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Selon l’armée ukrainienne, plus de quarante missiles ont été interceptés par la défense antiaérienne, dont vingt au-dessus de Kiev. Ces missiles « de haute précision » ont été tirés à partir d’avions, de bateaux et de sous-marins, et visaient des installations énergétiques.
Le gouvernement suédois a promis, jeudi, près de 20 millions de couronnes suédoises (1,8 million d’euros) à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) pour soutenir sa mission de sécurité nucléaire en Ukraine. « En raison de l’agression de la Russie, nous avons assisté à plusieurs attentats à proximité immédiate de centrales nucléaires au cours de l’année écoulée, ce qui pose des risques très importants. Il est urgent de renforcer l’important travail de l’AIEA pour maintenir et améliorer la sûreté des centrales nucléaires ukrainiennes », a déclaré le ministre de la coopération internationale au développement et du commerce extérieur suédois, Johan Forssell, dans un communiqué.
« L’effort spécifique concerne le financement des missions critiques de sûreté et de sécurité nucléaires de l’AIEA à la centrale nucléaire de Zaporijia et aux autres centrales nucléaires, y compris la centrale déclassée de Tchernobyl », a-t-il ajouté.
« Nous devons être bien plus robustes [face à la Chine] », a déclaré jeudi le sénateur démocrate Bob Menendez, qui préside la commission des affaires étrangères du Sénat, évoquant « des preuves que des entreprises chinoises fournissent de la technologie à double usage, dont des semi-conducteurs » qui peuvent être utilisés, par exemple, pour guider les missiles. « Il me semble que nous ne devrions pas abandonner le potentiel de sanctions contre la Chine si elle fournit une assistance cruciale. Elle ne devrait pas pouvoir se cacher derrière des entreprises », a-t-il affirmé.
Son collègue républicain James Risch a estimé, quant à lui, que la Chine agissait « en toute impunité » et qu’il fallait « renforcer les sanctions » contre les entreprises chinoises. Les sénateurs s’exprimaient lors d’une audition sur la guerre en Ukraine de plusieurs responsables gouvernementaux, dont la secrétaire d’Etat adjointe chargée des affaires politiques, Victoria Nuland. « Nous sommes d’accord », a-t-elle répondu aux parlementaires en soulignant que les Etats-Unis n’hésitaient pas à en faire part aux autorités chinoises au plus haut niveau à chaque occasion.
« Toute exacerbation de la guerre risque de provoquer de nouveaux déplacements, d’une manière ou d’une autre, et nous devons nous y préparer », a averti jeudi Filippo Grandi, le haut-commissaire de l’ONU pour les réfugiés, lors d’un entretien avec l’Agence France-Presse à Kiev. « Comme nous l’avons vu partout, à Marioupol, à Kherson, chaque fois que les combats s’intensifient, les gens vont naturellement essayer de se mettre à l’abri », poursuit-il, en référence à deux grandes batailles de l’invasion russe de l’Ukraine, lancée en février 2022. M. Grandi a ajouté :
« Nous disons au gouvernement ukrainien, mais aussi aux gouvernements des pays voisins, d’être prêts, de se préparer à toute éventualité. »
Les surfaces semées ont diminué et la récolte de céréales et d’oléagineux en Ukraine devrait encore baisser en 2023, pour atteindre « 53 millions de tonnes », contre 65 millions en 2022, selon les estimations de l’Association céréalière ukrainienne. « Nous sommes en guerre. Nous continuons à produire des céréales, mais les récoltes vont baisser. Pour les agriculteurs, ce n’est plus rentable de produire des céréales », a déclaré jeudi Nikolay Gorbachov, président de l’Association ukrainienne des producteurs de grains lors d’une conférence sur les céréales organisée par Argus Media à Paris.
Il a souligné que les agriculteurs ukrainiens ne retiraient en bout de chaîne que 80 dollars (73 euros) par tonne de maïs, alors que le grain jaune s’échange autour de 300 dollars sur les marchés, essentiellement du fait de la hausse considérable du coût du transport. Si l’ouverture d’un corridor maritime pour les exportations ukrainiennes, après un accord signé à la fin de juillet par Kiev et Moscou sous l’égide de l’ONU et de la Turquie, a permis de sortir près de 20 millions de tonnes de produits agricoles, cela n’est pas suffisant, d’après Nikolay Gorbachov.
L’Ukraine a menacé jeudi de boycotter les Jeux olympiques prévus en 2024 à Paris si les athlètes russes et biélorusses y étaient conviés. Cette dernière éventualité a été évoquée jeudi par la maire de Paris, Anne Hidalgo, qui a dit souhaiter une participation des sportifs russes sous bannière neutre. Le Comité international olympique (CIO) a, pour sa part, dessiné mercredi une feuille de route pour les réintégrer dans le sport mondial.
« Une telle situation est inacceptable pour notre Etat », a réagi jeudi le ministre des sports ukrainien, Vadym Houttsaït. Selon lui, Kiev fait actuellement pression sur le CIO et d’autres organisations internationales pour obtenir le bannissement des Russes et Biélorusses des Jeux olympiques. « Notre position reste inchangée : tant que la guerre continue en Ukraine, les athlètes russes et biélorusses ne devraient pas participer aux compétitions internationales », a poursuivi M. Houttsaït sur Facebook. « Si nous ne sommes pas entendus, je n’exclus pas la possibilité que nous boycottions et refusions de participer aux Jeux olympiques », a-t-il ajouté.
Plusieurs pays, dont la Grande-Bretagne et le Danemark, se sont opposés jeudi à l’initiative du CIO de trouver un « chemin » afin de permettre aux athlètes russes de participer aux Jeux olympiques de Paris en 2024, en dépit de l’invasion de l’Ukraine. Le CIO avait expliqué mercredi que les moyens de les y autoriser devaient être « explorés davantage ».
« Aucun athlète ne devrait être interdit de compétition seulement à cause de son passeport », avait estimé le comité.
La ministre de la défense canadienne a annoncé, jeudi, lors d’une conférence de presse que « ces quatre chars sont prêts au combat et seront déployés [en Ukraine] dans les semaines à venir ». Anita Anand a précisé que le nombre de chars livrés pourrait « augmenter » à l’avenir.
Bonsoir, Organisé,
Nous ne disposons pas encore de cette information, mais la livraison de ces véhicules lourds va prendre du temps. Avant l’annonce de la chancellerie allemande, le patron de Rheinmetall, le constructeur du Leopard 2, avait expliqué qu’il serait impossible de livrer les chars stockés avant la fin de 2023. Il faudrait, en effet, plusieurs mois pour réparer, repeindre et préparer les machines au combat, au prix de centaines de millions d’euros, que Rheinmetall ne peut pas engager tant qu’une commande ferme n’est pas passée, avait-il précisé. De la même manière, les Américains ont affirmé que l’acheminement des chars Abrams jusqu’en Ukraine pourrait prendre plusieurs années. Le processus de livraison d’armes mis en place par les alliés, gardé secret depuis le début du conflit, semble fonctionner, puisque les Russes n’ont pas, jusqu’à présent, détruit de convoi important d’armes occidentales.
Toutefois, le Royaume-Uni, qui a été le premier pays à annoncer, dès le 14 janvier, qu’il fournirait à Kiev des chars lourds, compte faire parvenir pour la fin mars ses chars Challenger 2, a déclaré jeudi le secrétaire d’Etat à la défense, Alex Chalk. D’ici là est prévu un « important programme d’entraînement » pour les militaires ukrainiens qui utiliseront ces tanks, mais également pour ceux qui seront chargés de les entretenir. Ce programme doit commencer dès lundi, a-t-il précisé.
Pour en savoir plus sur la livraison des chars lourds à Kiev, vous trouverez des informations complémentaires dans cet article de Jean-Philippe Lefief et Sandra Favier :
Le ministre de l’intérieur par intérim, Ihor Klymenko, la secrétaire d’Etat par intérim du ministère de l’intérieur, Inna Iachtchouk, ainsi que d’autres représentants du ministère, des amis et collègues, et des proches des victimes, se sont rendus jeudi matin au cimetière Baïkove, à Kiev, pour rendre hommage aux dirigeants et employés du ministère de l’intérieur morts le 18 janvier à Brovary, a déclaré la police nationale sur Telegram. Denys Monastyrsky, son premier adjoint Yevhenii Yenin, le secrétaire d’Etat du ministère de l’intérieur, Iouri Loubkovytch, et d’autres employés du ministère de l’intérieur étaient dans l’hélicoptère qui s’est écrasé près d’une école maternelle dans la région de Kiev.
Dans l’après-midi, un service commémoratif et un service de prière ont été organisés à la cathédrale Sainte-Sophie de Kiev.
Le département du Trésor américain a annoncé, jeudi, avoir placé le groupe paramilitaire russe Wagner, fondé par Evgueni Prigojine – proche du président Vladimir Poutine –, sur la liste noire des « organisations criminelles transnationales » dans le cadre de sanctions visant des dizaines de personnes et d’entités liées au pouvoir russe. Dans un communiqué, le Trésor souligne :
« Le personnel de Wagner se livre de manière régulière à des activités criminelles graves, notamment à des exécutions massives, des viols, des enlèvements d’enfants et des violences physiques en République centrafricaine [RCA] et au Mali. »
Les nouvelles sanctions prévoient le gel des avoirs que le groupe paramilitaire pourrait détenir aux Etats-Unis et interdit aux ressortissants américains de lui fournir des financements, des biens ou des services. Les autorités américaines ciblent aussi d’autres entités qu’elles disent liées aux activités militaires du Groupe Wagner, dont une société chinoise, Changsha Tianyi Space Science and Technology Research Institute, qui commercialise notamment des microsatellites.
Le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby, a déclaré la semaine dernière que Vladimir Poutine se reposait de plus en plus sur le Groupe Wagner pour obtenir des victoires en Ukraine, ce qui crée, selon Washington, des tensions au sein de l’appareil militaire russe. « Wagner est en train de devenir un centre de pouvoir rival de l’armée russe et d’autres ministères », a-t-il souligné.
Deux civils ont été tués, jeudi après-midi, dans un bombardement à Dvoritchna, a annoncé le gouverneur de l’oblast de Kharkiv. « Les détails concernant les victimes et l’étendue des dégâts sont en cours de clarification », a précisé Oleh Synehoubov sur Telegram.
Trois personnes ont été tuées et sept ont été blessées, lors d’une attaque dans la nuit de jeudi à Zaporijia, a annoncé le bureau du procureur général d’Ukraine sur Telegram. « Des équipements techniques et des bâtiments ont été endommagés. Après l’explosion, un incendie s’est déclaré sur le site de l’entreprise, qui est maintenant éteint. Vers 10 heures, pendant l’enquête et l’opération de recherche et de sauvetage sur les lieux, l’installation a été à nouveau bombardée. Les données sur les victimes sont en cours de clarification », a-t-il précisé.
La justice russe a déclaré « indésirable » le média indépendant Meduza en Russie, entrouvrant la voie à des poursuites pénales contre ses journalistes. Meduza, journal populaire en langue russe, publié en ligne, désormais situé en Lettonie pour échapper à la censure, a été lancé en mars 2014. Depuis près d’un an, ses articles critiquent largement l’invasion de l’Ukraine par la Russie et la répression envers la société civile russe.
Le parquet a expliqué dans un communiqué avoir « établi que son activité représente une menace pour les fondements de l’ordre constitutionnel et de la sécurité de la Russie ». En avril 2021, le ministère de la justice russe avait déjà classé Meduza « agent de l’étranger », un sigle infamant qui complique son travail. La décision annoncée jeudi interdit, elle, de fait l’existence du média en Russie.
« Le pouvoir russe a peur de la vérité, a peur que de plus en plus de gens en Russie apprennent la vérité sur ce qui se passe », a dénoncé le rédacteur en chef de la chaîne d’opposition Dojd, Tikhon Dzyadko, dont le média a également quitté le pays.
En Russie, toute participation à des activités d’un média déclaré « indésirable » est passible d’une peine allant jusqu’à quatre ans de prison pour les journalistes et jusqu’à six ans de prison pour ses organisateurs. Même la publication des articles de Meduza sur les réseaux sociaux par des internautes peut potentiellement être vue comme une « participation » à ses activités et peut entraîner des poursuites judiciaires.
Au moins onze personnes ont été tuées, et onze autres, blessées, lors des nouvelles frappes russes, a annoncé le service d’Etat pour les situations d’urgence. Oleksandr Khorounjy, leur porte-parole, a précisé que onze régions avaient été touchées au total.
Selon Kiev, la Russie a tiré jeudi une trentaine de missiles et lancé des dizaines de drones contre son voisin, notamment, comme c’est le cas depuis octobre, sur les installations énergétiques.
Le ministère des affaires étrangères français a réagi aux propos tenus par Moscou au sujet de la décision occidentale d’envoyer des chars lourds à Kiev. Le Kremlin a dénoncé « l’engagement direct » des Occidentaux dans le conflit par la livraison annoncée de chars allemands et américains.
« Nous répondons très clairement que nous ne sommes pas en guerre avec la Russie, et aucun de nos partenaires ne l’est », a déclaré la porte-parole du Quai d’Orsay, Anne-Claire Legendre, lors d’un point de presse. « La livraison d’équipements militaires dans le cadre de l’exercice de [la] légitime défense [de l’Ukraine] (…) ne constitue pas une cobelligérance », a-t-elle précisé. « Nous démentons ces propos tenus par le Kremlin. »
Plusieurs chancelleries occidentales ont insisté sur le caractère défensif de ces chars, afin de désamorcer la colère de Moscou. Annalena Baerbock, la ministre des affaires étrangères allemande, a dit : « Nous combattons dans une guerre contre la Russie et non entre nous ». Hier, Joe Biden a déclaré que ces livraisons et l’aide militaire s’inscrivent dans le cadre « de l’engagement de pays à travers le monde, menés par les Etats-Unis, à aider l’Ukraine à défendre sa souveraineté et son intégrité territoriale (…). Il ne s’agit pas d’une menace offensive contre la Russie ».
Selon des données provisoires publiées aujourd’hui par le ministère de l’intérieur, 65 833 exilés ukrainiens, hors mineurs, étaient recensés sur le sol français à la fin de 2022, dont 75 % de femmes. La majorité des arrivées en provenance d’Ukraine ont été recensées avant le début du conflit ou pendant les premières semaines de l’invasion russe, avec 50 000 protections temporaires accordées jusqu’en avril.
La Grande-Bretagne espère que les quatorze chars Challenger 2 qu’elle fournit à l’Ukraine arriveront dans le pays à la fin du mois de mars, a déclaré jeudi le ministre de la défense, Alex Chalk, rapporte l’agence Reuters. « L’idée est que ce soit à la fin du mois de mars », a-t-il déclaré au Parlement en réponse à une question demandant quand ces chars arriveraient en Ukraine.
Live animé par Solène L’Hénoret
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