette rhétorique était « irresponsable ».
Bonjour Caline,
La guerre n’est pas encore finie. Mais l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a commencé à s’intéresser au sujet au début de l’été (« Conséquences environnementales de la guerre en Ukraine et perspectives pour une reconstruction verte »), tout comme l’université Yale, à la fin d’août. Elle passe en revue la destruction des espaces protégés, les incendies, les espèces menacées et les risques liés aux combats à proximité de la centrale de Zaporijia.
Dans son allocution de mercredi soir, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a affirmé que l’Ukraine a abattu près de 250 hélicoptères russes depuis le début de la guerre. « Les occupants russes ont déjà perdu plus d’équipement – avions et autres – que n’en comptent et n’en compteront jamais la plupart des armées du monde. La Russie ne sera pas en mesure de récupérer ces pertes. »
Ces propos du président font en partie écho à l’analyse du ministère de la défense britannique qui écrivait, mardi, que les Russes ont perdu au moins « 23 hélicoptères d’attaque russes Ka-52 [le site Oryxspioenkop montre les débris des appareils détruits mais ne totalise que 54 hélicoptères dont 23 Ka-52, 63 avions de combat et 141 drones] en Ukraine depuis l’invasion. Cela représente plus de 25 % de leur flotte de 90 Ka-52 et près de la moitié des pertes totales d’hélicoptères russes en Ukraine ». Ils ont particulièrement souffert des missiles sol-air portatifs. Selon le ministère de la défense britannique, les forces russes n’ont pas la supériorité aérienne qui leur permettrait d’assurer un appui aérien rapproché efficace près de la ligne de front. Les Russes en sont réduits à utiliser leurs hélicoptères pour des missions risquées, pour soutenir leurs troupes. Les forces ukrainiennes affirment avoir abattu, jeudi, un avion d’attaque au sol Su-25 et un hélicoptère d’attaque Ka-52.
La centrale thermique de la ville de Balaklava, à proximité de Sébastopol, a été attaquée par un drone cette nuit, affirme Mikhaїl Razvojaїev, le gouverneur de Sébastopol, sur Telegram.
« L’un des transformateurs, qui était en maintenance et ne fonctionnait pas, a pris feu. Les employés de la centrale électrique se sont rapidement attaqués au feu. Le transformateur a été très peu endommagé. Il n’y a pas eu de victimes. L’incident n’a aucun impact sur l’alimentation électrique de Sébastopol et de la péninsule », écrit-il.
Un dépôt de pétrole dans la ville de Chakhtarsk, dans la « république populaire de Donetsk » (RPD) est en feu. Vitali Khotsenko, le chef de l’administration de la RPD, a expliqué à l’agence de presse TASS que douze réservoirs de carburant avaient été endommagés près de la gare ferroviaire à la suite d’un bombardement par les troupes ukrainiennes. Le maire de la ville, Alexander Shatov, a affirmé que les troupes ukrainiennes avaient bombardé la gare de Chakhtarsk, provoquant l’incendie, rapporte l’agence de presse russe.
Un mélange de sentiments souffle le chaud et le froid sur les centaines de volontaires tchétchènes du bataillon Djokhar-Doudaïev qui combattent l’invasion russe au côté de l’armée ukrainienne.
Cela s’est traduit par une victoire, si importante à leurs yeux, lorsque la Rada d’Ukraine (le Parlement) a reconnu, le 18 octobre, l’indépendance de la république tchétchène d’Itchkérie, « temporairement occupée par la Russie ».
L’Ukraine est le premier pays à faire cette démarche diplomatique en réponse à l’annexion illégale de plusieurs de ses propres régions par Moscou : en ligne de mire, un affaiblissement de Moscou et l’espoir de faire renaître l’Itchkérie, la Tchétchénie indépendante.
Live animé par Clémence Apetogbor et Solène L’Hénoret
Retrouvez notre direct d’hier en cliquant sur ce lien.
Lire tous nos articles, analyses et reportages sur la guerre en Ukraine
Reportage. En Ukraine, un bataillon tchétchène se bat « contre l’impérialisme russe »
Portrait. Elvira Vikhareva, opposante russe envers et contre tout
Actu. « Bombe sale » : au-delà des accusations entre Kiev et Moscou, de quoi s’agit-il ?
Témoignages. Journal de deux sœurs ukrainiennes : « Je suis devant mon ordinateur, je jette un œil au ciel bleu et, d’un coup, j’entends un sifflement strident, je vois le missile passer dans le cadre de ma fenêtre »
Chronique. Gilles Paris : « Le spectre de l’“America first” », le slogan de Donald Trump, est venu flotter sur le conflit ukrainien »
Décryptages. « L’armée ukrainienne est une armée MacGyver » : l’ingéniosité des forces ukrainiennes contre les troupes russes
Factuel. Les réponses du « Monde » à vos questions les plus fréquentes
Lecture du Monde en cours sur un autre appareil.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Newsletters du monde
Applications Mobiles
Abonnement
Suivez Le Monde